𝗥𝗲́𝘂𝗻𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗮𝘆𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗖𝗲𝗺𝗮𝗰 : 𝗱𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝗳𝗼𝗿𝗺𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗲𝗿𝘁𝗲́𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗿𝗲𝗹𝗲𝘃𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗱𝗲́𝗳𝗶𝘀 𝗲́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 Réunis le 16 décembre à Yaoundé, les chefs d’État de la 𝗖𝗲𝗺𝗮𝗰 (Cameroun, Centrafrique, Congo, Gabon, Guinée équatoriale et Tchad) ont fait front commun face aux risques économiques croissants qui pèsent sur la sous-région. Les dirigeants se sont accordés sur l’urgence d’agir, alors que la 𝗰𝗿𝗼𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗿𝗲́𝗴𝗶𝗼𝗻𝗮𝗹𝗲 a ralenti à 𝟮,𝟯 % 𝗲𝗻 𝟮𝟬𝟮𝟯 et que l’inflation persiste. 𝗟𝗲𝘀 𝗽𝗼𝗶𝗻𝘁𝘀 𝗱’𝗮𝗰𝗰𝗼𝗿𝗱 𝗱𝗲𝘀 𝗖𝗵𝗲𝗳𝘀 𝗱’𝗘𝘁𝗮𝘁 𝗽𝗲𝘂𝘃𝗲𝗻𝘁 𝘀𝗲 𝗿𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲𝗿 𝗲𝗻 𝗾𝘂𝗮𝘁𝗿𝗲 𝗽𝗼𝗶𝗻𝘁𝘀 : ▪️ 𝗔𝗰𝗰𝗲́𝗹𝗲́𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝗳𝗼𝗿𝗺𝗲𝘀 𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 pour renforcer la stabilité économique et financière. ▪️𝗥𝗮𝗽𝗮𝘁𝗿𝗶𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲𝘀 𝗱𝗲𝘃𝗶𝘀𝗲𝘀 issues des secteurs pétroliers et miniers, un enjeu stratégique pour protéger les réserves de change. ▪️𝗖𝗼𝗻𝘀𝗼𝗹𝗶𝗱𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗯𝘂𝗱𝗴𝗲́𝘁𝗮𝗶𝗿𝗲 et politique d’endettement prudente pour éviter de nouvelles fragilités financières. ▪️𝗠𝗼𝗯𝗶𝗹𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗲𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲𝘀 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝘂𝘅 pour soutenir la transformation structurelle de la région. Le 𝗙𝗠𝗜, par la voix de son directeur du département Afrique, Abebe Selassie, a salué cette mobilisation et promis un accompagnement technique et financier pour garantir la mise en œuvre rapide des mesures décidées. À travers cette réunion, la 𝗖𝗲𝗺𝗮𝗰 envoie un message clair : seule une action collective et des décisions concrètes permettront de renforcer la résilience économique de la région.
À propos
35°Nord est une agence de communication et de relations presse spécialisée dans le conseil et l’accompagnement de ses clients vers les relais d’opinion et les sphères d’influence en Afrique et en Europe. Sa valeur ajoutée résulte de sa maîtrise des circuits de communication sur les deux continents et de la connaissance des contextes nationaux en Afrique. 35°Nord assure aux décideurs africains, économiques ou institutionnels, une visibilité éditoriale à l’international sur des thématiques essentiellement économiques et pilote des plans médias et d’influence en Afrique pour des entités économiques ou institutionnelles européennes. Ses métiers : relations publiques et presse, communication de crise, communication événementielle, campagne institutionnelle, réputation digitale, montée en gamme éditoriale, influence, audit de notoriété, coaching et media training. 35°Nord is a communications and media agency focused on advising and supporting clients in Africa and Europe. Its added value stems from its expertise in communication networks on both continents and its knowledge of local contexts in Africa. 35°Nord ensures visibility on the international stage of both corporate and institutional African decision-makers (mainly on economic matters) and manages media and influences strategies in Africa for European-based private and public entities. Its main areas of expertise are: public and press relations, crisis communication, event communication, institutional campaign, e-reputation, editorial improvement, influence, public image evaluation, media coaching and training.
