Super Boîte

[ENVIRONNEMENT] Nous avons 365 jours par an pour mesurer notre impact environnemental et adopter de nouveaux éco-gestes ! 𝗖𝗵𝗲𝘇 𝗖𝗮𝘁𝗮𝗹𝗶𝗻𝗮, 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝘃𝗲𝗻𝗼𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲𝗿 𝗘𝗖𝗢𝗕𝗜𝗡𝗚𝗢 : 𝗹𝗲 𝗰𝗼𝗻𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲𝘀 é𝗰𝗼𝗴𝗲𝘀𝘁𝗲𝘀 𝗮𝘂 𝗯𝘂𝗿𝗲𝗮𝘂 ! Tout le mois de juin, les Cataliniens jouent en équipe pour remporter le plus de défis : 🥗déjeuner zéro déchet 🚴mobilité douce 🚮clean walk 💻green IT 🌍fresque du climat 14 équipes se sont lancées dans l'aventure ! 𝗭𝗼𝗼𝗺 𝗮𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝗱'𝗵𝘂𝗶 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗰𝗵𝗮𝗹𝗹𝗲𝗻𝗴𝗲 "𝗗é𝗷𝗲𝘂𝗻𝗲𝗿 𝗭é𝗿𝗼 𝗗é𝗰𝗵𝗲𝘁" : Ce matin, l'association Super Boîte est venue nous sensibiliser à la pollution plastique issue de nos pauses déjeuners. Les chiffres sont alarmants : - Chaque année, en France, c'est l'équivalent de 130 Tour Montparnasse de déchets qui sont générés (soit 220 000 tonnes) - Un déjeuner par jour à emporter engendre 8kg de déchets par salarié sur 1 an - Seulement 22% des déchets plastiques sont réellement recyclés en France - Plus de 50% des déchets issus de la restauration à emporter finissent dans les océans... Pour diminuer nos déchets, une cinquantaine de tupperware en verre sont mis en libre service pour les collaborateurs. Les commerçants du quartier sont mis au courant de l'opération et incités à faire un geste pour ceux qui auront ramené leur contenant (1 ingrédient offert par exemple). #ecochallenge #ecologie #environnement #ecogestes #rse

Il y a 13 ans, je publiais que le 7e continent de déchets faisait 2 fois la taille de la France, perdu loin là-bas dans le Pacifique. Ma curiosité a été de voir qu’elle taille il faisait aujourd’hui, après tout, il y a eu les Accords de Paris entre temps, une prise de conscience mondiale, des confinements, etc etc…. « Bla-bla-bla », comme dirait la punkie browster suédoise, le continent fait aujourd’hui 6 fois la taille de la France. Il a triplé en 13 ans… triplé… triplé!!! Oh loin des yeux, loin du cœur ? C’est la faute aux asiatiques ? notre Méditerranée est la mer la plus polluées et contient le plus haut taux de plastique au monde… alors on est irréprochable ? On est sur la bonne voie ? Et quand j’entends que la production de plastique va quadrupler (oui oui quadrupler, on en pas fini avec le pétrole…) d’ici 2050!!!! Notre capacité à polluer et faire du déchets est clairement mise sous le tapis. On ne voit que la lutte contre le CO2… alors on va extraire dans les 30 ans autant de minerais que depuis le début de l’humanité… et ça, ça serait une solution…

La pollution plastique et ses ravages dans nos océans, c’était le premier Déclics Écologiques qui a poussé Benjamin de Molliens 🌍✊ à lancer le défi #nettoietonkm en 2020 pour lutter contre ce fléau avant d’intégrer le zéro déchet comme l’un des 3 piliers de ses Expedition Zero. Depuis, les chiffres sont toujours aussi alarmants : on estime qu’en 2050 nous aurons plus de plastique que de poissons dans nos océans. 🌊 En bout de course, au delà de l'impact dévastateur sur la biodiversité, c’est nous les humains qui finissons par ingérer ce plastique. 🐠 👉 Le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas et cette campagne vient nous rappeler que nous avons toutes et tous un rôle à jouer. 👀 Un travail artistique signé @niceauties à retrouver sur leur page Instagram. 🧜 #campagne #sensibilisation #oceans #pollution #plastique

Pourquoi l’économie circulaire demande de « hacker » nos cerveaux. Le neuroscientifique Sébastien Bohler révèle un trait intriguant de notre cerveau dans ses recherches: la préférence pour les habitudes et la simplicité, influençant fortement nos décisions de consommation, souvent sans égard pour les implications environnementales. Cette propension innée est exacerbée par notre modèle actuel de consommation, obnubilé par une quête incessante de plus. Cette dynamique rend difficile pour notre cerveau de se projeter dans une vision à long terme, un élément pourtant essentiel à l'essor d'une économie circulaire. Il est donc compliqué : - pour un consommateur de modifier ses modes de consommation : 'mince il faut que j’amène mes contenants pour le réemploi' - pour un employé de modifier ses habitudes de travail 'ça ne marchera jamais, j'ai toujours fait comme ça' - pour un membre de COMEX d’avoir une vision long terme alors que ses objectifs et primes associées sont trimestrielles 'mais quelle est la rentabilité de ce projet pour cette année ?' La bonne nouvelle, c’est qu’il existe une solution: le collectif. En effet, face à ce défi, Sébastien Bohler met en avant une stratégie cruciale : réorienter nos processus mentaux. Il prône l'importance de la puissance collective. En tant qu'êtres sociaux, nous trouvons confort et motivation dans l'action collective. En développant une conscience commune, nous pouvons rediriger nos choix vers des pratiques plus durables et respectueuses de l'environnement. Une raison de plus qui explique pourquoi il est primordial d’agir sous forme de coalition pour développer une économie circulaire. Selon un proverbe africain, 'Seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin.' Mais en considérant les principes de l'économie circulaire, ne pourrait-on pas dire plutôt : 'Ensemble, nous allons plus vite et plus loin' ?