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💜🧡PARTICIPEZ A UNE GRANDE CAMPAGNE DE LUTTE CONTRE LES DISCRIMINATIONS ET POUR LES DROITS DES FEMMES PORTEE PAR L’AMBASSADE DE FRANCE EN PARTENARIAT AVEC LE MINISTERE DE LA JUSTICE💜🧡 Parce que la violence ne peut pas être une réponse, par ce que chaque personne est précieuse, par ce que chaque femme a un chemin, votre engagement compte . 1️⃣ Prenez vous en PHOTO (individuelle ou collective) OU faites une VIDEO de maximum 1min expliquant votre engagement ou celui de votre société/association/autre et en utilisant le VISUEL ici partagé 2️⃣ POSTEZ votre visuel entre le 25/11/2024 et le 10/12/2024 sur vos réseaux sociaux / mettez le visuel en statut 3️⃣ #N’oubliez pas les #égalité #FranceauGabon #FEF 🇨🇵🇨🇵🇬🇦🇬🇦 @francegabonstp Ambassade de France au Gabon et à São Tomé et Principe

Violences Culturelles : Quand Tradition et Modernisation S'entrechoquent en Afrique L'Afrique est un continent riche en traditions et en cultures diverses, qui façonnent profondément les identités locales et communautaires. Cependant, l’arrivée de la modernisation et des nouvelles idéologies met souvent ces traditions en conflit avec les droits humains universels, notamment les droits des femmes et des jeunes filles. Ce choc entre la tradition et la modernité engendre des violences culturelles, qui continuent d’affecter des millions de vies à travers le continent, et plus particulièrement au Cameroun. Les pratiques traditionnelles telles que les mariages précoces, la polygamie, les mutilations génitales féminines, ou encore les rôles de genre rigides, restent profondément ancrées dans de nombreuses communautés. Elles sont souvent justifiées par des croyances anciennes et des coutumes vues comme essentielles à la préservation de l’ordre social. Cependant, ces pratiques sont de plus en plus remises en question par l’avènement des droits humains universels et les revendications pour l’égalité de genre. La tension entre ces valeurs traditionnelles et les idéaux de la modernité, qui promeut l'égalité, la liberté individuelle et la justice, crée des frictions parfois violentes. Ces violences culturelles, au-delà des souffrances physiques et psychologiques qu’elles causent, retardent le progrès social et économique, et limitent les opportunités des jeunes générations. Comment répondre à ce défi ? Dialogue et Sensibilisation : Il est crucial d’engager des discussions au sein des communautés pour trouver un équilibre respectueux entre traditions et modernité, et pour promouvoir des pratiques traditionnelles qui ne portent pas atteinte aux droits fondamentaux. Renforcement de la législation : Le cadre juridique doit s’adapter aux enjeux contemporains en garantissant des lois qui protègent les individus contre les violences culturelles tout en respectant les valeurs communautaires. Éducation et Autonomisation : L'éducation reste l’un des leviers les plus puissants pour déconstruire les stéréotypes et donner aux jeunes filles et aux femmes les moyens de revendiquer leurs droits tout en préservant leurs racines culturelles. Les sociétés africaines sont en transition, et il est primordial de trouver des solutions innovantes pour réconcilier tradition et modernisation dans une dynamique de progrès inclusif et respectueux des droits humains. Ensemble, nous pouvons contribuer à un avenir où les violences culturelles n'ont plus leur place. #ViolencesCulturelles #TraditionEtModernité #DroitsHumains #ÉgalitéDesSexes #Cameroun #Afrique #ChangementSocial #GELA #EndCulturalViolence #GenderEquality

