HUMAN2AI H2AI

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Production audiovisuelle

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Beyond Intelligence

À propos

At HUMAN2AI, we’re redefining creativity with AI. Our mission is to transform storytelling and film making, through cutting-edge, AI-driven content, bullet-proof consulting, and top-gun training, shaping the future of culture. (PROD + LEARN + TRANSFORM)2AI = HUMAN2AI

Secteur
Production audiovisuelle
Taille de l’entreprise
2-10 employés
Siège social
Paris, Île-de-France
Type
Société civile/Société commerciale/Autres types de sociétés
Fondée en
2024

Lieux

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Nouvelles

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    Peut-on faire rimer justice avec justesse avec l'IA ?

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    J comme Justice : une éthique pour l’avenir. Si l'on considère la justice comme l'Operating System de la société et que des algorithmes commencent à prendre des décisions, comment s’assurer qu’elles soient justes ? Prenons COMPAS, un algo utilisé dans le système judiciaire américain qui évalue le risque de récidive. Ce programme a été critiqué pour avoir des biais raciaux, donnant des scores de récidive plus élevés à des minorités. La justice exige que l’IA ne reproduise pas les biais des données qui l’entraînent, c'est un impératif. Lorsqu’un algorithme amplifie les inégalités, il ne s’agit plus seulement d’une erreur technique ou judiciaire, mais d’une double injustice ; se nourrissant du passé et impactant l'avenir. De la justice à la justesse. Une quête qui demande une posture : rester vigilant en interrogeant nos choix. Une IA juste doit non seulement être performante, mais être alignée avec les valeurs sociétales, équilibrant précision et nuance et en visant les valeurs de nos valeurs. Enfin, l’éthique, une boussole à garder en main, doit guider ces technologies. Mais pas une éthique théorique : une éthique appliquée servant le bien commun. Comme disait Paul Valéry : « Ce qui est simple est toujours faux. Ce qui ne l’est pas est inutilisable. » Entre ces deux extrêmes, l’IA doit amplifier le meilleur de l’humain, sans en trahir les valeurs. Et vous, qu'attendez-vous de l'IA pour garantir la justice ? Faudra-t-il auditer les algo comme un mécanisme de check & balances ?

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    J comme Justice : une éthique pour l’avenir. Si l'on considère la justice comme l'Operating System de la société et que des algorithmes commencent à prendre des décisions, comment s’assurer qu’elles soient justes ? Prenons COMPAS, un algo utilisé dans le système judiciaire américain qui évalue le risque de récidive. Ce programme a été critiqué pour avoir des biais raciaux, donnant des scores de récidive plus élevés à des minorités. La justice exige que l’IA ne reproduise pas les biais des données qui l’entraînent, c'est un impératif. Lorsqu’un algorithme amplifie les inégalités, il ne s’agit plus seulement d’une erreur technique ou judiciaire, mais d’une double injustice ; se nourrissant du passé et impactant l'avenir. De la justice à la justesse. Une quête qui demande une posture : rester vigilant en interrogeant nos choix. Une IA juste doit non seulement être performante, mais être alignée avec les valeurs sociétales, équilibrant précision et nuance et en visant les valeurs de nos valeurs. Enfin, l’éthique, une boussole à garder en main, doit guider ces technologies. Mais pas une éthique théorique : une éthique appliquée servant le bien commun. Comme disait Paul Valéry : « Ce qui est simple est toujours faux. Ce qui ne l’est pas est inutilisable. » Entre ces deux extrêmes, l’IA doit amplifier le meilleur de l’humain, sans en trahir les valeurs. Et vous, qu'attendez-vous de l'IA pour garantir la justice ? Faudra-t-il auditer les algo comme un mécanisme de check & balances ?

