Nous commençons aujourd'hui un nouveau chapitre de notre guide sur les cessions & acquisitions d'entreprises : L'ACQUISITION. 1ere étape de ce chapitre : comment se préparer à le reprise de sociétés ? Une acquisition peut-être plus avantageuse que la création d’une entreprise, notamment du fait de la clientèle et des fournisseurs préexistants, ainsi que des partenariats déjà en place. La reprise permet donc de développer une activité déjà en marche, en diminuant les risques et les incertitudes et lui permet de gagner du temps sur le développement. Toutefois, Il est important de bien se préparer pour qu’une opération de reprise d’entreprise puisse bien se dérouler convenablement. Pour ce faire, différentes étapes sont nécessaires. 1.a Les conditions pour réussir une reprise d’entreprise Il est bien évident que pour reprendre une entreprise, vous devez poser à plat vos motivations et tenir compte de votre situation familiale. Ensuite, il faut que vous analysiez correctement vos compétences ainsi que vos capacités à reprendre une entreprise et à réussir cette reprise. En effet, pour se lancer dans un projet aussi exigeant, vous devez obligatoirement avoir et développer des connaissances techniques, commerciales et financières importantes. 1.b Les atouts requis pour reprendre une entreprise Dans le cas où vos points forts seraient votre formation ainsi que votre expérience professionnelle, vous devez porter une attention particulière à bien d’autres aspects tels que votre réseau, clients, partenaires, fournisseurs, qui peut vous permettre d’établir un vrai carnet d’adresses. Cela vous permettra de vous entourer de différents « cercles » de relations tant dans le domaine du conseil : avocat, comptable, notaire que du management : chefs d’entreprise, autres repreneurs. Il est également conseillé de recenser votre patrimoine. Reprendre une entreprise est un véritable engagement financier par l’investissement initial nécessaire, mais aussi par les aspects impliqués dans sa mise en œuvre. Vous devez prévoir un budget pour les dépenses initiales, la documentation nécessaire, les déplacements, les éventuelles formations,...Il faudra également prévoir des frais complémentaires tels que ceux d’avocat, d’audits ou de notaire. 1.c Définir l’ensemble du projet de reprise Le projet doit correspondre à votre domaine d’expérience, vos capacités, vos compétences, ainsi qu’aux moyens dont vous disposez. Il est donc primordial d’inscrire les objectifs à atteindre, vos attentes, votre budget maximum, votre représentation d’une entreprise, etc. Il convient également de déterminer les étapes essentielles pour reprendre une entreprise et trouver le moyen de financement pour un tel projet. Le mieux reste encore de faire appel à un professionnel qui saura vous conseiller en se basant sur vos choix.
À propos
Créé il y a plus de 30 ans, P2C-PARTNERS est un cabinet de conseil en cessions, acquisitions et valorisation de sociétés. Le cabinet accompagne et conseille les dirigeants de PME et grands groupes dans leurs projets stratégiques : transmission, développement et croissance externe. Les secteurs d’intervention historiques et privilégiés sont les services aux entreprises (transports, logistique, nettoyage, intérim, sécurité,…). Ces dernières années, le cabinet s’est diversifié dans de nombreux secteurs de l’agro-alimentaire, du luxe, du BTP, des services aux particuliers (immobilier, courtage d’assurances, construction de maisons individuelles,…) et offre désormais une expertise transverse quel que soit le secteur d’activité. Avec plus de 300 transactions à son actif et une trentaine de mandats en cours, nous avons à coeur d'être le conseil de vos projets. P2C-PARTNERS possède toutes les accréditations en tant que conseil en M&A : - Cabinet de Conseil en Transmissions et Acquisitions d'entreprises, membre du CNCFA (ANACOFI/CIF) - Membre de la Société Française des Analystes Financiers (SFAF) - Membre de la Compagnie des Conseils et Experts Financiers de Paris (CCEF) - Carte de transaction fonds de commerce Préfecture de Paris N° T11188
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- Secteur
- Services et conseil aux entreprises
- Taille de l’entreprise
- 2-10 employés
- Siège social
- Paris
- Type
- Société civile/Société commerciale/Autres types de sociétés
- Fondée en
- 1993
- Domaines
- cession, fusion, acquisition, vente, transmission, entreprises et valorisation
Lieux
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Principal
8 rue Olier
75015 Paris, FR
-
17, Rue de Constantinople
