Institut Terram

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Think tanks

Penser, innover et agir pour nos territoires.

À propos

L’Institut Terram est un groupe de réflexion collégial et multidisciplinaire dédié à l’étude des territoires. Il fait de la dynamique territoriale un pilier central de l’innovation économique, industrielle et numérique, de la préservation de l’environnement et de la décarbonation, de l’accès aux services publics, de la valorisation du patrimoine culturel et de la cohésion sociale. L’institut se concentre sur la production et l'édition d'une gamme variée de contenus à caractère scientifique, comprenant des rapports, des monographies, des études de cas, des enquêtes d'opinion et des travaux cartographiques. Pour chaque publication, des contenus numériques sont développés, afin d'atteindre un public diversifié, en particulier les jeunes générations qui doivent être au cœur du changement de demain. Le Son des territoires, un podcast de l’Institut Terram, explore les initiatives, les défis et les perspectives qui façonnent nos espaces de vie. Par ses travaux, l'institut contribue à revitaliser le débat public, facilite les échanges d’idées et est à l’initiative de recommandations concrètes au service de l’intérêt général. Son expertise repose sur la diversité des acteurs et la synergie de compétences. Il réunit des chercheurs, des experts, des représentants d’entreprises, des fonctionnaires et des acteurs de la société civile. L’Institut Terram est une association à but non lucratif et un think tank indépendant, sans affiliation politique.

Secteur
Think tanks
Taille de l’entreprise
2-10 employés
Siège social
Paris
Type
Non lucratif
Fondée en
2023

Lieux

Employés chez Institut Terram

Nouvelles

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    Voir des mégots négligemment jetés par terre, ou des emballages plastiques qui s’envolent, ça vous irrite ? 😡 Alors ce post risque de vous agacer ! On y apprend que, contrairement à ce que l’on pourrait penser, nos campagnes ne sont pas épargnées par l’abandon de déchets sur la voie publique.   🍂 En réalité, les habitants de zones rurales ont un rapport paradoxal à cette problématique. Pour eux, la dégradation de l’environnement est un enjeu palpable, et une très grande majorité (80%) s’en préoccupent. De fait, ils sont particulièrement intolérants (80%) envers l’abandon de déchets.   🗑️ Pourtant en pratique, leur comportement n’est pas toujours exemplaire. 21% des sondés laissent parfois un papier ou emballage dans la rue. Et ce, alors même que les plus jeunes sont aussi les plus inquiets pour l’environnement. Pour les mégots, c’est pire : en zone rurale, 1 fumeur sur 2 les abandonne parfois sur la voie publique ! 🚬   Pourquoi les habitants continuent-ils d’abandonner leurs déchets ? 🤔   Dans certains cas, ce geste peut être perçu comme anodin. 51 % pensent par exemple que les petits déchets se décomposent rapidement. Or cette vision est trompeuse, même pour les déchets organiques.   Par ailleurs, 49% soulignent un manque d’infrastructures et 25% regrettent un problème de lisibilité, le fonctionnement et l'utilité des points de collecte étant parfois jugés « incompréhensibles ».   Au niveau des mesures à prendre, les résultats révèlent un mélange de besoins concrets en matière d’infrastructures de collecte (27%), mais aussi plus de sanctions (26%) et des programmes de sensibilisation dès le plus jeune âge. 👏 Bravo à Datagora pour cette excellente synthèse de notre étude Institut Terram « Les ruraux face aux déchets sauvages : principes, pratiques, attentes », écrite par Victor Delage et en libre accès sur www.institut-terram.org.

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    DG chez Générations & Co | Conseil en Stratégie Marketing & Transformation | Membre d'Eklore | Engagée pour un Marketing contributif

