Quels sont les défis auxquels les personnes réfugiées sont confrontées lors de l'accès aux hautes écoles ? Quels sont les projets de soutien pour des personnes réfugiées dans les hautes écoles en Suisse romande ? En quoi consistent les différentes offres et quels sont les critères d'admission ? En collaboration avec des représentants des hautes écoles, Perspectives - Études, un projet du VSS-UNES-USU, donne des informations lors d'une séance d'information en ligne. La séance est organisée en français et est gratuite. 📅 Lundi 27 janvier 2025 de 12h à 13h30 📒 Programme : 👉️ Escabeau à l’Université de Neuchâtel 👉 Roadmap to Study à la HES-SO Valais-Wallis 👉 Hérodote (Plus) à l’Université de Fribourg/Universität Freiburg 👉 AlterEgauz à la Haute école de travail social Fribourg (HETS-FR) 👉 Programme Horizon académique à l’Université de Genève 👉 CMS3 à l’@EPFL 🚩 En ligne, le lien de la séance sera envoyé peu avant l'événement. 📧 Inscription : Jusqu'au 24 janvier 2025 via notre site web : https://lnkd.in/erpxaznE Nous nous réjouissons de cet échange ! En complément, une séance d'information en ligne sur les projets de soutien en Suisse alémanique aura lieu en allemand le lundi 20 janvier 2025 de 12h00 à 13h30. Vous trouverez plus d'informations ici : https://lnkd.in/e3dcyBwn Nicolas Chappuis Michael Voegtli Amel Mahfoudh Carmen Delgado Luchner Audrey Bonvin Marie-Christine Ukelo-Mbolo Merga Marianne Halle Gillian Olivieri #études #formation #réfugié #égalitédeschances #intégration
Perspektiven – Studium | VSS
Hochschulen und Universitäten
Damit mehr Menschen mit Fluchthintergrund ihr Potential nutzen & in der Schweiz (weiter-)studieren können.
Info
Informationen zum Hochschulzugang in der Schweiz – für Geflüchtete, die studieren möchten und Personen, die sie dabei unterstützen.
- Website
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https://www.perspektiven-studium.ch
Externer Link zu Perspektiven – Studium | VSS
- Branche
- Hochschulen und Universitäten
- Größe
- 2–10 Beschäftigte
- Hauptsitz
- Bern
Updates
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Alyssa Fonjallaz und Faty Ndiaye koordinieren gemeinsam OFI-OBI, eine Studierendenvereinigung, die sich seit vielen Jahren für studieninteressierte Geflüchtete einsetzt. Dabei unterstützen sie u.a. das Projektteam von Hérodote bei der Rekrutierung von Mentor*innen unter den Studierenden der Université de Fribourg/Universität Freiburg. Hérodote richtet sich an Personen aus dem Asylbereich, die das Niveau B2 in der Studiensprache noch nicht erreicht haben, aber die regulären Zulassungsbedingungen der Universität erfüllen. Alyssa und Faty studieren beide an der Unifr und engagieren sich selbst auch als Mentorinnen für die Teilnehmenden. Dabei variiert ihre Unterstützung je nach den Bedürfnissen: bei der Nutzung von Online-Plattformen fürs Studium, beim Inhalt der Kurse, beim Erlernen der Sprache oder bei der sozialen Integration, insbesondere durch Aktivitäten und Treffen, die es ermöglichen, soziale Kontakte zu knüpfen und gleichzeitig Französisch zu üben. ➡️ Alyssa studiert Sozialarbeit und Sozialpolitik und begleitet bisher eine Studentin aus der Ukraine als Mentorin „Als Mentorin ist es meine Motivation, Menschen zu unterstützen, die in Not sind. Es handelt sich häufig um Menschen, die geprägt sind von komplexen Lebenssituationen, und die manchmal vor persönlichen oder beruflichen Schwierigkeiten stehen. Diese Menschen befinden sich häufig in Verhältnissen, in denen der Zugang zu Ressourcen und Möglichkeiten erschwert ist, sei es im Bereich der Ausbildung oder der persönlichen Entwicklung. Sie haben es häufig schwieriger an Informationen zu gelangen, ein unterstützendes Netzwerk zu nutzen oder