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🔌 Réforme énergétique : protégeons les entreprises du Québec Face à une réforme qui pourrait faire grimper les tarifs d’électricité industriels de 60 % en dix ans, l’avenir des entreprises québécoises, particulièrement en région, est en jeu. Une telle hausse risque d'accélérer l'érosion de notre compétitivité énergétique, un atout stratégique essentiel pour les entreprises du Québec, en plus d'entraîner des désinvestissements massifs et de menacer des milliers d'emplois. 📢 Alors que l'étude du projet de loi 69 reprend sous peu, l’Alliance pour la compétitivité énergétique du Québec (ACEQ) a publié une lettre ouverte pour demander au gouvernement de revoir sa réforme. Le CTAQ accompagné de 6 organisations du secteur manufacturier représentant des centaines de milliers d’emplois, réclament : ✅ Des tarifs d’électricité compétitifs, transparents et prévisibles. ✅ Une tarification basée sur le coût réel pour Hydro-Québec, incluant un profit raisonnable. ✅ Le tout déterminé par une Régie de l’énergie impartiale et indépendante. 💡 Un équilibre doit absolument être trouvé entre la recherche de revenus pour le gouvernement et la vitalité économique du Québec, de ses régions et de ses emplois!

Notre président, Jocelyn B. Allard, s’est entretenu plus tôt cette semaine avec Mario Dumont dans son émission sur la radio QUB au sujet des tarifs d’électricité pour les industries. À écouter ici ↓ pour comprendre les préoccupations des industriels québécois : https://lnkd.in/gbQ-7SDu • Hausse prévue des tarifs industriels pouvant aller jusqu'à 60 % d’ici 10 ans (#PL69) dans un contexte économique déjà difficile   • La Régie de l’énergie devrait avoir le mandat d’établir les tarifs d’électricité en toute transparence • Il en va de la vitalité économique de nos régions, qui sont au cœur du tissu industriel du Québec ! Nous vous invitons à écouter l’entrevue et à vous mobiliser pour assurer la pérennité de nos usines québécoises.

L'Alliance pour la compétitivité énergétique du Québec, dont MEQ fait partie avec six organisations économiques majeures, a publié une lettre ouverte dans Le Journal de Montréal pour exprimer les préoccupations des entreprises face à la réforme énergétique du gouvernement.   Les tarifs d'électricité des manufacturiers pourraient augmenter de 60 % au cours des dix prochaines années. Une telle hausse pourrait accélérer l’érosion de notre compétitivité, entraîner des désinvestissements importants et mettre en péril des milliers d’emplois, particulièrement en région.    Un juste équilibre est essentiel pour préserver la vitalité économique de nos régions et la pérennité de nos entreprises.   Julie White, Jean-François Samray, Conseil de l'industrie forestière du Québec, Jean Simard, Association de l'aluminium du Canada Aluminium Association of Canada, Karl Blackburn, Conseil du patronat du Québec, Jocelyn B. (JB) Allard, AQCIE, Dimitri Fraeys de Veubeke, MBA, ADM.A., Conseil de la Transformation Alimentaire du Québec (CTAQ), Yves Hamelin, Chemistry Industry Association of Canada

L’AQCIE a cosigné une lettre ouverte, sous la bannière de l’Alliance pour la compétitivité énergétique du Québec (ACEQ), afin d’appeler le gouvernement du Québec à revoir sa réforme de l’énergie pour protéger l’économie des régions du Québec. Nous sommes inquiets des répercussions que pourrait avoir l’augmentation prévue des tarifs d’électricité (jusqu’à 60% d’ici 10 ans) sur nos industries et sur la vitalité économique des régions où elles sont majoritairement installées. Nous appelons le gouvernement à établir des tarifs d’électricité compétitifs, transparents et prévisibles, établis en fonction du coût réel pour Hydro-Québec, incluant un profit raisonnable, le tout déterminé par un organisme tiers et impartial, la Régie de l’énergie. Il est urgent de trouver le point d’équilibre entre des profits raisonnables pour Hydro-Québec et la compétitivité de notre économie. Pour en savoir plus, lisez la lettre ouverte publiée dans Le Journal de Montréal : https://lnkd.in/ejCvBSyj. L’ACQIE a cosigné cette lettre avec Karl Blackburn, président et chef de la direction, Conseil du patronat du Québec, Dimitri Fraeys de Veubeke, MBA, ADM.A., vice-président, Innovation et Affaires économiques, Conseil de la Transformation Alimentaire du Québec (CTAQ), Yves Hamelin, directeur régional, Québec, Association canadienne de l’industrie de la chimie, Jean-François Samray, président-directeur général, Conseil de l'industrie forestière du Québec, Jean Simard, président et chef de la direction, Association de l'aluminium du Canada Aluminium Association of Canada, Julie White, vice-présidente des affaires publiques et porte-parole par intérim, MEQ - Manufacturiers & Exportateurs du Québec.