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- Secteur
- Services de relations publiques et communication
- Taille de l’entreprise
- 11-50 employés
- Siège social
- Paris, Île-de-France
- Type
- Société civile/Société commerciale/Autres types de sociétés
Lieux
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Principal
32, Rue Washington
75008 Paris, Île-de-France, FR
Employés chez 35°Nord
Nouvelles
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#LaBoussole35, la parole à Jules Moulin. 𝗡𝗼𝘁 𝗷𝘂𝘀𝘁 𝗳𝘂𝗻 𝗮𝗻𝗱 𝗴𝗮𝗺𝗲𝘀 ! C’est ainsi que titrait The New York Times pour illustrer l’essor du #livestream dans les stratégies de communication modernes. Déjà bien ancré à l’international, ce phénomène connaît une croissance rapide grâce à des plateformes comme Twitch, Kick ou Rumble, qui captivent des audiences variées. 🧭 Lors des dernières élections américaines, le débat Harris-Trump, diffusé en septembre, a réuni plus d’un million de spectateurs en simultané, toutes plateformes confondues, selon Live Search. Une preuve que le livestream dépasse largement le cadre du gaming pour devenir un levier puissant dans des domaines tels que la politique ou l’éducation. 🧭 Les entreprises voient dans ces nouveaux usages l'opportunité d’atteindre des cibles autrement difficiles à toucher via des canaux traditionnels. Par exemple, lors de la #PlayGalaxyCup de Samsung Electronics à la TwitchCon San Diego 2024, près de 1,9 million de spectateurs en ligne se sont connectés pour découvrir les performances offertes en gaming par le Galaxy S24 Ultra. 🧭 Ce n’est pas qu’un phénomène local : près de 30 % des internautes mondiaux ont regardé du contenu en direct chaque semaine au dernier trimestre 2023, d’après Statista. Qu’en est-il de l’Afrique, un continent où le numérique progresse à pas de géant ? Des opportunités à saisir pour accélérer l’adoption : Malgré ces défis, le terrain est prometteur pour développer des initiatives adaptées au marché africain. Les entreprises, organisations publiques et acteurs privés peuvent : 🧭 Investir dans les créateurs de contenu locaux : En valorisant les talents africains, les marques et plateformes peuvent construire une audience fidèle et engagée. 🧭 S’appuyer sur des plateformes hybrides : Les fonctionnalités de livestream proposées par WhatsApp, Instagram ou TikTok offrent une porte d’entrée accessible pour familiariser les utilisateurs avec le format live. 🧭 Militer pour des solutions d’accès abordables : Collaborer avec les opérateurs pour proposer des forfaits adaptés aux usages numériques croissants. Pourtant, des obstacles freinent son essor : 🧭 Des infrastructures limitées : Un accès à Internet souvent inégal, coûteux, et accentué par l’absence d’offres illimitées pour les données mobiles. 🧭 La domination des plateformes historiques : Facebook, WhatsApp, TikTok et Instagram, qui concentrent la majorité des usages numériques, captent l’attention au détriment de l’essor de plateformes spécialisées comme Twitch ou Kick. 🧭 Des modèles économiques à structurer : La monétisation du contenu, clé de fidélisation des créateurs, reste balbutiante, rendant difficile l’émergence d’un écosystème local de livestreamers. Le livestream est bien plus qu’une tendance : il incarne une nouvelle manière de connecter, de dialoguer et de s’inspirer. Reste à écrire le prochain chapitre sur un continent dont le dynamisme numérique ne demande qu’à être amplifié.
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Joe Biden en Afrique : une visite hautement stratégique Le président américain, Joe Biden, effectue un déplacement en Angola, marquant un moment clé dans les relations entre les États-Unis et l’Afrique subsaharienne. Cette tournée de trois jours, axée sur le développement et la coopération régionale, met en lumière des projets d’envergure, tels que le corridor ferroviaire de Lobito. Cette initiative illustre une volonté stratégique de renforcer la présence américaine dans une région en pleine mutation. 👉 Le corridor de Lobito, un projet ferroviaire stratégique Avec un investissement de 3 milliards de dollars, le projet vise à moderniser une ligne ferroviaire de 1 300 kilomètres reliant la Zambie, la RDC et l’Angola. 