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Édition de livres et périodiques

Paris, Île-de-France 52 203 abonnés

Le magazine de la création architecturale

À propos

d’a est plus que jamais le magazine que les professionnels aiment et respectent pour son point de vue critique sur le monde de la construction. Son acuité et son indépendance dans le choix des réalisations qu’il fait découvrir et dans les matériaux qu’il met en valeur sont le gage de son autorité en matière de prescription auprès des architectes, des économistes, des ingénieurs et des maîtres d’ouvrage. Depuis son origine, d’a est un magazine d’actualité attaché à son indépendance éditoriale. Cette liberté, il la doit à la confiance toujours croissante de ses nombreux lecteurs, architectes et professionnels de la construction mais aussi aux industriels, partenaires du magazine. Magazine d’actualité et de réflexion critique, d’a observe le monde à travers le prisme de l’architecture : des débats techniques à la photographie, de l’économie du projet à la muséographie, des questions environnementales aux arts plastiques ou des mutations esthétiques à la psychanalyse. Avec 51% de lecteurs réguliers (source Archiliste Décembre 2016), d’a magazine est le premier titre en affinité sur le lectorat Architectes. AMC se place en challenger juste derrière avec (51%) et d'a se situe largement devant tous les autres concurrents ( Archi à Vivre (29%), l’Architecture d’Aujourd’hui (26%) ou Archicréé 25%.)

Secteur
Édition de livres et périodiques
Taille de l’entreprise
2-10 employés
Siège social
Paris, Île-de-France
Type
Société civile/Société commerciale/Autres types de sociétés
Fondée en
1989
Domaines
Critique Architecturale, Architecture et Design

Lieux

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Nouvelles

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    🔔 LE NUMÉRO DE DÉCEMBRE - JANVIER EST DISPONIBLE ! 🏗️ Faut-il arrêter de construire ? 👉 Commandez le vôtre ! https://lnkd.in/ecWvhQXJ 📬 Abonnez-vous ! https://lnkd.in/evdNyxGa L'édito d'Emmanuel Caille Moins de construction, plus d’architecture Qui aurait imaginé à l’aube du XXIe siècle que ce soient les architectes eux-mêmes qui prôneraient un jour l’arrêt des constructions comme remède ultime à l’effondrement des ressources et à la crise climatique ? Mais soyons plus précis : il s’agit moins de ne plus construire que d’arrêter de détruire des terres encore non artificialisées ou des bâtiments existants pour ériger des bâtiments neufs. Précisons également que cette injonction s’adresse d’abord aux régions du monde dont la démographie est relativement stable : les pays riches. Certes, la France subit elle aussi une forme de crise du logement, mais contrairement à ce que tentent désespérément de nous faire croire les lobbies du BTP et de l’immobilier, la pénurie – réelle – d’habitations immédiatement disponibles est due à d’autres facteurs : une mauvaise répartition territoriale due à l’hyper-métropolisation, et à la vacance ou à la sous-occupation de trop nombreux logements. Un temps, nous avons cru qu’en passant aux matériaux biosourcés et aux énergies renouvelables nous pourrions continuer comme avant. Or, si le développement de leur usage s’impose comme un impératif majeur, on sait maintenant qu’il ne suffira pas, loin de là, à décarboner suffisamment1. Alors que faire ? Sommes-nous condamnés à nous entasser dans des appartements communautaires ? à dresser des yourtes ? à attendre une meilleure répartition territoriale des activités économiques – et donc de l’offre de logements –, c’est-à-dire au minimum plusieurs décennies ? Les architectes vont-ils devenir inutiles ? Non, au contraire ; cette révolution peut être une formidable opportunité pour refonder et légitimer le rôle de l’architecture et pour rendre nos paysages urbains et ruraux plus beaux et plus habitables. Car il ne s’agit pas de ne rien faire, il s’agit de faire autrement, en privilégiant la transformation du patrimoine existant, surtout le plus ordinaire. À l’opposé des bâtiments qui naissent comme des clones sur les pseudo-écoquartiers de nos banlieues et que l’intelligence artificielle peut déjà concevoir sans les architectes, la régénération de l’existant exige un immense savoir-faire et une stratégie contextuelle fine propre à chaque cas : la capacité d’établir un diagnostic savant et précis, autant en termes techniques qu’humains, et l’intelligence d’adaptation de la conception à la livraison du projet. Enquêter, dialoguer, projeter, s’adapter : qui d’autre que l’architecte serait mieux à même d’orchestrer ces compétences ? Mais la mise en œuvre de ces savoirs dans l’existant exige, à mètre carré égal, beaucoup plus de temps d’étude.

