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« Puisque tout recommence toujours, ce que j'ai fait sera, tôt ou tard, source d'ardeurs nouvelles, après que j'aurai disparu. » Charles de Gaulle

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    « L'Europe intégrée, ça ne pouvait pas convenir à la France, ni aux Français... Sauf à quelques malades comme Jean Monnet, qui sont avant tout soucieux de servir les États-Unis. Ou alors à tous ces personnages lamentables de la IVe République. Ils trouvaient ainsi un moyen de se décharger de leurs responsabilités ! Ils n'étaient pas capables de les saisir ; alors, il fallait les repasser à d'autres. Tenir leur rang dans le monde ? Pas question ! Mettons-nous sous le parapluie. Avoir une armée et la faire obéir ? Pas question ! La donner à d'autres ! Remettre le pays debout et servir d'exemple au monde ? Pas pour eux ! L'alibi tout trouvé, c'était l'Europe. L'excuse à toutes les dérobades, à toutes les lâchetés : l'Europe intégrée ! » Alain Peyrefitte, C'était de Gaulle, tome 2, 4 décembre 1963.

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    🇫🇷 3 mars 1941, télégramme du Général de Gaulle au général de Larminat à Brazzaville sur la victoire de Koufra avec un message de félicitations à Leclerc : « Le succès français de Koufra est une grande date dans l’histoire de la libération de la France. Je vous en félicite et vous en remercie personnellement comme des autres succès remportés en Erythrée par les troupes de l’Afrique française libre que vous avez formées. Veuillez faire connaître au colonel Leclerc que je lui décerne la croix d la Libération et lui transmettre de ma part le message suivant : « Les cœurs de tous les Français sont avec vous et avec vos troupes. Colonel Leclerc, je vous félicite en leur nom du magnifique succès de Koufra. Vous venez de prouver à l’ennemi qu’il n’en a pas fini avec l’armée française. Les glorieuses troupes du Tchad et leur chef sont sur la route de la victoire. Je vous embrasse. » »

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    🇲🇫 2 mars 1916, le capitaine de Gaulle est touché à la cuisse lors de la bataille de Verdun à Douaumont. Laissé pour mort, il reçoit une citation à titre posthume à l’ordre de l’armée. Fait prisonnier, il est enfermé entre autres dans la forteresse d’Ingolstadt en Bavière. Blessé trois fois pendant ses 19 mois de campagne, il a reçu 3 citations dont une de l’armée pour sa conduite à Douaumont. Il tente de s’échapper à cinq reprises au cours de ses 32 mois de captivité. Il est donc transféré dans différents lieux d’internement (camps d’officiers, forteresses disciplinaires, prisons militaires), notamment à Osnabrück en Bavière et au fort IX d’Ingolstadt en Bavière,où il rencontre Georges Catroux. S’évader pour reprendre le combat devient sa priorité. Au cours des conférences qu’il donne à ses camarades de captivité, il mêle à ses réflexions sur la guerre des conseils à peine voilés pour préparer une évasion. Prisonnier, il se réfugie dans la lecture d’auteurs allemands et approfondit sa connaissance du pays. Grâce à l’aide de la Croix Rouge, il peut recevoir des colis et correspondre avec sa famille. C’est dans une lettre à sa mère qu’on peut relever sa profonde douleur d’être éloigné du champs de bataille et de ne pouvoir participer plus activement à la victoire. Il évoque ainsi « un regret qui ne le quittera plus », « un chagrin que ne s’éteindra qu’avec [s]a vie. ». Au début du mois de décembre 1918, de retour en France, il retrouve les siens : ses parents, ses trois frères (qui ont tous combattu jusqu’à la fin de la guerre) et sa sœur.

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    🇫🇷 Le Général de Gaulle sur la force atomique française, en décembre 1965 : « Si nous n'avions pas cette force atomique, qui est un instrument terrible, dont la capacité de dissuasion même quand elle n'est pas en chiffre équivalente à celle des colosses est tout de même énorme, de dissuasion et de sauvegarde, si nous n'avions pas ça, qu'est-ce que nous aurions ? Ou bien nous n'aurions pas d'armée du tout. C'est une conception. Alors on ne parlerait plus de la France dans la coopération du monde pour sa défense et par conséquent pour sa politique. Ou bien alors nous aurions une armée comme on dit conventionnelle. Alors ce serait l'armée que nous avions en 1957. Et encore il faudrait lui donner un armement moderne qu'alors elle n'avait pas. Ca nous coûterait encore bien plus cher que ce que nous sommes en train de faire maintenant, et infiniment moins efficace ! Du reste les Allemands, qui ne peuvent pas et qui ne doivent pas se faire des armes atomiques.Les Allemands ont une armée conventionnelle qui leur coûte relativement plus cher que ne nous coûte la nôtre. »

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    🇲🇫 1er mars 1941, en Libye, Leclerc s’empare de l’oasis de Koufra et fait, avec ses hommes, le serment du même nom : « Jurez de ne déposer les armes que lorsque nos couleurs, nos belles couleurs, flotteront sur la cathédrale de Strasbourg. » Le Général de Gaulle lui écrit : « Le succès français de Koufra est une grande date dans l’histoire de la libération de la France. Les glorieuses troupes du Tchad et leur chef sont sur la route de la victoire. Je vous embrasse. »

