Green Nation

The earth is sending bigger and bigger bills, like droughts, floods, and heat waves, states PIK Director Johan Rockström in recent TED talk during the Bloomberg Green Festival. This would be causing serious economic costs: "The latest scientific update shows an 19% loss of GDP by 2050 if we follow the current path. This is equivalent to 38 trillion US dollar of loss per year in 2050. It’s starting to hurt, both in human social costs and in economic cost." Yet, according to Rockström, there would be ample evidence that citizens across the world care about nature & climate. "They are concerned, they want solutions. (...) We have also so much evidence that the solutions are not only available, but if we implement them, we get a more healthy, stable, secure future with jobs and economies that can compete and provide livelihoods into the future." Tune in from 22:30 and listen to his powerful talk. https://lnkd.in/dVFpgV8w

« Posez, branchez, produisez ! » : faire du consommateur un « consom’acteur » de la transition énergétique ? C’est la belle histoire portée par Beem Energy, la jeune pousse nantaise qui commercialise des kits solaires à installer soi-même en à peine une heure de temps, au sol ou au mur, pour produire de l’énergie solaire à domicile. ☀ Fondée en 2019, Beem a réussi un joli « mat en 3 coups » dans l’enchaînement des levées de fonds : 2 millions en 2019 auprès de business angels, puis 7 millions en 2021 avant de décrocher le jackpot de 20 millions (financement de série A) en juin 2023 pour accélérer le déploiement à grande échelle de ses solutions. 📈 Alter Equity, 360 Capital, BNP Paribas Développement et Cathay Innovation (via son fonds C.Entrepreneurs), sont les investisseurs séduits et convaincus par la perspective de démocratiser l’autoconsommation d’énergie photovoltaïque afin de permettre aux particuliers et aux entreprises de produire une électricité verte et moins chère. 🌱 Ralph Feghali, co-fondateur et CEO de Beem Energy, retrace son parcours gagnant : « Je baigne dans un milieu d'entrepreneur depuis tout petit, ça m'a toujours trotté dans la tête. Je suis rentré dans le milieu du conseil en sachant qu'à un moment ou un autre, j'aurais envie de monter mon entreprise et que ce serait dans le solaire.» Et il ajoute : « Nous souhaitons être une vraie « love brand » car c’est de cette manière que nous allons pouvoir rassurer le mass market sur ces nouvelles technologies et favoriser leur adoption… À partir du moment où notre site de vente en ligne a été lancé, nous avons subi une accélération considérable. Dès la première année d’exercice, nous avons vendu plus de 2 000 kits.» 🚀 Une croissance accélérée et créatrice d’emplois : depuis 2019, Beem Energy est passée de 3 à 50 salariés, et continue à recruter. Car la start-up a les dents longues : conquérir le marché européen en équipant plus de 500.000 foyers d’ici 2030. 🏠 https://beemenergy.fr/ https://lnkd.in/gdrhXt3H

Clean energy investment by oil & gas companies reached $30 billion in 2023, accounting for only 4% of the industry’s overall capital spending The recent rebound in oil & gas investment has been led by national oil companies in the Middle East & Asia 👉 https://iea.li/3RhUdpQ

Des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT) ont conçu une nouvelle technologie pour produire de l’énergie verte grâce à des cellules photovoltaïques révolutionnaires : plus fines qu'un cheveu humain, elles sont 100 fois moins lourdes que des panneaux solaires classiques mais ont la capacité de générer 18 fois plus d’énergie par kilogramme (370 W/kg). Au départ, ces cellules sont fabriquées à partir de nanomatériaux se présentant sous forme d’encres électroniques imprimables permettant de conduire l’électricité. Puis, en employant une technique de sérigraphie similaire à celle utilisée pour les impressions sur T-shirts, une électrode est mise en place sur la structure pour recueillir l’énergie produite et réaliser le module solaire. À l’arrivée, on décolle du support le module imprimé pour bénéficier d’un dispositif solaire à la fois ultra-léger et… collable à peu près partout. Le MIT explique : « Parce qu’elles sont si fines et légères, ces cellules solaires peuvent être laminées sur de nombreuses surfaces différentes. Par exemple, elles pourraient s’appliquer aux voiles d’un bateau pour fournir de l’énergie en mer. On peut aussi imaginer les coller sur des tentes et des bâches déployées lors d’opérations de sauvetage après un sinistre. Ou encore appliqués sur les ailes de drones pour étendre leur portée de vol. » L’obstacle à surmonter en vue d’une production massive : trouver un moyen efficace pour protéger les cellules et rendre le dispositif résistant aux intempéries, à savoir éviter que le matériau organique à base de carbone utilisé pour fabriquer les cellules ne soit altéré par l'interaction avec l'humidité et l'oxygène présents dans l’air (moisissures et oxydation), ce qui affecterait leur performance. « L’équipe développe actuellement des solutions d’emballage ultrafines qui n’augmenteraient que très peu le poids des dispositifs ultralégers actuels. » indique Jeremiah Mwaura, l’un des auteurs de l’étude. https://lnkd.in/ed6mAfP9