75008 Paris, Ile-de-France, FR
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Nouvelles
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Dernier chapitre sur la cession d'entreprise avec : 5. Optimisation fiscale avant cession de votre entreprise et 5 points importants à retenir. Il existe divers moyens qui permettent d’effectuer une optimisation du prix de cession de son entreprise. Néanmoins, ces moyens doivent se faire de manière anticipée et être correctement organisés. Ce type de transmission donne lieu à une taxation au titre des plus-values professionnelles, quand il s’agit d’une cession d’entreprise individuelle ; ou d’une taxation au titre des plus-values de cession de valeurs mobilières, lorsqu’il s’agit d’une société soumise à l’IS. 5.1. Les exonérations partielles et totales de plus-value Il est important de procéder à une optimisation de son entreprise sur le pan fiscal. Pour exemple, il est possible d’allouer 100 000 € par enfant tous les quinze ans et de bénéficier ainsi, d’un abattement de 75 % sur la valeur des titres (pacte Dutreil). En outre, il existe d’autres régimes d’exonération partielle ou totale concernant les plus-values. 5.2. Les donations préalables avant cession Il est possible pour le chef d’entreprise de faire donation à ses enfants ou petits-enfants des droit sociaux. Néanmoins, ce type de donation s’inscrit forcément dans la cession. De telles donations ont, bien évidemment, des avantages fiscaux et permettent notamment d’effacer la plus-value. Il s’agit là d’un facteur important dans l’optimisation du prix de son entreprise avant une transaction. Au moment de la donation, aucun impôt sur la plus-value n’est dû et la plus-value au moment de la cession est calculée en fonction de la valeur vénale à la date de donation, de laquelle on déduit les droits de mutation à titre gratuit, ainsi que les frais notariés déjà payés. Il faut faire attention à bien préciser de quel type de donation il s’agit (donation simple, don manuel, donation-partage), et à déterminer la qualité du donateur (enfant mineur ou majeur, conjoint). 5.3. Création d’une société holding Une holding est une société ayant pour principale caractéristique de regrouper différents associés/actionnaires. Il existe deux types de holding : Une holding passive qui se contente de détenir des participations dans d’autres sociétés ; Une holding active qui fournir en plus ses services aux filiales ; La holding prend indirectement la main sur une société. Le dirigeant d’une des filiales est donc propriétaire de titres de la holding qui se trouve propriétaire de titres de la filiale. Ce type de montage peut être intéressant pour une optimisation fiscale de son entreprise, notamment sur le plan des régimes fiscaux avantageux en cas de transmission et de l’IFI (impôt sur la fortune immobilière). Prochaine semaine, les 2 derniers points pour optimiser fiscalement la vente de son entreprise : 5.4 démembrement des titres et 5.5 Family Buy Out.
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Nous terminons ce chapitre sur la négociation avec notre 3ème point : les différentes étapes à respecter durant la négociation. 4.3.Les différentes étapes à respecter durant la négociation En premier lieu, il y a le respect de l’accord de confidentialité. Cela implique un engagement écrit par le repreneur à ne pas divulguer les informations que vous lui transmettriez concernant votre société et qui peuvent être très sensibles. Ensuite, il faut passer à la signature d’une lettre d’intention d'achat. Cette dernière permet au repreneur d’officialiser son intention de racheter l’entreprise et de faire part de son souhait d’en savoir davantage. La lettre d’intention reprend l’engagement de confidentialité, met en place un délai d’étude, une fourchette de valorisation ainsi que de nouveaux documents auxquels le repreneur pourra avoir accès. Puis, vient l’étape de l’accord ou du compromis de la vente d’entreprise. Ce précontrat rassemble l’ensemble de tous les éléments négociés, à savoir : le prix, les clauses de garantie (pour rassurer le preneur de tout imprévu), les conditions particulières, etc. Enfin, l’acte final est rédigé par un notaire ou un avocat et reprend l’ensemble des clauses de réserves ou de garantie, ainsi que des conditions posées dans l’acte préalable. Nous clôturons ainsi notre chapitre 4 sur "Négociez intelligemment pour vendre son entreprise" Pour la semaine prochaine, dernier chapitre de la cession d'entreprise avec un point important qui est l'optimisation fiscale avant une cession.