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    Extrait de notre newsletter "Beyond Intelligence" sur l’avenir de la production audiovisuelle par jean-yves le moine. Abonnez-vous ici : https://lnkd.in/ecRgsiEN IA & Cinéma, une révolution dans notre manière de créer, de produire et de consommer le cinéma. L'IA redéfinit les concepts de vérité et de réalité. Il ne s’agit plus seulement de l’authenticité des images, mais de comment elles peuvent être manipulées pour révéler des vérités plus profondes sur la condition humaine. Faut-il craindre ce changement ? Notre époque se distingue par la vitesse de ces transformations. L’IA modifie notre rapport au réel en proposant des expériences non entièrement créées par nous. Il nous appartient de ne pas nous laisser imposer une réalité non souhaitée. L’impact sur la production vidéo est indéniable, inaugurant une ère où la créativité est une collaboration entre intelligence humaine et artificielle. La production audiovisuelle future pourrait se diviser en trois segments : 1. Créations amateures assistées par l’IA : Films créés par des amateurs grâce à des outils d’IA simplifiant le processus. 2. Artistes maximisant l’IA : Artistes repoussant les limites de la créativité avec l’IA. 3. Production traditionnelle sans IA : Œuvres créées sans assistance de l’IA, la création « human made » devenant le nouveau luxe. L’IA favorise la transversalité entre technologie et créativité, mais peut aussi encourager une création automatisée et stéréotypée. Cette facilité à créer du contenu entraîne une saturation de productions médiocres, rendant la visibilité plus difficile. La curation humaine et algorithmique deviendra essentielle pour valoriser les œuvres de qualité. L’avenir de la création réside probablement dans la production de contenus par des artistes exploitant pleinement l’IA. Des outils comme Wonder Animation d’Autodesk permettent, à partir d’une simple vidéo, de générer une scène d’animation 3D contrôlable. Bientôt, les créateurs disposeront d’une maquette interactive en 3D, modifiable en temps réel, manipulant caméra, éclairage, décor, personnages et dialogues avec une flexibilité inégalée. L’IA permettra aussi d’inventer de nouvelles formes de contenus, où le spectateur oscillera entre mode actif et passif, entre jeu vidéo et cinéma. Des outils offriront la possibilité de personnaliser l’expérience, s’immerger dans l’histoire, modifier des aspects du récit. Le réalisateur gardera la maîtrise tout en stimulant l’imagination du public. En résumé, l’IA promet de bouleverser la production audiovisuelle, estompant la distinction entre créateur et spectateur, pour donner naissance à des œuvres riches, complexes et optiquement correctes. Cet avenir s’inscrit dans une vision où technologie et créativité fusionnent pour explorer de nouvelles frontières, repoussant les limites du réel et du possible. #IA #Cinema #Newluxury #Imagination

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    I comme Infini : L’horizon insaisissable des données de l'IA. Toute l'idée de l'avalanche tient dans le flocon. L’infini évoque un horizon qui recule sans cesse à mesure qu’on s’en approche. Dans le monde de l’intelligence artificielle (IA), cette image est souvent utilisée pour décrire la croissance exponentielle du contenu et des données nécessaires pour alimenter les modèles d’IA. Cependant, cette inflation de données n’est pas l’infini, mais simplement un très grand nombre. Ce qui distingue aujourd’hui l’IA de l’homme, c’est précisément cette capacité humaine à appréhender l’infini. L’homme, conscient de sa finitude et capable de comprendre la transcendance, peut envisager ce qui dépasse le simple calcul. C’est une porte ouverte sur la conscience, une dimension que l’IA, malgré sa puissance de traitement, ne peut atteindre. Cela pose un constat important : sans appréhension de l’infini, l’IA n’a pas de conscience. C’est une vision duale et catholique : l’homme est supérieur à la machine. Cette supériorité ne réside pas dans la quantité de données traitées, mais dans la capacité à donner du sens, à comprendre ce qui est au-delà du tangible. Face à l’accumulation massive de données générées chaque jour par les “8 milliards de prompteurs” que nous sommes, il est essentiel de se poser les bonnes questions. Qui contrôle ce flot incessant d’informations ? Où vont toutes ces créations de tous ces gens ? Face à cette inflation, comment choisir, comment arbitrer ? Il est donc indispensable de savoir gérer cette inflation de manière eco-responsable. Mettre en place des pratiques pour assurer la qualité, l’éthique et la sécurité des données constituant cet océan numérique. 👉 Toute l'idée de l'avalanche tient dans le flocon.

