Post de 24 heures

La fréquentation des cantines scolaires reflète aussi les inégalités sociales révèle la dernière enquête du Conseil national d'évaluation du conseil scolaire (CNESCO). Sa présidente, Nathalie Mons, observe toutefois une forte amélioration depuis vingt ans. L’enquête que vient de publier le Cnesco sur la restauration scolaire dans les collèges et lycées apporte un regard inédit sur un thème finalement peu exploré. Pourquoi s’y intéresser maintenant ? Nathalie Mons. On s’est aperçus qu’il n’y avait aucune donnée à l’échelon national à ce sujet. Les cantines sont de la compétence des collectivités territoriales, peu d’enquêtes y ont été menées. Traditionnellement, la qualité de l’école est évaluée selon les résultats scolaires des élèves et les politiques pédagogiques mises en œuvre. Mais on sait que la qualité de vie à l’école joue aussi un rôle important dans l’apprentissage. Et la restauration scolaire, qui en fait partie, a justement connu un fort développement : aujourd’hui, 70 % des collégiens déjeunent dans leur établissement scolaire, alors qu’ils étaient à peine plus de 50 % il y a seulement vingt ans.

Est-ce que la question des besoins des élèves les plus fragiles sera dans les priorités du nouveau Ministère ? Le remboursement des frais de déplacement des enseignants spécialisés en aide rééducative-relationnelle et des personnels des RASED plus largement vient d’être revu à la baisse dans beaucoup de départements. Réduire de 40% ces remboursements revient à priver les écoles rurales de l’aide du RASED. Un nouveau coup dur est donné à notre profession et touche à l’éthique de notre métier. Il faudrait choisir les élèves à accompagner en fonction des kilomètres… Comment le pays des Lumières peut-il accepter cela ? Notre devise républicaine pose le terme d’EGALITÉ au cœur de sa devise. De quelle égalité parle-t-on lorsqu’on continue d’offrir une telle disparité de moyens sur le territoire ?

📬 #Regards est sorti ! 😁 Au sommaire : une double page sur le Programme d'accompagnement courneuvien à la transformation et aux émancipations sociales (#PACTES), un article sur le travail autour de l'installation de #toilettespubliques en ville, un dossier sur le nouveau groupe scolaire #Joliot-Curie... 👉 Pour lire le #journal en ligne, c'est ici : ➡️ https://lnkd.in/ePYkf-U9 ✌️

🔎 𝗘𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗿𝗶𝘃𝗲́ 𝘀𝗼𝘂𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗮𝘁 : 𝗾𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲𝘀 𝗺𝗼𝗱𝗮𝗹𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗼̂𝗹𝗲 𝗱𝗲 𝗹'𝗘́𝘁𝗮𝘁 𝗲𝘁 𝗾𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗲́𝗾𝘂𝗶𝘁𝗲́ 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗼𝘆𝗲𝗻𝘀 𝘃𝗶𝘀-𝗮̀-𝘃𝗶𝘀 𝗱𝗲 𝗹'𝗲𝗻𝘀𝗲𝗶𝗴𝗻𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗽𝘂𝗯𝗹𝗶𝗰 ? J'ai abordé 2 points dans ma question à Nicole Belloubet : ➔ Le 16 octobre 2023, j'avais rendez-vous dans un collège privé sous contrat de mon territoire. C'est le jour où devait avoir lieu l'hommage à Dominique Bernard. Or on m'a expliqué que cet hommage n'aurait pas lieu, ayant été remplacé par une prière le matin... 𝘊𝘦 𝘵𝘺𝘱𝘦 𝘥𝘦 𝘱𝘳𝘢𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘣𝘰𝘯𝘯𝘦 𝘧𝘰𝘪 𝘦𝘴𝘵-𝘪𝘭 𝘢𝘤𝘤𝘦𝘱𝘵𝘦́, 𝘳𝘦𝘤𝘦𝘯𝘴𝘦́ ? ➔ Lorsqu'une petite commune voit partir un certain nombre d'élèves vers le secteur privé, parfois à cause d'un absentéisme non remplacé, la commune doit faire face à des charges supérieures par élève, mais aussi payer plus de frais à l'école privée : c'est une double peine. 𝘕𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳𝘳𝘢𝘪𝘵-𝘰𝘯 𝘱𝘢𝘴 𝘤𝘢𝘭𝘤𝘶𝘭𝘦𝘳 𝘤𝘦 𝘧𝘪𝘯𝘢𝘯𝘤𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘦𝘯 𝘧𝘰𝘯𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦𝘴 𝘱𝘭𝘢𝘤𝘦𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘱𝘰𝘴𝘦́𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘯𝘰𝘯 𝘰𝘤𝘤𝘶𝘱𝘦́𝘦𝘴 ? Groupe #parlementaire RDSE Sénat Parti Radical #ecole #enseignement 🎥 Question et réponse de la ministre ⤵

