Pump-Ille-Up

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Production d’énergies renouvelables

Rennes, Brittany 134 abonnés

Spécialiste de la micro-hydroélectricité

À propos

Bureau d'études et AMO sur le turbinage hydroélectrique des réseaux d'eau, des barrages, des moulins...

Secteur
Production d’énergies renouvelables
Taille de l’entreprise
2-10 employés
Siège social
Rennes, Brittany
Type
Société civile/Société commerciale/Autres types de sociétés
Fondée en
2022
Domaines
hydroélectricité, turbinage, Assistance à maitrise d'ouvrage et Bureau d'études

Lieux

Employés chez Pump-Ille-Up

Nouvelles

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    Merci L'équipe Monreseaudeau pour cette mise en avant :)

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    Savez-vous que les excès de pression des réseaux d'eau peuvent produire de l'énergie ❓Cela est possible grâce au 𝘁𝘂𝗿𝗯𝗶𝗻𝗮𝗴𝗲, une technologie innovante qui permet de convertir l'énergie cinétique de l'eau en électricité renouvelable 💧💦 Cette solution durable s'intègre parfaitement aux réseaux d'eau existants, valorisant ainsi une ressource précieuse tout en contribuant à la transition énergétique. Comment fonctionne le turbinage ? Quels sont ses avantages ? Quelles sont les applications possibles ? On vous dit tout dans cet article 👇 https://lnkd.in/dJZQB3c3 #turbinage #eau #transitionenergétique 💧💦 PUMP-ILLE-UP

    Maximiser le potentiel énergétique de votre réseau avec le turbinage

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    Pump-Ille-Up est ravi d’avoir collaboré à ce projet innovant en tant qu’AMO. Merci à Cholet Agglomération et Véolia pour leur confiance, un grand merci également à Bruno Rondeau pour le pilotage du projet. Pump-Ille-up, aux cotés des exploitants et des collectivités pour assurer un accompagnement dédié sur le turbinage des réseaux d’eau urbains et des débits réservés des barrages.

    🌟 Innovation : une micro-turbine installée sur le barrage de Ribou à Cholet pour optimiser l’efficacité énergétique de l’usine de potabilisation 🔋 Le gouvernement a fixé le cap: d’ici à 2050, la consommation énergétique de la France devra être réduite de moitié. Cet objectif ne pourra être atteint sans le concours des territoires. Les barrages représentent une potentielle source d’énergie renouvelable importante mais restent encore peu exploités. Avec ce projet, Cholet, Ville et Agglomération montre l’exemple et prouve son implication dans la transition énergétique du territoire. 🤔 Comment ça marche ? Le site du barrage de Ribou a été retenu pour transformer en électricité le débit de restitution du barrage tout en préservant la vie biologique de la rivière (la Moine), grâce à une micro-turbine implantée sur un radeau. 💡 Cette micro-turbine, équipée de 4 injecteurs, produit environ 51 000 kWh par an. Toute l'énergie produite est autoconsommée dans l'usine de production d'eau potable, réduisant ainsi ses besoins en énergie d'environ 6 kW, soit l'équivalent de la consommation de 16 foyers (hors chauffage). Un observatoire du micro-turbinage sera mis en place pour mesurer l'impact de cette micro-turbine sur le milieu naturel. Il sera piloté par PUMP-ILLE-UP et Eau de Cholet - Veolia France. 📊 🚀 Une initiative rendue possible grâce à la collaboration entre THOMWATTS, Pump Ille Up et Eau de Cholet - Veolia ! Bravo à toutes les équipes impliquées dans ce beau projet. 💪 #Innovation #TransitionÉnergétique #ÉnergieRenouvelable #MicroTurbine BOUDAUD Fabien DURRIS Michel Bruno RONDEAU Rodolphe Roue sylvain RUAULT Thierry Thomazeau Erik Zilliox David Walsh Bodenes Jean-Michel

