Cabinet d’avocats dédié aux avocats, Seconda fédère aujourd'hui soixante-quinze experts, les « Secondants », universitaires (professeurs agrégés et maîtres de conférences) et praticiens (avocats, exerçant à la cour ou auprès d’avocats aux Conseils), dans toutes les spécialités, pour délivrer des prestations juridiques à destination des avocats.
Seconda offre à tous les avocats la possibilité de recourir à un travail d’experts dans tous les domaines du droit lorsqu’ils souhaitent un renfort sur une question technique particulière ou un second regard sur un dossier complexe, souvent pluridisciplinaire.
Seconda fait travailler en équipe des Secondants de plusieurs spécialités et permet aux avocats de bénéficier des regards croisés des universitaires et des praticiens.
Consultation exhaustive sur un point de droit particulièrement complexe, note synthétique sur une question inédite, recherche de l’argument qui fait mouche ou relecture experte d’un écrit, Seconda fournit à l’avocat un travail sur-mesure dimensionné à son besoin et à l’enjeu de son dossier.
N'hésitez pas à consulter notre site internet : www.seconda.fr
🔥 Les 12 et 13 décembre prochains, à Lyon, j'aurai l'honneur et l'immense plaisir d'inaugurer, comme première invitée, et pour son premier évènement, le Seconda tour (lien en commentaire pour en savoir +👇).
🎙️ J'y interviendrai, brièvement (ceux qui me connaissent savent 😆), et sur un ton léger (ceux qui me connaissent savent bis😆), sur "tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la cassation sans jamais oser le demander".
Consœurs et Confrères lyonnais, si vous voulez être des nôtres pour l'apéro ou le petit dej', faites-le nous savoir en vous inscrivant pour être reçus dans les meilleures conditions ! (lien en commentaire) 👇
Avocate - Associée fondatrice de Seconda - cabinet d’avocats qui fédère 70 universitaires et praticiens pour apporter aux avocats du renfort sur toute question de droit
Consœurs et Confrères du Barreau de Lyon, Seconda débarque dans votre ville dans le cadre du Seconda Tour !
A partir du mois prochain, nous lançons une tournée des barreaux métropolitains*! Nous invitons nos consœurs et confrères dans leurs troquets préférés, aux abords des Palais de justice, pour leur présenter Seconda.
Première étape : Lyon.
Deux dates: le jeudi 12 décembre à partir de 18h30 et le vendredi 13 décembre à partir de 8h !
Lieu: Les Assembleurs Préfecture, 12 Rue Mazenod, 69003 Lyon
Pour cette première étape, nous avons une invitée de marque: Marie-Paule Melka, avocate aux Conseils, de la SCP Melka Prigent Drusch, et pur produit de la formation locale !
Pourquoi deux dates ? Pour permettre aux oiseaux de nuit de venir nous écouter un verre de Côtes du Rhône à la main, et aux lève-tôt de s’enfiler un café avant d’attaquer leur journée.
Dans tous les cas, un moment de partage réservé aux avocates et avocats pour découvrir Seconda et la profession d‘avocat aux Conseils !
Inscription dans le premier lien en commentaire !
* On rêve des autres mais on va attendre un peu pour ne pas charger notre bilan carbone
Ps: si vous souhaitez nous voir débarquer dans votre ville et/ou nous recommander votre troquet préféré, n’hésitez pas à nous contacter en mp ou à nous le faire savoir en commentaire !
🎙Dans l'épisode 24 du podcast LES GISÈLES, j'accueille Néda HABILLAT, co-fondatrice du cabinet d'avocats Seconda qui a vocation à seconder, aider, soutenir les avocats sur les problématiques de droit qu'ils rencontrent dans leurs dossiers.
Au cours de notre échange, Néda a partagé les étapes marquantes de son parcours :
✔ ses années d’études et de sa thèse qu’elle a dû abandonner après cinq années d’investissement intense ;
✔ son choix de se lancer dans l’avocature, de sa réussite au concours de la Conférence du stage aux avocats au conseil, dont elle fut la première secrétaire;
✔ l'équilibre qu'elle a trouvé entre sa vie de mère de trois jeunes enfants et son rôle d’avocate entrepreneure.