Zugang zu Hilfsmitteln zu erhalten, die sie benötigen, um voranzukommen. Das ist der Grund, warum ich an diesem Projekt teilnehme“. ➡️ Faty, Studentin im Masterstudiengang Anthropologie, hat zunächst einen Studenten aus Äthiopien begleitet und unterstützt heute eine Studentin aus der Ukraine. „Meine Motivation, dem Verein beizutreten war, mich nützlich zu machen. Darüber hinaus war ich neugierig auf den Kontakt mit Menschen aus dem Asylbereich. Als Tochter von Zugewanderten empfinde ich viel Empathie für Menschen, die aus verschiedenen Gründen ihr Lebensumfeld ändern und ihre Existenz neu aufbauen mussten. Ich sehe die Grenzen unserer Hilfe, die sich vor allem auf Information und Integration konzentriert. In Zukunft möchte ich diese Erfahrungen mit meiner beruflichen Laufbahn verknüpfen, da ich Französisch als Fremdsprache unterrichten möchte. Ich hoffe, dass sich immer mehr Studierende in solchen Vereinen engagieren, denn Mentoring bereichert das Verständnis für Asylfragen in der Schweiz und ermöglicht einen für beide Seiten bereichernden Austausch.“ #mentoring #integration #studium #universität #freiburg
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Alyssa Fonjallaz et Faty Ndiaye coordonnent ensemble OFI-OBI, une association d'étudiant-e-s qui s'engage depuis de nombreuses années en faveur des personnes réfugiées intéressées par les études. Elles soutiennent notamment l'équipe du projet Hérodote dans le recrutement de mentor-e-s parmi les étudiant-e-s de l'Université de Fribourg/Universität Freiburg. Hérodote s'adresse aux personnes issues du domaine de l'asile qui n'ont pas encore atteint le niveau B2 dans la langue des études, mais qui remplissent les conditions d'admission régulières de l'université. Alyssa et Faty étudient toutes deux à l'Unifr et s'engagent elles-mêmes comme mentores pour les participant-e-s. Leur soutien varie en fonction des besoins : dans l'utilisation des plateformes en ligne pour les études, dans le contenu des cours, dans l'apprentissage de la langue ou dans l'intégration sociale, notamment par le biais d'activités et de rencontres qui permettent de nouer des contacts sociaux tout en pratiquant le français. ➡️ Alyssa fait des études à en Travail social et Politiques sociales et accompagne une étudiante ukrainienne en tant que mentor. « En tant que mentore, ma motivation est de soutenir les personnes qui sont dans le besoin. Il s'agit souvent de personnes marquées par des situations de vie complexes et qui sont parfois confrontées à des difficultés personnelles ou professionnelles. Ces personnes se trouvent souvent dans des conditions où l'accès aux ressources et aux possibilités est plus difficile, que ce soit dans le domaine de la formation ou du développement personnel. Il leur est souvent plus difficile d'obtenir des informations, d'utiliser un réseau de soutien ou d'accéder aux outils dont elles ont besoin pour progresser. C'est la raison pour laquelle je participe à ce projet ». ➡️ Faty, étudiante en master d'anthropologie, a d'abord accompagné un étudiant éthiopien et soutient aujourd'hui une étudiante ukrainienne. « Ma motivation pour rejoindre l'association était de me rendre utile. De plus, j'étais curieuse d'entrer en contact avec des personnes issues du domaine de l'asile. En tant que fille d'immigrés, je ressens beaucoup d'empathie pour les personnes qui, pour diverses raisons, ont dû changer de cadre de vie et reconstruire leur existence. Je vois les limites de notre aide, qui se concentre surtout sur l'information et l'intégration. À l'avenir, j'aimerais lier ces expériences à ma carrière professionnelle, puisque je souhaite enseigner le français comme langue étrangère. J'espère que de plus en plus d'étudiant-e-s s'engageront dans de telles associations, car le mentorat enrichit la compréhension des questions d'asile en Suisse et favorise des échanges mutuellement bénéfiques ». #mentoring #intégration #études #université #fribourg