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    🗓️ 𝐍𝐎𝐔𝐕𝐄𝐀𝐔 𝐋𝐈𝐄𝐔 : Jeudi 20 mars 2025, le Forum des Projets Urbains vous donne rendez-vous aux 𝐇𝐚𝐥𝐥𝐞𝐬 𝟏&𝟐 𝐬𝐮𝐫 𝐥'𝐈𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐍𝐚𝐧𝐭𝐞𝐬 ! De Brest à Saint-Nazaire, de La Rochelle à Biarritz, retrouvez un panorama unique des principales opérations en cours et à venir dans le Grand Ouest. Au programme : 20 ateliers portés par les acteurs publics et privés les plus dynamiques de la région et une grande conférence plénière. 👉 S’inscrire : https://lnkd.in/e2f5jxts 400 professionnels (élus, collectivités, aménageurs, promoteurs, architectes-urbanistes…) participent chaque année au #FPUGrandOuest. Un événement unique pour s’informer, développer son réseau et échanger sur les montages opérationnels de projets. 📌 Pour présenter un projet ou une initiative, contacter Valérie Gibault : 06 64 23 64 00 - vgibault@innovapresse.com ou Isatys Coudray - icoudray@innovapresse.com #FPU #aménagement #projetsurbains #villes #territoires #villedurable #immobilier #urbanisme #architecture #paysage #construction #teamarchi #teamurba #GrandOuest GROUPE FICADE B SMART 4Change Décideurs Magazine Traits Urbains

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    Vers une nouvelle stratégie nationale pour l’architecture (2025-2029) par Tarik Abd El Gaber Le Ministère de la Culture engage une nouvelle étape pour l’architecture en France. Présentée par la ministre de la culture Rachida Dati, la Stratégie nationale pour l’architecture (SNA 2) vise à renforcer la discipline face aux défis contemporains. Dix ans après la première SNA, cette nouvelle feuille de route ambitionne de répondre aux enjeux environnementaux et sociétaux en mobilisant l’ensemble des acteurs du secteur. Une large consultation lancée en mai 2024 a permis de définir six axes stratégiques : - Rapprocher la politique de l’architecture des réalités locales. - Transmettre une nouvelle culture architecturale. - Accompagner les professionnels. - Encourager les talents et la diversité des parcours. - Renouveler l’enseignement et la recherche. - Favoriser l’innovation et l’expérimentation. Ces six axes devraient se concrétiser sous la forme de mesures d'ores et déja annoncées : - Création d’une école nationale supérieure d’architecture à La Réunion (2025) pour répondre aux besoins des territoires ultramarins. - Lancement d’une formation post-master à l'ENSACF École nationale supérieure d'architecture de Clermont-Ferrand pour lutter contre les déserts architecturaux. - Augmentation de 20 % des effectifs dans les ENSA en dix ans. - Généralisation de l’alternance dans les écoles d’architecture d’ici deux ans. - Allègement du rythme des études et renforcement des expériences professionnelles. - Organisation d’une nouvelle édition des Archi-Folies pour imaginer le logement de demain. - Réforme de la mission interministérielle pour la qualité des constructions publiques. - Intégration renforcée de l’architecture dans le pass Culture. - Financement de 100 contrats doctoraux sur la transformation des bâtiments existants. - Création d’un comité interministériel pour l’architecture (2025). La ministre Rachida Dati a conclu sa présentation de la SNA 2 par un discours insistant sur la mobilisation collective nécessaire pour mettre en œuvre cette nouvelle mouture de la feuille de route de la discipline. "Rénover le bâti existant, imaginer de nouvelles façons d’habiter, s’adapter aux transitions écologique et numérique : ces défis nécessitent l’engagement de toutes et tous", affirme Rachida Dati. Cette stratégie vise donc à accompagner les architectes, enseignants, étudiants et collectivités dans la transformation des territoires en connaissance des enjeux de notre époque.

