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“𝐓𝐫𝐚𝐧𝐬𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐞́𝐜𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐪𝐮𝐞 : 𝐬𝐨𝐦𝐦𝐞𝐬-𝐧𝐨𝐮𝐬 (𝐭𝐨𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐬) 𝐩𝐫𝐞̂𝐭𝐬 ?” Avec Veolia, c'est la question que nous avons posée aux citoyens du monde entier 📢 , dans le cadre de la 2ème édition du baromètre de la transformation écologique. 👂 Alors que des voix s’élèvent dans de nombreux pays pour appeler à une pause écologique, l'opinion publique mondiale est majoritairement convaincue que l’inaction coûtera plus cher à l’humanité que les investissements nécessaires à la transition écologique. Sur tous les continents, les populations redoutent une dégradation de leurs conditions de vie et craignent de tomber malade à cause des pollutions. En 18 mois, la panne de l’imaginaire écologique et des résultats concrets jugés trop peu nombreux ont fait basculer de nombreux pays dans le fatalisme. Mais, partout, la protection de la santé est devenue un puissant levier pour donner envie d’écologie et consentir aux changements de comportements ou aux surcoûts des solutions écologiques. 1️⃣ La tentation du fatalisme écologique grandit, l’imaginaire écologique est en panne : - 35% (+3 en 18 mois) ont un doute sur la possibilité de limiter le dérèglement climatique et les pollutions. - 62% (+2) ont du mal à imaginer à quoi pourrait ressembler la vie quotidienne après la transformation écologique 2️⃣ Mais l'opinion reste certain que l’inaction écologique coûtera plus cher que l’action (66%) 3️⃣ Car ne rien faire, c’est être exposé à « la plus grande menace sanitaire à laquelle l'humanité est confrontée » (75%), être vulnérable et exposé à des conditions de vie de plus en plus rudes (71%), et craindre de tomber malade à cause des pollutions (66%) 4️⃣ Pour donner envie d’écologie, l’opinion demande des résultats concrets, pour protéger la santé et sécuriser l’accès aux services essentiels - Ce qui donnerait vraiment envie aux citoyens de changer leurs habitudes et accepter des surcoûts ? Que les solutions écologiques leur permettent de protéger ou améliorer leur SANTÉ et celle de leurs proches (67%) 5️⃣ Que sommes-nous prêts à faire ? Réutiliser des eaux usées traitées pour réduire les risques de pénuries : - en mangeant des aliments issus d’une agriculture qui utilise de l’eau recyclée (79%, +10 en 18 mois) - en buvant de l’eau potable issue du recyclage des eaux usées (66%, +13 en 18 mois) Payer un peu plus cher l’eau pour éliminer les micropolluants, afin de réduire les risques pour la santé (84%) Payer un peu plus cher l’énergie pour qu’elle soit produite localement et à partir de déchets non recyclables et de biomasse, pour sécuriser l’approvisionnement du territoire en énergie (82%) et pour réduire les émissions de CO2 (80%) Pour en savoir plus sur l’étude et l’ensemble des résultats du baromètre de la transformation écologique, c'est par là 👇