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Une cession d’entreprise est conclue suite à des négociations ainsi qu’une série de conditions qui sont stipulées dans le protocole final de la vente. En ce sens, il faut savoir que l’étape des négociations est relativement délicate d’autant que les intérêts de chacune des parties sont, le plus souvent, opposés. Nous allons donc examiner quelques points clés pour vous aider à organiser correctement cette phase de négociation, qui n’est certainement pas facile. 4. Négociez intelligemment pour vendre son entreprise 4.1. Les éléments pouvant faciliter les négociations Toute vente d’entreprise implique des aspects juridiques qui doivent être pris en considération. Il s’agit d’une étape qui demande à être appréhendée avec soin, puisque c’est assez diffèrent des négociations avec un client ou un fournisseur. Dans ce contexte, il ne faut pas hésiter à faire appel à un conseiller (notaire, avocat, expert en cession acquisition). Le processus de vente entreprise commence par la rédaction d’un dossier de présentation, qui soit à la fois complet et attrayant ; il doit décrire précisément l’activité de l’entreprise, son positionnement marketing et mettre en valeur son potentiel de croissance. Il est également conseillé d’y insérer des éléments sur les salariés, le bail commercial et les actifs. Enfin, une analyse financière et un business plan prévisionnel peuvent compléter ce dossier. Enfin, le dossier de présentation doit être adapté au profil du potentiel acquéreur. 4.2. Prendre les mesures pour réussir votre vente entreprise Il est capital de maîtriser l’ensemble des éléments du dossier de présentation de l’entreprise, afin de pouvoir répondre à toute question éventuelle. Ensuite, il faut faire preuve de transparence et faire visiter les locaux de l’entreprise au futur repreneur, afin de lui montrer la manière dont votre entreprise et vos employés fonctionnent. Cela sera également l’occasion de lui présenter votre façon de travailler, vos outils de reporting, votre mode de management et de répondre à ses questions. N’oubliez pas de fixer précisément les limites dans la négociation. Attention cependant, vous devez instaurer un climat de confiance et de respect. L’important n’est pas que le plus fort l’emporte, mais de trouver un consensus afin que tout le monde puisse être satisfait, et au même pied d’égalité. Cela permettra d’instaurer une relation plus solide entre le cédant et le repreneur potentiel. Pour que le processus de vente d’entreprise ne s’étale pas dans le temps, il est conseillé de mettre en place un calendrier de négociation permettant de prévoir le calendrier de l'opération. Il est également préconisé d’apporter votre soutien régulier à ce dernier et de rester à sa disposition en cas de besoin. Ce faisant, vous pourrez l’aider à reprendre l’entreprise rapidement. La semaine prochaine, nous terminerons ce chapitre avec sur la négociation avec notre 3ème point : les différentes étapes à respecter durant la négociation.
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Après les articles sur "1. préparer une cession" et "2. effectuer un diagnostic stratégique", nous arrivons à l'article 3 : la recherche de repreneurs. Reprise entreprise : les étapes pour trouver un repreneur Quel profil de repreneur : un concurrent, un particulier connaissant le secteur, une société ou un fonds d’investissement. La spécificité de l’activité de l’entreprise à céder peut influencer les profils recherchés, en fonction des compétences requises. Ainsi, une entreprise spécialisée ne pourra faire appel qu’à une personne ayant l’expérience et les compétences nécessaires dans son secteur d’activité. Le choix du bon candidat à une reprise entreprise est d’autant plus important qu’il peut être en mesure d’apporter une nouvelle dynamique dans l’entreprise. En effet, n’ayant pas le même parcours et les mêmes expériences que son prédécesseur, il peut apporter des idées différentes. Politique de confidentialité et communication adéquates Il vaut mieux, dans ce genre de cas, faire signer à l’acquéreur candidat un accord de confidentialité et lui communiquer ensuite une présentation générale de la société. Puis trouver un juste milieu entre confidentialité et communication transparente. Il vaut mieux anonymiser les informations sensibles comme l’identité des salariés et le nom des clients et les dévoiler une fois les conditions suspensives levées afin d’avoir la garantie de terminer le processus de cession avec le repreneur. L’entourage : le cercle le plus fiable pour trouver un repreneur Il y a peut-être une ou plusieurs personnes intéressées par l’acquisition de votre entreprise, parmi vos relations personnelles ou professionnelles. Par conséquent, vous ne devez pas hésiter à vous intéresser à votre cercle le plus proche : votre famille, vos amis, votre belle-famille, les amis de vos amis, etc. Vous pouvez vérifier auprès des personnes avec lesquelles vous entretenez des relations ponctuelles. Ils peuvent éventuellement vous aider dans vos recherches pour trouver le repreneur idéal. Ainsi, un professionnel qui travaille habituellement dans le secteur des cessions acquisitions, tel qu’un notaire ou un avocat ou un consultant en cession-acquisition, peut probablement vous recommander quelqu’un qui pourrait être intéressé par votre reprise entreprise. De même pour un fournisseur ou un client qui peut vous suggérer un de ses contacts. Le mémorandum d’informations Un document va permettre de susciter l’intérêt des acheteurs potentiels : c’est le mémorandum d’information : il vise à présenter l’entreprise et tous les aspects importants la concernant : marché et environnement, activité, bail commercial, salariés, matériels, analyse financière, prix de cession, raison de la vente…. Ce document doit mettre en avant les forces de l’entreprise et aussi les faiblesses. Il est important de faire appel à des experts pour la rédaction de ce document et de s’entourer de professionnels de la cession-acquisition. A suivre: 4. Négociez intelligemment