    Vers une nouvelle stratégie nationale pour l’architecture (2025-2029)

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    👩🏻🎓 Une nouvelle édition pour la bourse internationale d’architecture Gottfried Böhm Par Leïly Verons Les candidatures pour la deuxième édition de la Gottfried Böhm Scholarship sont ouvertes. Lancée en hommage au célèbre architecte allemand, ce programme destiné aux jeunes architectes du monde entier propose une résidence d'un an à Cologne, mêlant création architecturale et réflexion urbaine. La phase de candidature pour la bourse Gottfried Böhm est ouverte jusqu'au 31 mai 2025. Ce programme s’adresse aux architectes récemment diplômés, offrant une résidence d’un an à Cologne, en Allemagne. Les bénéficiaires recevront une subvention mensuelle de 2 500 euros, un logement gratuit et un accompagnement par des experts pour concevoir des projets innovants au croisement de l’architecture et de l’urbanisme. La première édition, organisée en 2023, avait attiré 41 candidatures issues de 23 pays. Le jury avait ainsi primé le projet de l’architecte italienne Ermelinda Di Chiara sur la réhabilitation des espaces vacants de la métropole de Cologne. La résidence financée par la bourse est prévue d’octobre 2025 à septembre 2026 et inclut notamment une collaboration avec la Cologne University of Applied Sciences (TH Köln) et une présentation publique des projets à la fin de l'année. Le programme vise à encourager des idées créatives et durables pour relever les défis urbains contemporains tout en offrant une plateforme internationale de visibilité aux jeunes talents.

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    🧱👉 Le 4ème volume de la collection "Façade en terre cuite : nouvelles expressions" est à retrouver dans le d'a de janvier 2025. Tous les 2 ans, ce livret vous invite à découvrir une sélection de réalisations qui mettent en œuvre des produits de terre cuite visibles en façade. Ces programmes ont en commun d'avoir trouvé avec ce matériau une solution technique et esthétique. Réalisé par Tarik Abd El Gaber en collaboration avec Nelly MONTEIL de la FFTB - Fédération Française des Tuiles et Briques. https://lnkd.in/euZGJqYZ Rairies Montrieux wienerberger France BRIQUETERIES DU NORD ]TERREAL TERRES CUITES DU SAVES #architectes #architecture #terrecuite #brique #bascarbone

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    Les « 100 qui font la ville », le palmarès des personnalités les plus engagées en faveur des transformations urbaines et territoriales en 2025, a été dévoilé hier, mercredi 15 janvier 2025. Six distinctions ont été remises à cette occasion lors d’un dîner qui a réuni 200 personnalités à l’Intercontinental Opéra à Paris : 🏆 Personnalité de l’année : Fadia KARAM (ESPACES FERROVIAIRES) 🏆 Aménageur privé de l’année : Elodie Benoit (Nexity Transformation des Territoires Villes et Projets) 🏆 Aménageur public de l’année : Romain Champy (Oppidea Europolia) 🏆 Conseil de l’année : Laurent VIGNEAU (Artelia) 🏆 Promoteur de l’année : Nicolas JOLY (Icade) 🏆 Concepteur de l’année : Claire Trapenard et Sylvanie GREE (Agence D'ICI LA paysagistes concepteurs) Découvrez les 100 personnalités 2025 investies dans la transformation des villes et des territoires dans le numéro spécial de Traits Urbains - « les 100 qui font la ville » 👉 https://lnkd.in/esFeDRWU #les100quifontlaville #amenagement #projetsurbains #villes #territoires #villedurable #immobilier #urbanisme #architecture #paysage #construction #teamarchi #teamurba B SMART 4Change GROUPE FICADE 

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    Merci Guillaume Meunier pour ce très bon résumé du dossier de décembre ! Pour commander un numéro et parcourir le dossier dans son intégralité : https://bit.ly/da-322

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    Batir un monde en transition, Carbone, R&D, IFPEB, A4MT