𝗖𝗲𝘁𝘁𝗲 𝗶𝗻𝗳𝗿𝗮𝘀𝘁𝗿𝘂𝗰𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘀𝘁𝗶𝘁𝘂𝗲 𝘂𝗻 𝗮𝘅𝗲 𝘃𝗶𝘁𝗮𝗹 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗶𝗻𝗲𝗿𝗮𝗶𝘀 𝗰𝗿𝗶𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 — 𝗲𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹𝘀 𝗮𝘂𝘅 𝘁𝗲𝗰𝗵𝗻𝗼𝗹𝗼𝗴𝗶𝗲𝘀 𝘃𝗲𝗿𝘁𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗮𝘂𝘅 𝗯𝗮𝘁𝘁𝗲𝗿𝗶𝗲𝘀 — 𝗱𝗲𝗽𝘂𝗶𝘀 𝗹𝗲 𝗰œ𝘂𝗿 𝗱𝗲 𝗹’𝗔𝗳𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 𝘃𝗲𝗿𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗮𝗿𝗰𝗵𝗲́𝘀 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝗻𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝗮𝘂𝘅 𝘃𝗶𝗮 𝗹’𝗼𝗰𝗲́𝗮𝗻 𝗔𝘁𝗹𝗮𝗻𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲. Ce corridor renforce également la compétitivité économique de la région en diversifiant les débouchés commerciaux et logistiques.Le président américain rencontrera également Félix Tshisekedi, président de la RDC, à Luanda, pour discuter des enjeux liés au corridor ferroviaire et des perspectives de coopération régionale. 👉 Des priorités économiques et socialesLa visite de Joe Biden en Afrique met en avant des priorités claires pour les relations bilatérales et multilatérales : ◾ 𝗥𝗲𝗻𝗳𝗼𝗿𝗰𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗰𝗼𝗼𝗽𝗲́𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲́𝗰𝗼𝗻𝗼𝗺𝗶𝗾𝘂𝗲 entre les États-Unis et l’Afrique, un continent où les partenariats économiques demeurent historiquement influencés par des puissances telles que la Chine ou, dans le cas spécifique de l’Angola, l’ex-URSS pendant la guerre froide. ◾ 𝗗𝗶𝘃𝗲𝗿𝘀𝗶𝗳𝗶𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗶𝗻𝘃𝗲𝘀𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁𝘀 𝗮𝗺𝗲́𝗿𝗶𝗰𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗲𝗻 𝗔𝗳𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 pour limiter la dépendance croissante aux partenariats chinois, notamment dans des secteurs stratégiques comme celui des métaux critiques (cobalt, lithium) indispensables à la transition énergétique. ◾ 𝗔𝗶𝗱𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗼𝗽𝘂𝗹𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗮𝗳𝗳𝗲𝗰𝘁𝗲́𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀 𝗰𝗹𝗶𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀, telles que les sécheresses historiques, via une aide humanitaire américaine de 1 milliard de dollars. 👉 Un déplacement marqué par des rencontres clésJoe Biden a entamé son périple par une escale au Cap-Vert, où il a rencontré le Premier ministre Ulisses Correia e Silva, afin de discuter des enjeux climatiques et maritimes en Afrique de l’Ouest. 𝗘𝗻 𝗔𝗻𝗴𝗼𝗹𝗮, 𝗶𝗹 𝗽𝗿𝗲́𝘃𝗼𝗶𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗿𝗲́𝘂𝗻𝗶𝗼𝗻 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗲́𝘀𝗶𝗱𝗲𝗻𝘁 𝗮𝗻𝗴𝗼𝗹𝗮𝗶𝘀 𝗝𝗼𝗮̃𝗼 𝗟𝗼𝘂𝗿𝗲𝗻𝗰̧𝗼, 𝘀𝘆𝗺𝗯𝗼𝗹𝗲 𝗱’𝘂𝗻 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗲𝗻𝗮𝗿𝗶𝗮𝘁 𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝗲́𝗴𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗿𝗲𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗲́ 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗪𝗮𝘀𝗵𝗶𝗻𝗴𝘁𝗼𝗻.
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Chaque semaine, un collaborateur partage son point de vue sur un sujet de son choix. Pour cette édition, Hasy ANDRIANAINARIVELO, stagiaire chez 35°Nord depuis juin, nous livre sa vision des enjeux géopolitiques contemporains et du lien entre la Russie et les pays africains.
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𝐂𝐨𝐩 𝟐𝟗 : 𝐮𝐧𝐞 𝐝𝐞́𝐜𝐞𝐩𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥’𝐀𝐟𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞 La 29e Conférence mondiale sur le climat, qui vient de s'achever à Bakou, est perçue par de nombreux acteurs africains comme un nouvel échec. Les attentes étaient pourtant claires et les pays du continent africain les ont exprimées d’une seule voix : un financement climatique d'au moins 1 300 milliards de dollars par an pour permettre aux pays du Sud de s'adapter aux impacts du changement climatique, développer des énergies propres, et limiter les pertes et dommages. 𝐋𝐞 𝐫𝐞́𝐬𝐮𝐥𝐭𝐚𝐭 ? Un engagement de 300 milliards de dollars d’ici 2035. Si ce montant triple les financements précédents, il reste dérisoire face aux besoins colossaux du continent. Pour les négociateurs africains, cet accord est "trop faible, trop tardif et trop ambigu", et perpétue une inégalité flagrante dans la gestion de la crise climatique. Au-delà des chiffres, la COP29 illustre une fracture Nord-Sud de plus en plus marquée. Tandis que les pays industrialisés invoquent des "réalités économiques", les nations vulnérables sont contraintes de composer avec des promesses non contraignantes et un poids croissant de la dette. Sans actions décisives et investissements significatifs, le recours accru aux énergies fossiles par les pays du Sud devient inévitable. Soutenir l'Afrique dans sa transition énergétique n'est pas une question de générosité, mais une nécessité pour garantir un futur durable à l’échelle mondiale.