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2. Bien préparer la cession de son entreprise : effectuer un diagnostic précis. Voici les 7 diagnostics : 2.1 Le diagnostic des moyens Il concerne les locaux, le matériel et les investissements. Les acquéreurs accordent une attention particulière aux détails, notamment si le local fait l’objet d’un bail commercial. Dans ce cas, il faut indiquer : le type de bail, la durée restante, le montant du loyer, l’identité du bailleur, les modalités de renouvellement ou de révision, etc. Il faut aussi lister tous les équipements et les biens de l’entreprise, afin que le futur acquéreur puisse déterminer les investissements que l’acquisition requiert dès son arrivée ou à court terme. 2.2 Le diagnostic organisationnel Afin d’analyser les RH, il est conseillé de se fonder sur l’organigramme de l’entreprise afin de visualiser sa dimension humaine. Les contrats de travail étant transmis en même temps que l’entreprise, il faudra donc préciser les renseignements importants sur chaque employé tel que le type de contrat (CDD, CDI, intérim), ses compétences, ses fonctions, son ancienneté, sa rémunération et ses perspectives d’évolution. 2.3 Le diagnostic comptable Il s’agit de passer en revue les documents comptables. À savoir : le bilan et le compte de résultats sur les 3 dernières années afin d’appréhender l’évolution financière de l’entreprise. Il convient de vérifier : Le chiffre d’affaires ; Le résultat d’exploitation et le résultat net ; Les stocks ; La trésorerie nette de dettes de dettes financières ; Les immobilisations ; Les comptes-courants d’associés ainsi que la trésorerie ; 2.4 Le diagnostic opérationnel La clientèle (professionnels, particuliers) ; Les canaux de vente et de distribution, etc) ; La stratégie marketing ; Le processus commercial (prise de contact, prestation) ; Les conditions générales de vente de l’entreprise ; Les comptes-courants d’associés ainsi que la trésorerieLes fournisseurs partenaires et les contrats conclus avec eux (conditions, stocks, ravitaillement, etc.) ; Il faut également prendre en considération l’état du marché et du secteur d’activité dans le diagnostic d’entreprise. 2.5 Le diagnostic réglementaire Il convient en effet de vérifier si l’entreprise est bien en conformité avec les normes réglementaires en vigueur telles que la sécurité, l’hygiène, l’environnement, l’emploi de personnes handicapées ou encore l’accessibilité. 2.6 Le diagnostic juridique Il s’agit d’analyser les liens juridiques de l’entreprise et de s’assurer que tous les contrats sont valables et à jour. À défaut, il faudra anticiper leur renouvellement. Si l’entreprise porterait votre nom de famille, il faudra décider si vous autorisez ou non le repreneur à l’utiliser. 2.7 Le diagnostic social Il ne faut pas oublier de faire le point sur les qualités, les besoins et les spécifiés de l’ensemble du personnel de l’entreprise à céder. Prochain article sur la cession d'entreprise... Etape 3 Rechercher un repreneur
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Dans les articles précédents, nous avions vu "comment préparer une cession" avec les étapes de "se poser les bonnes questions", "déterminer le prix de cession" et les "différents facteurs qui impactent le prix de cession". Pour poursuivre dans ce projet, il faut ensuite avoir une cartographie suffisante de l'entreprise ainsi : 2. Bien préparer la cession : effectuer un diagnostic précis Toute cession d’entreprise nécessite une préparation en amont et la réalisation d’un diagnostic qui vise l’entreprise dans son ensemble, du commercial aux ressources humaines, en passant par l’administratif. En effet, un acquéreur s’attend toujours à une transparence totale quand il s’agit d’une acquisition. Les gens prennent désormais plus de temps pour analyser les situations, étudier les opportunités et faire les recherches nécessaires pour bien se renseigner. Le mieux donc est d’effectuer un diagnostic d’entreprise par écrit qui sera fourni après la signature d’un accord de confidentialité. L’importance du diagnostic entrepris lors d’une cession Il est très important d’établir le projet de cession plusieurs mois à l’avance, afin de bien se préparer et déterminer quand une cession d’entreprise serait la plus favorable ou pour effectuer la transmission directement lorsqu’un acquéreur potentiel se manifeste. Il est nécessaire d’établir un diagnostic d’entreprise notamment pour déterminer les éléments qui pourraient poser problème lors d’une telle vente, mais aussi d’identifier les points forts de la société. Ainsi, avant de faire des recherches sur divers points plus spécifiques, il est conseillé de commencer par un état des lieux général, pour déterminer la situation dans son ensemble. Ensuite, il sera temps de se concentrer sur divers points plus spécifiques, qui peuvent changer en fonction de l’entreprise concernée. Néanmoins, certains aspects sont communs à toutes les entreprises et voici la liste et les explications : 2.1 Le diagnostic des moyens 2.2 Le diagnostic organisationnel 2.3 Le diagnostic comptable 2.4 Le diagnostic opérationnel 2.5 Le diagnostic réglementaire 2.6 Le diagnostic juridique 2.7 Le diagnostic social Le détail de ces 7 points dans le prochain article la semaine prochaine.