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    H comme Hallucination : L'Erreur Créative de l’IA. Peut-on croire en ce qui n’est pas ? En psychiatrie, l’hallucination est une perception sensorielle en l'absence de son stimulus : voir et entendre ce qui n’est pas par exemple. C’est l’un des phénomènes qui fascine dans les modèles d’IA actuels. Lorsque l'IA ne dispose pas d'assez d'informations pour répondre correctement à un prompt, elle « improvise », elle invente en toute opacité. Ca été le cas du Chatbot d’Air Canada qui indiquait des conditions de remboursement complètement fallacieuses. La compagnie a été condamnée à indemniser les passagers dans le sens de l’hallucination du bot. Ces erreurs soulèvent des questions éthiques : si l’IA peut générer des informations fausses mais crédibles, quel impact cela aura-t-il sur des secteurs comme le journalisme, la recherche ou le droit. Mais au-delà du problème, il y a un autre angle à explorer ; celui de la créativité humaine qui est souvent un mélange d'invention et d’interprétation, voire de mensonge. Ces "hallucinations" IA ne pourraient-elles pas être comparées à des œuvres de fiction ? L’IA n’a pas besoin d'être exacte à 100 % pour créer quelque chose de fascinant, voire d'utile. C’est là que réside le défi : comment pouvons-nous tirer parti de la créativité imprévisible de l’IA tout en gardant le contrôle sur les informations critiques qu’elle produit ? 👉 Autrement dit, devons nous laisser le Hasard mûrir en opportunité ? #AI #Hallucination #Ethics #Creativity

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    G comme Génératif : L'IA affabulatrice Du latin Generativus "Qui engendre, qui a rapport à la génération. Les facultés génératives du cerveau (Balzac, La fille aux yeux d'or 1835)" L’ère du contenu génératif a débuté avec les "Generative Pre-trained Transformers" [GPT] capables de créer du texte, des images, de la musique ou du code dans une démarche de production active. Lors du sommet Delivering Alpha CNBC, Ben Affleck (alias Batman) a exprimé son scepticisme quant à la capacité de l’IA à remplacer les créateurs humains dans l’industrie cinématographique. Il déclare : « L’IA peut écrire des vers imitatifs excellents qui sonnent élisabéthains. Elle ne peut pas écrire du Shakespeare. » Il rappelle que l’IA, bien qu’utile pour les tâches répétitives, ne peut remplacer les décisions artistiques humaines, telles que déterminer le moment opportun pour conclure une œuvre. Il reconnaît aussi que l’IA pourrait réduire les coûts de production et rendre la réalisation de films plus accessible, mais avertit que des domaines comme les effets visuels pourraient en pâtir. Lapalissade. Ces IA génératives génèrent-elles de la nouveauté ? Nouveauté au sens, inédit comportant une prime d'incomparabilité, donc une originalité au sens de notre code de la propriété intellectuelle. Celle qui déstabilise et qui stupéfait et qui comporte l'empreinte de son auteur ? Face au cheminement créatif de l'homme créateur, fait d'inspiration et de tuilage, nous avons à faire face à la puissance de ces modèles génératifs : cadence de tir et quantité. Et il est certain que déjà, dans certains domaines, elle le fasse mieux que l'homme. Si bien que se pose la question de la curation et de notre interaction face à tous ces contenus. 👉Michel-Ange disait : l’art naît de contrainte et meurt de liberté, est-en encore juste de le croire ? #Generative GPT#Creativity #Originalité

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