Post de 3.0 STUDIO

« Le Père Noël est une ordure » : Un film possible aujourd’hui ? À l'approche de Noël, les téléfilms de saison refont surface, tout comme certains classiques des années 80, dont « le Père Noël est une ordure ». Ce film est devenu un pilier de la culture cinématographique française des années 80. Avec son humour noir et ses stéréotypes un peu lourd, ce type d'humour était largement accepté et même célébré pour sa capacité à choquer à l'époque. Cependant, il est évident que plusieurs scènes pourraient aujourd'hui être considérées comme offensantes voire inappropriées. En effet, les caricatures de certains personnages pourraient être perçues comme insensibles, témoignant d'une époque où l'autodérision et la caricature régnaient en maître dans la comédie. La question se pose donc : la liberté artistique serait-elle restreinte dans le climat actuel où la sensibilité aux questions de représentation est accrue ? Il appartient aux auteurs de trouver cet équilibre parfois délicat entre expression artistique et responsabilité sociale. Ainsi, notre société a plus que jamais besoin de repenser la façon dont l'humour peut être utilisé pour critiquer sans blesser. Le ton irrévérencieux de “Le Père Noël est une ordure” serait-il encore bien reçu aujourd'hui ? Des films récents ont su allier humour et sensibilité en abordant des sujets complexes avec nuance. En réalité, “Le Père Noël est une ordure” nous rappelle que le cinéma est le reflet de notre société à un moment donné. Il est essentiel que les œuvres artistiques s'adaptent également, non pas par contrainte, mais par un choix conscient de représenter fidèlement la diversité des expériences humaines. Un remake pourrait-il saisir l'esprit original tout en tenant compte des évolutions sociales ? Rien n'est moins sûr. Partagez vos réflexions sur l'équilibre entre humour et responsabilité dans le cinéma contemporain ! https://lnkd.in/eeWZzgbg)

🎙️ 𝗟𝗲 𝗰𝗿𝗶 𝗪𝗶𝗹𝗵𝗲𝗹𝗺 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘀𝗮 𝗴𝗹𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗼𝗿𝗶𝗴𝗶𝗻𝗲𝗹𝗹𝗲 ! 🎥 Je vous en parlais mardi : ce célèbre hurlement sonore, devenu une véritable légende, a marqué ses débuts en 1951 dans 𝐿𝑒𝑠 𝐴𝑣𝑒𝑛𝑡𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑖𝑛𝑒 𝑊𝑦𝑎𝑡𝑡. 🐊 𝗠𝗮𝗶𝘀 𝗰'𝗲𝘀𝘁 𝗲𝗻 𝟭𝟵𝟱𝟯 𝗾𝘂'𝗶𝗹 𝗮 𝗲́𝘁𝗲́ 𝗼𝗳𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗯𝗮𝗽𝘁𝗶𝘀𝗲́ 𝗪𝗶𝗹𝗵𝗲𝗹𝗺. 🤔 𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 ? Dans le western 𝐿𝑎 𝐶ℎ𝑎𝑟𝑔𝑒 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑟𝑖𝑣𝑖𝑒̀𝑟𝑒 𝑟𝑜𝑢𝑔𝑒, 𝘂𝗻 𝘀𝗼𝗹𝗱𝗮𝘁 𝗻𝗼𝗺𝗺𝗲́ 𝗪𝗶𝗹𝗵𝗲𝗹𝗺 𝗽𝗼𝘂𝘀𝘀𝗲 𝗰𝗲 𝗰𝗿𝗶 𝗹𝗼𝗿𝘀𝗾𝘂’𝗶𝗹 𝗿𝗲𝗰̧𝗼𝗶𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗳𝗹𝗲̀𝗰𝗵𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗷𝗮𝗺𝗯𝗲. 🎯 Cette scène emblématique a donné son nom au célèbre hurlement sonore, aujourd’hui immortalisé dans 𝗽𝗹𝘂𝘀 𝗱𝗲 𝟱𝟬𝟬 𝗳𝗶𝗹𝗺𝘀 𝗲𝘁 𝘀𝗲́𝗿𝗶𝗲𝘀. 🌵 Voici la scène culte où le cri Wilhelm fait ses débuts sous ce nom légendaire. 👉 𝗗𝗲 𝗦𝘁𝗮𝗿 𝗪𝗮𝗿𝘀 𝗮̀ 𝗜𝗻𝗱𝗶𝗮𝗻𝗮 𝗝𝗼𝗻𝗲𝘀, ce son est devenu un clin d'œil incontournable pour les réalisateurs et un trésor sonore pour les amateurs de cinéma. 🎬 🎥 Chez STORYMAKERS, on sait que les détails, comme un son culte ou un effet marquant, peuvent faire toute la différence. Vous voulez marquer les esprits avec votre projet vidéo ? 🚀 𝗖𝗼𝗻𝘁𝗮𝗰𝘁𝗲𝘇-𝗻𝗼𝘂𝘀, et créons ensemble un contenu aussi mémorable que ce cri iconique ! 🤔 Et vous, où avez-vous remarqué ce cri dans un film ou une série ? 📣 Partagez vos anecdotes en commentaire ! 👇 #CriWilhelm #Western #PopCulture #Cinéma #Storymakers #CréativitéSansLimite