    Un dossier de magazine fera-t-il date pour les décennies à venir ? ❝ Faut-il arrêter de construire ? ❞ C’est la bonne nouvelle et la bonne question que se pose D’Architectures dans son dernier dossier. Une bonne nouvelle car il est très sain de poser sur la table ce sujet surtout quand il est très bien traité. L’édito d’Emmanuel Caille nous met dans le bain : ❝ Peut être une formidable opportunité pour refonder et légitimer le rôle de l'architecture ❞ ❝ Arrêter de construire pourrait ainsi paradoxalement offrir plus de travail ❞ Dans ce dossier, on trouve une interview de Charlotte Malterre-Barthes, qui propose un moratoire mondial sur les nouvelles constructions, de Mathias Rollot pour son livre " Décoloniser l’architecture " et le dossier aborde 5 projets de ce nouvel ordinaire. Le texte de Maryse Quinton est parfait : ❝ Ne pas construire […] n'est pas synonyme d'immobilisme […mais la question est de] savoir si on a encore les moyens de construire comme avant ❞. ❝ Face à l'état de la planète, il n'est donc pas si radical d'envisager l'arrêt de la construction neuve ❞ Et c’est aussi surtout à l’envers qu’il faut lire ce questionnement, il est presque absurde de continuer à faire ce qui ne fonctionne pas, l’acte de construire doit changer. L’hypothèse du nombre de logement à construire est bien évidemment débattue avec ❝ liste des pistes à explorer ❞ et surtout ce changement des pratiques avec le passage du neuf à la rénovation ou la question du renoncement. On pourrait résumer avec ❝ Une architecture, non plus comme l’art d’édifier, mais plutôt une stratégie de considérer, réparer, requalifier ❞, en citant B. Lafore et S. Martinez-Barrat Ensuite on a l’exemple incroyable d’un concours d’architecture rendu sur une proposition (hors programme) d’une réutilisation d’un bâtiment plutôt que sa démolition et qui a abouti au refus du versement des indemnités. On a l’histoire de la vie d’un bâtiment des années 30 jusqu’à sa réhabilitation récente, celle d’un bâtiment des années 60 qui a déjà été rénové en 2002 ou le projet d’un très beau petit patrimoine ordinaire. Pour finir, un travail chirurgical de compromis pour un grand ensemble à Paris. De très bons choix. Le dossier aurait pu aborder de front le ❝ économiquement peu rentable, intellectuellement très rentable ❞ de Colin Reynier Je retiens aussi les 3 scénarios de M. Rollot pour l’architecture : L’abandon c’est-à-dire l’architecture du formol, l’adaptation au système c’est-à-dire une sorte de gesticulation formelle ou en dernier l’art de la résistance, une architecture de la lenteur et de la permanence. ▶️ ❝ Ne plus construire ne saurait être un aveu d’échec ❞ mais une manière de considérer le monde tel qu’il est, sur une ligne de crête entre grands bouleversements et qualité de vie incroyable. Un grand bravo Maryse Quinton ! Le dossier sur le site web ➜ https://lnkd.in/esUDXM2g Le D’A 322 ➜ https://lnkd.in/ec7CTbfB #teamneutralite #teamarchi