Percée décisive en matière de décarbonation : une technologie révolutionnaire de stockage du carbone développée par des chercheurs de l’Université du Texas, à Austin. Basée sur la formation ultra-rapide d’hydrates de dioxyde de carbone - l’hydrate est un composé résultant de la combinaison d’un corps avec une ou plusieurs molécules d’eau - cette technique permet de convertir le CO2 en matériaux stables semblables à de la glace, ayant la capacité d’enfouir de manière sécurisée et durable le dioxyde de carbone dans les océans, l’empêchant ainsi d’être libéré dans l’atmosphère. Vaibhav Bahadur, le directeur de la recherche, explique : « Les hydrates offrent une solution universelle pour le stockage du carbone… Nous avons montré que nous pouvons cultiver rapidement des hydrates sans utiliser de produits chimiques qui contrebalancent les avantages environnementaux de la capture du carbone… Les hydrates représentent un « plan B » pour le stockage du carbone à grande échelle, mais ils pourraient devenir un « plan A » si certains des principaux problèmes peuvent être résolus.» Prouesse technique : un processus de conversion du CO2 atmosphérique en hydrates à la fois plus rapide et plus écologique. Les chercheurs de l’UT sont parvenus à multiplier par six le taux de formation d’hydrates par rapport aux méthodes classiques. Dans ce processus, le magnésium joue un rôle clé : il augmente la vitesse de formation des hydrates et agit comme un catalyseur supprimant le recours à tout produit chimique, ce qui constitue une alternative bien plus sûre et plus efficace aux procédés traditionnels d’injection dans des réservoirs souterrains, procédés qui présentent de gros risques : fuites de CO2 , contamination des nappes phréatiques et risques sismiques. Confiants dans leur avancée majeure, les chercheurs et l‘UT ont déposé deux brevets et l’équipe envisage de fonder une start-up pour commercialiser sa technologie à grande échelle. https://lnkd.in/etUQ4Het

Sur son site Web, la start-up ELECTRA, spécialisée dans les bornes de recharge ultra-rapide pour véhicules électriques, annonce la couleur : « Libérez votre quotidien avec une expérience de recharge réinventée. Sans attente. Sans effort. Magique. »   Cofondateur et CEO de la start-up, Aurélien de Meaux met l’accent sur l'optimisation de l'expérience utilisateur : « Nous créons un réseau très simple à utiliser pour que la transition vers l’électrique soit désirable et ne soit pas une contrainte... Si tu veux embarquer les gens, il faut que ça soit simple, fluide, efficace… que les gens cessent de stresser quand ils doivent recharger ! » ⚡   Diplômé de l’EM Lyon, Aurélien de Meaux a créé en 2010 sa première start-up, Cheerz, spécialisée dans l'impression de photos en ligne. Mais deux ans après le rachat de 80% des parts par le leader européen Cewe Color, pour la coquette somme de 36 millions d’euros, il se fixe un nouveau défi : créer la recharge la plus simple au monde pour mettre fin à la « charging anxiety » des utilisateurs. Il raconte : « Cela fait des années que je suis passionné par le sujet, que j’observe avec gourmandise toutes ces nouvelles mobilités… Un petit big bang dont je suis friand ! ».   Et pour développer sa solution attractive, Electra a réussi un véritable tour de force : lever près de 600 millions d'euros depuis sa création ! Amorçage : 15 millions d’euros en 2021. Puis, en 2022, financement en série A de 160 millions d’euros. Et le gros lot en 2024, avec une levée de fonds de 304 millions d’euros en série B, après un tour de table conduit par le fonds de pension néerlandais PGGM. Autres investisseurs entrés au capital : Bpifrance (via son fonds Large Venture), Eurazeo, Rive Private Investment, le groupe SNCF et le fonds Serena. 🚀   Opérant déjà dans huit pays européens avec plus de 1000 points de recharge, Electra ambitionne de franchir la barre des 15 000 bornes d’ici 2030. Leader, sinon rien ! 💪 #GreenNation #CleanTech #Electra #Recharge