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📍 #LaBoussoleDe35 ! Chaque semaine, un collaborateur partage son point de vue sur un sujet de son choix. Pour cette édition, Ismail D., Consultant Senior chez 35°Nord, nous livre sa vision du leadership narratif.
Leadership narratif : comment les dirigeants deviennent les héros de leur propre histoire
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Travailler avec et pour le continent africain 🌍 Dans le dernier numéro spécial Afrique de Stratégies, Romain Grandjean, Associé chez Forward Global et CEO de 35°Nord et Xavier Kreutzer, Directeur du pôle communication digitale, ont partagé leurs réflexions sur les enjeux clés des ressources humaines et de la communication en Afrique. 🧑💻 Travailler avec : valoriser les talents locaux Interrogé sur la valorisation des talents africains, Romain Grandjean est optimiste : « Il est assez logique de valoriser les talents en Afrique... Pour que cela devienne une réalité plus répandue, il faut des systèmes éducatifs qui s'améliorent (...) Le facteur positif, c'est qu'il y a en Afrique des programmes de certifications, de formation ou de diplôme qui sont excellents ». 📲 Travailler pour : l’essor des réseaux sociaux comme levier stratégique Xavier Kreutzer est quant à lui revenu sur l'évolution rapide des réseaux sociaux en Afrique (+10% d'utilisation en 3 ans) et leur impact profond sur la communication et l'information du continent, une dimension non négligeable pour les entreprises. Si Facebook joue un rôle central pour l’opinion publique nationale, WhatsApp permet de franchir le "dernier kilomètre" en atteignant les régions moins connectées, comme les petites villes et villages. 👉🔒Pour en savoir plus, rendez-vous sur : https://lnkd.in/exF5VTYh
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🌍 La COP 29 sera peut être un échec, mais l’Afrique se distingue par son unité Nombreux sont ceux qui critiquent la COP 29, pointant l’inaction de certains pays, l'absence remarquée de dirigeants européens comme Emmanuel Macron, ou encore le retour du climatosceptique Donald Trump à la présidence des États-Unis. Organisée par un pays hôte qui figure parmi les plus grands exportateurs de pétrole et de gaz, la conférence s’engage dans un contexte marqué par la défiance. Cependant, au milieu de ces défis, l'Afrique se distingue par une unité exemplaire. Les 54 nations du continent s'expriment d'une seule voix à travers le groupe des négociateurs africains, un front uni pour défendre des priorités cruciales telles que l'adaptation au changement climatique et les compensations pour les pertes et dommages, demandant une enveloppe annuelle de 1 300 milliards de dollars d'ici 2030 pour soutenir les plans nationaux d'adaptation et les réductions d'émissions. Cette dynamique collective s'accompagne d'une participation de plus en plus active au sein des instances de décision climatique. Des figures comme le Sénégalais Ibrahima Cheikh Diong et le Guinéen Alpha Kaloga y jouent un rôle central, respectivement à la tête du fonds pour les pertes et dommages et de l'organe technique de soutien. 👉 L'Afrique démontre ainsi que l'unité et l'engagement peuvent transcender les obstacles. Une lueur d’espoir et un message fort face à l'urgence climatique mondiale.