🎬 Frissons et Frémissements : Explorons l'Évolution du Cinéma d'Horreur ! 🌑 Le cinéma est un voyage émotionnel, et parmi les émotions les plus fascinantes se trouve la peur. De George Méliès à James Wan, le genre de l'horreur a parcouru un long chemin, révélant les profondeurs de l'âme humaine et les limites de notre courage. Rejoignez-nous dans une exploration captivante de l'histoire de l'horreur cinématographique, des premiers frissons de terreur aux récits contemporains qui défient les conventions. De l'Europe aux États-Unis, en passant par l'Asie, découvrez comment ce genre a évolué au fil du temps et a façonné nos peurs collectives. De "Nosferatu" à "Get Out", en passant par les classiques japonais et coréens, chaque décennie a apporté son lot de chefs-d'œuvre et de révélations. Explorez avec nous les tendances, les succès et les échecs qui ont marqué le cinéma d'horreur à travers les âges. Mais alors, quel est l'avenir de l'horreur au cinéma ? Est-ce que les jump scares continueront à régner en maître ou verrons-nous émerger de nouveaux auteurs audacieux prêts à réinventer le genre ? C'est là que vous intervenez ! Partagez vos réflexions, vos films préférés et vos attentes pour l'avenir de l'horreur cinématographique dans les commentaires. Rejoignez la conversation et plongez dans les ténèbres avec nous ! 🌟👻 #CinémaDHorreur #Exploration #Évolution #Frissons #Conversation #CN #Production #Audiovisuel #Filmdegenre #Film https://lnkd.in/e7_mhyzn

Si vous aimez… 1. Les enquêtes criminelles asiatiques vertigineuses 2. Les démantèlements de trafics de drogue dans les années 70 3. Les affrontements d’acteurs burinés dans la forêt 4. Les films biographiques aiguisés comme des patins à glace 5. Les chefs-d’œuvre qui auraient pu être tournés en Suisse (si quelqu’un en avait eu l’idée et le talent) 6. Les hymnes à la vie et à la douceur dans un monde de brutes 7. Les films cultes des années 80 qui influençaient le look de tous les jeunes 8. Les intrigues hitchcockiennes réalisées par quelqu’un d’autre que le grand Alfred (… mais aussi les films de profs aux méthodes inédites, les films de motards façon années 60, les combats de femmes dans les systèmes les plus patriarcaux, les satires sociales frappadingues, ou encore les retrouvailles entre anciennes et anciens lycéennes et lycéens…) … alors vous allez forcément trouver votre bonheur dans ma petite sélection de films qui sortent en salles ou sont diffusés à la télévision ces prochains jours. Comme chaque semaine, tout est sur Cinémamour, façonné par la passion, forcément partial et, je l’espère, très utile pour aller à l’essentiel. Très belle semaine à toutes et tous. Découvrez mon post de blog https://wix.to/FW3y9I0 #nouveaupostdeblog

Découvrez le formidable article de madame Neila Massir Driss sur notre film "Panique à la Noce". Un projet qui me tient à cœur et qui a été une aventure fantastique du début à la fin.

🎬 Henry Cavill et la production de The Witcher : Quand la fidélité à l'œuvre devient un vilain défaut 🧙♂️ Ces derniers mois, les rumeurs autour de The Witcher ont mis en lumière un aspect souvent méconnu des grandes productions : les tensions créatives entre un acteur passionné et les producteurs. 📚 Henry Cavill, grand amateur des romans de Sapkowski et joueur de longue date de la série de jeux vidéo, est rapidement devenu le visage emblématique de Geralt de Riv. Cependant, son engagement pour rester fidèle à l'œuvre originale a parfois créé des tensions avec les scénaristes et les producteurs de la série. ⚔️ Cavill aurait exprimé son désaccord face à certaines libertés prises par la production, estimant que celles-ci dénaturaient l'essence même de l'univers de The Witcher. Selon certaines sources, ces divergences artistiques auraient joué un rôle dans sa décision de quitter le rôle après la saison 3. 🤔 Le débat reste ouvert : faut-il privilégier l'adaptation fidèle au texte d'origine ou permettre une interprétation plus libre pour capter un public plus large ? Une chose est certaine : la passion et l'engagement d'Henry Cavill pour l'univers de The Witcher resteront dans les mémoires, la saison suivante de The Witcher moins... #TheWitcher #HenryCavill #AdaptationLittéraire #RespectDeLOeuvre #CinéTV #Créativité #PropriétéIntellectuelle #DroitDAuteur #Marque #Juridique

