USIPA - Ingrédients du végétal

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Organisations civiques et sociales

Paris, Île-de-France 1 347 abonnés

Toute l'énergie de l'amidon

À propos

L’USIPA (Union des Syndicats des Industries des Produits Amylacés et de leurs dérivés) est née en 1946. Elle réunit aujourd’hui l’ensemble des industriels amidonniers, féculiers et fabricants de caramels ingrédients implantés en France. L’industrie extrait les constituants du blé, du maïs, de la pomme de terre et du pois protéagineux : amidon, protéines, fibres et lipides (germes/huiles). De l’amidon sont issus une multitude d’ingrédients qui sont ensuite valorisés sous forme d’ingrédients destinés à l’alimentation humaine, la nutrition animale ou encore dans des applications industrielles : papiers-cartons, pharmacie, cosmétiques, …. 1er productrice en Europe, l’amidonnerie française valorise annuellement 6 millions de tonnes de matières premières végétales françaises. Présente sur le territoire via 10 sites industriels, elle génère un chiffre d’affaire annuel de l’ordre de 3 milliards € et près de 16 000 emplois (directs et indirects). Filière innovante, l’industrie amidonnière dédie par ailleurs 2 à 3 % de son chiffre d’affaires annuel à la R&D, afin de proposer aux clients et aux consommateurs une gamme d’ingrédients répondant toujours mieux à leurs attentes. Organisation professionnelle, l’USIPA fédère les industriels producteurs d’amidon. Elle porte leur voix et défend leurs intérêts aux niveaux français et européen, les accompagne dans leurs engagements pour les transitions alimentaire et écologique.

Site web
www.usipa.fr
Secteur
Organisations civiques et sociales
Taille de l’entreprise
2-10 employés
Siège social
Paris, Île-de-France
Type
Non lucratif
Fondée en
1946
Domaines
syndicat, collectif, industrie, nutrition, ingrédients, nutrition animale, alimentation, papier et carton, pharmacie, amidons, protéines, fibres, polyols, sirops de glucose, huiles et agriculture

Lieux

Employés chez USIPA - Ingrédients du végétal

Nouvelles

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    🚨 "Hausse d'impôts ou création d'emplois il faut choisir" alerte, à juste titre, le Mouvement des Entreprises de France ! L'élaboration des Projets de Loi de Finance (PLF) et de Loi de Financement de la Sécurité Sociale (PLFSS) a donné lieu ces dernières semaines à un véritable "concours Lépine du matraquage fiscal". A l'arrivée ce sont 20 milliards d'euros d'impôts supplémentaires qui pourraient peser sur les entreprises en 2025. Ces chiffres donnent le vertige. Ils auront (surtout) de lourdes conséquences sur les projets de recrutement des entreprises et donc de l'#emploi dans le pays. En effet, 20 milliards d’euros d’impôts et de charges en plus, c’est l’équivalent du salaire chargé de 400 000 emplois, rappelle Patrick Martin, président du Mouvement des Entreprises de France.   De quoi casser la (timide) attractivité que la France avait récemment retrouvée et d'inciter les entreprises à se détourner du territoire français au moment de leur choix d'implantation...Bref, un choix mortifère pour notre économie. Il est encore temps de réagir et d'adopter un projet revu plus connecté aux réalités économiques du pays. ⬇ Lire le communiqué du Medef    #industrie #France #amidon #souveraineté Philippe MOUILLER |Pascale Gruny | Corinne Imbert | Elisabeth Doineau | Bernard Jomier | Annie Le Houérou | Solanges Nadille | Frédéric Valletoux | ⁠Stephanie RIST | Yannick NEUDER

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    Patrick Martin Patrick Martin est un Influencer