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Mit welchen Herausforderungen sind Geflüchtete beim Hochschulzugang konfrontiert? Welche Förderprojekte für Geflüchtete an Hochschulen gibt es in der Deutschschweiz? Was beinhalten die einzelnen Angebote und wie sehen die Zulassungskriterien aus? Gemeinsam mit Vertretenden von Hochschulen gibt Perspektiven – Studium, ein Projekt des VSS-UNES-USU, in einer Online-Informationsveranstaltung Auskunft. Die Veranstaltung wird auf Deutsch durchgeführt und ist kostenlos. 📅 Montag, den 20. Januar 2025, von 12.00 bis 13.30 Uhr 📒️ Programm: 👉️ Kompass UniBE an der Universität Bern 👉️ CAS Unterrichten mit ausländischem Lehrdiplom an der Pädagogische Hochschule Bern (PHBern) 👉 Campus Luzern für Geflüchtete, ein Kooperationsprojekt der Universität Luzern, HSLU Hochschule Luzern und Pädagogische Hochschule Luzern (PH Luzern) 👉 Brückenangebot für Geflüchtete der FHGR Fachhochschule Graubünden 👉 Explore UZH an der Universität Zürich | University of Zurichürich 👉 ZHAW für Geflüchtete an der ZHAW Zürcher Hochschule für Angewandte Wissenschaften 👉 Integral der Hochschule für Technik FHNW 🚩 Online, der Sitzungs-Link wird kurz vor der Veranstaltung verschickt 📧 Anmeldung: Bis am 16. Januar 2025 über unsere Webseite: https://lnkd.in/e3dcyBwn Wir freuen uns auf den Austausch! Ergänzend dazu findet am Montag, 27. Januar 2025 von 12.00 bis 13.30 Uhr eine Online-Infoveranstaltung über die Förderprojekte in der Romandie auf Französisch statt. Mehr Infos dazu finden Sie hier: https://lnkd.in/erpxaznE Ann-Seline Fankhauser Solvej Soerensen Sandra Sommer Barbara Stettler Anne Schillig, Dr. phil. Zehnder Uta Anne-Marie Jaeger Nicole Massüger McLauchlan Chantal Marquart Yasmine Starein Stefan Czarnecki Rahel Müller Aho Manuela Ruedt #Studium #bildung #flüchtling #chancengleichheit #integration
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Les étudiant-e-s mentor-e-s peuvent aider les étudiant-e-s issu-e-s de l'asile à s'intégrer dans la vie universitaire. Un tandem entre mentor-e et mentee facilite l'inclusion sociale, offre une possibilité de promotion linguistique et peut apporter une aide pour les questions quotidiennes. » J'apprécie le mentoring individuel », déclare une mentee qui participe à l'offre de mentoring de SEET – Support Education, Empower Together depuis 2023. Avant de s'enfuir en Suisse, elle vivait en Iran et n'avait pas encore commencé ses études. Grâce à SEET, de nouvelles portes s'ouvrent à elle : « Au début, je pensais que les obstacles aux études étaient beaucoup trop importants, car c'est ce que d'autres sources ont communiqué ». Entre-temps, elle sait aussi quelle voie elle veut suivre : elle veut étudier le travail social. « Le programme m'a appris combien il est important de réfléchir à des objectifs, à ce que je veux vraiment poursuivre et pourquoi. Ces objectifs doivent ensuite être atteints par petites étapes ». Une autre mentee a dû interrompre ses études de physique au Soudan à cause de sa fuite. Elle étudie maintenant la physique en master à l'université de Zurich. Les études en Suisse ont leurs défis : « Les difficultés spécifiques aux femmes dans la formation dépendent de la femme individuelle. Si la femme est une mère, je dirais - oui, c'est plus difficile. Je suis maintenant mère, femme au foyer et employée, et le soir, je dois encore suivre mes cours d'anglais. Cela demande beaucoup d'énergie ». L'étudiante en master participe au programme SEET depuis 