🎄 « Maman, j’ai raté l’avion » : quand Kevin protège sa maison… et ses droits d’auteur ! 💸 Noël arrive, et avec lui, ce rituel incontournable : revoir Maman, j’ai raté l’avion. On rit toujours autant devant Kevin qui transforme sa maison en terrain miné, mais ce qu’on oublie souvent, c’est que ce film culte est aussi une leçon de business bien ficelée. Oui, même les cambrioleurs pourraient en prendre de la graine. 📜 Les droits d’auteur : la vraie victoire de Kevin. Sorti en 1990, Home Alone est loin d’être « libre de droits ». Aux États-Unis, la protection des droits d’auteur pour les œuvres cinématographiques peut durer jusqu’à 95 ans après la publication. Traduction : chaque diffusion à la télé, chaque stream sur Netflix, chaque DVD poussiéreux vendu, c’est du cash qui rentre. Les studios qui possèdent les droits continuent de voir les caisses se remplir chaque Noël, pendant que nous, on rigole de Joe Pesci qui glisse sur des micro-machines. 💡 Macaulay Culkin, lui, ne touche probablement plus un centime. Mais les studios ? Jackpot. On parle d’un film qui a rapporté plus de 476 millions de dollars au box-office et qui continue d’être un produit de Noël indémodable. C’est un peu comme si Kevin avait tendu des pièges non pas aux voleurs, mais au portefeuille des téléspectateurs. ❄️ Une leçon de Noël sur les droits… et la longévité. Ce film nous rappelle une chose : les droits d’auteur sont un véritable marathon. Ils permettent de capitaliser sur une œuvre bien après sa création, tout en assurant que ses créateurs (ou du moins les détenteurs des droits) en profitent. On ne parlera pas des débats sur l’accessibilité culturelle… après tout, qui a le cœur à ça quand Kevin balance des briques sur les méchants ? 👉 Et vous ? Votre prochaine idée ou projet pourrait-il devenir un classique qui paye vos factures en 2085 ? #Noël #DroitsDAuteur #HomeAlone #MamanJaiRateLAvion #Noël #Business #Classiques #juridique #avocat #droit #film #télévision #cinéma #noel

Nommé aux Oscars, immense succès en Allemagne, « La salle des profs » de lIker Çatak me laisse une impression étrange, c’est à dire que j’ai bien aimé mais en même temps m’a laissé un peu à la porte… (ATTENTION SPOILERS) Essentiellement à cause de sa fin.  L’impression que dans l’écriture, lIker Çatak et son co-scénariste Johannes Duncker n’ont pas été tout fait au bout du récit…   Pour moi, ce film se termine trop tôt. Il y a un côté « tout ça pour ça » qui me gêne un peu et vient altérer le plaisir que m’a néanmoins procuré cette histoire. Finalement, avec cette fin exagérément « ouverte », le spectateur se retrouve au final avec beaucoup d’interrogations et c’est à lui de décider ce qui s’est réellement passé mais aussi ce qui va se passer par la suite : ça fait beaucoup ! 😅 C’est souvent le risque des fins ouvertes : parfois elles fonctionnent mais chez certains spectateurs, cela peut créer de la frustration et c’est qui s’est passé pour moi ici. Pourtant, le pitch s’avère très intéressant avec cet incident, ce point de départ somme toute presque banal mais qui va peu à peu déboucher sur une tension contaminant les principaux concernés puis une classe entière et enfin tout l’établissement. Si le film tient aussi bien la distance, on le doit beaucoup à la mise en scène extrêmement fluide et qui parvient à faire vivre ce collège dans toutes ses dimensions avec beaucoup d’élégance.  J’ai trouvé l’actrice principale, Leonie Benesch, qui passe par toutes les émotions, tout à fait convaincante. L’identification fonctionne car il me semble que son personnage agit avec pas mal de logique et fait face à ce qui lui arrive avec courage et sensibilité. Enfin, l'étonnante musique de Marvin Miller à base de cordes joue un grand rôle dans la mise sous tension du spectateur. Et vous, qu’avez-vous pensé de ce film ? Excellent week-end. #film #dramaturgie