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    L’île de Nantes amorce un nouveau chapitre de son aménagement urbain Par Leïly Verons Depuis l’an 2000 et le Plan guide mené par Alexandre Chemetoff, L’île de Nantes a été un véritable terrain d'expérimentation en matière d'innovation urbaine. Marquée par la fermeture des chantiers navals en 1987, elle est devenue un sujet central des politiques urbaines lors des élections municipales de 1989. Sous l’impulsion de Jean-Marc Ayrault, un vaste projet de renouvellement urbain a été lancé dans les années 1990. En 2003, la Samoa a été chargée de piloter cette transformation. Aujourd’hui, une nouvelle étape, couvrant la période 2025-2032, vient d’être annoncée pour réaménager le sud-ouest de l’île. La transformation de l’île de Nantes a été structurée en plusieurs grandes phases, chacune marquée par une approche spécifique. L’atelier de l’île de Nantes, conduit par Alexandre Chemetoff et Caroline Berthomieu, a remporté le premier marché en 1999, posant les bases du projet en élaborant un Plan guide initial. En 2010, une nouvelle dynamique a été insufflée avec l’arrivée de Marcel Smets et Anne-Mie Depuydt, qui ont introduit le Plan des transformations. Enfin, à partir de 2017, Jacqueline Osty, paysagiste mandataire, et Claire Schorter, architecte-urbaniste, ont pris le relais pour mettre en œuvre l’aménagement du sud-ouest avec un horizon d’intervention fixé à 2024. Depuis le début de sa transformation, l’île de Nantes a été découpée en neuf secteurs aux identités et aux enjeux spécifiques : Les Fonderies, Tripode Viviani, Beaulieu, Mangin, République Les Ponts, Nouveau Quartier République, Quartier de la Création, Prairie-au-Duc / Parc des Chantiers, et Sud-Ouest. Cette organisation permet d’orienter les aménagements en fonction des besoins locaux, qu’il s’agisse de logements, d’espaces publics, ou de nouveaux équipements. La nouvelle phase de travaux se concentrera sur le secteur Sud-Ouest, un territoire de 31 hectares allant du nouvel hôpital à la pointe de l’île. Parmi les aménagements prévus, un parc de 10 hectares en pleine terre sera au cœur du projet. Ce parc, intégré à un espace végétalisé plus vaste de 16 hectares incluant les berges et le jardin du Rail, devrait répondre à des enjeux environnementaux cruciaux tout en offrant un espace de vie de qualité pour les habitants. Cette phase sera pilotée par l’agence de paysage D’ici là, reconnue pour son expertise en urbanisme écologique, et soutenue par une équipe pluridisciplinaire. Les travaux débuteront par une concertation citoyenne dès mars 2025.

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    Un bilan pour le Label Architecture contemporaine remarquable L'Association nationale des conseillers pour l’architecture (ANCA) organise une Journée d’étude sur le Label Architecture contemporaine remarquable, voté en 2016, dans le cadre de la loi relative à la liberté de la création, à l'architecture et au patrimoine (LCAP) dans le but de valoriser l'architecture du XXIème siècle. Cette journée prendra place à l'Ecole nationale supérieure d'architecture de Paris-Belleville, le 6 février 2025, de 9h à 17h30. Organisée par l’ANCA en lien avec le Ministère de la Culture et avec ses partenaires, cette journée d’étude porte sur le label « Architecture Contemporaine Remarquable » (ACR). Elle vise à partager, entre les acteurs qui s’intéressent ou pratiquent le label, des expériences et/ou réflexions sur l’évolution des édifices labellisés. La journée porte plus particulièrement sur les phases de travaux qui semblent poser des questions théoriques, méthodologiques, techniques, culturelles voire doctrinales nouvelles et plus aiguës. Au cours de cette journée, une dizaine d’intervenants, provenant de régions et d’horizons professionnels variés, viendront partager leurs problématiques quant à la question des travaux sur les édifices labellisés ACR. Ils aborderont des études et diagnostics préalables, des retours d’expériences sur des opérations d’interventions architecturales, des actions de valorisation et de communication, des réflexions théoriques et spéculatives sur les pratiques ou encore des expériences pédagogiques. Enfin, la journée sera complétée par des tables rondes avec des personnalités reconnues. Accueillie à l’ENSA Paris-Belleville, la journée s’inscrit en marge de son DSA Architecture et patrimoine qui fera l’objet d’une présentation. 📝 Inscriptions : https://bit.ly/4fRcpjB ℹ️ Infos pratiques : Date : 6 février 2025, 9h - 17h30 Organisation et coordination scientifique: Lorenzo DIEZ et Eve Roy / assistante: Léa FASQUEL Tables rondes avec : Nicolas Michelin (studio MEA), Line Touzeau-Mouflard (faculté de droit de Reims), Philippe Dahan (Urbane Kultur), Agnès Vince (MELT).

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    Merci à Stéphane Bonzani pour son ouvrage et à Coline Periano pour sa plume ! Retrouvez toute la sélection d’ouvrages, les critiques de la rédaction et celles de Librairie Mollat, Archipel Librairie, Librairie Volume, Librairie Le Cabanon et Le Genre urbain Librairie capodano dans le no.322 de d’a « Faut-il arrêter de construire ? ». 👉 commandez le vôtre ici : https://lnkd.in/ekJaYhVz

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