🌱 A new chapter for the Cleantech Friendship Group in the European Parliament 🏭   Today, recently elected members of the European Parliament across parties met for an inaugural discussion in Strasbourg, laying the foundation and mission for a renewed Cleantech Friendship Group.   Top priorities for EU clean technologies were discussed looking ahead to the new mandate, including:   👩🏭 Developing an Industrial Deal that focuses on #cleantech leadership and jobs, and leverages a deepened #singlemarket   💶 Financing the #industrialisation of clean technologies in Europe, with de-risking instruments and by completing the Capital Markets Union   🏹 Increasing strategic focus and allow the EU to build up cleantech manufacturing in a few key sectors   🤝 Building a coalition for cleantech leadership in the European Parliament, leveraging vision and expertise for the long-term #competitiveness of the European economy   Congrats to Lídia Pereira and Thomas Pellerin-Carlin for chairing this session, and to Vice-President Martin Hojsik, Michael Bloss, Hildegard Bentele, Annalisa Corrado, minister Isabella Lövin, Paulo Cunha, minister Bruno Tobback, former commissioner Vytenis Andrukaitis, Niels Flemming Hansen and Niels Fuglsang for their leadership on this critical topic. Grateful to founding members who joined us this morning as well as to the many MEPs joining our discussions for the first time.   Thanks also to the cleantech experts joining us from around the EU Julia Reinaud, Domien Vangenechten, Marlène Siméon, Bianca Dragomir, Julian Joswig and Federico Cuppoloni   Stay tuned to hear about the Group’s next steps!

In 2024, investment is solar PV is set to grow to $500 billion, leading the transformation of the power sector More money is now going into solar PV than all other electricity generation technologies combined Learn more 👉 https://iea.li/3KxG0S7

Faire des eaux usées une ressource d’avenir exploitable à grande échelle, dans un monde où la demande en eau explose alors que l’offre, elle, se raréfie ? 💧 La start-up Bamboo For Life a conçu une solution technologique révolutionnaire basée sur… le bambou, une plante aux incroyables capacités. Un projet unique au monde qui, contrairement aux stations d’épuration classiques, permet un traitement des eaux usées bien plus écologique et moins coûteux. ♻ Mais pourquoi le bambou ? Dans la phytoremédiation (processus de dépollution des sols, des eaux ou de l'air en utilisant des plantes), l'utilisation de saules ou de peupliers est courante, mais celle du bambou est assez inédite : selon Bernard Benayoun, cofondateur et CEO de la start-up, « il présente une efficacité dix fois supérieure, ce qui permet de construire des stations d'épuration dix fois plus petites… Le bambou est également un incroyable piège à CO2. Il absorbe 60 tonnes de CO2 par an et par hectare… » Un système performant, intégrant plusieurs fonctionnalités : outre le traitement des eaux usées sans générer de boues d’épuration, il permet un rafraîchissement bioclimatique en milieu ouvert pour lutter contre les îlots de chaleur urbains, une séquestration de carbone efficace, et une production massive de biomasse (100 tonnes de biomasse/ha/an). Membre de l’Alliance mondiale des solutions efficientes, la start-up Bamboo For Life a déjà installé une cinquantaine de stations de phytoremédiation en France, en Amérique latine, en Afrique de l’Ouest, en Asie, et dans la zone de l’Océan Indien. 🌏 Et Bernard Benayoun se réjouit : « Nos stations génèrent une rentabilité intéressante. D’abord parce qu’elles génèrent peu de coûts. Ensuite parce qu’elles permettent de créer de la valeur à travers la vente de biomasse auprès de nos partenaires en circuit court. Enfin, parce qu’elles absorbent le carbone. Et ce dernier peut être vendu sur le marché des crédits carbone. » #GreenNation #CleanTech #Technologie #Focus

Les pionniers canadiens en #TechnologiesPropres font sensation sur la scène mondiale! Le Cleantech Group a reconnu 13 entreprises canadiennes dans son prestigieux rapport Global Cleantech 100 de 2024. La communauté mondiale des technologies propres reconnait ces entreprises pour leurs efforts extraordinaires à trouver des modes de vie plus écologiques et plus propres pour améliorer l’avenir de notre planète et aider le Canada à atteindre son objectif #NetZéro. Bravo à ces précurseurs du domaine des technologies propres! Carbon Upcycling Technologies Cyclic Materials Eavor Technologies Inc. e-Zinc Genecis Bioindustries Inc. Ionomr Innovations Inc. Mangrove Lithium MineSense Technologies Ltd. Moment Energy Pani pH7 Technologies Summit Nanotech Svante Nous ne pourrions être plus fiers de leur réussite, sachant que toutes ces entreprises canadiennes ont reçu notre soutien dans leur parcours. Lisez le rapport #GCT100 de 2024: https://bit.ly/3ZSkFJC (ang.) #DéveloppementDurable #CroissanceÉconomique #Carboneutralité #CroissanceInclusive #ÉconomieVerteDansLesPrairies