Nous avons bien évidemment parlé de la création de Seconda.
Merci à Néda HABILLAT pour son partage !
Pour écouter l'épisode c'est par ici 👉 : https://lnkd.in/eufmaa8j
Avocate - Associée fondatrice de Seconda - cabinet d’avocats qui fédère 70 universitaires et praticiens pour apporter aux avocats du renfort sur toute question de droit
Après « Le Secondant du mois », nous lançons une nouvelle chronique :
« La question du mois » !
Chaque mois, nous choisissons une question de droit qui fait débat, que ce soit en raison de textes ambigus, de jurisprudences divergentes, de pratiques contractuelles controversées, ou encore de propositions doctrinales disruptives.
Pour ouvrir le bal, nous avons choisi... les clauses qui réduisent le délai pour agir en justice à moins d’un an !
De nombreuses conventions (promesses de vente, lettres de mission des experts-comptables, contrats de télécommunication…) contiennent des clauses réduisant à quelques mois le délai pour agir en justice en exécution forcée ou en responsabilité.
Que valent ces dispositions au regard de l’article 2254 du code civil, qui prévoit que la durée de la prescription peut être abrégée par les parties, mais qu’« elle ne peut toutefois être réduite à moins d’un an » ?
Un courant jurisprudentiel est favorable à la licéité de ces clauses.
Son fondement ? Ces clauses ne seraient pas des clauses abréviatives de prescription, mais des clauses de forclusion conventionnelle.
Ah…et donc ? Eh bien, suivant l’article 2220 du code civil, les délais de forclusion échappent aux règles de la prescription…Exit donc la barrière de l’article 2254!
Malin ? Un peu rapide, répond la doctrine.
D’abord, on lit que, dans l’esprit du législateur, l’article 2220 ne vise pas les forclusions conventionnelles mais les forclusions légales spéciales.
Ensuite, l’article 2254 impose aux parties une durée plancher d’un an pour agir en justice. Il serait lettre morte si elles pouvaient s’en affranchir sous couvert d’une qualification de forclusion conventionnelle, a fortiori lorsque cette qualification ne résulte pas des termes exprès de la clause mais de son interprétation par le juge.
Au-delà, on voit poindre l’article 6§1 de la CEDH. Moins d’un an pour faire valoir ses droits en justice, un mois, parfois. N’y a-t-il pas là une atteinte disproportionnée au droit d’accès au juge, que l’Etat aurait l’obligation positive d’empêcher?
Avo-plumes ! le débat est ouvert !
Nos Secondants ont du talent !
Ce mois-ci, nous vous présentons Clément Chauvet!
« Vous vous voyez où dans cinq ans ? » Cette question, c’est Clément qui nous l’a posée à la fin de notre premier entretien.
On a vite compris que Clément parlait sans détour. Et ça nous allait bien.
Clément, c’est la liberté de l’universitaire, dans toute sa splendeur.
Liberté de parole et liberté d’action, liberté du chercheur et liberté de l’auteur, Clément ne craint pas d’affronter les sujets qui fâchent, comme dans son dernier édito portant sur une procédure de recrutement de professeur pour laquelle la fiche de poste avait été rédigée par le maître de conférences local candidat.
Clément aime varier les plaisirs. Son expertise s’étend au gré de sa curiosité et de ses envies, qui le guident souvent vers des terrains inexplorés : possibilité pour l’administration de se fonder sur l’objectif de rajeunir les effectifs des services pour refuser le maintien en activité d’un fonctionnaire au-delà de la limite d’âge, moyens pour une commune de s’opposer à la décision de l’Etat de réaliser un projet de logements sur une parcelle de son domaine public, alors que la mairie préfèrerait qu'y soit édifié un établissement scolaire, ou encore définition de la notion de « manœuvre » électorale !
