orson.

orson.

Services et conseil aux entreprises

Paris, Île-de-France 426 abonnés

CEO ADVISORY FIRM

À propos

Orson is the first global strategy and communication advisory firm to leverage artificial intelligence for executive success. Orson works hand in hand with CEOs on one of their primary responsibilities: building, maintaining, and protecting trust in their organizations. The firm aims at informing decision-making on issues of growth, reputation, transformation and crisis management, in France and internationally. Based on the unique combination of senior advisory skills and algorithms, Orson brings the best of human and artificial intelligence for companies’ success.

Site web
http://www.orson.ai
Secteur
Services et conseil aux entreprises
Taille de l’entreprise
2-10 employés
Siège social
Paris, Île-de-France
Type
Société civile/Société commerciale/Autres types de sociétés
Fondée en
2021

Lieux

Employés chez orson.

Nouvelles

  • Voir la page d’organisation pour orson., visuel

    426  abonnés

    orson. est heureux d’annoncer la nomination de Pierre Fraidenraich en tant qu’Associé. Avec 25 ans d’expérience dans les médias et la communication, Pierre apporte une expertise unique au cabinet. Aux côtés de Mouna Sepehri et Patrick ROPERT, cofondateurs d’Orson, il jouera un rôle clé dans le développement du cabinet, en apportant son expertise approfondie de l’écosystème médiatique. Au cours de sa carrière, Pierre a occupé plusieurs postes de direction dans des groupes de médias de premier plan. D’abord reporter, grand reporter puis présentateur des journaux de France 3, il a fondé Infosport avant de diriger la News Sport Factory du CANAL+ Group+, puis i>Télé, BFM Business et plus récemment B Smart. Son arrivée vient renforcer notre expertise dans la communication et les relations publiques, en s’appuyant sur une compréhension fine des attentes et dynamiques du secteur médiatique. #Orson #Conseil #Communication #Media #Leadership #Stratégie #Développement Francois Oustry, PhD Frank Paul Weber, Gaël Durand-Perdriel

    • Aucune description alternative pour cette image
  • Voir la page d’organisation pour orson., visuel

    426  abonnés

    Dans son article The World Needs a Pro-Human AI Agenda publié par Project Syndicate, l’économiste et lauréat du prix Nobel Daron Acemoglu nous alerte : l'obsession actuelle pour l’Intelligence Artificielle Générale (AGI) détourne les investissements des applications pratiques et utiles de l'IA. Plutôt que de focaliser l’IA sur l’automatisation visant à remplacer les travailleurs, il préconise une intelligence artificielle informative et pro-humaine, conçue pour enrichir nos capacités et relever les défis majeurs de nos sociétés : éducation, santé, industrie.

  • Voir la page d’organisation pour orson., visuel

    426  abonnés

    Dans leur article « Europe’s Existential AI Challenge » publié dans Project Syndicate, Bertrand Badré et Charles Ferguson passent au crible l’écosystème des start-ups en Europe, levier essentiel de compétitivité à l’ère de l’IA. En confrontant le modèle européen à celui des Etats-Unis, ils proposent de précieuses pistes stratégiques pour favoriser l’émergence de leaders européens. Lire l'article :  https://lnkd.in/eYrr4M_m

  • Voir la page d’organisation pour orson., visuel

    426  abonnés

    orson. est fier d’annoncer son partenariat avec Project Syndicate. Cette collaboration représente une étape importante pour Orson., qui s’associe à un média reconnu pour la qualité de ses analyses, présentées par des penseurs, dirigeants et experts internationaux. Fondé en 1994, Project Syndicate est une organisation à but non lucratif créée pour encourager le débat d'idées entre l'Est et l'Ouest. Sa mission: renforcer l'indépendance des médias dans les jeunes démocraties d'Europe de l'Est, et soutenir la formation des journalistes dans les pays émergents. Aujourd'hui, sous la direction de Nicolas Chatara-Morse, Project Syndicate est implanté dans 156 pays et publie les analyses de près de 600 contributeurs chaque année. La France y occupe une place de choix, notamment grâce au travail éditorial de Jean Rognetta. Attaché à décrypter l'époque dans toutes ses dimensions, Project Syndicate a lancé une section dédiée à l'intelligence artificielle supervisée par l'excellent Charles Ferguson et à laquelle orson. se réjouit de collaborer. À l’ère des bouleversements technologiques, offrir une tribune à des voix éclairées est plus que jamais essentiel.