Une nouvelle tuile menace de s’abattre sur les entreprises québécoises : après la pandémie, la pénurie de main-d’œuvre, l’inflation galopante et le protectionnisme américain, c’est maintenant la réforme énergétique du Québec qui suscite de vives inquiétudes. Avec une possible hausse de 60 % des tarifs industriels d’électricité d’ici 2035, les répercussions seraient dévastatrices pour plusieurs entreprises. Imaginez-vous un instant une augmentation similaire sur votre loyer ou votre hypothèque : le déménagement serait imminent. Face à ce défi, on observe une mobilisation sans précédent des différents secteurs économiques afin que le Québec puisse maintenir sa compétitivité énergétique. Leur message est clair : maintenir des tarifs justes, transparents et basés sur les coûts réels pour protéger notre économie, particulièrement en région. Bref, confier ce dossier à la Régie de l’énergie garantirait un processus impartial et équitable, en retirant toute ingérence politique et en s’assurant que les décisions soient basées sur des données objectives et transparentes. Un dossier important qui mérite un peu plus d'attention parce que les décisions prises aujourd’hui auront des répercussions profondes sur notre capacité collective à relever les défis économiques, sociaux et environnementaux de demain. Jocelyn B. (JB) Allard Karl Blackburn Stéphane Bertrand Jean Simard Dimitri Fraeys de Veubeke, MBA, ADM.A. Julie White Jean-François Samray #polqc #polcan #cdnpoli #energy #energie https://lnkd.in/dPiE8VTu

L’Alliance pour la compétitivité énergétique du Québec (ACÉQ) critique vertement la position de la ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, Christine Fréchette sur les prix de l’électricité facturés aux entreprises.  Dans une table éditoriale à Les Affaires, la ministre a affirmé qu’il ne faut pas uniquement fixer le prix en fonction du coût de service, mais qu’il faut aussi tenir compte de la «valeur» de marché de l’énergie. «En fait, il faut établir la valeur de notre électricité, de notre énergie. Pas seulement, je considère, sur la base des coûts de service», a-t-elle déclaré en entrevue. Cette sortie a fait réagir l’un des porte-parole de l’ACÉQ, Jocelyn B. (JB) Allard, président de l’Association québécoise des consommateurs industriels d’électricité (AQCIE), l’un des sept regroupements d’entreprises formant l’Alliance. À ses yeux, les propos de la ministre sont «particulièrement inquiétants», en plus de créer de «l’incertitude» auprès des entreprises consommatrices d’électricité et de celles qui songeraient à s’établir au Québec. #tarif #électricité #entreprise #compétitivité #manufacturier #hydroquébec

Réforme énergétique : protégeons les entreprises du Québec et nos emplois! Face à une réforme qui pourrait faire grimper les tarifs d’électricité industriels de 60 % en dix ans, l’avenir des entreprises québécoises, particulièrement en région, est en jeu. Une telle hausse risque d'accélérer l'érosion de notre compétitivité énergétique, un atout stratégique essentiel pour les entreprises du Québec, en plus d'entraîner des désinvestissements massifs et de menacer des milliers d'emplois. Alors que l'étude du projet de loi #PL69 reprend sous peu, l’Alliance pour la compétitivité énergétique du Québec (ACEQ) publie aujourd'hui une lettre ouverte pour demander au gouvernement de revoir sa réforme. Lettre ouverte publiée dans Le Journal de Montréal 👉 https://bit.ly/3OmD5h0 Jean Simard, président et chef de la direction de l'AAC cosigne avec Jocelyn B. (JB) Allard, président, Association québécoise des consommateurs industriels d’électricité, Karl Blackburn, président et chef de la direction Conseil du patronat du Québec, Dimitri Fraeys de Veubeke, vice-président, Innovation et Affaires économiques, Conseil de la Transformation Alimentaire du Québec (CTAQ), Yves Hamelin, directeur régional, Québec, Association canadienne de l’industrie de la chimie, Jean-François Samray, président-directeur général, Conseil de l'industrie forestière du Québec, Julie White, vice-présidente des affaires publiques et porte-parole par intérim, MEQ - Manufacturiers & Exportateurs du Québec & Exportateurs du Québec.

⚡ #PL69 Les entreprises pourraient faire face à une hausse des tarifs d’électricité industriels de 60% d’ici 10 ans. L'Alliance pour la compétitivité énergétique du Québec demande d'ajuster le tir pour protéger les emplois et l’économie en région.🔻 Sachant que les coûts de l’énergie représentent souvent entre 20 % et 60 % des coûts d’exploitation ou de production des entreprises, cette hausse menace directement le tissu économique du Québec, tout particulièrement là où il y a forte concentration d’entreprises manufacturières. Lettre ouverte publiée dans Le Journal de Montréal🔻 https://lnkd.in/ejCvBSyj Le CPQ cosigne avec Jocelyn B. (JB) Allard, président, Association québécoise des consommateurs industriels d’électricité, Dimitri Fraeys de Veubeke, vice-président, Innovation et Affaires économiques, Conseil de la Transformation Alimentaire du Québec (CTAQ), Yves Hamelin, directeur régional, Québec, Association canadienne de l’industrie de la chimie, Jean-François Samray, président-directeur général, Conseil de l'industrie forestière du Québec, Jean Simard, président et chef de la direction, Association de l'aluminium du Canada Aluminium Association of Canada Julie White, vice-présidente des affaires publiques et porte-parole par intérim, MEQ - Manufacturiers & Exportateurs du Québec. #PolQc #AssNat

[EN RAPPEL] Les coûts de construction au Québec incitent GM à «remettre en question de belles idées».

Article éclairant sur la désindustrialisation d’une économie de pointe causée, entre autres, par des coûts énergétiques devenus non compétitifs. Le Québec doit éviter de suivre cette voie. Notre électricité à prix compétitif est notre avantage concurrentiel pour le tissu industriel de nos régions. Le projet de loi 69 du gouvernement du Québec met en danger nos emplois industriels et crée une taxe sur nos régions.