    President du MEDEF | Président du Groupe Martin Belaysoud Expansion

    𝐇𝐚𝐮𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐝’𝐢𝐦𝐩𝐨̂𝐭𝐬 𝐨𝐮 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝’𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐢𝐬, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐬𝐢𝐫 ! Les entreprises de France ont – à raison – la désagréable impression en suivant les débats budgétaires en cours, d’être dans une fable de La Fontaine : la poule aux œufs d’or. Elles qui se mobilisent pour l’emploi, qui créent de la richesse, la partagent, l’investissent, se retrouvent ciblées par près de 20 milliards d’impôts et de charges supplémentaires ! Or, tuer la poule aux œufs d’or n’a jamais rien rapporté, si ce n’est se priver de sa plus grande richesse. C’est exactement ce qui risque de se produire si ce budget était voté dans les termes actuels : 8 milliards d’euros d’impôts sur les sociétés, 5 milliards d’euros de réduction des allègements de charges, 2,3 milliards transférés de l’Assurance Maladie aux complémentaires santé, 1,2 milliard d’économies sur les aides à l’apprentissage et 800 millions de versement mobilité qui viennent alourdir d’autant le coût du travail. Derrière ces ordres de grandeur qui donnent le tournis, ce ne sont pas moins de 400.000 emplois qui de ce fait ne pourraient être créés. Avant même que le couperet ne tombe, nous connaissons déjà l’issue funeste qu’aurait une telle peine : les entreprises arrêteraient de recruter, ne pourraient plus répondre aux attentes légitimes de leurs salariés en matière d’augmentation, se tourneraient vers l’étranger et feraient bénéficier de leur contribution à l’intérêt général à d’autres pays, bien plus dynamiques, attractifs, ayant compris que leur intérêt et celui des entreprises ne faisait qu’un. Face à ce scénario catastrophe que nous devons collectivement éviter le Mouvement des Entreprises de France, avec la responsabilité et la légitimité que lui confère son statut de première organisation patronale, lance une mobilisation d’ampleur : 𝐇𝐚𝐮𝐬𝐬𝐞𝐬 𝐝’𝐢𝐦𝐩𝐨̂𝐭𝐬 𝐨𝐮 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝’𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐢𝐬, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐮𝐭 𝐜𝐡𝐨𝐢𝐬𝐢𝐫 ! C’est pourquoi j’appelle solennellement nos 119 MEDEF territoriaux et régionaux, partout dans l’hexagone et les Outre-mer, à se mobiliser et faire entendre plus encore la voix de nos 200.000 entreprises qui ne demandent qu’une chose : qu’on leur fasse confiance et qu’elles puissent participer à la réussite du pays et l’ensemble de ses territoires ! Ensemble, faisons entendre raison à des débats qui sont saturés de propositions attrayantes sur le papier par leur facilité et leur rapidité d’exécution mais qui seraient tout bonnement catastrophiques pour notre économie, ses entreprises, leurs salariés : les Français ! Ensemble, martelons – je l’ai encore fait jeudi et vendredi en présence du Premier ministre Michel Barnier et des ministres Antoine Armand et Marc Ferracci – que la réussite de la France ne pourra se faire qu’au travers de celle de ses entreprises ! Soyons courageux, ne cédons pas à la facilité en nous trompant de cibles, cela condamnerait notre pays. #BilletDuDimanche

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    #SEDI2024 | 💡 Semaine de l’industrie : bien sûr que l’industrie décarbone ! Et l’industrie française est même sur une voie exemplaire insiste David LOLO, économiste de La Fabrique de l'industrie, spécialiste des questions de décarbonation. Mais les bons résultats de notre industrie tricolore dépendent désormais, plus qu’avant, d’un cadre financier, économique et technologique favorables. Il rappelle en effet que des investissements supplémentaires sont nécessaires pour toute l’#industrie, « des investissements que la concurrence étrangère extra-européenne n’a pas forcément à essuyer dans la même mesure ». Néanmoins, la France présente certaines particularités qui peuvent être positives pour sa #décarbonation : des émissions industrielles concentrées géographiquement, ce qui peut permettre des actions synergiques entre industries, et une électricité largement décarbonée notamment grâce au nucléaire. ⚡ Evidemment, si la décarbonation de l’industrie passe par un recours accru à l’électricité, « encore faut-il que cette électricité soit compétitive et abondante », des paramètres qui « relèvent des producteurs d’électricité et de l’Etat ». Une interview en pleine adéquation avec l’actualité et les accords de libre-échange en discussion : sans préservation de nos marchés européens, l’industrie amidonnière ne pourra pas continuer à financer sa #décarbonation ! Largement engagée dans cette démarche, la profession estime à 1,4 milliard € le montant de cette décarbonation d’ici 2030. ▶ A découvrir en images #SEDI2024 #SemaineIndustrie #amidonnerie ADM, Roquette, TEREOS, Cargill, ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires), France Industrie