Le mercredi est traditionnellement le jour de sortie des nouveaux films au cinéma. Laissez moi prendre le contre-pied de cette tradition pour vous parler d'un film qui fête ses 25 ans, 𝐥𝐞 𝟏𝟑𝐞̀𝐦𝐞 𝐠𝐮𝐞𝐫𝐫𝐢𝐞𝐫 de John Mc Tiernan. 📖 Inspiré d'un livre du célèbre auteur Mickael Crichton (Jurassic Park, la Firme, Urgences), le film nous raconte l'histoire d'un poète en exil au 11ème siècle qui voyagera de sa Bagdad natale vers les terres Scandinaves. 📖 En chemin, il fera la rencontre d'un groupe de 12 vikings déterminés à combattre un mal inconnu qui tourmente leurs terres et sera enrôlé de force dans cette équipe de fortune. 𝟏 - 𝐃𝐢𝐟𝐟𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐞𝐭 𝐭𝐨𝐥𝐞́𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 Deux cultures se rencontrent dans cette œuvre, l'une rustique et puissante, l'autre cultivée et raffinée. Les événements pousseront les protagonistes à s'allier et à mettre en commun leurs savoirs pour triompher des épreuves. Comme dans notre quotidien, il convient de connaître les personnes avant de les juger et de rester ouvert aux différences qui sont sources de complémentarité. 𝟐 - 𝐕𝐚𝐢𝐧𝐜𝐫𝐞 𝐬𝐞𝐬 𝐩𝐞𝐮𝐫𝐬 Dans beaucoup de culture, vaincre ses peurs par une épreuve est souvent un rituel d'initiation vers un état d'existence supérieur. Notre héros n'échappant pas à la règle, nous poussera à réfléchir sur notre propre condition et la conséquence de nos choix. Ne pas prendre de décisions étant le plus sur moyen de ne jamais avancer ou de grandir. 𝟑 - 𝐃𝐞́𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐬𝐨𝐢 Conscient de notre potentiel, il convient de toujours aller de l'avant, d'être chaque jour meilleur qu'hier et d'accepter ce qui nous arrive (de bon comme de mauvais) comme une forme d'apprentissage. Ne cherchez pas ici une oeuvre historique, vous seriez déçu ! Le réalisateur ne s'est pas embarrassé d'authentiques reconstitutions car il s'agit avant tout d'un film de divertissement. Je vous recommande de vous laisser emporter par le souffle épique de l'œuvre, des valeurs qu'elle transporte et de sa finalité qui a tout d'une fable. Après tout, le film est raconté par l'intermédiaire d'un poète... Si vous avez vu ce film, n'hésitez pas à me le dire en commentaire et à partager votre point de vu ! Si vous voulez aller plus loin dans ces réflexions au quotidien, on prend RDV: www.cabinet-mm.fr 📩

[Avis #cinéma] 🦈 J'ai enfin vu Sous la Seine de #Netflix le petit dernier dans la longue liste des films de #requins amateurs de chairs humaines. Comme l'explique très bien Marie T. dans cette petite vidéo (https://lnkd.in/d3CBYeqj) ce qui est présenté dans le film pour le rendre "crédible" scientifiquement est un immense flop. Ce film est une catastrophe sur le plan scientifique. Cependant, il convient de garder en tête que comme tous les autres films de requins tueurs il s'agit d'une fiction qui vend un "requin déformé par un prisme culturel". Qu'importe le format de la fiction et le caractère que l'on donne à un requin, du moment qu'on fait de lui un personnage "gentil ou méchant" de l'histoire nous vendons à tous les publics une image tronquée de l'animal qui les éloigne de la réalité mise en avant par les scientifiques et les naturalistes. Comme l'explique magnifiquement francois sarano dans son ouvrage « Au nom des requins » le concept de requins gentils (ex: Le Monde de Nemo ou Gang de Requin) est tout aussi caricaturale que celui du requin tueur des Dents de la Mer. Ce type représentation augmente « le décalage entre le réel et la vie sauvage ». A juste titre ce livre introduit les concepts de « requins virtuels » et de « disneylandisation » pour souligner à quel point nos sociétés regardent des requins qui ne sont que des déformations culturels sans lien avec les fantastiques animaux qui composent les écosystèmes. L'ensemble de ce propos est applicable à n'importe quel autre animal. Références Sarano, F. (2022). Au nom des requins. Éditions: Actes Sud Nature.