    • Aucune description alternative pour cette image
  • Voir la page d’organisation pour orson., visuel

    426  abonnés

    orson. est heureux d'annoncer la nomination de Frank Paul Weber en tant qu'Associé représentant en Allemagne. Avec plus de 20 ans d’expérience dans les domaines de la communication, des affaires publiques et du conseil aux dirigeants, Frank Paul Weber apporte une expertise unique au cabinet. Aux côtés de Mouna Sepehri et Patrick Ropert, Frank Paul aura pour mission d’accompagner les entreprises et dirigeants en Allemagne et en France en renforçant la présence internationale du cabinet. Auparavant, Frank Paul a été conseiller au cabinet du ministre fédéral allemand des Finances et porte-parole du ministère pour Wolfgang Schäuble et Olaf Scholz, après avoir dirigé la communication internationale du Groupe SNCF. Son parcours en tant que journaliste pour La Tribune et président de l’Association de la presse étrangère en Allemagne témoigne de son réseau d’influence parmi les leaders d'opinion européens. Son arrivée renforce notre capacité à accompagner nos clients dans leur stratégie de communication et de développement international, en tirant parti de son vaste réseau et de son expertise en affaires publiques. #Orson #Conseil #Communication #AffairesPubliques #Leadership #Stratégie #DéveloppementInternational #Allemagne #France Mouna Sepehri Patrick ROPERT Francois Oustry, PhD

    • Aucune description alternative pour cette image
  • orson. a republié ceci

    Voir le profil de Patrick ROPERT, visuel

    Cofounder chez orson.

    Ce qui se joue aux Etats-Unis nous attend en Europe. Jamais l’issue d’une élection présidentielle aux États-Unis n’aura semblé aussi incertaine. Au-delà de la question de savoir qui franchira les portes de la Maison-Blanche, c’est aussi l’après-élection qui inquiète, dans une Amérique toujours marquée par les images saisissantes de l’assaut du Capitole. Une certitude apparaît néanmoins en cette fin de campagne : les médias traditionnels ont été complètement éclipsés. Télévision, radio, presse écrite... Tous se sont effacés devant l’influence croissante des podcasteurs, influenceurs et streameurs. Leur audience, considérablement amplifiée par une société post-Covid digitalisée, suit désormais des discours ciblés qui parlent moins à l’Américain moyen qu’à des segments spécifiques de la population. Il faut reconnaître à ces nouveaux acteurs médiatiques d’être dans l’air du temps. Leurs formats sont efficaces, informatifs et accessibles : ils restituent la politique dans la langue de l’époque. Mais le choix de ces canaux d’expression alternatifs tient aussi à des considérations opérationnelles. Dans ces nouveaux médias, il n’existe plus de contradictoire ni de « fact-checking ». Les opinions différentes se déroulent chacune dans leur coin, et ne se croisent jamais. Cette dynamique, qui s’accentue au fil des campagnes, participe à une polarisation croissante au sein d’une société déjà très fragmentée. Conséquence : une campagne marquée par une violence verbale rarement atteinte au cours des cinquante dernières années.

    • Aucune description alternative pour cette image
  • orson. a republié ceci

    Voir le profil de Patrick ROPERT, visuel

    Cofounder chez orson.