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    [Open doors] 🏭 Visite de la féculerie de Roquette : heureux d’avoir accueilli une représentation du Ministère de l'Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de la Forêt au sein de la féculerie de Vecquemont (80), alors que celle-ci est en pleine campagne ! 🥔 L’occasion d’évoquer les formidables atouts de la fécule de pomme de terre, un amidon premium particulièrement apprécié dans les applications alimentaires, mais aussi dans la pharmacie, la cosmétique, le papier ou encore les emballages (matériaux biosourcés). Et surtout, de mieux connaitre cette industrie, implantée de longue date en France, au fonctionnement exemplaire. La #fécule en France aujourd’hui c’est : ✅ 550 000 Tonnes de pommes de terre féculières valorisées par an ✅ Un approvisionnement 100% français, dans un rayon maximal de 200 km autour de l’usine ✅ Une industrie « zéro déchet » ; outre la fécule, l’usine valorise un ensemble de coproduits : pulpes, protéines, eau, … ✅ Une industrie exportatrice : 65% à 70 % de la production part vers les marchés extérieurs ✅ Un investissement de longue date dans la recherche variétale Mais cette industrie doit également relever les nombreux défis dans cette période économique atone : 🌍 La concurrence des producteurs de fécule de manioc, Thaïlande, Indonésie et Brésil, dont les conditions de production sont très loin des standards européens. 💹 La décarbonation de cette unité, déjà entamée et qui se poursuit conformément à la feuille de route du groupe. Un grand merci à la DGPE pour ces riches échanges : Martin Laurenceau, Maud Iacomelli, Paul LE BIDEAU, Stéphane JACQUOT, Guilhem ISAAC, Nina Regenhardt, et à Valerie Pequery de la DRAAF, à Camille Deraeve, président de la COOPERATIVE FECULIERE DE VECQUEMONT. Merci à PORET Patrick, Gwenolé PASCO, pour l’accueil et cette visite passionnante, et à Bertrand Ouillon du GIPT, Marie-Laure Empinet, Cécile Duputel, Antoine Peeters. #Industrie #Somme #Hautsdefrance #MadeinFrance #Nourrir

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    [MERCOSUR] Alors que le sommet du G20 s'ouvre à Rio, les filières agroalimentaires rappellent leur opposition ferme à la signature de l’accord de libre-échange aujourd’hui sur la table.   INTERCEREALES (céréales et produits céréaliers) et trois autres grandes filières agricoles (élevage et viande, volaille, sucre) ont rappelé que le texte (longuement) négocié entre les quatre pays du #Mercosur et l’Union européenne constituait une menace grave pour notre souveraineté alimentaire comme la pérennité de l’agriculture française.  « Les filières exhortent le gouvernement français à tout mettre en œuvre pour empêcher la signature de l’accord en utilisant le droit de véto dont elle dispose au Conseil de l’UE. La France doit faire preuve de fermeté et de cohérence en rappelant à l’Union européenne les engagements écologiques et sociaux qu’elle a pris lors des accords de Paris » ont indiqué en chœur ces quatre grands acteurs de l’agroalimentaire français.   Au-delà, elles ont également rappelé leurs attentes vis-à-vis des pouvoirs publics pour renforcer notre souveraineté alimentaire et le maintien d’une production française et européenne : ➡️ Stopper la distorsion de concurrence générée par les importations agricoles actuelles, par un alignement des standards de production ➡️ Renforcer les contrôles européens et mettre en place des mesures miroirs pour assurer la conformité des produits importés Cet accord causerait en effet des préjudices importants à l’#amidonnerie française : les pays du Mercosur sont notamment producteurs d’amidon de maïs et de fécule de manioc produits dans des conditions normatives qui restent très éloignées de celles de l’Union européenne. #industrie #france #amidon #souveraineté INTERBEVInterprofession ANVOL#AIBS    Marie-Laure EmpinetSébastien Delerue, Ghislain Caron, Sophie VERPOORTCécile DuputelCarlota Pons, Isabelle Tailhan, Xavière Guerlay, Mathilde Toulet