    Il y a des organisations qui font vraiment œuvre d'intérêt général ! Parmi ceux-là, l'Institut Terram. 🙏 J'avais gardé dans ma liste "à lire" l'excellent récent rapport du think tank "𝗟'𝗶𝗺𝗮𝗴𝗶𝗻𝗮𝗶𝗿𝗲 𝘁𝗲𝗿𝗿𝗶𝘁𝗼𝗿𝗶𝗮𝗹 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗮𝗿𝗾𝘂𝗲𝘀", signé Raphaël LLorca, après avoir dévoré les rapports précédents qui mettent en lumière le rapport entre territoires (géographiques) et phénomènes de société. C'est peu dire que je recommande la lecture attentive de ce rapport, qui fait se rencontrer 2 de mes plus grands centres d'intérêts - les #marques et les #territoires -, pour démontrer combien l'un et l'autre s'influencent, s'utilisent, et se transforment ensemble. 𝗣𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗺𝗲𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗘𝗧 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗽𝗶𝗿𝗲 (lire l'exemple de Burger King, qui fait fort en appropriation culturelle). 🤨 "C'est l'évidence", me dirons certains : le narratif est facteur de transformation de la réalité. D'ailleurs, nous en sommes même tous et toutes ... victimes. En positif, c'est plus souvent le terme de "récit" (CEC (Convention des Entreprises pour le Climat) nouveaux récits) dont on l'habille, avec, à la fin, le même but : dire autrement pour changer les perceptions et à la fin, la réalité, dans un intérêt précis. Nous, professionnels du #marketing, le savons : nous avons la mission de créer le désir pour des modèles déconsidérés par des consommateurs addicts à la possession et l'accumulation : location, abonnements, réparation, localisation, abandon, #robustesse. 𝗦𝗮𝗻𝘀 𝗱𝗲́𝘀𝗶𝗿, 𝗽𝗼𝗶𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝘀𝗮𝗹𝘂𝘁, 𝗰𝗮𝗿 𝗽𝗮𝘀 𝗱𝗲 𝗺𝗮𝗿𝗰𝗵𝗲́. (Luc Teerlinck) Sans désir, c'est ad vitam æternam la lutte entre fin du mois et fin du monde. 💕 MAIS quel désir ? Et pour quel modèle ? Et pour quelle réalité transformée ? Quel commun ? Pour les #marques, l’enjeu n’est plus simplement de survivre à la transformation écologique et sociale – 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗱’𝗲𝗻 𝗱𝗲𝘃𝗲𝗻𝗶𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝗮𝗿𝗰𝗵𝗶𝘁𝗲𝗰𝘁𝗲𝘀 📐 , dans une forme d’opportunisme engagé dans lequel tout le monde trouve son compte. Ce que (dé)montre ce rapport, entre autres, c'est l’exigence d'un 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗲 𝗲́𝘁𝗵𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗰𝗼𝗹𝗹𝗲́𝗴𝗶𝗮𝗹 dans l'architecture de ces nouveaux récits, en particulier lorsqu'ils s'appuient sur ce qui fonde le commun local : le territoire, son histoire, ses traditions, ses repères, ses hommes et ses femmes. Parce que le #greenwashing est méprisable, et le #territoire-washing tout autant. Liens utiles en 1ers commentaires. Claire-Agnès Gueutin Isabelle Châtillon Valérie DEBRAY-LOUIS COBB Olivier Hamant Laurence Capieu 🦋 ----------------------- Je suis Isabelle, femme, citoyenne et professionnelle engagée. Avec 25 ans d'expérience en #marketing et #conseil, j'accompagne entreprises et entrepreneur.e.s dans la définition de leur stratégie en alignant leurs aspirations profondes avec des actions concrètes. Membre d'Eklore, je milite pour un #marketing contributif et engagé, et m'engage à déployer les modèles d'affaire durables et #régénératifs.

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    Marianne Enault Marianne Enault est un Influencer

    Journaliste

    Durant l'été 2019, le maire de Signes, dans le Var, était mortellement écrasé par un ouvrier venu vider ses gravats dans un dépôt sauvage. Ce fait divers tragique avait mis en lumière le phénomène des décharges sauvages aux abords des petites communes notamment. Cinq ans après, et à l'occasion du Salon des Maires et des Collectivités Association des maires de France et des présidents d'intercommunalité , Institut Terram Victor Delage publie cette enquête réalisée par OpinionWay auprès des ruraux. Les enseignements sont intéressants, et notamment ce paradoxe : s'ils sont très attachés à leur cadre de vie et impactés par la transformation de leur environnement sous l'effet du changement climatique, nombre d'entre eux pratiquent le "littering", à savoir le fait de jeter un déchet dans l'espace public. Plusieurs raisons à cela, dont une mauvaise perception de la capacité de ces déchets à se détériorer et une faible appréhension des conséquences collectives d'un acte individuel. Mais pas seulement : ils évoquent aussi le manque d'infrastructures et le peu de lisibilité des points de collecte actuels. "Pour que la norme soit non seulement acceptée, mais aussi pratiquée, elle doit être soutenue par des infrastructures adéquates, accessibles et en nombre suffisant", analyse Victor Delage. "Or, le déficit d’infrastructures de gestion des déchets est une problématique majeure à la campagne." D'autres détails à découvrir ci-dessous.

    Dépôts sauvages d'ordures : 49% des ruraux déplorent un manque d'infrastructures pour jeter leurs petits déchets | TF1 INFO

    Dépôts sauvages d'ordures : 49% des ruraux déplorent un manque d'infrastructures pour jeter leurs petits déchets | TF1 INFO