    Loin des visions dystopiques ou de l'optimisme aveugle, Daron Acemoglu fait entendre une voix originale et salutaire sur l’intelligence artificielle. À un moment où l'IA occupe toutes les conversations, son analyse nous est précieuse pour naviguer dans la pluralité des discours dans l'objectif de faire de cette technologie un outil de progrès.  orson. a d'ailleurs chroniqué cette approche visant à réconcilier technologie et bien commun ici : https://lnkd.in/etA-NxUr De ses plus récents travaux, on peut retenir trois leçons essentielles : 1/ La combinaison, plutôt que remplacement L’IA ne doit pas se contenter de remplacer les fonctions proprement humaines, mais doit venir les sublimer. Sur l'ensemble de la chaîne de valeur, l’avenir réside dans la collaborations homme-machine. L’IA optimise des tâches spécifiques, laissant les humains se concentrer sur ce qu’ils font le mieux : la créativité, le jugement et le lien social. 2/ La pédagogie, voie royale de l’IA Plus que tout autre, la pédagogie est le domaine dans lequel l'IA aura un impact positif sur le bien commun. Elle doit pour ça combiner deux atouts : des bases de données fiables, mais surtout une grande écoute accordée au savoir-faire proprement humain des enseignants. 3/ Comprendre pour décider Pour les dirigeants, il est crucial de développer une connaissance propriétaire des technologies émergentes. A l'heure où les possibilités d'intégration de l'IA se multiplient, faire un choix éclairé requiert de se familiariser avec un paysage technologique en constante évolution. L’IA est sans aucun doute l’enjeu technologique du siècle. Mais pour en tirer son plein potentiel, les entreprises devront aller plus loin que les solutions toutes faites et construire des synergies qui font sens. C’est cette exigence qui permettra de transformer l’IA en levier de progrès.

    • Aucune description alternative pour cette image
  • orson. a republié ceci

    Voir le profil de Patrick ROPERT, visuel

    Cofounder chez orson.

    L’instabilité entraîne l'incertitude, l'incertitude entraîne la fragilité. Les mots que nous choisissons pour décrire le monde sont révélateurs de notre perception. Pendant des décennies, l'acronyme 𝐕𝐔𝐂𝐀 (𝐕𝐨𝐥𝐚𝐭𝐢𝐥𝐢𝐭𝐲, 𝐔𝐧𝐜𝐞𝐫𝐭𝐚𝐢𝐧𝐭𝐲, 𝐂𝐨𝐦𝐩𝐥𝐞𝐱𝐢𝐭𝐲, 𝐀𝐦𝐛𝐢𝐠𝐮𝐢𝐭𝐲) a structuré le discours sur les crises économiques et géopolitiques propres à l'après-guerre froide. Aujourd'hui, un nouveau terme émerge : 𝐁𝐀𝐍𝐈 (𝐁𝐫𝐢𝐭𝐭𝐥𝐞, 𝐀𝐧𝐱𝐢𝐨𝐮𝐬, 𝐍𝐨𝐧𝐥𝐢𝐧𝐞𝐚𝐫, 𝐈𝐧𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐞𝐡𝐞𝐧𝐬𝐢𝐛𝐥𝐞). D'abord apparu outre-Atlantique, il a fait irruption dans la réflexion des dirigeants français dans cette période d'incertitude politique et économique que nous traversons. Plus qu'un changement d'acronyme, BANI sonne comme un symptôme. Face au besoin de comprendre la complexité du monde, il exprime une époque où même les structures les plus stables paraissent fragiles, et l'avenir incompréhensible. À l'heure où la fragilité et l'anxiété prennent le pas, la confiance est le levier le plus puissant dont nous disposons pour donner le cap. La confiance est un axe stratégique.

    • Aucune description alternative pour cette image
  • Voir la page d’organisation pour orson., visuel

    426  abonnés

    orson. a le plaisir d’annoncer la nomination de Francois Oustry, PhD en tant qu’associé. Aux côtés de Mouna Sepehri et Patrick ROPERT, la priorité de François Oustry sera de mettre l’intelligence artificielle au service de la réussite des entreprises et de leurs dirigeants. François Oustry était auparavant Senior Vice President de la société de gestion d’actifs AllianceBernstein suite au rachat de la fintech Suzugia Limited, qu’il avait cofondée en 2019, spécialisée dans l’utilisation de l’IA dans les stratégies d’investissements. Fort de son expérience de dirigeant et de sa maîtrise des outils algorithmiques et digitaux, François Oustry vient aujourd’hui renforcer l’offre Technologie & Stratégie du cabinet orson. Bénéficiant de son approche pratique de l’IA, orson pourra enrichir toujours plus son offre de conseil et accélérer le développement des outils permettant de tirer le meilleur profit de l’IA pour répondre aux nouveaux défis des entreprises.

    • Aucune description alternative pour cette image

Pages similaires