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    Fiscalité sur l’agro-alimentaire : les industries agroalimentaires en appellent à la sagesse du Sénat. 🔸Les entreprises agro-alimentaires alertent sur les risques majeurs pour le pouvoir d’achat des français, la survie de plusieurs filières agricoles françaises et leur propre compétitivité liés aux propositions de nouvelles taxes sur notre alimentation. 🔸 L’ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires) rappelle que les problèmes de santé publique sont souvent multifactoriels (alimentation, sédentarité, etc.). L’activité physique et l’équilibre alimentaire doivent être « adressés conjointement pour un impact réel et significatif ». ADM, Cargill, TEREOS, Roquette, Marie-Laure Empinet, Cécile Duputel, Sophie VERPOORT, Grégory Coutelle, Sébastien Delerue, Ghislain Caron, Carlota Pons, Henri NIGAY, Maxime Costilhes, Jean-François Loiseau #Compétitivité #alimentation #industrie

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    🌿 Décarbonation : où en est la France ? C’est la question que nous avons posée à David LOLO, économiste de La Fabrique de l'industrie, spécialiste des questions de décarbonation. Et pour une fois, le propos est plutôt positif : « L’industrie française a réduit ses émissions de carbone de moitié entre 1990 et aujourd’hui ». Comment ? Grâce aux efforts déployés par les industriels tricolores : verdissement du mix énergétique, efforts d’efficacité énergétique, investissement dans l’outil de production… L’économiste nous indique aussi que la France est aujourd’hui « à une étape charnière de sa #décarbonation ». Des investissements lourds sont nécessaires pour sortir définitivement des énergies fossiles, moderniser et électrifier les outils de production. Mais les industriels sont prêts et déjà largement engagés dans ces actions au long cours. 📉 L’amidonnerie française quant à elle a atteint en 2023 la barre symbolique des -30 % d’émissions de CO2 (par rapport à 2015, année de référence de la SNBC). Les amidonniers poursuivent ainsi, au prix d’investissements massifs, la trajectoire annoncée dans leur feuille de route. Mais les industriels restent dépendants d’un cadre technologique et réglementaire facilitateur, et d’aides à l’investissement pour réussir cette transition. En la matière la balle est dans le camp des pouvoirs publics. A découvrir en images #Décarbonation #industrie #amidon ADM, Roquette, TEREOS, Cargill, ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires), France Industrie

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    🚨 Fermetures des industries en France, conséquence directe de leur perte de compétitivité ! Fermetures d’usines et plan de licenciement atteignent de tristes niveaux records. En cause ? Un problème avéré de compétitivité des entreprises tricolores face à leurs compétiteurs européens et mondiaux qui bénéficient de cadres fiscal et réglementaire plus favorables. Le président de Michelin, Florent Menegaux le rappelle dans cet article de Les Echos : « il est urgent d'enrayer la dégradation de la compétitivité en Europe, qui se paie par une perte régulière de parts de marché. » Comment en est-on arrivé là ? 🔸 Excès de réglementation en Europe : l’augmentation continue des normes et des contraintes administratives pèse lourdement sur la compétitivité des entreprises. 🔸 Coût de l'énergie non compétitif : les prix de l’énergie en France et en Europe restent plus élevés qu’ailleurs dans le monde, mettant nos industries dans une situation désavantageuse face à une concurrence internationale toujours plus agressive. 🔸 Difficultés à exporter : de plus en plus d’entreprises se heurtent à des barrières commerciales et à une concurrence déloyale. Pour sauver l’industrie européenne et conserver notre souveraineté il est urgent de repenser l’action publique en prenant mieux en compte ses conséquences sur la santé de notre tissu industriel. Une conclusion tout aussi valable pour l’industrie #alimentaire : la compétitivité des entreprises françaises aux prises avec une forte concurrence sur les marchés mondiaux est mise à mal. Or, sans compétitivité, point de survie des entreprises, comme en témoigne le niveau record de défaillances récemment enregistrées. Créer de nouvelles taxe dans ce contexte c’est grever leur compétitivité. Une taxation des produits sucrés telle qu’envisagée dans les discussions du PLFSS en cours, c’est accélérer notre désindustrialisation, pénaliser le pouvoir d’achat du consommateur… sans gain pour sa santé. La triple peine en somme. #Industrie #Réindustrialisation #alimentation ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires) I Maxime Costilhes I Simon Foucault | Jean-François Loiseau | France Industrie | INTERCEREALES | Gilles Rouvière