    tf1info.fr

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    💬 « Si les jeunes ruraux se révèlent être la classe d’âge la plus préoccupée par les enjeux environnementaux, ils sont paradoxalement aussi ceux qui abandonnent le plus fréquemment leurs déchets dans l’espace public.  Ainsi, 38 % d’entre eux déclarent jeter au moins "de temps en temps" des trognons de fruits, contre seulement 23 % des 50 ans et plus. Des écarts significatifs s’observent pour d’autres types de déchets testés, comme les papiers et emballages (29 % des moins de 35 ans contre 14 % des 50 ans et plus), les chewing-gums (27 % contre 12 %), les mégots (22 % contre 9 %) et les bouteilles en plastique ou canettes (13 % contre 2 %). Ce paradoxe s’explique en partie par un phénomène bien documenté : le fossé attitude-comportement (attitude-behavior gap). Les jeunes ont globalement intégré les discours sur la préservation de l’environnement et l’urgence climatique, omniprésents dans le débat public. Cependant, cette sensibilisation, souvent théorique et parfois éloignée de la réalité des gestes du quotidien, ne se traduit pas toujours par une transformation durable des comportements. Un autre facteur explicatif est lié à la perception du déchet lui-même. Une proportion importante des jeunes ruraux justifient leur littering par des croyances erronées, selon lesquelles les petits déchets se décomposeraient rapidement et seraient absorbés par la nature sans causer de nuisance durable. » 👉 Entretien de Victor Delage avec Etienne Campion pour Marianne sur son étude Institut Terram « Les ruraux face aux déchets sauvages : principes, pratiques, attentes » (urls.fr/bT3Bth).

    Décharge sauvage en France rurale : les principaux pollueurs ne sont pas ceux qu'on imagine

    Décharge sauvage en France rurale : les principaux pollueurs ne sont pas ceux qu'on imagine

    marianne.net

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    Lors du Salon des Maires et des Collectivités, Nicolas Portier a participé à une table ronde pour présenter son étude Institut Terram « Très petites entreprises : une force économique pour le développement des territoires » (urls.fr/UCLtIO). Il y a mis en avant trois caractéristiques majeures : 1️⃣ les TPE sont très connectées à l’économie de proximité, dite « présentielle », centrée sur la consommation locale ; 2️⃣ la répartition géographique des TPE est ubiquitaire, leur poids dans l’emploi s’avérant même proportionnellement plus élevé dans les ruralités et les petites agglomérations que dans les métropoles, de même qu’il est plus significatif dans la moitié sud du pays ; 3️⃣ le tissu des TPE, relativement stable, même s’il est constamment renouvelé par le turn over des créations et liquidations, joue un rôle de couche protectrice pour les économies locales et contribue à amortir les chocs des crises. Un riche échange avec Françoise Gatel, ministre déléguée à la Ruralité, au Commerce et à l’Artisanat, Michel Picon, président de l'U2P, Laurence Porte, vice-présidente de l’Association des Petites Villes de France, maire de Montbard, Louis Pautrel, membre du Bureau de l’Association des Maires Ruraux de France - AMRF , maire de Le Ferré et Diane Gallais, directrice adjointe des programmes Action Cœur de Ville à l’ANCTerritoires. La table ronde était animée par la journaliste Isabelle Moreau.

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    Victor Delage, fondateur de l'Institut Terram, était invité sur France Bleu pour présenter les principaux enseignements de son étude « Les ruraux face aux déchets sauvages : principes, pratiques, attentes » (urls.fr/bT3Bth). Les habitants des zones rurales attendent la mise en place de solutions complètes et pragmatiques, alliant infrastructures adaptées, responsabilisation des individus et éducation continue. Selon les données de l'étude, la moitié des ruraux (49 %) déplorent un manque d’infrastructures pour jeter leurs petits déchets dans leur commune et un quart (25 %) considère que le fonctionnement et l’utilité des points de collecte sont « incompréhensibles ». Citoyens, élus locaux, collectivités territoriales, acteurs publics et privés doivent conjuguer leurs efforts pour bâtir un modèle de gestion des déchets en milieu rural à la fois durable et cohérent. Les enjeux soulevés ne concernent pas uniquement la propreté des espaces, mais aussi le respect de l’environnement, le renforcement du lien social et de la discipline collective, et, plus largement, la préservation du cadre de vie des générations actuelles et futures. 📖 Pour lire l'étude, en libre accès : urls.fr/bT3Bth

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    Voici la nouvelle étude de l'Institut Terram, intitulée « Les ruraux face aux déchets sauvages : principes, pratiques, attentes », par Victor Delage 👇 Cette étude explore pour la première fois le rapport des ruraux vis-à-vis des déchets sauvages. Les données récoltées mettent en lumière une dissonance entre principes et pratiques : si les habitants des campagnes, en première ligne face aux bouleversements environnementaux, affichent un profond respect pour leur cadre de vie et condamnent fermement les incivilités liées à l’abandon de déchets, une proportion non négligeable continue à pratiquer le "littering". L’enjeu est d’autant plus complexe que ces comportements ne se limitent pas à une simple question d’incivilité. Ils touchent à des dynamiques sociales, politiques et morales, où se croisent la tolérance à l’égard de certains gestes, l’influence du contexte socio-économique et le rapport à l’espace public. L’étude s’intéresse également aux attentes des habitants en matière de solutions, révélant une aspiration commune à des mesures alliant infrastructures plus nombreuses et mieux adaptées, sanctions dissuasives et sensibilisation renforcée. L'enquête a été administrée par OpinionWay et menée auprès d’un échantillon représentatif de 1 082 résidents ruraux âgés de 18 ans et plus. 📖 Pour lire l'étude, en libre accès : urls.fr/bT3Bth

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