Promotion des droits de l’enfant et de la femme : Hierbine Aïcha Palé en fait son cheval de bataille Hierbine Aïcha Palé défend les droits de l’enfant et de la femme au Burkina Faso. Son parcours, de l’université au monde de l’entrepreneuriat, en passant par son travail de formatrice en droits humains, témoigne de son dévouement à créer un environnement protecteur et épanouissant pour les enfants et les femmes. Fondatrice du Cabinet Human Rights Consulting, elle partage avec nous son engagement, les défis rencontrés et les espoirs pour l’avenir des droits de l’enfant et de la femme au Burkina Faso. LeFaso.net : Comment êtes-vous arrivée dans le domaine des droits de l’enfant et de la femme et depuis combien de temps êtes-vous dans ce domaine ? Hierbine Aïcha PALE : J’ai commencé à m’intéresser au bien-être de l’enfant très jeune. Je dirais que j’ai toujours été dans ce domaine. J’ai commencé à en faire un métier de manière formelle à partir de l’année 2017. Par conséquent, lorsque j’ai eu la chance de commencer mes études en faculté de droit, le premier cours qui m’a captivé a été le cours de droit des personnes et de la famille, communément appelé (DPF). Je me suis sentie dans mon « élément » comme on le dit souvent. J’ai commencé à faire des recherches pour mieux comprendre un certain nombre de choses. Plus je faisais des recherches plus j’étais convaincue de mon choix. Lire la suite ici👇🏾 https://lnkd.in/dJBzMdpy

⚠️⚠️⚠️ 𝗙𝗘𝗠𝗠𝗘𝗦 𝗚𝗔𝗕𝗢𝗡𝗔𝗜𝗦𝗘𝗦 𝗗𝗘 𝗙𝗥𝗔𝗡𝗖𝗘 𝗩𝗜𝗖𝗧𝗜𝗠𝗘𝗦 𝗗𝗘 𝗩𝗜𝗢𝗟𝗘𝗡𝗖𝗘𝗦 𝗖𝗢𝗡𝗝𝗨𝗚𝗔𝗟𝗘𝗦, 𝗩𝗢𝗨𝗦 𝗔𝗩𝗘𝗭 𝗗𝗘𝗦 𝗗𝗥𝗢𝗜𝗧𝗦 ! La Journée nationale de la Femme gabonaise est célébrée chaque 17 avril. Cette journée permet de rappeler les nombreux combats dans lesquels s’inscrit le Gabon pour préserver ses droits. A cet effet, le Gabon a adopté plusieurs mesures et ratifié plusieurs conventions internationales sur les droits des femmes. La diaspora gabonaise de France est l’une des plus importantes. Elle est composée de nombreuses femmes qui y vivent pour diverses raisons. Entre une éducation reçue selon laquelle la femme doit se taire et supporter car le mariage reste son plus grand accomplissement, dans certains cas la peur de perdre son titre de séjour, l’ignorance ou la honte, certaines valeurs culturelles et religieuses, elle en vient à accepter l’inacceptable alors que la France a instauré une politique pour lutter contre les violences conjugales faites aux femmes, et a mis en place plusieurs mécanismes de protection. Quels sont -ils ? comment les actionner ? Canaux de diffusion Facebook : - Alliance Démocratique et Solidaire - Résistance Tv Canaux de diffusion YouTube : - https://lnkd.in/enJWdnPS - https://lnkd.in/etur7uYJ - https://lnkd.in/erZQW_Nu

Le combat pour l'égalité des genres est universel. En Haïti, des femmes comme Adeline Magloire-Chancy ont ouvert la voie. Cet article du Devoir nous rappelle l'importance de connaître et de valoriser ces figures historiques : https://lnkd.in/e_pMq5Td #féminisme #leadershipféminin #Haïti #droitshumains

