HUB2 : La fintech ivoirienne qui révolutionne les paiements numériques en Afrique francophone La start-up HUB2, spécialisée dans la digitalisation des moyens de paiement, a levé 8,5 millions $ lors d’un tour de financement de série A mené par TLcom Capital, avec la participation de partenaires comme FMO, Bpifrance, Axian Group et Enza Capital. Objectifs : - Construire une infrastructure pour améliorer l’interopérabilité entre les 150 opérateurs de mobile money et les banques dans la région. - Développer des paiements transfrontaliers, des solutions basées sur des stablecoins et renforcer les paiements par carte et mobile money. Contexte et opportunités : - Le marché du mobile money en Afrique francophone est estimé à 335 milliards $, avec une croissance annuelle de 60 %. - HUB2 est déjà actif dans 6 pays, avec des connexions directes à 55 fintechs, néobanques et fournisseurs de cryptomonnaies. Ambition : Devenir le "Stripe de l'Afrique francophone", en simplifiant et en unifiant les paiements numériques sur le continent. Selon Jean-Rémi Kouchakji, co-PDG de HUB2 : "Notre mission est de proposer tous les moyens de paiement, des cartes aux cryptomonnaies, pour rendre les paiements numériques accessibles et efficaces." Cette vision peut-elle transformer l’écosystème des paiements numériques en Afrique ? #HUB2 #FintechAfrique #MobileMoney #PaiementsNumériques
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Agence Ecofin est une plateforme d’informations économiques et financières africaines, constituée de 11 fils d’actualités spécialisées dans les secteurs suivants : Gestion publique, Finance, Agriculture, Electricité, Hydrocarbures, Mines, Transports, Tic & Télécoms, Communication, Formation et Entrepreneuriat. La plateforme intégre une riche production multimédia (vidéo et infographies) et anime une importante communauté sur les réseaux sociaux Facebook, Twitter et LinkedIn. La rédaction d’Ecofin est 100% africaine, répartie essentiellement sur 6 bureaux : Yaoundé, Cotonou, Abidjan, Lomé, Libreville et Niamey.
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- Branche
- Zeitungsverlage
- Größe
- 51–200 Beschäftigte
- Hauptsitz
- Genève
- Art
- Privatunternehmen
- Gegründet
- 2011
- Spezialgebiete
- Enquêtes, reportages, couvertures d’événements, Journalisme, Veille d’information sectorielle, Fourniture de contenu, web et papier, Enquêtes économiques, Rédaction de journaux et magazines d’institutions ou d’entreprises und Afrique
Orte
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Primär
Rue du Léman 6
Genève, 1201, CH
Beschäftigte von Agence Ecofin
Updates
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Une dynamique d’investissement sans précédent pour les ressources extractives ivoiriennes Lors de la première édition du Salon international des Ressources extractives et énergétiques (SIREXE), la Côte d’Ivoire a signé des contrats d’investissement d’une valeur de 4 000 milliards FCFA (6,4 milliards $). Ces partenariats stratégiques visent à accélérer le développement du secteur extractif et énergétique, tout en renforçant la durabilité environnementale. 📌 Points clés : - Exploration pétrolière : Eni a acquis quatre nouveaux blocs d’exploration en eaux profondes. - Restauration environnementale : Projet de restauration de 155 000 hectares de forêts ivoiriennes, porté par Eni et le ministère des Eaux et Forêts. - Logistique pétrolière : Collaboration entre Petroci Holding et Sonangol pour une base de services logistiques intégrée à Abidjan. - Fonds d’investissement minier : Un nouvel outil pour soutenir les entreprises locales et encourager la participation des communautés. 📊 Impact économique : En 2023, les recettes du secteur extractif ont atteint 372 milliards FCFA (595 millions $), grâce à l’exploitation de ressources telles que l’or, le pétrole, le nickel et le lithium. 🎯 Vision durable : En novembre 2023, la Côte d’Ivoire a lancé le projet Transition Bas Carbone pour réduire ses émissions de GES et intégrer des pratiques climatiques responsables dans son secteur extractif. #CôteDIvoire #SecteurExtractif #Investissements #TransitionÉnergétique #ÉconomieDurable