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📍 Découvrez #LaBoussoleDe35 ! Chaque semaine, un collaborateur partage son point de vue sur un sujet de son choix. Pour cette première édition, Philippe Perdrix, Fondateur et Senior Advisor de 35°Nord, nous offre son éclairage sur l'élection de Donald Trump aux États-Unis ! 𝗧𝗿𝘂𝗺𝗽 𝗮̀ 𝗹𝗮 𝗠𝗮𝗶𝘀𝗼𝗻-𝗕𝗹𝗮𝗻𝗰𝗵𝗲 : 𝗾𝘂𝗲𝗹𝘀 𝗱𝗲𝗮𝗹𝘀 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹’𝗔𝗳𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 ? « L’Afrique n’a pas besoin d’hommes forts, mais de fortes institutions ». Tout le monde se souvient de cette phrase prononcée par Barack Obama dans son discours au Ghana le 11 juillet 2009. Au regard de sa fascination et de son attirance pour Vladimir Poutine, Xi Jinping et même Kim Jong Un, il y a fort à parier que Donald Trump dise et fasse le contraire. De bon augure pour les autocrates à poigne du continent - inutile ici d’en dresser la liste mais convenons qu’il y en a ! - qui vont trouver en la personne du 47ème Président des États-Unis un interlocuteur peu regardant sur les libertés démocratiques et les conditions de l’exercice du pouvoir pour peu qu’il puisse « faire des deals ». Mais en matière de deal justement, il est clair que l’Afrique ne sera pas la priorité de Trump. On peut toutefois identifier quelques exceptions, dans le domaine minier et les infrastructures notamment. John Peter Pham a été l’envoyé spécial des États-Unis pour les Grands Lacs et le Sahel durant le premier mandat. Il est à présent président du Conseil d’administration de High Power Exploration, entreprise qui ambitionne de construire le chemin de fer pour transporter les minerais depuis la Guinée vers la côte du Liberia, et administrateur de Rainbow Rare Earths, spécialisée dans les terres rares en Afrique du Sud et au Burundi. Ce « Monsieur » est à suivre.Du côté de Washington, un appui tout particulier est également déjà donné au développement du corridor ferroviaire de Lobito, reliant la Copperbelt RDC-Zambie à la côte atlantique de l’Angola. Des investisseurs américains s’intéressent à ce projet. D’une façon générale, les monnaies et marchés africains décrochent légèrement aujourd’hui, mais sans que l’on puisse à ce stade anticiper une tendance de fond. En revanche, l’inquiétude légitime porte sur la promesse de Trump d’augmenter les taxes douanières sur les importations. Qu’en sera-t-il pour l’huile de palme, l’arachide, le cacao, le coton..., et le pétrole ? Les accords de l’Agoa qui permettent à 32 pays subsahariens d’exporter aux États-Unis quelque 6 800 produits sans droit de douane doivent être reconduits en 2025...
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35°Nord a republié ceci
"Facebook, c'est là où se forge l'opinion nationale en Afrique" 🌍 "Il n’y a pas une Afrique avec des usages homogènes, mais des pays qui présentent (chacun) des caractéristiques spécifiques" "WhatsApp permet à la communication de parcourir le dernier kilomètre, il entre très facilement dans les petites villes et les villages" Merci à Ferdinand Kerssenbrock et Stratégies de m’avoir permis de contribuer au n° Spécial #Afrique qui sort aujourd'hui. Dans cet article "𝗟𝗲𝘀 𝗿𝗲́𝘀𝗲𝗮𝘂𝘅 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝘂𝘅 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗲𝗹𝗱𝗼𝗿𝗮𝗱𝗼", j'ai pu apporter mon analyse sur l'essor des réseaux sociaux en Afrique, leur impact profond sur la communication et l'information, et les dynamiques uniques du continent en matière de digitalisation. 📈 L'Afrique, bien qu'encore confrontée à des défis, connaît 𝘂𝗻𝗲 𝗲́𝘃𝗼𝗹𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗶𝗺𝗽𝗿𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻𝗻𝗮𝗻𝘁𝗲 𝗱𝗲 𝗹'𝘂𝘁𝗶𝗹𝗶𝘀𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲𝘀 𝗽𝗹𝗮𝘁𝗲𝗳𝗼𝗿𝗺𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹 𝗺𝗲𝗱𝗶𝗮, notamment grâce à l'augmentation de l'accès aux smartphones et à la réduction des coûts de données. 💬 J'ai partagé des insights sur la manière dont les plateformes numériques, 𝐭𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐪𝐮𝐞 𝐖𝐡𝐚𝐭𝐬𝐀𝐩𝐩 𝐞𝐭 𝐓𝐢𝐤𝐓𝐨𝐤, 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐟𝐨𝐫𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐡𝐚𝐛𝐢𝐭𝐮𝐝𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐥𝐞𝐬 𝐮𝐬𝐚𝐠𝐞𝐬, ouvrant des espaces de créativité et d'expression sans précédent. 🔗 L’article est à retrouver dans son intégralité dans #Stratégies et ici : https://lnkd.in/eSTkEZAv #Digital #Afrique #CommunicationDigitale #SocialMedia #Innovation