Communauté de communes du Confluent et des Coteaux de Prayssas

@Stéphane Rossato, Vice-président en charge de l'enfance/jeunesse et de l'action sociale, a représenté la Communauté de communes du Confluent et des Coteaux de Prayssas au jury de l'événement Mon incroyable Quotidien organisé par le @Smavlot47 les 15 et 16 novembre 2024 au Temple-sur-Lot. Mon incroyable Quotidien est un programme de 36 heures d'accélération et de soutien de projets dédié au bien-être, bien vivre et bien vieillir. Il conclut un cycle de "marathons" sur 5 thématiques (tourisme, terroir, culture, agriculture et alimentation). Benoit Bernes, Audrey TITONE et @Amélie Montoya, en tant que représentants des pôles Développement économique et Services à la population/Action sociale de la Communauté de communes du Confluent et des Coteaux de Prayssas, ont accompagné plusieurs candidats sur la construction, le modèle économique ou encore la communication autour de leurs projets. Deux acteurs de notre territoire ont pu participer et faire évoluer leurs projets : - l'association @Roc Park de Clermont-Dessous pour l'aménagement d'un site dédié au VTT qui pourrait s'ouvrir vers d'autres sports de nature (randonnée, trail, course d'orientation, etc.). - l'association Épanouissement sportif pour tous basée à Port Sainte Marie dans le cadre de l'organisation d'un événement d'ampleur autour de la zumba (Zumba party prévue le 1er mars 2025 à Tonneins et action de formation à destination des animateurs de zumba)

Pour soutenir le projet de rénovation de Port sainte Marie

Notre territoire est fortement sujet aux risques naturels, par inondations mais également par mouvements de terrain.  Sur les secteurs de coteaux de Clermont-Dessous et Port-Sainte-Marie, deux voies ont ainsi été fortement endommagées lors des épisodes pluvieux hivernaux.  Après la mise en sécurité, vient la période de compréhension du phénomène avant d'envisager des travaux de remise en état probablement mi-2025. La communauté de communes se fait accompagner d'experts (AC2I, Géofondation, CEREMA) afin de trouver la technique de réparation qui viendra renforcer la structure de l’ouvrage. La gestion du risque passe par l’amélioration de nos connaissances, l’information des populations et des acteurs concernés, qui permettra ainsi l'adaptation de nos pratiques collectives mais également individuelles.