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Tanzanie : Un investissement de 130 millions $ pour la transformation locale de tournesol La Tanzania Farmers Association (TFA) a signé un accord de 130 millions $ avec Mkulima Coops Ltd, filiale de Peter & Burg Ltd (Hongrie), pour construire une usine de transformation de tournesol destinée à la production d’huile comestible. 📌 Points clés : - Le tournesol est la principale culture oléagineuse en Tanzanie, avec une production de 480 000 tonnes en 2022/2023. - Cet investissement s’ajoute à celui de 28 millions $ du groupe Mainland pour une usine à Dodoma, prévue pour décembre 2024. 🎯 Objectifs stratégiques : - Réduire les importations d’huile comestible, une denrée encore largement importée. - Offrir des débouchés aux agriculteurs locaux et renforcer la souveraineté alimentaire. 💡 Enjeu continental : Ce type d’investissement pourrait servir de modèle pour d’autres pays africains souhaitant valoriser leurs filières agricoles et réduire leur dépendance aux importations alimentaires. 💬 Question ouverte : Quels mécanismes peuvent encourager davantage d’investissements dans la transformation agricole en Afrique ? #Tanzanie #Agroindustrie #TransformationLocale #FilièreTournesol #DéveloppementDurable
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Madalitso Band : De Lilongwe aux scènes internationales Né dans les rues de Lilongwe, au Malawi, avec des instruments bricolés, le Madalitso Band illustre comment la passion et l’authenticité peuvent conquérir le monde. 📌 Quelques étapes clés : 2002 : Yosefe et Yobu débutent en jouant dans la rue pour survivre. 2017 : Leur performance au festival Sauti Za Busara à Zanzibar attire l’attention d’agents internationaux. 2018 : Signature avec Bongo Joe Records et sortie de leur 2e album Wasalala. 🎶 Leur musique unique, mélange de folk, blues et rythmes africains, transmet un message de persévérance. Leur album Musakayike (2021), sorti pendant la pandémie, célèbre leur résilience face aux défis. Cependant, ce groupe, applaudi dans des festivals européens, reste peu connu sur le continent africain, où il aspire à une reconnaissance plus large. 💡 Réflexion ouverte : Comment les talents africains peuvent-ils mieux se connecter à leur audience locale tout en s’exportant à l’international ? -> https://lnkd.in/ed5gpfjU #MadalitsoBand #MusiqueDuMonde #InnovationCulturelle #Afrique #SuccessStory
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Les pays africains paient 5 fois plus d'intérêts sur les marchés internationaux | Les pays africains consacrent aujourd’hui une part croissante de leur PIB au service de la dette, avec des coûts qui ont bondi de 8,4 % à 12,7 % entre 2015 et 2022. En 2024, ils devraient allouer environ 74 milliards de dollars au service de leur dette, dont plus de 40 milliards dus à des créanciers privés, selon la BAD. Enjeux majeurs : L’utilisation accrue des financements privés, qui représentent 49 % de la dette africaine en 2023 (prévu à 54 % en 2024), expose les nations à des taux d’intérêt jusqu’à cinq fois plus élevés que ceux pratiqués par les institutions multilatérales. Vingt pays africains sont déjà en situation de détresse ou à haut risque d’endettement, contre treize il y a dix ans. Quelle solution ? La Banque africaine de développement (BAD) propose la création d’un mécanisme africain de stabilité financière. Ce dispositif permettrait de : - Refinancer les dettes des pays africains à des conditions plus favorables. - Réduire la dépendance aux marchés internationaux et contenir les effets des crises économiques mondiales. Un mécanisme essentiel : L’Afrique est le seul continent sans structure régionale de stabilité financière, ce qui la rend particulièrement vulnérable face aux turbulences économiques globales. Ce projet, en gestation depuis trois ans, pourrait devenir un levier clé pour la soutenabilité financière et le développement durable des pays africains. 💬 Votre avis : comment l’Afrique peut-elle accélérer la mise en place de ce mécanisme et réduire sa dépendance aux créanciers privés ? #Afrique #BAD #DetteSouveraine #FinancesPubliques #DéveloppementDurable
