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Type
Société civile/Société commerciale/Autres types de sociétés
Fondée en
2016
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Nouvelles

  • 🐟 En pleines vacances scolaires, les enfants sont légion à l’aquarium de Canet-en-Roussillon. En rangs serrés et accompagnés par des animateurs ou au bras de leurs grands-parents, ces tout-petits ne cachent pas leur enthousiasme face aux animaux qui évoluent derrière les vitres épaisses. Cet article fait partie de notre série : « Dans les coulisses de l’aquarium Oniria ». Au-delà de l’aspect ludique de la sortie, les responsables d’Oniria se font un point d’honneur à jouer un rôle dans l’éveil des consciences en matière de connaissance du milieu aquatique. Patrick Masanet, directeur et conservateur, reprend à son compte les propos de Jacques Cousteau, « on protège ce qu’on aime, et on aime ce qu’on connaît ». C’est à partir de cette maxime que Patrick Masanet a fait le choix d’équiper l’aquarium de plusieurs salles pédagogiques, mais aussi d’accompagner les enfants dans la découverte des animaux « hébergés » dans les Biohut. Ces refuges artificiels sont installés sous les pontons du port de Canet-en-Roussillon. L’objectif de ces cages en acier zingué est d’offrir aux larves un abri. « Notre port contribue ainsi à l’amélioration de la biodiversité ». Et chaque relève de Biohut devient une occasion pour les enfants de découvrir les animaux qui s’y cachent. ✍️ Un article signé Maite Torres ► Aquarium Oniria, ECOCEAN, Mairie de Canet-en-Roussillon, Canet-en-Roussillon Tourisme, Stéphane Loda #aquarium #sensibilisation #pédagogie #découverte #biodiversité

  • Trois ans après le début du conflit en Ukraine, près de 1 200 Ukrainiens vivent désormais dans les Pyrénées-Orientales. L’occasion de faire le point sur l’accueil de ces familles contraintes de fuir la guerre. L’association Alliance Occitanie Ukraine et l’Association Catalane d’Actions et de Liaisons (ACAL) nous dressent le bilan de leurs actions. Aujourd’hui, certaines voix s’élèvent contre la solidarité envers le peuple ukrainien, qui se ferait au détriment des Français. Selon l’Ipsos 66% des personnes interrogées estiment tout de même que le soutien européen à l’Ukraine doit continuer. Créée en 1961, l’ACAL (Association Catalane d’Actions et de Liaisons) est une association qui a pour objectif de lutter contre les exclusions. « Elle est organisée en trois pôles : le pôle asile, le pôle familles et isolés et le pôle insertion par le logement », nous explique Camille Grau, directrice adjointe. Dans les Pyrénées-Orientales, l’ACAL accompagne chaque année 5 000 personnes. Quant à l’Alliance Occitanie Ukraine, l’organisation a 17 ans, et est la plus ancienne association ukrainienne en France. Jeanine Lesko a créé cette association pour faire connaître son pays. « Au début, c’était des échanges culturels et sportifs, puis on a basculé dans un contexte humanitaire assez rapidement », nous explique Guillaume Lopez, trésorier de l’association. ✍️ Un article signé Célia Lespinasse

  • À #Perpignan, l’association Les Ateliers du Réemploi, fondée par un collectif d’architectes, de maçons et de designers, s’engage à limiter le gaspillage dans le bâtiment en récupérant et revalorisant des matériaux destinés à l’abandon. L’objectif ? Offrir une alternative écologique et éthique pour éviter que parpaings, planches et briques ne finissent oubliés dans un garage ou en décharge.

