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Document 62007FN0121
Case F-121/07: Action brought on 22 October 2007 — Strack v Commission
Affaire F-121/07: Recours introduit le 22 octobre 2007 — Strack/Commission
Affaire F-121/07: Recours introduit le 22 octobre 2007 — Strack/Commission
JO C 315 du 22.12.2007, p. 50–51
(BG, ES, CS, DA, DE, ET, EL, EN, FR, IT, LV, LT, HU, MT, NL, PL, PT, RO, SK, SL, FI, SV)
22.12.2007 |
FR |
Journal officiel de l'Union européenne |
C 315/50 |
Recours introduit le 22 octobre 2007 — Strack/Commission
(Affaire F-121/07)
(2007/C 315/96)
Langue de procédure: l'allemand
Parties
Partie requérante: Guido Strack (Cologne, Allemagne) (représentant: H. Tettenborn, avocat)
Partie défenderesse: Commission des Communautés européennes
Conclusions de la partie requérante
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annuler les décisions de la Commission européenne du 12 janvier 2007, du 26 février 2007 et du 20 juillet 2007 dans la mesure où elles refusent au requérant l'accès immédiat et complet aux données et documents le concernant en possession de la défenderesse; cela inclut, à ce stade et dans leur rédaction actuelle, la communication de copies complètes, de préférence électroniques et, à titre subsidiaire, la consultation complète avec possibilité de réaliser des copies et de prendre des notes:
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condamner la Commission européenne à verser au requérant une indemnité adéquate, d'au moins 10 000 EUR, au titre du préjudice moral et des dommages à sa santé que lui ont causé les décisions dont l'annulation est demandée en l'espèce; en outre, à lui verser, à compter de la date d'introduction du recours, des intérêts de retard supérieurs de 2 % ou points par an au taux d'intérêt appliqué, pendant la période concernée, par la Banque centrale européenne à ses opérations principales de refinancement. |
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condamner la Commission européenne aux dépens. |
Moyens et principaux arguments
À l'appui de sa requête, le requérant invoque la violation du devoir de sollicitude, du principe de bonne administration, ainsi que de l'interdiction du détournement de pouvoir, et fait valoir que les décisions attaquées sont entachées d'une erreur manifeste d'appréciation. Il soutient en outre que ces décisions ont violé les articles 25, paragraphe 2, deuxième phrase, 26, paragraphe 7, et 26 bis du statut des fonctionnaires et porté atteinte à ses droits au titre de l'article 255 CE, du règlement no 1049/2001 et du droit fondamental à la protection des données personnelles en lien avec le règlement no 45/2001.