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Le Burkina Faso renforce sa capacité de transformation de tomate | 🍅 Investir dans la transformation locale pour réduire les importations Le Burkina Faso, cinquième importateur de purée de tomate en Afrique de l’Ouest, fait un pas significatif vers l’autosuffisance. Le président Ibrahim Traoré a inauguré à Bobo-Dioulasso la Société burkinabè de tomates (SOBTO), une usine de transformation d’une capacité de 6 tonnes de tomates par heure, qui produira du concentré sous la marque « A’diaa ». Chiffres clés : - Investissement : 7,5 milliards FCFA (12 millions $), financés par l’APEC. - Capacité : Production de 800 kg de concentré par heure. Impact attendu : - Réduction des importations (23 600 tonnes en 2022, soit 8 millions $). - Création de valeur ajoutée pour une filière qui a produit 313 500 tonnes de tomates en 2022. - Un chiffre d’affaires annuel moyen estimé à 8 milliards FCFA (13 millions $) sur les 5 premières années. 💡 Pourquoi c’est important ? Cette initiative offre un débouché structurant pour les producteurs locaux, tout en préparant le Burkina Faso à conquérir les marchés régionaux et internationaux avec un produit de qualité. Elle illustre également la volonté de l’Afrique de l’Ouest de réduire sa dépendance aux importations alimentaires. 💬 Votre avis : quelles stratégies les pays africains devraient-ils adopter pour accélérer la transformation locale de leurs filières agricoles ? #BurkinaFaso #TransformationLocale #Agriculture #Industrie #AfriqueDeLOuest
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Côte d’Ivoire : 17 000 logements attendus grâce à l’appui d’investisseurs émiratis La Côte d’Ivoire, avec un déficit de 800 000 logements, intensifie ses efforts pour répondre à cette urgence sociale. Le ministre de la Construction, Bruno Nabagné Koné, a signé deux protocoles d’accord avec des groupes émiratis – Royal Gulf Contracting LLC et le Consortium ZDS Development & NDG Abu Dhabi – pour la construction de 17 000 logements sociaux. 📌 Chiffres clés : - Objectif : 150 000 logements à construire d’ici 2025 dans le cadre du Programme présidentiel de construction de logements sociaux et économiques (PPLSE). - Croissance du déficit : De 600 000 unités en 2023 à 800 000 en 2024, avec un écart qui augmente de 10 % par an. - Taux d’urbanisation : 52 %, une dynamique qui pousse à des solutions rapides et efficaces. 📌 Contexte : Ces accords, signés lors des forums Big 5 Global et Liveable CitiesX à Dubaï, témoignent de l’ouverture du pays à des partenariats internationaux pour répondre à ce défi. En parallèle, un prêt de 75 millions de dollars de la BADEA permettra de construire 7 500 unités supplémentaires. 💡 Enjeux pour l’avenir : Répondre au déficit ne nécessite pas seulement des constructions massives, mais aussi des politiques d’urbanisme durable pour gérer l’expansion des villes ivoiriennes tout en garantissant l’accessibilité aux logements pour les plus vulnérables. 💬 Votre avis : quels leviers doivent être activés pour accélérer la construction de logements tout en garantissant leur durabilité et leur accessibilité ? #LogementsSociaux #Urbanisation #CotedIvoire #Construction #PartenariatsInternationaux Image non contractuelle
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Kaïdara : L’art au service de la littérature africaine L’artiste sénégalais Omar Ba réinterprète le célèbre conte peul Kaïdara, transcrit en 1968 par Amadou Hampâté Bâ, à travers une série de 40 peintures présentées à la Galerie Templon de Paris. 🎨 Enjeux culturels et artistiques : - Kaïdara est une œuvre clé de la tradition orale africaine, mêlant quête initiatique et réflexion sur la sagesse et la connaissance. - Omar Ba, connu pour aborder des thèmes comme les inégalités et la place de l’Afrique dans le monde, réinvente ce récit en associant tradition et modernité. 📌 Une collaboration remarquable : Ces œuvres sont commanditées par Diane de Selliers, maison d’édition indépendante spécialisée dans la publication d’ouvrages illustrés uniques. 💡 Perspective : Cette exposition illustre le potentiel des artistes contemporains à valoriser le patrimoine culturel africain sur la scène internationale. 💬 Qu’en pensez-vous ? Comment de telles initiatives peuvent-elles influencer la perception globale des cultures africaines ? -> https://lnkd.in/e6waG9Zc #Kaïdara #ArtEtLittérature #TraditionOrale #CultureAfricaine