2021 : « J'ai appris énormément de choses, j'ai rencontré de nouvelles personnes et j'ai amélioré ma langue. On m'a écoutée avec intérêt et on m'a soutenue ». Les deux femmes sont soutenues par des mentor-e-s mis à disposition par l'association SEET. L'une d'entre elles est engagée depuis 2024. Elle a fait des études de gestion d'entreprise en Allemagne. Elle fait son travail de mentor par conviction : « Je crois au pouvoir de transformation de l'éducation et à l'importance qu'elle peut avoir pour le développement de chaque personne, indépendamment de son origine ». L'année dernière, SEET a connu une forte croissance : actuellement, 33 participant-e-s sont accompagné-e-s par les mentor-e-s de SEET. SEET prévoit d'augmenter encore ses capacités, avec pour objectif de faire profiter plus de 50 participant-e-s du projet chaque année d'ici 2026. #études #mentoring #accompagnement #zurich
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Studentische Mentor*innen können Studierende mit Fluchthintergrund bei ihrer Integration in den Hochschulalltag unterstützen. Ein Tandem zwischen Mentor*in und Mentee erleichtert die soziale Inklusion, bietet eine Möglichkeit zur Sprachförderung und kann bei alltäglichen Fragen Hilfe bieten. „Ich schätze das eins-zu-eins-Mentoring”, so eine Mentee, die seit 2023 beim Mentoring-Angebot von SEET – Support Education, Empower Together mit dabei ist. Vor ihrer Flucht in die Schweiz hat sie im Iran gelebt und noch nicht studiert. Dank SEET stehen ihr nun neue Türen offen: „Ich dachte am Anfang, dass die Hürden für ein Studium viel zu gross sind, da dies auch so von anderen Quellen kommuniziert wurde.” Inzwischen weiss sie auch, welchen Weg sie einschlagen möchte: Sie will Soziale Arbeit studieren. „Ich habe im Programm gelernt, wie wichtig es ist, Ziele zu reflektieren, was ich eigentlich verfolgen möchte und wieso. Diese Ziele müssen dann in kleineren Schritten erreicht werden.” Eine weitere Mentee musste durch die Flucht ihr Physik-Studium im Sudan unterbrechen. Nun studiert sie im Master Physik an der Universität Zürich. Das Studium in der Schweiz hat seine Herausforderungen: „Frauenspezifische Schwierigkeiten bei der Ausbildung hängen von der individuellen Frau ab. Wenn die Frau eine Mutter ist, würde ich sagen – ja, es ist schwieriger. Ich bin jetzt Mutter, Hausfrau und Arbeitnehmerin und am Abend kommt noch mein Englischkurs dazu. Dies braucht viel Kraft.” Die Master-Studentin ist seit 2021 im Programm bei SEET dabei: „Ich habe sehr vieles gelernt, neue Leute kennengelernt und die Sprache verbessert. Mir wurde mit Interesse zugehört und ich wurde unterstützt.” Unterstützt werden die beiden Frauen von Mentor*innen, die durch den Verein @SEET vermittelt werden. Eine davon ist seit 2024 dabei. Sie hat in Deutschland ein Studium in Betriebswirtschaft absolviert. Die Arbeit als Mentorin macht sie aus Überzeugung: „Ich glaube an die transformative Kraft der Bildung und die Bedeutung, die sie für die Entwicklung jedes einzelnen Menschen haben kann, unabhängig von seiner Herkunft.“ SEET ist im vergangenen Jahr stark gewachsen: Momentan werden 33 Teilnehmer*innen durch die Mentor*innen von SEET betreut. SEET plant seine Kapazitäten weiter auszubauen mit dem Ziel, dass bis 2026 jährlich mehr als 50 Teilnehmende vom Projekt profitieren werden. #studium #mentoring #begleitung #zurich