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[Nouvelle transaction réalisée] Secteur transport / courses express / IDF Dossier en Redressement judiciaire P2C-Partners est fier d'avoir accompagné RUSH TRANSPORTS dans la reprise à la barre du Tribunal de Commerce de Nanterre de la société ALLO NEUILLY EXPRESS. Les 2 sociétés sont spécialisés en transports express et courses urgentes et bénéficient d'une clientèle en direct. L'acquisition va permettre à RUSH TRANSPORTS de se développer sur l'Ile de France avec une nouvelle clientèle et une équipe en place. P2C-Partners bénéficie d'une expertise forte dans la reprise à la barre des Tribunaux de Commerce. En lien avec les Administrateurs judiciaires, nous élaborons la meilleure stratégie pour acquérir en un temps record l'activité d'une société et nous vous accompagnons sur toutes les étapes ainsi qu'à l'audience au Tribunal (coaching de présentation de l'offre devant le Tribunal, rédaction de l'offre,...). #transport #courses #rj #redressementjudiciaire #Idf #P2CPartners #conseil #cession #acquisitions
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[Guide de la Cession d'entreprise] 1. Préparer une cession Etape 2 et 3 Etape 2 : Évaluer convenablement le prix de cession de l’entreprise Préparer une cession d’entreprise exige une évaluation précise du prix de l’opération. Il existe alors différentes manières pour effectuer une évaluation pertinente pour votre entreprise. Dans certains secteurs, il est possible d’évaluer une entreprise par rapport à son chiffre d’affaires annuel. Un pourcentage sectoriel sera appliqué au chiffre d’affaires annuel hors taxes. Ce pourcentage sera déterminé en comparaison des prix de cession d’entreprises similaires vendues et par rapport aux usages du secteur. Dans certains cas, il est aussi possible de valoriser une entreprise en se basant sur la valeur ajoutée, sur la marge commerciale ou encore sur l’excédent brut d’exploitation. Ensuite, il y a les évaluations basées sur la rentabilité. Dans ce cas, la valeur de l’entreprise sera estimée en fonction de sa rentabilité future. Néanmoins, ces techniques sont assez complexes et ne se basent que sur des prévisions. Il est également possible d’effectuer une évaluation patrimoniale permettant d’estimer la valeur de l’entreprise, en séparant les actifs et les passifs afin d’obtenir le véritable actif net de la société. Dans ce genre de cas, le calcul sera fondé sur le prix de cession de plusieurs entreprises qui exercent la même activité et qui sont actuellement mises en vente. Le prix proposé sera donc en cohérence directe avec l’état actuel du marché. Etape 3 : Les facteurs qui influencent le prix d’une cession Toutes ces méthodes d’évaluation ne doivent pas perdre de vue certains facteurs importants, qui peuvent avoir un impact indéniable sur l’estimation, telle qu’ - une clientèle fidèle et régulière ; - des contrats récurrents, - des litiges en cours ; - des outils de production récents, - des locaux en bon état, - un faible taux de turnover du personnel, - la présence d’un management, etc. De plus, le calendrier de cession peut également jouer un rôle significatif sur le prix de cession. En effet, procéder à une cession d’entreprise juste après avoir renouvelé un ou plusieurs contrats significatifs aura des conséquences positives sur le prix de vente. Il est néanmoins judicieux de faire appel à des spécialistes tels qu’un avocat, un expert-comptable, un notaire, ou encore à un cabinet spécialisé dans la cession, afin que l’opération soit un succès. La suite semaine prochaine...Point 2 de notre Guide de la cession : effectuer un diagnostic précis de sa société.