🚨 Nouvelle enquête d'Animal Testing ! 👊 Un an d'investigation, un labyrinthe d'acteurs : nous avons enquêté sur les produits ménagers et les expériences sur les animaux. Un travail inédit et colossal. Découvrez notre enquête, diffusez, partagez ⬇ https://lnkd.in/ebh-tw_Z Merci à Banlieue Ouest pour la campagne d'affichage percutante que vous découvrirez demain 28 mars dans le métro parisien et pendant une semaine dans les couloirs du métro. Merci à Océane Jougla et à Judith Braesch pour leur efficacité et leur mise en valeur de notre travail. 🙏 Merci à tous ceux qui nous soutiennent, ainsi qu'à LUSH France, partenaire de notre association depuis le début.
À propos
Animal Testing a pour vocation de rendre visibles les animaux de laboratoire, totalement invisibilisés, au point que certains pensent que les expériences sur les animaux n’ont plus cours. Nous mettons en lumière la réalité endurée par les animaux dans les laboratoires, aujourd’hui et ici, pour ouvrir le débat sur ce sujet houleux. Notre but est de poursuivre un travail d’enquête, et que les lanceurs d’alerte dans les laboratoires comme les politiques puissent avoir une association spécifique à contacter. Animal Testing est l'association de référence sur l'expérimentation animale, consultée régulièrement par les médias et les politiques.
- Site web
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www.animaltesting.fr
Lien externe pour Animal Testing
- Secteur
- Gestion des associations et fondations
- Taille de l’entreprise
- 2-10 employés
- Siège social
- Nantes
- Type
- Non lucratif
Lieux
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Principal
1 Rue Mondésir
44000 Nantes, FR
Nouvelles
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Croisons les doigts pour la suite… 👊🏻 Cette avancée est déjà symptomatique d’un changement de mentalités.
Professeur des Universités en Ethologie et Primatologie. Membre de l'Institut Universitaire de France. Institut Pluridisciplinaire Hubert Curien, Université de Strasbourg-CNRS.
Une avancée majeure pour la condition animale dans la recherche scientifique! L'Assemblée nationale a adopté trois amendements significatifs visant à réduire l'expérimentation animale et à promouvoir des méthodes alternatives, marquant une avancée importante pour la condition animale. Ces mesures introduisent une taxation spécifique sur l’utilisation d’animaux dans la recherche, pouvant atteindre 100 millions d’euros, pour financer le développement d’approches scientifiques plus éthiques et innovantes. Instaurer une contribution pour des alternatives : Une taxe de 1 euro par animal sera appliquée dès janvier 2025 pour toutes les expérimentations validées par les comités d’éthique, ainsi que pour certaines activités éducatives. Les fonds collectés serviront à soutenir des programmes de recherche sur des alternatives à l'expérimentation animale, contribuant à une réduction progressive de son utilisation. Limiter l’usage excessif des animaux : Une taxe supplémentaire de 50 euros par animal sera imposée pour les procédures scientifiques ou éducatives, doublée en cas de réutilisation du même animal. Une partie de cette somme financera également des solutions pour garantir une retraite paisible aux animaux ayant servi en laboratoire. Un alignement sur les attentes sociétales et européennes : Cette mesure répond à une forte demande citoyenne : 89 % des Français souhaitent le développement de méthodes substitutives, et 77 % se disent opposés à l’expérimentation animale (Ipsos, 2023). Elle s'inscrit dans les objectifs européens (directive 2010/63/UE) visant à réduire, raffiner et remplacer les tests sur animaux tout en limitant les souffrances. Avec plus de 2,1 millions d’animaux utilisés en France en 2022, souvent dans des procédures qualifiées de "très douloureuses ou stressantes", ces amendements représentent une étape clé pour diminuer ce chiffre et favoriser des solutions éthiques et fiables. Ils contribuent également à faire évoluer la recherche vers des modèles plus respectueux des animaux tout en répondant aux ambitions européennes en matière de bien-être animal.
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Les repas de sang, vous connaissez ? Des expériences absolument insupportables pour des lapins, chèvres, souris, chiens, qui subissent ces séances de piqûres, sans pouvoir bouger, et sans antidouleurs. Les "cages à gorger" qui leur sont posées à même les oreilles ou la tête sont infestés de moustiques ou autres insectes hématophages. Ces animaux de laboratoire servent de "repas de sang" ou encore d'appâts vivants. Une pratique que les laboratoires ne tiennent pas à ébruiter...