La com de com ! - 50 000 places, d'accord, mais combien de professeurs ? - Combien d'éducateurs sont prévus ? - Quel est le nombre de psychologues prévus ? - Combien d'animateurs sont nécessaires ? - Combien de surveillants seront présents ? - Combien de cuisiniers sont prévus pour la restauration ? - Combien d'agents d'entretien sont nécessaires ? - etc. Quant aux activités pour occuper les jeunes, combien sont prévues pour éviter les conflits entre eux ou avec le personnel éducatif ? Est-ce que les villes qui les accueillent sont prêtes à les intégrer dans leur centre-ville ? Le principe de la réinsertion implique de ne pas être totalement coupé du tissu social collectif. Le rejet serait pire que mieux dans cette situation. https://lnkd.in/eHt9Eacp

Une grande consultation provinciale est en cours concernant les principaux enjeux vécus dans le réseau scolaire. Voici la seconde étape. Que vous soyez parents, acteurs ou citoyen, vous pouvez vous faire entendre!

Groupes de niveaux / besoin = "colmatage de brèches" ; "dépenser mieux"... Tout est dit.

Il faut de tout pour une plus grande pluralité, aucun problème. Sans préjuger de la qualité des enseignements, on ne joue pas dans la même cour. On n’a pas les mêmes contraintes, notamment de délais, avec les formations sur Parcoursup et d’autres pas, eh bien on n’y arrivera jamais, pour être trivial. Donc, et pour permettre à tous les élèves d’avoir les mêmes chances d’intégrer les écoles, les instituts, les lycées, les centres de formation, une date identique à tout le monde se doit d’être très sûrement LA très bonne solution. Ce n’est sûrement pas la meilleure, ni la seule mais ce sera un bon début ! Ensuite se posera la question des modalités hameçonnage des familles et de la qualité des formations délivrée au regard des exigences des référentiels de formation, et donc du contrôle pédagogique par les ministères et autorités concernés par les diplômes.

👀Le décrochage scolaire : un thème de l’Axe 1 de la STSPD « Stratégie Territoriale de Sécurité et de Prévention de la Délinquance » 2023-2026 de la Ville de Blois. 🚀La cellule Prévention de la Délinquance en partenariat avec la Direction Jeunesse et la DSDEN ont initié un groupe de travail opérationnel et multi partenarial dénommé « Accroche-toi » au début de l’année 2024. 🤝Les échanges avec les partenaires identifiés ont permis d’établir un état des lieux des actions existantes autour du « décrochage » et élaborer un processus visant à aider les personnes en situation de repérage. L’objectif étant d’avoir une visibilité du repérage au traitement de la situation appartenant au collège. 🏫 L’expérimentation est mise en place au Collège Rabelais de Blois en direction des jeunes de 11 à 15 ans pour l’année scolaire 2024-2025. Ce travail n’est qu’un début ! Les services de la ville et les partenaires sont en lien direct avec le collège afin de proposer des mesures de responsabilisation aux collégiens et d’éviter la déscolarisation. Merci à l’ensemble des partenaires pour cette mobilisation 👏 @dsden @directionjeunesse Sylvia Simon Gavinet Romain BOURGEOIS Amandine HEROUX @centresocialmirabeau Isabelle Reboussin @projetdereussiteeducative Bureau Information Jeunesse de Loir-et-Cher Solène Chouk eliette cailleaux @missionlocaleblois

« Depuis bientôt deux mois, à l’appel de l’intersyndicale FSU, CGT Éduc’action, Sud éducation et CNT éducation, une mobilisation aussi puissante qu’historique rassemble élèves, parents, personnels et élu·es de la Seine-Saint-Denis pour exiger un plan d’urgence pour l’école publique, contre le « choc des savoirs ». 🙌 Enfin du NOUS et du ET dans les cortèges !!! J'avoue que je l'espérais mais que j'avais fini par ne plus y croire... ça me réjouit donc de voir tout ce petit monde rassemblé pour demander/exiger des moyens pour l'école publique ! J'aimerais tellement que ça aille plus loin mais je suis moins sûre que tous s'entendent sur la nécessité d'une réforme de fond visant notamment une équité de traitement de tous les élèves quel que soit leur type d'intelligence. Une question aussi majeure pour l'avenir du pays qu'une politique éducative qui réponde aux enjeux d'inclusion et d'adaptation au changement me semble pourtant urgente quand je vois la détresse de ma fille. Trop de rigidité, trop d'ennui, pas assez de place à la créativité et surtout pas assez de prof heureux, motivés et motivants, trop de compétition... Restaurer le plaisir d'apprendre, de questionner, d'exprimer... et non le goût de l'effort comme on l'entend bien trop souvent je trouve. Nos mômes sont prêts à à en faire si on en fait de notre côté pour tenir compte de leurs besoins ! rythme, mouvement... #innovationenéducation #Réformeéducative #inclusion #intelligencesmultiples #neurodiversité #écolepublique