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    Quelle est la différence entre une canalisation en DN300mm et 350mm sur un linéaire de 8Km ? Le potentiel énergétique de l’eau ! Un cout d’investissement initial un peu plus cher, certes. Mais largement compensé par des décennies de gains énergétiques liés à la réduction des pertes de charge ! En effet, s’il y a du pompage pour refouler des débits plus haut et plus loin, la pompe devra vaincre la gravité mais aussi les pertes de charges. Limiter ces pertes de charge permet d’économiser de l’électricité en pompage.   Et c’est aussi le cas dans l’autre sens. Lorsque l’eau est distribuée par gravité d’un point à un autre, il peut y avoir suffisamment de potentiel pour turbiner les débits. Par exemple, les pertes de charge linéaires sur 8km à 320m3/h : -  sont en DN300 de 42 mètres. - et en DN350 que de 19 mètres. Au final, un diamètre trop petit réduit considérablement le potentiel énergétique de l’eau dans les canalisations d’adduction.     Plus concrètement, pour une différence de hauteur altimétrique de 70 mètres entre 2 réservoirs : - la puissance brute disponible à l’arrivée de l’eau gravitaire pour un DN350 est de 44kW (hauteur nette turbinable = 51m) - alors qu’elle n’est plus que de 24kW pour un DN300 (hauteur nette turbinable = 28m).  Quand vous turbinez les débits 11h/jour sur l’année, vous produisez 133 000 kWh avec un DN350 contre 73 000 kWh en DN300 (rendement turbinage à 75%). Entre le pompage et le turbinage, le choix du diamètre des canalisations est donc crucial pour économiser de l’énergie et limiter ses émissions de CO2. Vous engagez des démarches sur vos schémas directeurs ou vous prévoyez des travaux sur votre réseau, Pump-Ille-Up vous accompagne dans ces réflexions.  

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    Vous êtes-vous déjà demandé(e) quel était le gisement énergétique de votre réseau d’eau ?   Au plaisir d’en discuter avec vous lors du #CGLE mercredi et jeudi :) Le turbinage des réseaux d’eau urbain est aujourd’hui en train de gagner du terrain. C’est une très bonne nouvelle ! Mais comment ça marche ? La pression joue un rôle essentiel dans le bon fonctionnement des services eau. Elle facilite le transfert de l'eau d'un réservoir vers un autre par la simple force de la gravité. Cependant, en fonction du diamètre des canalisations, des débits et des dénivelés, un excès de pression peut subsister, nécessitant une régulation par une vanne. Cela vise à prévenir tout risque de débits excessifs pouvant perturber le bon fonctionnement du service ou endommager les canalisations. Il est alors possible de turbiner cet excédent de pression pour réguler les bons débits. Une bonne partie de l’énergie auparavant dissipée par une vanne est alors convertie en électricité. Ce schéma est relativement classique en montagne avec les forts dénivelés. De l’eau s’écoule d’un captage, par gravité, dans une usine située beaucoup plus bas. Les débits sont généralement turbinés et l’électricité produite vendue au réseau à travers un tarif avantageux et règlementé. Mais qu’en est-il en plaine ? Les gisements énergétiques sont effectivement moins importants qu’en montagne. Moins importants certes, mais pas insignifiants. En effet, selon les lieux, on y trouve un maillage de canalisations avec des réservoirs, des variations d'altitudes positives ou négatives, une densité de population plus ou moins importante qui conditionne les débits. Ces débits circulent dans ces réseaux pendant plusieurs heures chaque jour, chaque semaine, chaque mois, chaque année. L'excès de pression peut également découler du pompage. En effet, les pompes peuvent refouler de l'eau vers de nombreux réservoirs simultanément par le biais d'une même conduite. Même après l'optimisation du pompage grâce à de variateurs de vitesse, il est parfois nécessaire de casser de la charge pour maintenir un niveau de pression conforme afin d’approvisionner le dernier réservoir de la ligne. Dans de telles situations, le turbinage représente une excellente solution pour récupérer de l'énergie ! L'électricité issue du turbinage est généralement autoconsommée. La production n'est pas intermittente, elle est même prévisible. En terme d'investissement, le coût actualisé du kWh produit sur la durée de vie du projet par le turbinage est compris entre 0.06 et 0.13 €. Par ailleurs, le turbinage représente la source d'énergie renouvelable émettant le moins de CO2 par kWh produit, avec une empreinte au sol extrêmement réduite. En valorisant l'énergie "perdue" dans les réseaux d'eau, le turbinage contribue à maintenir le réseau sous surveillance et à limiter les fuites (une perte de pression, lors du turbinage, est détectée immédiatement !). N’hésitez pas à prendre contact avec Pump-Ille-Up pour plus d’informations 

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