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    Directeur de la Fondation Charles de Gaulle

    [Exil combattant] Invité à l’inauguration de cette exposition au Musée de l'Armée - Hôtel national des Invalides au nom de la Fondation Charles de Gaulle, j’ai eu le plaisir de découvrir de très belles archives et de très belles œuvres retraçant l’engagement de femmes et d’hommes ayant choisi de se battre pour la France et pour la liberté contre le totalitarisme et le fascisme. Des parcours souvent méconnus à découvrir tout au long de cette belle exposition. 📆 Et à noter dans vos agendas : une conférence d’Hervé Gaymard sur Bernanos le 20 mai et de Frédéric Fogacci sur March Bloch le 7 avril au musée de l’Armée. 👏 Bravo aux organisateurs et commissaires d’exposition. #Invalides #Museedelarmee #FondationCharlesDeGaulle #FCDG #ExilCombattant

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    🇫🇷 26 février 1960, le Général de Gaulle prononce un discours à Narbonne où il évoque la nécéssaire indépendance de la France : « Et puis aussi il faut que la France soit debout à l'égard de ses amis. On ne vit jamais seul dans le monde. Aujourd'hui surtout et moins que jamais, il faut avoir des alliés, c'est vrai ! Et la France, d'ailleurs, donne l'exemple de la fidélité à ses amis et à ses alliés. Mais il ne faut pas avoir de protecteur. C'est l'autre raison pour laquelle la France, avec ses moyens et sans outrecuidance, a cru devoir rentrer dans la voie qui lui procurera l'armement, il faut bien le dire, nécessaire pour être elle-même. En même temps, elle fait ainsi la démonstration de son propre progrès scientifique et technique. Et ce n'est pas à monsieur le ministre chargé de l'énergie atomique, chargé aussi de la recherche scientifique et ici présent, qui me démentira. C'est une démonstration que la France a faite de ce qu'elle vaut. Elle ne veut pas le faire, bien entendu, pour menacer personne, et certains clans plus ou moins hystériques qui nous accusent de vouloir avec une deux centième expérience alors qu'ils n'ont rien dit pour les cent quatre vingt dix neuf précédentes, qui nous accusent de vouloir empoisonner l'humanité. Ceux-là, nous ne leur opposons, bien entendu, qu'une vaste ironie. Mais il faut que la France prenne conscience de ce que cela vaut pour elle et de ce que cela lui donne de force pour rentrer plus avant encore dans les grandes délibérations d'où, je le crois, et je le veux, sortira la paix du monde. »

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    🇫🇷 Le Général de Gaulle a visité à plusieurs reprises le Salon de l'agriculture. Une archive en couleur de sa vite du 7 mars 1968. Sur l'agriculture, en septembre 1965, le Général disait à Peyrefitte : « Je ne suis pas responsable devant les notables de la paysannerie. Je suis responsable devant la France. Je ne traite que les affaires de la France, y compris les agriculteurs, qui en font pleinement partie. C'est par la force du poignet que j'ai obligé nos partenaires à accepter l'agriculture dans le Marché commun ; tout au moins en principe. Si jamais ça se réalise à la fin des fins, c'est seulement parce que je l'aurai voulu, puisque ça consiste pour nos partenaires à payer beaucoup plus cher leur alimentation et à verser des prélèvements qui reviennent surtout en subventions à notre agriculture. » Alain Peyrefitte, C'était de Gaulle, tome 2.

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    🇨🇵 23 février 1966, la France devient la troisième puissance spatiale du monde. Au Conseil des ministres, Alain Peyrefitte, alors ministre délégué à la Recherche scientifique et aux Questions atomiques et spatiales, rend « compte du dernier lancement de notre fusée Diamant [17 février], qui a mis sur orbite notre satellite Diapason : « C'est le premier lancement qui soit entièrement français. Nous avons pris le risque de la publicité, et cette méthode ouverte s'est révélée la meilleure. La France est devenue la troisième puissance spatiale du monde. Charles de Gaulle. - La méthode ouverte, comme vous dites, est la meilleure... en cas de réussite. Vous ne diriez pas la même chose si le lancement avait raté. On ne peut pas retenir cette méthode comme un principe absolu, valable dans tous les cas. (Le Général se méfie de la " transparence " ; il y voit une mode, inspirée par les Anglo-Saxons, et par laquelle il ne se laisse pas entraîner. Il préfère le secret et la surprise. Il me semble qu'il a raison pour les expériences atomiques, mais tort pour des expériences scientifiques qu'il est de toute façon impossible de garder confidentielles.) Debré. - Mon rôle est de me soucier du coût. Je souhaite un examen à l'Élysée de toutes ces éventualités qui engendrent d'énormes dépenses : Concorde, Airbus, fusée ELDO, etc. Pompidou. - Il faut bien distinguer les dépenses que l'État fait à fonds plus ou moins perdus, et ce qu'il peut faire aux frais des entreprises publiques agissant comme clients ou comme prêteurs. Général de Gaulle. - Il convient de dresser le tableau général, comme l'a suggéré M. Debré, car il n'est pas question de décider sans s'être ménagé une vue d'ensemble. » » Alain Peyrefitte, C'était de Gaulle, tome 2.

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