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« L’eau qui fume » aux Chutes du Nil Bleu Situées à quelques kilomètres du lac Tana en Éthiopie, les Chutes du Nil Bleu, appelées localement Tis Issat ou « eau qui fume », sont un site exceptionnel pour les amateurs de nature et de paysages marquants. Elles offrent une expérience où histoire, géographie et culture locale se rencontrent. Les chutes, alimentées par le Nil Bleu, font partie intégrante du fleuve qui, après avoir quitté le lac Tana, parcourt plus de 1500 kilomètres avant de rejoindre le Nil Blanc au Soudan. Elles marquent une étape importante dans le cycle de vie du fleuve et jouent un rôle crucial dans l’écosystème local. Le débit et la hauteur des chutes varient selon les saisons, offrant des scènes différentes à chaque visite. Un accès simple et enrichissant Pour accéder aux chutes, il faut souvent passer par Bahir Dar, une ville bien reliée au reste de l'Éthiopie. Une courte randonnée mène les visiteurs à plusieurs points d’observation, permettant d’apprécier les chutes sous divers angles. Le chemin traverse des villages traditionnels et des paysages agricoles, ce qui ajoute à l’intérêt de la visite. En chemin, il est courant de croiser des habitants qui partagent leur mode de vie et vendent des produits artisanaux. Une biodiversité à découvrir Les environs des chutes sont peuplés d’une faune et d’une flore variées. Les oiseaux, notamment, y sont nombreux, faisant de la région un lieu prisé des ornithologues. Les randonneurs peuvent également apercevoir une végétation luxuriante, qui prospère grâce à l'humidité générée par les chutes. Un pont historique Non loin des chutes se trouve un pont en pierre datant du XVIIe siècle, construit à l’époque de l’empereur Susenyos avec l’aide de missionnaires portugais. Ce pont, encore utilisé aujourd’hui, est l’un des plus anciens d’Éthiopie et un témoignage fascinant des échanges historiques dans la région. Informations pratiques Les visites peuvent être organisées avec des guides locaux, qui enrichissent l’expérience par leurs connaissances. La meilleure période pour visiter s’étend de juillet à octobre, pendant la saison des pluies, lorsque le débit est maximal. Pendant la saison sèche, les chutes sont plus modestes, mais la promenade reste agréable et intéressante.
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Hans Merket (IPIS) : « L’Afrique peut jouer un rôle moteur dans l'un des efforts de traçabilité les plus ambitieux du secteur minier » - (Interview) Le G7 a choisi le Botswana comme 2e point de contrôle mondial pour certifier les diamants entrant sur ses marchés, après les USA. Une décision stratégique qui reflète le rôle croissant de l’Afrique dans la chaîne d'approvisionnement mondiale des diamants. 📌 Enjeux majeurs : - Reconnaissance : Le Botswana renforce sa position comme leader du commerce diamantifère en Afrique. - Débat : Ce mécanisme met en lumière les lacunes du Processus de Kimberley, critiqué pour sa faible capacité à répondre aux défis modernes (traçabilité, droits humains, environnement). 💡 Ce que cela pourrait changer : - Diversification des points de contrôle, incluant potentiellement d'autres producteurs africains comme l'Angola et la Namibie. - Opportunité pour les pays africains de contribuer à des normes éthiques plus élevées dans l’industrie mondiale du diamant. Cependant, selon Hans Merket, expert de l’IPIS, le mécanisme du G7 doit évoluer vers une traçabilité complète et intégrer des cadres de diligence raisonnable pour renforcer la confiance des consommateurs. 💬 Qu’en pensez-vous ? Ce nouveau modèle peut-il redéfinir les standards de l'industrie diamantifère ? -> https://lnkd.in/eUbDcUXt #Diamants #Afrique #ProcessusDeKimberley #Traçabilité #CommerceÉthique