𝐂𝐡𝐞𝐫 𝐑𝐞́𝐬𝐞𝐚𝐮!  𝐐𝐔𝐄 𝐕𝐎𝐔𝐒 𝐈𝐍𝐒𝐏𝐈𝐑𝐄 𝐂𝐄𝐓𝐓𝐄 𝐀𝐍𝐀𝐋𝐘𝐒𝐄 ?  L'Article 27, alinéa 1 de la Charte Africaine des Droits de l'Homme et des Peuples se distingue par son approche unique : "Chaque individu a des devoirs envers la famille, la société, l'État et la communauté internationale." Cette disposition illustre la volonté de la Charte de reconnaître et d'intégrer les valeurs profondes de la communauté africaine, en plaçant la responsabilité intergénérationnelle au cœur des droits humains. Contrairement à de nombreux instruments internationaux, la Charte aborde de manière explicite la question des devoirs envers les parents, reflétant notre culture de respect et de solidarité familiale. Dans une perspective africaine, il est inacceptable que des pères et mères soient négligés par leurs enfants, surtout dans des situations d'indigence. Loin d'être une simple exhortation morale, cette obligation a une dimension juridique : les parents ont le droit de se retourner vers les mécanismes de droits humains en cas de manquement à cette responsabilité essentielle. Cette spécificité de la Charte nous pousse à agir et à promouvoir un modèle où le soutien aux aînés n'est pas une option, mais une obligation légale et morale. Comment, en tant qu'experts, pouvons-nous amplifié cette voix et garantir que les parents, les personnes âgées reçoivent le respect et le soutien qu'ils méritent ? Engageons la discussion sur cette question cruciale pour notre communauté ! #DroitsHumains #Bénin #SolidaritéFamiliale #CultureAfricaine Merci pour votre engagement ! 🌍✨

Aujourd’hui, en cette Journée Internationale de la Femme Africaine, prenons un moment pour questionner l’identité de la femme africaine? Qui est elle ? Trop longtemps, la femme africaine a été réduite à un stéréotype : celle qui endure, qui subit en silence, qui supporte tout sans jamais fléchir, douce , soumise et forte. Nos mères, souvent citées comme le modèle de la femme africaine, incarnent cette résilience sacrificielle. Mais est-ce vraiment leur propre reflet ? Est-ce qu’elles se retrouvent dans cette image ? 🫡Les avons-nous vraiment questionnées sur leur propre perception de cette identité ? 🫡est-ce vraiment le reflet complet de qui nous sommes aujourd’hui ? 🫡Est-ce que cette image est celle avec laquelle nous voulons nous identifier ? Pour ma part, j’ai eu la chance de grandir avec des femmes qui semblaient cocher toutes ces cases. Et ce que j’ai découvert m’a profondément interpellée. À travers leur vécu, avant même de m’affirmer féministe , j’ai compris très tôt que notre identité n’est pas figée dans ces stéréotypes. Ce que j’en tire aujourd’hui : c’est que notre identité, en tant que femmes africaines, n’a pas de limite. Nous devons la définir nous-mêmes. Les décisions que nous prenons (comme faire ou ne pas faire des tâches domestiques, nous habiller comme X ou Y, être épouse ou non, faire des enfants ou non) ne doivent pas être des contraintes imposées, mais des choix personnels et conscients. La femme africaine ne doit plus être celle qui endure en silence, qui subit sans murmurer ou qui reste forte malgré tout. Elle est celle qui choisit, qui revendique son droit à la liberté, qui ose être vulnérable et qui s’affirme dans toutes ses dimensions. Son identité n’est pas un fardeau à porter mais une richesse à embrasser. Je suis de celles qui transcende les attentes imposées, qui refusent les étiquettes simplistes et qui revendique le droit de définir ma propre identité. Je suis celle qui se libère des normes patriarcales et choisit de vivre selon ses propres termes. Il est grand temps de réécrire notre narrative et de revendiquer notre identité plurielle, libre de se réinventer. Je crois que cette génération de femmes africaines et celles à venir sont celles qui choisissent, qui défient les attentes et qui bâtissent leur propre chemin. Pour cette Journée Internationale de la Femme, je nous souhaite de continuer à célébrer notre diversité, de travailler à définir notre identité unique et de ne pas nous laisser enfermer dans des cases prédéfinies. Bonne Journée Internationale de la Femme Africaine à toutes les sœurs féministes africaines et à toutes les femmes africaines ! Je suis Benedicta ALOAKINNOU, je suis une femme africaine pro-choix !