Son actualité ? Clément était présent au 20ème congrès de Régions de France, où il a participé à un atelier sur les ressources humaines dans la fonction publique territoriale.
Et pour l’automne, Clément s’est offert une nouvelle robe. Le professeur agrégé est désormais également avocat. Eh oui, l’université doit maintenant le partager, pour le plus grand plaisir des justiciables et de Seconda !
Retour sur cette journée très enrichissante sur des sujets d’actualité :
- la déontologie de l’avocat sur:
🔔Les modes alternatifs de règlement des différents au sein du rin ( art. 6-1 et 8-2)
🔔 La communication de l’avocat (art.10)
🔔Avec le concours du cabinet Seconda de nos confrères Fred-Eric Bergheimer et Neda Habillat sur le sujet de la compétence.
🌉Des ponts, toujours des ponts entre nos barreaux et tous les professionnels du droit.
#formation.
Merci à Florian Bertaux et Julie Carricajo pour cette initiative
JOURNEE DE LA DEONTOLOGIE
"La déontologie est notre colonne vertébrale, elle assure un soutien résistant, mais souple ainsi qu'une réelle protection".
Voilà comment le Bâtonnier Yolaine BANCAREL a lancé cette journée .
Le Barreau du Val de Marne a voulu mettre la déontologie au coeur de ses formations en y consacrant une journée entière, mettant à contribution d'anciens Bâtonniers Elizabeth MENESQUEN, Christophe BORE, Pascale TAELMAN, Olivier TOURNILLON mais également notre confrère Laëtitia WADIOU, pour nous faire part de leur expérience et de leur expertise.
Qu'ils en soient remerciés ainsi que nos Confrères Florian BERTAUX et Julie CARRICAJO qui sont à l’initiative de cette journée.
#formationsdubarreauduvaldemarne
Passionné de raisonnement juridique | Avec Replick, j'aide les avocats à trouver en un clic tous les arguments et la jurisprudence utiles et à rédiger en toute sérénité des conclusions béton
🙏 J'ai besoin de vous pour que tout ne s’arrête pas dans les prochains mois.
Replick traverse actuellement une période très critique.
Si vous avez 5 minutes, je vous explique tout dans cette vidéo 👇
En résumé :
Nous avons des clients qui utilisent beaucoup notre outil et sont hyper satisfaits (https://lnkd.in/eFC2sV8F). Nous recevons chaque semaine des messages de remerciement, c'est dingue!
MAIS nous ne faisons pas encore assez de chiffre d'affaires pour payer les personnes géniales qui travaillent pour Replick
Notre équipe c'est : Benjamin, notre développeur pour la partie outil, 3 avocats et des élèves-avocats pour le contenu juridique, Marion, notre commerciale et moi (moi, pour info, je ne me paye toujours pas, et ça commence à piquer 🌵)
Et nous arrivons au bout de tous les prêts et prix que nous avons obtenus depuis le début de l'aventure.
DONC :
SOIT on augmente nos prix, mais ça on ne veut pas, car on veut que TOUS les avocats puissent avoir accès à Replick
(on a commencé par le droit des étrangers, le droit du travail, surtout côté salarié, et le droit pénal : des matières pratiquées par des avocats qui n'ont pas les mêmes moyens que les grands cabinets d'affaires)
SOIT on augmente notre nombre de clients
OR pour avoir plus de clients, il faut investir dans de la com' ou embaucher d'autres super commerciaux (comme Marion)
Et pour investir ou embaucher, et bien il faut des sous...
On est allés voir des investisseurs qui nous ont dit : "on vous donnera des sous quand ferez 5000€ de plus de chiffre d'affaires par mois !"
DONC : c'est le serpent qui se mord la queue !
Notre objectif : obtenir 100 nouveaux abonnés d’ici fin novembre 2024
Pourquoi 100 ? parce que ça représente les fameux 5000 € dont on a besoin pour lever des fonds !