  • 🍌 Très présente aux Antilles, la culture de la banane prend racine dans les Pyrénées-Orientales, où la production s’est développée avec le changement climatique. À Pollestres, Didier Salgado est producteur bio de tomates, aubergines, courgettes et concombres. Il y a quelques années, le maraîcher a fait le choix de la diversification. Aujourd’hui, sous les serres de Didier, 300 plants de bananiers produisent chaque année 30 régimes de bananes. Mais il a suffi de quelques nuits consécutives aux températures négatives pour amputer la production. Il y a trente ans, Didier a repris l’exploitation agricole familiale. Sur les six hectares de la ferme La Devèze poussent, dans une première serre, des agrumes, avec des rotations de tomates, courgettes, et aubergines. Sous un deuxième abri, le maraîcher cultive des avocats avec des rotations d’oignons et d’ail. Derrière ces lignes de légumes sont installés des bananiers. Le maraîcher a choisi la Cavendish, la variété la plus connue, et qui a l’avantage de pousser toute l’année, sans égard pour les saisons. ✍️ Un article signé Célia Lespinasse

  • La veille des révélations vendredi 21 février 2025 du maire de Rivesaltes, le parquet a ouvert une enquête pour « violation de sépulture ». En parallèle, l’association Génération Harkis demande à la ministre déléguée chargée de la Mémoire et des Anciens Combattants, Patricia Mirallès, de saisir le procureur de la République. Durant la réunion du 21 février dernier, Abderahmen Moumen, membre du conseil scientifique du mémorial du camp de Rivesaltes, et chercheur associé au Telemme* a déclaré que sur la période de 1962 à 1965, au camp militaire Joffre de Rivesaltes « il y a eu des décès, parfois naturels, mais aussi liés aux conditions de vie dans le camp ; le froid, le traumatisme, le contexte psychologique de déracinement et de violence qu’a subis une partie de ces familles, mais aussi des meurtres. Il y a aussi eu cela dans le camp de Rivesaltes. » Des propos repris dans une lettre recommandée de l’association Génération Harkis représentée par Mohammed Djafour, également diffusée sur les réseaux sociaux (et dont L’agglorieuse a pu avoir connaissance). « Il convient de déduire de cette déclaration de Monsieur Abderhamen Moumen qu’un certain nombre de cadavres disparus au camp de Rivesaltes procède ou découle de meurtres ou homicides. Dès lors, cette affaire ne se résume pas à une seule affaire administrative. » ✍️ Un article signé Maite Torres

  • 👮🏻♂️ Ce 25 février 2025, plus d’une trentaine d’agents des forces de l’ordre étaient mobilisés pour contrôler des trains en gare de Perpignan. Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, a dévoilé vendredi 21 février dernier le Plan d’action départemental de restauration de la sécurité du quotidien (PADRSQ). Les Pyrénées-Orientales font partie de ce dispositif national qui s’articule autour de trois grands axes. Pour concrétiser la volonté du ministre de l’Intérieur, les services de sécurité des Pyrénées-Orientales organisaient ce 25 février une vaste opération de sécurisation de la gare de Perpignan et de ses abords. Objectif du déploiement d’une trentaine de fonctionnaires de la police aux frontières locales ou nationales : lutter tous azimuts contre l’immigration irrégulière, le terrorisme, le trafic de stupéfiants, et contre toutes les formes de criminalité de façon générale. Ne serait-ce qu’une opération de communication des services du ministère de l’Intérieur ? Le secrétaire général de la préfecture, Bruno Berthet, rétorque que « c’est un rappel de nos missions essentielles qui sont d’assurer la sécurité au quotidien ; et pas juste de réprimer ou d’arrêter, mais aussi d’avoir une présence pour éviter les infractions. » Selon le sous-préfet, le plan d’action n’est pas juste « une opération coup de poing », il est prévu de le déployer sur la durée. ✍️ Un article signé Clement Bassot

  • Depuis la polémique autour des activités dites « de loisirs » pour les détenus, à Perpignan comme ailleurs, l’ensemble des programmes culturels est à l’arrêt. Tout est parti d’un communiqué du 12 février 2025 de Force ouvrière pénitentiaire dénonçant « des soins du visage payés par nos impôts » pour les détenus de la prison de Seysses en Haute-Garonne. Le syndicat des personnels pénitentiaire remet en question l’utilité de ces ateliers : « Est-ce réellement utile pour la réinsertion du détenu ? ». L’extrême droite s’est immédiatement emparée de l’affaire et le très droitier ministre de la Justice Gérald Darmanin a réagi via une circulaire interdisant toute activité « ludique » ou « provocante ».

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