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En Suisse, de plus en plus de jeunes issus du domaine de l'asile suivent une formation. C'est ce que montre une nouvelle étude de l'Office fédéral de la statistique (Bundesamt für Statistik BFS). Plus de la moitié des personnes arrivées en Suisse en 2017 ont entre-temps terminé une formation. Par rapport à il y a cinq ans, ce chiffre est en nette augmentation. Gianni D'Amato, professeur de migration et d'études de la citoyenneté à l'Université de Neuchâtel, explique dans le podcast 4X4 de SRF - Schweizer Radio und Fernsehen comment cette augmentation a eu lieu. Selon son analyse, cela est dû aux nouvelles dispositions de l'Agenda Intégration Suisse, en vigueur depuis 2019. L'encouragement linguistique, l'évaluation du potentiel, le coaching en emploi ainsi que l'accès facilité à l'encouragement de la formation montrent leurs effets et sont largement utilisés par le groupe cible. D'Amato prévoit une augmentation encore plus importante à l'avenir. De nombreuses jeunes personnes réfugiées ou admises à titre provisoire souhaitent trouver leur place en Suisse et l'assumer. Ce sont surtout les très jeunes entre 16 et 17 ans qui ont participé de manière disproportionnée à des offres de soutien. Cependant, la participation à la formation des jeunes femmes, surtout celles qui ont des enfants, reste encore nettement inférieure à celle des jeunes hommes. Cela s'expliquerait notamment par le manque d'accès aux services de garde d'enfants. L'Agenda Intégration Suisse s'est fixé pour objectif que deux tiers des personnes réfugiées et admises à titre provisoire âgées de 16 à 25 ans puissent suivre une formation dans les cinq ans suivant leur arrivée en Suisse. Gianni D'Amato souligne que pour atteindre cet objectif, un soutien constant et des ressources sociales sont indispensables. Pour écouter le podcast (en allemand) : https://lnkd.in/eFN6CV9P #Réfugiés #Intégration #Formation #MarchéDuTravail #Inclusion
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In der Schweiz machen immer mehr junge Geflüchtete und vorläufig Aufgenommene eine Ausbildung. Das zeigt eine neue Studie des Bundesamt für Statistik BFS. Mehr als die Hälfte der Menschen, die 2017 in der Schweiz angekommen sind, haben inzwischen eine Ausbildung abgeschlossen. Im Vergleich zu noch vor fünf Jahren sei diese Zahl deutlich gestiegen. Wie es zu diesem Anstieg gekommen ist, erklärt Gianni D'Amato, Professor für Migration und Staatsbürgerschaftsstudien an der Université de Neuchâtel, im 4X4 Podcast von SRF - Schweizer Radio und Fernsehen. Laut seiner Analyse liegt dies an den neuen Bestimmungen der Integrationsagenda, welche seit 2019 in Kraft ist. Sprachförderung, Potenzialabklärung, Jobcoaching sowie ein erleichterter Zugang zu Bildungsförderung zeigen ihre Wirkung und werden von der Zielgruppe rege genutzt. D’Amato prognostiziert künftig einen noch grösseren Anstieg. Viele junge Geflüchtete und vorläufig Aufgenommene möchten in der Schweiz ihren Platz finden und wahrnehmen. Vor allem sehr junge Leute zwischen 16 und 17 Jahren haben überproportional oft an Förderangeboten teilgenommen. Allerdings bleibe die Bildungsbeteiligung bei den jungen Frauen, vor allem mit Kindern, noch immer deutlich hinter jener der jungen Männer. Dies läge unter anderem am mangelnden Zugang zu Kinderbetreuung. Die Integrationsagenda hat sich zum Ziel gesetzt, dass zwei Drittel aller Geflüchteten und vorläufig Aufgenommenen zwischen 16 und 25 Jahren innerhalb von fünf Jahren nach der Einreise in die Schweiz eine Ausbildung machen können. Gianni D’Amato betont, dass zur Erreichung dieses Ziel eine beständige Förderung sowie gesellschaftliche Ressourcen unabdingbar sind. Hier geht es zum Podcast: https://lnkd.in/eFN6CV9P #Flüchtlinge #Integration #Bildung #Arbeitsmarkt #Inklusion