Si on n'atteint pas ce seuil, Replick disparaitra dans quelques mois..
C'est maintenant que je vous demande de l'aide. 3 façons de nous aider !
✅ Si vous n'êtes pas encore abonné à Replick et que vous pratiquez une de nos trois matières (#droitdesétrangers, #droitdutravail, #droitpénal), testez l’outil (👉 www.replick.fr) et abonnez-vous dès aujourd’hui.
C’est ce qui peut nous aider le plus !
✅ Si vous êtes déjà abonné, je vous remercie profondément. Vous pouvez encore vraiment nous aider en étant les ambassadeurs de Replick :
- parlez-en à vos confrères et consoeurs (sur les groupes Facebook, LinkedIn ou Whats’App d’avocats),
- taguez en commentaires tous les avocats que vous connaissez qui pourraient être intéressés.
Chaque recommandation peut faire une énorme différence !
✅ Et si vous voulez juste nous soutenir, likez, commentez, transférez, partagez l’info à votre réseau pour nous donner un maximum de visibilité !
Je crois vraiment en cette entreprise et à ce qu'elle peut apporter à des milliers d'avocats !
Je vous remercie du fond du coeur ❤️
On espère que vous avez passé un bel été! De notre côté, on a mis nos nouvelles idées à l’épreuve des montagnes slovènes et des vagues de la côte basque…
Mais il faudra patienter un peu ! Pour le moment, on reprend en douceur, avec notre traditionnelle rubrique du Secondant du mois.
Nos Secondants ont plus que jamais du talent ! Et pour attaquer la rentrée, nous vous présentons Clémence BARRIERE.
Le droit de la sécurité sociale vous semble hors de portée? Le seul mot “tarification” vous donne des boutons ? Ça tombe bien, Clémence a décidé de jeter son dévolu sur ce domaine de niche largement délaissé.
Les raisons ? La technicité de la matière, bien sûr, (on ne se refait pas, Clémence instruit des dossiers devant la Cour de cassation depuis plus de dix ans) mais aussi l’immersion unique qu’offre la discipline dans les divers milieux professionnels et la prise de conscience qu’elle permet de la pénibilité de certaines conditions de travail : des mineurs exposés à l’amiante, aux manutentionnaires soumis à de lourdes charges, en passant par les risques de chutes des élagueurs ou de noyades des marins-pêcheurs, Clémence met toute son expertise pour accompagner celles et ceux qui ont dû faire face à ces catastrophes.
Clémence n’est pas seulement une avocate chevronnée en droit social, c’est aussi une civiliste dans l’âme. Par exemple, ces jours-ci, Clémence mobilise sa technique de contractualiste pour accompagner devant le tribunal judiciaire des étudiants sollicitant l’annulation de leurs contrats d’étude avec une école privée, pour vice du consentement.
Et quand Clémence ne donne pas de la voix dans les tribunaux, elle fait vibrer les cordes de son violon. D’ailleurs, si vous êtes à Grenoble à la fin du mois de novembre, vous pouvez aller l’écouter jouer le concerto pour deux violons de Bach avec son orchestre Piccola Musica !
Jeudi dernier, nous étions une soixantaine, Secondants, clients, partenaires, proches, réunis pour souffler la première bougie de Seconda !
C’était une très belle soirée.
Merci à toutes celles et ceux qui sont venus partager ce moment avec nous et une pensée pour celles et ceux qui ont croisé notre route cette année et qui n’ont pas pu venir.
C’était aussi l’occasion de se rappeler combien il est puissant, réjouissant et enrichissant de pouvoir échanger entre personnes aux origines et parcours divers.
Et bonne nouvelle, l’aventure ne fait que commencer !
Avec Néda HABILLAT, on vous souhaite à toutes et à tous un très bel été !
Petit rappel, pour celles et ceux qui veulent partir en vacances l’esprit libre comme jamais, on se voit le 9 juillet à 12h30 : https://lnkd.in/ewBPUkKz