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ÉCONOMIE : les États-Unis, premier producteur de milliardaires Avec plus de 800 milliardaires, les Etats-Unis, dépassent de loin la Chine (environ 400) et l’Inde (environ 200). Plus saisissant encore, les 20 premières fortunes américaines représentent 2 700 milliards de dollars ! Le PIB de la France s’estime à 3 000 milliards de USD. Et, la fortune de l’ensemble des milliardaires américains s’élève à 5 700 milliards de dollars : s’ils formaient un pays, il serait le troisième pays le plus riche au monde devant l’Allemagne ! Enfin, le secteur de la technologie est le principal contributeur de la production de milliardaires aux USA. À ce titre, ne faudrait-il pas en Europe et en France un eco-système plus dynamique et une administration moins lourde pour les entreprises innovantes ? Probablement le plus important : ne faudrait-il pas éduquer à la prise de risque dans les universités et les écoles ? #USA #France #Musk #Bezos #Gates #Buffet #Zuckerberg #Technologie #Milliardaires

MARCHES FINANCIERS : oh my goV ! Un trader dopé par l'euphorie ambiante : les promesses de l'IA, les 7 magnifiques (META, TESLA, APPLE, ALPHABET, MICROSOFT, NVIDIA, AMAZON), l'envolée interminable du Bitcoin, se réveille subitement le mercredi 18 décembre. Le maître des clés, Jérôme POWELL, le gouverneur (goV) de la banque centrale américaine, signe la fin de la récréation et indique dans son communiqué, que les conditions monétaires (l'inflation) grippe la machine économique US. Et, rappelle qu'il sera particulièrement attentif à cela en 2025. Oh my goV! Les arbres ne montent pas jusqu'au ciel. On allait finir par l'oublier. #POWELL #META #TESL #APPLE #ALPHABET #MICROSOFT #NVIDIA #AMAZON #FED

ÉCONOMIE : les USA, tête de proue du monde de la dette L’infographie ci-dessous représente la part de la dette publique de chaque pays rapportée au montant total au niveau mondial. Sur la plus haute marche du podium, « and the winner is » : les USA avec 36T, loin devant la Chine 16T et le Japon à 10T. Aujourd’hui, la dette publique au niveau mondial s’élève à 102T* de dollars contre 60T en 2015. On assiste donc à une accélération considérable de la dette. Le monde, en panne de modèle de croissance vertueux, est-il encore possible de générer de la valeur en-dehors de cette manne délétère ? Économistes et politiques, à vos stylos ! À moins que le messie Trumpien, Elon Musk apporte quelques réponses concrètes … #dette #USA #Chine #Japon #Musk #Trump *comprendre 102 000 000 000 000 de dollars !

ÉCONOMIE : les USA, leaders du G7, un groupe en perte de vitesse. En 1980, les USA « pesait » 42% du PIB du G7. En 2024, ce pourcentage a progressé de 10 points et s’élève à 52%. « America first » est plus qu’un simple slogan Trumpien : les USA dominent le G7 en matière économique et cette tendance s’accentue. Si le G7 constitue une masse significative, son poids s’atténue à l’échelle mondiale, avec l’émergence de compétiteurs (notamment les BRICS+). Le 47ème président américain, inversera t-il cette dynamique ? Sa vision non coopérative, permet hélas d’en douter. #Trump #G7 #PIB #USA #BRICS

BOURSE / S&P500 : une petite histoire de la performance boursière. Quid de la performance boursière des titres qui composent le S&P500 selon l’horizon de temps ? Au-delà de quelques grands noms qui figurent dans l’image ci-contre, on observe que NVIDIA signe la meilleure performance au cours des 5, 10, 15, 20 dernières années. Et, que malgré l’engouement pour les 7 magnifiques (META, ALPHABET, APPLE, MICROSOFT, NVIDIA, AMAZON, TESLA), certaines sont peu ou pas présentes. À méditer pour l’investisseur long terme …

POLITIQUE US : face à Trump, le contre pouvoir de la FED Présidence, Chambre des représentants, Sénat, Trump a tout remporté. Et, ses premiers lieutenants pressentis au gouvernement sont évidemment pleinement alignés sur ses ambitions politiques. Il ne reste que le levier monétaire qui lui échappe et contre lequel il ne peut s’opposer : Trump ne peut forcer le gouverneur de la banque central à démissionner. Et, ce dernier, Jérôme Powell, compte bien mener une politique monétaire indépendante du pouvoir politique. L’élection de Trump a déclenché une forte hausse des marchés (Trump trade), Powell a rappelé le 14 novembre que seule la cible d’inflation compte, ce qui a provoqué un recul des marchés (Powell trade). Le graphique ci-contre illustre que face à Trump, il reste heureusement Powell.

En octobre 2024, se réunissaient les BRICS+ en Russie. Une guerre des mondes se prépare opposant l’Occident et les BRICS+ contestataires. Mon article, à paraître dans le magazine luxembourgeois Premium évoque les enjeux de ce sommet.

INDICES BOUSIERS : poursuivent leur mouvement de consolidation. La volatilité s’élève au-dessus de 20%. https://lnkd.in/edu7eigB

MARCHÉS FINANCIERS : tectonique boursière en 2024, quelle est la place de l’Europe ? Deux grandes tendances se dégagent en matière de capitalisation boursière en ce début d’année 2024 : - La prépondérance des Etats-Unis et la place des « Magnificent Seven » qui représentent à elles seules 25% du marché boursier américain - La place de l’Asie en embuscade derrière les États-Unis, et plus particulièrement l’émergence de l’Inde en 4ème place, derrière le Japon L’Europe subit une certaine forme de déclassement : elle ne bénéficie hélas pas de grandes entreprises de la révolution industrielle 4.0 à l’instar des États-Unis, ou d’une croissance forte comme certains pays asiatiques. Nous n’observons pas à ce jour de potentiel changement de trajectoire en rapport à ces deux paramètres. L’Europe est-elle vouée à définitivement devenir un nain boursier ? Illustration graphique : Visual Capitalist

BREAKING NEWS / ÉCONOMIE : l’économie américaine créé 275.000 emplois en février contre 198.000 attendu. Quid du pivot de la FED ? L’économie américaine surprend encore les marchés. En témoignent le taux de chômage au plus bas depuis des décennies et une croissance robuste. Dans le même temps, les pressions inflationnistes se sont amplement atténuées au cours des douze derniers mois : l’indice core-PCE s’élevant à 2,8% contre 5% il y a un an ! Dans ce contexte, le président de la banque centrale américaine (FED) ne se pressera pas d’infléchir sa politique monétaire et « abordera les baisses de taux avec prudence et réflexion », selon ses dires.