    Le cri d'alarme de Michelin sur la compétitivité de l'Europe

    Le cri d'alarme de Michelin sur la compétitivité de l'Europe

    lesechos.fr

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    🔍 L’amidonnerie française en images : l’infographie des chiffres clés mise à jour 📊 L’observatoire économique de l’USIPA a finalisé ses travaux, qui ont fait l’objet d’une conférence de presse fin septembre. Il en ressort une cartographie de notre industrie amidonnière qui pourrait, en synthèse, se résumer à quelques points : 🏭 Les industriels tricolores sont toujours les 1er producteurs ET les 1ers exportateurs d’#amidon (et produits dérivés) d’Europe 🌿 En 2023, ils ont atteint la barre symbolique des - 30% d’émission de CO2 par rapport à 2015 🌾 Ils ont transformé 5,2 millions de tonnes de matières premières agricoles (blé, maïs, pomme de terre, pois), ayant poussé à 96% en France Pour en savoir plus, sur les chiffres mais aussi les différents produits issus d’une amidonnerie (on en comptabilise plus de 700 !), découvrez nos infographies désormais rassemblées dans un recueil. Ce recueil et bien d’autres informations sur notre secteur sont disponibles sur notre site : https://lnkd.in/e_cJhYjd #alimentation #agriculture #industrie Marie-Laure Empinet, Carlota Pons, Ghislain Caron, Sophie VERPOORT, Cécile Duputel, Sébastien Delerue, Henri NIGAY, ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires), Maxime Costilhes, France Industrie

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    🌽 Une vidéo amusante : « Boris le maïs » et ses usages✨ Dans cette courte vidéo, bruno cardot, agriculteur dans la Région Hauts-de-France prend la parole avec humour et nous explique à quoi sert le maïs. Que ce soit pour nourrir les animaux, nourrir les hommes grâce à l'#amidon, ou même produire du biogaz, le maïs est partout et a bien des talents 💡 ! #Agriculture #Humour #Maïs Marie-Laure Empinet, Carlota Pons, Cécile Duputel, Ghislain Caron, Sébastien Delerue, Sophie VERPOORT, Henri NIGAY

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    Agriculteur Communiquant

    Il est génial BORIS ! 😅🌽

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    🎃 [Halloween] Le sirop de glucose, composant indispensable des bonbons! 🍬 J - 2 avant la célèbre veillée d’Halloween. Comme chaque année, les bonbons seront à l’honneur, l’occasion de faire un zoom sur un de leur ingrédient essentiel : le sirop de glucose.   Produit à partir de blé ou de maïs, le sirop de #glucose est incontournable dans la fabrication des confiseries. S’il apporte un goût sucré, il est également nécessaire pour obtenir une texture lisse ou moelleuse à nos friandises préférées. 🌾 En France, plusieurs sites de production se consacrent à la fabrication de ce sirop. Ces amidonneries, situées principalement dans les régions agricoles du Nord et Nord-Est de la France, transforment les céréales en glucose pour en faire un ingrédient de haute qualité pour la fabrication des caramels, guimauves, oursons gélifiés, crocodiles, … et autres douceurs sucrées. Que la chasse aux bonbons commence ! 👻✨ #Halloween #Confiserie #Agroalimentaire #Tradition ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires) | L'Alliance 7 | Confiseurs de France | ADM | Cargill | Roquette | TEREOS | Confiseurs de France | Audrey Dufour | Gilles Rouvière

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