Inch’Allah un fils est un film marquant qui offre une critique poignante du patriarcat. Le film, réalisé par Amjad Al Rasheed, met en lumière l’histoire bouleversante de Nawal, une jeune veuve jordanienne, qui se bat contre les traditions et les pressions familiales pour préserver son indépendance et celle de sa fille. À travers son personnage, le film explore la complexité des attentes sociales imposées aux femmes dans un contexte où avoir un fils devient une question de survie et d’honneur familial. Ce qui frappe dans Inch’Allah un fils, c’est la manière dont le film déconstruit subtilement les rôles de genre dans une société patriarcale. Nawal est confrontée à des dilemmes déchirants qui montrent à quel point les droits des femmes sont souvent subordonnés à ceux des hommes dans des sociétés traditionnelles. Le film ne se contente pas de montrer l’oppression; il célèbre aussi la résilience et la force des femmes, offrant ainsi une vision inspirante de la lutte pour l’autonomie. D’un point de vue féministe, le film est un plaidoyer contre la déshumanisation des femmes réduites à leur capacité à donner naissance à des fils. Il pose des questions essentielles sur la transmission des valeurs patriarcales à travers les générations et sur la façon dont les femmes peuvent, individuellement ou collectivement, se libérer de ces chaînes. Ce film est un véritable appel à l’émancipation, porté par des performances d’acteurs intenses et une réalisation qui met en valeur les tensions émotionnelles avec sensibilité. Il fait réfléchir à la manière dont les femmes doivent non seulement se battre contre l’injustice mais aussi redéfinir les notions de famille et de pouvoir. Enthousiasmant dans sa manière d’aborder ces thèmes, Inch’Allah un fils est un cri de révolte, d’espoir et de liberté pour les femmes du monde entier.

La Journée de l'Enfant Africain, célébrée chaque année le 16 juin, offre l'occasion de rappeler l'importance de soutenir tous les enfants africains et de défendre leurs droits. Je présente ici une liste non exhaustive pour faire connaître aux plus jeunes et rappeler aux moins jeunes et aux parents les 12 principaux droits de l'enfant. Ces droits sont inscrits dans la Convention internationale des droits de l'enfant adoptée par l'ONU le 20 novembre 1989. ✅️ Droit à l'égalité ✅️ Droit d'avoir une identité ✅️ Droit de vivre en famille ✅️ Droit à la santé ✅️ Droit à l'éducation et aux loisirs ✅️ Droits à la protection de la vie privée ✅️ Droit à une justice adaptée à son âge ✅️ Droit d'être protégé en temps de guerre ✅️ Droit d'être protégé contre toutes les formes de violence ✅️ Droit d'être protégé contre toutes les formes d'exploitation ✅️ Droit de s'exprimer et d'être entendu sur les questions qui le concernent ✅️ Droits de l'enfant en situation de handicap de vivre avec et comme les autres. La Journée de l’Enfant Africain est non seulement un moment de souvenir, mais aussi une occasion d’agir. Aujourd'hui, nous devons renouveler notre engagement à construire un avenir meilleur pour tous les enfants de notre continent. Leur offrir une éducation de qualité, un accès aux soins de santé, et une protection contre toutes formes de violences et de discriminations, sont des impératifs auxquels nous ne devons jamais renoncer. Nous devons travailler ensemble gouvernements, organisations non-gouvernementales, communautés, familles pour créer des environnements sûrs et épanouissants où chaque enfant peut réaliser son plein potentiel en réaffirmant notre conviction que chaque enfant a le droit de rêver, de grandir et de contribuer positivement à la société. À tous les enfants africains, je vous dis : vos rêves sont notre espoir, votre avenir est notre priorité. Ensemble, faisons en sorte que les sacrifices du passé servent de fondement solide pour la construction d'un avenir juste et prospère pour tous. Que cette journée soit un appel à l’action et un témoignage de notre engagement indéfectible envers les droits et le bien-être des enfants. #égalité #droit #sante #education #entrepreneur #africa #RDC Terre des hommes UNICEF ChildFund International United Nations Ministère de la Promotion féminine, de l’Enfance et des Personnes vulnérables

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