AVET TP

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Génie civil

A votre service pour tous travaux de réseaux, terrassement, voirie, assainissement et aménagements paysagers

À propos

Entreprise de travaux publics, assainissement, voiries, terrassement, VRD, aménagements

Secteur
Génie civil
Taille de l’entreprise
2-10 employés
Siège social
AVIERNOZ
Type
Société civile/Société commerciale/Autres types de sociétés
Fondée en
2022
Domaines
terrassement, VRD, assainissements et aménagements

Lieux

Employés chez AVET TP

Nouvelles

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    ❄️ | 𝐋𝐞𝐬 𝐚𝐠𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐝𝐮 𝐃𝐞́𝐩𝐚𝐫𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐦𝐨𝐛𝐢𝐥𝐢𝐬𝐞́𝐬 pour sécuriser les routes dans le cadre de la viabilité hivernale. 💡 𝙉𝙤𝙩𝙖 𝙗𝙚𝙣𝙚 : les équipements c’est vous, les routes c’est nous ! Avant de prendre la route, ayez le réflexe inforoute74.fr 📲 𝐑𝐞𝐧𝐝𝐞𝐳-𝐯𝐨𝐮𝐬 𝐞𝐧 𝐬𝐭𝐨𝐫𝐲 pour suivre la matinée passée avec les agents du service départemental des routes .

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    Voir le profil de Vernier Sylvestre, visuel

    Co-responsable du BTSA Gestion Forestière chez ISETA 74

    La violence est une arme faible toujours condamnable Depuis longtemps, je défends une sylviculture mélangée à couvert continu, sir la base des recherches scientifiques qui prouvent les impacts d’une coupe rase sur le milieu ou avec le changement climatique. Mais je n’ignore pas non plus les méthodes de régénération par coupe progressive, héritage de l’histoire ou les transformations qui permettent parfois de planter des essences mieux adaptées à la station.  Vous ne me verrez jamais condamner de façon posturale cette futaie régulière à l’origine de futaies cathédrales comme à Tronçais mais vous ne me verrez pas dire non plus que l’association Canopée, qui dénonce les coupes rases, a toujours tort puisque leur combat se justifie parfois aussi ; et vous ne me verrez pas dire non plus que les forestiers sont les meilleurs, qu’ils font partout tout bien et que la société n’a aucun droit de regard sur ce qui se passe en forêt. Simplement, je défendrai toujours le refus d’une généralisation délétère, les connaissances techniques et scientifiques utiles à chaque situation, la nuance et la réflexion sylvicole, et la multifonctionnalité forestière. Il y autant de situations sylvicoles qu’il y a de forêts et rien n’est jamais noir et blanc, ombre ou lumière mais tout est un savant dosage, une histoire fine de sylviculture propre à chaque propriétaire, chaque lieu, en lien avec les conditions du milieu, l’état sanitaire des arbres, l’histoire forestière ou l’histoire de nos sociétés. Alors aujourd’hui, j’ai honte… Honte lorsque je vois ces machines taguées sur ce chantier dont nous avons pourtant débattu ici techniquement et avec respect et argumentaire (suite à un article intitulé : « la tristesse d’une impasse sylvicole »). Honte parce qu’il n’y a pas eu de possibilité de dialogue, de souhait de rencontre. Honte parce que l’ELF, qui signe ce méfait, est un mouvement né de la volonté du Canada d’exploiter des vieilles forêts sur l’île de Vancouver et qu’ici, nous sommes en France et sur une forêt jeune qui n’a rien à voir (totalement artificielle, planté il y a 50 ans sur terre agricole et pauvre en biodiversité). Honte parce qu’il ne suffit pas de détruire une machine pour se prétendre anarchiste et d’un mouvement de notre histoire dont les idées étaient très réfléchies, qu’on les partage ou non... Honte parce qu’à aucun moment, nous n’avons pu discuter place de l’épicéa à 700 m d’altitude, situation d’un peuplement à 860 tiges/ha avec un coef d’élancement supérieur à 100, risque financier et juridique pour la propriétaire, héritage du FFN, possibilité de diversification et de retour à un peuplement plus naturel par la plantation, situation d’un exploitant forestier de plus en plus dur à trouver, valorisation du bois acheté par la scierie locale. Honte parce que mes étudiants avaient inventorié cette parcelle et que j’essaie chaque jour de leur donner envie de se former pour intégrer cette belle filière et que là, on ne leur renvoie que la violence. 

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    Co-responsable du BTSA Gestion Forestière chez ISETA 74

    La violence est une arme faible toujours condamnable Depuis longtemps, je défends une sylviculture mélangée à couvert continu, sir la base des recherches scientifiques qui prouvent les impacts d’une coupe rase sur le milieu ou avec le changement climatique. Mais je n’ignore pas non plus les méthodes de régénération par coupe progressive, héritage de l’histoire ou les transformations qui permettent parfois de planter des essences mieux adaptées à la station.  Vous ne me verrez jamais condamner de façon posturale cette futaie régulière à l’origine de futaies cathédrales comme à Tronçais mais vous ne me verrez pas dire non plus que l’association Canopée, qui dénonce les coupes rases, a toujours tort puisque leur combat se justifie parfois aussi ; et vous ne me verrez pas dire non plus que les forestiers sont les meilleurs, qu’ils font partout tout bien et que la société n’a aucun droit de regard sur ce qui se passe en forêt. Simplement, je défendrai toujours le refus d’une généralisation délétère, les connaissances techniques et scientifiques utiles à chaque situation, la nuance et la réflexion sylvicole, et la multifonctionnalité forestière. Il y autant de situations sylvicoles qu’il y a de forêts et rien n’est jamais noir et blanc, ombre ou lumière mais tout est un savant dosage, une histoire fine de sylviculture propre à chaque propriétaire, chaque lieu, en lien avec les conditions du milieu, l’état sanitaire des arbres, l’histoire forestière ou l’histoire de nos sociétés. Alors aujourd’hui, j’ai honte… Honte lorsque je vois ces machines taguées sur ce chantier dont nous avons pourtant débattu ici techniquement et avec respect et argumentaire (suite à un article intitulé : « la tristesse d’une impasse sylvicole »). Honte parce qu’il n’y a pas eu de possibilité de dialogue, de souhait de rencontre. Honte parce que l’ELF, qui signe ce méfait, est un mouvement né de la volonté du Canada d’exploiter des vieilles forêts sur l’île de Vancouver et qu’ici, nous sommes en France et sur une forêt jeune qui n’a rien à voir (totalement artificielle, planté il y a 50 ans sur terre agricole et pauvre en biodiversité). Honte parce qu’il ne suffit pas de détruire une machine pour se prétendre anarchiste et d’un mouvement de notre histoire dont les idées étaient très réfléchies, qu’on les partage ou non... Honte parce qu’à aucun moment, nous n’avons pu discuter place de l’épicéa à 700 m d’altitude, situation d’un peuplement à 860 tiges/ha avec un coef d’élancement supérieur à 100, risque financier et juridique pour la propriétaire, héritage du FFN, possibilité de diversification et de retour à un peuplement plus naturel par la plantation, situation d’un exploitant forestier de plus en plus dur à trouver, valorisation du bois acheté par la scierie locale. Honte parce que mes étudiants avaient inventorié cette parcelle et que j’essaie chaque jour de leur donner envie de se former pour intégrer cette belle filière et que là, on ne leur renvoie que la violence. 

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