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Depuis l'automne 2023, la HES Grisons (FHGR Fachhochschule Graubünden) propose une offre passerelle pour les personnes réfugiées. Tuncay Gülek est l'un des premier-e-s participant-e-s. Il a participé au programme passerelle dans la filière Computational and Data Science durant l'année académique 23/24. Cet ingénieur en économie a fui la Turquie pour la Suisse en 2021. Comme ses études n'ont pas été reconnues comme équivalentes en Suisse, sa recherche d'emploi ici est restée infructueuse jusqu'à présent. Il a vu dans l'offre passerelle une chance de se rapprocher d'un emploi : « J'y ai vu un grand pas pour favoriser le développement de ma langue et m'intégrer plus rapidement en Suisse ». Les débuts dans l'offre transitoire n'ont pas été faciles. Tout était nouveau pour lui : le système éducatif suisse, les études, les professeur-e-s et les autres étudiant-e-s ainsi que la langue. Ce sont surtout les cours magistraux, où l'on parle beaucoup et où l'on prend beaucoup de notes, qui ont été un défi pour lui. Tuncay Gülek a donc investi un temps considérable dans la préparation et le suivi des cours : « Au début, c'était très stressant pour moi. J'ai trois enfants. D'une part, je devais passer du temps avec eux, et d'autre part, je devais étudier dur. Apprendre les langages de programmation était stressant pour moi, car je n'en avais aucune connaissance auparavant ». Tuncay Gülek a beaucoup appris sur la programmation pendant l'année passerelle en Computational and Data Science, mais il a décidé de changer de domaine, plus proche de ses études précédentes d'ingénieur en économie. Au semestre d'automne 2024, il a pu commencer son bachelor en Digital Supply Chain Management à la HES des Grisons : « En tant que réfugié, je suis très reconnaissant que nous ayons cette possibilité. C'est une grande chance pour moi de trouver un travail qualifié en Suisse ». #intégration #études #intégration #haute école spécialisée #graubünden
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Seit Herbst 2023 bietet die FHGR Fachhochschule Graubünden ein Brückenangebot für Geflüchtete. Einer der ersten Teilnehmenden ist Tuncay Gülek. Er hat im Studienjahr 23/24 am Brückenprogramm im Studiengang Computational and Data Science an der FH Graubünden teilgenommen. Der Wirtschaftsingenieur ist 2021 aus der Türkei in die Schweiz geflüchtet. Da sein Studium in der Schweiz nicht als gleichwertig anerkannt wurde, blieb seine Stellensuche hier bisher erfolglos. Im Brückenangebot sah er eine Chance, einer Anstellung näher zu kommen: «Ich sah es als einen grossen Schritt, um meine Sprachentwicklung zu fördern und mich schneller in der Schweiz zu integrieren.“ Der Start im Brückenangebot war für Tuncay Gülek nicht einfach. Alles war neu für ihn: das Schweizer Bildungssystem, das Studium, die Dozierenden und Mitstudierenden sowie die Sprache. Vor allem die Vorlesungen, in denen viel gesprochen und viel mitgeschrieben wird, waren für ihn eine Herausforderung. Tuncay Gülek investierte deshalb beträchtliche Zeit in die Vor- und Nachbereitung der Vorlesungen: „Am Anfang war es sehr stressig für mich. Ich habe drei Kinder. Einerseits musste ich Zeit mit ihnen verbringen, und andererseits musste ich hart lernen. Das Erlernen von Programmiersprachen war für mich stressig, da ich vorher keine Kenntnisse darüber hatte.“ Tuncay Gülek hat im Brückenjahr in Computational and Data Science viel über das Programmieren gelernt, sich jedoch für einen Fachwechsel entschieden, der näher an seinem bisherigen Studium als Wirtschaftsingenieur liegt. Im Herbstsemester 2024 konnte er sein Bachelorstudium in Digital Supply Chain Management an der Fachhochschule Graubünden beginnen: „Als Flüchtling bin ich sehr dankbar, dass wir diese Möglichkeit haben. Es ist eine grosse Chance für mich, in der Schweiz eine qualifizierte Arbeit zu finden.“ #integration #studium #integration #fachhochschule #graubünden