Post de Action Metanoia Afrika

🌱 Connaissez-vous les couverts végétaux ? 🌱 La pratique du couvert végétal se diffuse dans toutes nos zones de culture et nous y croyons ! Le principe : couvrir les sols au maximum ! Concrètement, on implante volontairement une culture intermédiaire quand une parcelle n’est pas exploitée et/ou entre les rangs cultivés. Le couvert végétal est un mélange de plantes, semé pour protéger le sol des risques climatiques, accroître sa rétention en eau, protéger la biodiversité présente dans les champs, stocker du carbone, augmenter la fertilité de la parcelle, et permettre un meilleur rendement lors des prochaines récoltes. 🌿 C’est un outil clé de l’agriculture régénératrice, qui vise à restaurer et à améliorer la santé des sols, à augmenter la biodiversité et à renforcer les écosystèmes agricoles ! Parmi ces couverts, on retrouve les crucifères, tels que le radis chinois, les graminées, tels que l’avoine rude, les légumineuses, tels que le trèfle de Perse, et d’autres espèces comme le phacélie par exemple. Chacun présente des propriétés spécifiques dépendant des futures récoltes de sa terre. 🏵️ Bonduelle est engagé dans l’agriculture régénératrice, et nous avons pour objectif que 80% de nos agriculteurs partenaires soit engagés dans cette pratique d’ici 2030 ! #CouvertsVégétaux #AgricultureRégénératrice #Planet

🚜🌱 𝐂𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐭 𝐯𝐞́𝐠𝐞́𝐭𝐚𝐥 𝐞𝐬𝐭𝐢𝐯𝐚𝐥 : 𝐥’𝐞𝐬𝐬𝐚𝐲𝐞𝐫, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐥’𝐚𝐝𝐨𝐩𝐭𝐞𝐫 🌱🚜 Souvent utilisés dans une démarche agroécologique ou en agriculture de conservation des sols, les couverts végétaux ou cultures intermédiaires, sont des plantes semées pour éviter de laisser le sol à nu après les moissons des cultures principales. Les couverts végétaux sont de plus en plus répandus dans les exploitations françaises, car ils offrent de nombreux avantages : • 𝐀𝐦𝐞́𝐥𝐢𝐨𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐟𝐞𝐫𝐭𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐨𝐥𝐬 : les couverts végétaux enrichissent le sol en azote et matières organiques ; • 𝐑𝐞́𝐝𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥'𝐞́𝐫𝐨𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐭 𝐩𝐫𝐨𝐭𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐮 𝐬𝐨𝐥 : ils protègent le sol contre le lessivage et conservent les nutriments, et évitent les rayons directs du soleil en été ; • 𝐁𝐞́𝐧𝐞́𝐟𝐢𝐜𝐞𝐬 𝐚𝐠𝐫𝐨𝐧𝐨𝐦𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬 : ils ajoutent une espèce complémentaire dans la rotation et occupent les sols, ce qui empêche la prolifération des adventices ; Sans oublier leur contribution à la 𝐩𝐫𝐞́𝐬𝐞𝐫𝐯𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐛𝐢𝐨𝐝𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐭𝐞́. En plus de leurs nombreux avantages agronomiques, pédologiques, environnementaux, les bénéfices peuvent aller plus loin sur l’aspect économique ; car dans le cas des intercultures récoltables ou cultures dérobées comme la cameline, l’agriculteur bénéficie d’une rémunération additionnelle en plus de tous les bénéfices précédemment cités ! Une bonne pratique à adopter ! #AgricultureDurable #CouvertsVégétaux #Sols #Environnement #Biodiversité

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🌳 Planter des végétaux en limitant les pertes au maximum, c’est possible ? Ramener de la biodiversité dans des endroits comme les cimetières par la végétalisation des lieux, tel est l’objectif que se fixent certaines collectivités. La loi Labbé les contraint désormais à gérer ces espaces sans produit phytosanitaire. Apporter un biostimulant comme notre biochar mycorhizé augmente les chances de reprise et la résistance des plants. Solution idéale pour retenir l’eau et les nutriments et favoriser les échanges entre le sol et les racines de la plante, elle permet d’obtenir l’enracinement nécessaire à une bonne implantation. Ainsi, le service technique de la Mairie de Fougères qui a mis en œuvre Trilis dans son projet témoigne : « L’été 2023 fut une véritable épreuve pour les végétaux. Toutefois, nous n’avons eu que très peu de pertes à déplorer en fin d’été, là où certains végétaux ont dépéri les années passées, même avec une pluviométrie plus clémente ! Nos observations nous amènent à l’évidence des bienfaits de ce produit naturel. » Le biochar Terra Fertilis est facile à introduire dans vos pratiques. Renseignez-vous dès maintenant auprès de notre équipe commerciale. #biochar #terrafertilis #biostimulant #mycorhize #plantation #espacesverts #mairies #collectivités #arrosage #secheresse #agriculturebiologique #cimetiere

Faut il se fier encore au calendrier du potager ? Le changement climatique a effectivement un impact sur les calendriers de culture des potagers, mais il ne les rend pas nécessairement obsolètes. Voici quelques éléments à considérer : 1 Modifications des saisons : Avec des températures qui augmentent et des saisons qui se prolongent, certaines cultures peuvent être plantées plus tôt au printemps ou récoltées plus tard en automne. Cela peut permettre une extension de la saison de culture. 2 Adaptation des variétés : Les jardiniers peuvent avoir besoin d’adapter leurs variétés de plantes en fonction des nouvelles conditions climatiques. Par exemple, certaines variétés peuvent mieux résister à la chaleur ou aux variations d'humidité. 3 Microclimats locaux : Le changement climatique peut également créer des microclimats plus variés, ce qui signifie que certaines régions peuvent voir des changements plus marqués que d'autres. Cela nécessite une observation attentive des conditions spécifiques à chaque jardin. 4 Précipitations et irrigation : Les schémas de précipitations peuvent devenir plus erratiques. Les jardiniers devront peut-être ajuster leurs techniques d'irrigation et leur calendrier de plantation en conséquence. 5 Observation et flexibilité : Plutôt que de se fier uniquement à des calendriers fixes, les jardiniers devraient adopter une approche plus flexible et réactive, en observant les conditions climatiques et en ajustant leurs pratiques en conséquence. En résumé, bien que les calendriers traditionnels de culture ne soient plus aussi fiables face au changement climatique, ils ne sont pas complètement obsolètes. L’adaptabilité et l’observation des conditions environnementales restent des clés essentielles pour réussir un potager.

Les couverts végétaux, levier efficace dans la gestion des adventices ? Pour ne pas laisser le champ libre aux mauvaises herbes, la stratégie est bien connue : il faut occuper l’espace. Semer un couvert y contribue mais leur gestion et leurs bénéfices continuent de questionner. Quelles espèces choisir, combien et avec quel itinéraire technique ? L’introduction dans les rotations de couverts, qu’ils soient temporaires ou permanents, peut répondre à de nombreuses attentes : apporter de la matière organique au sol, piéger l’azote, limiter l’érosion, produire du fourrage, favoriser la biodiversité… Sans oublier celle de réduire le salissement des parcelles, parfois recherchée. Pour la gestion des adventices, « beaucoup d’études1 démontrent que les couverts qui sont peu diversifiés, constitués de 3 ou 4 espèces bien choisies, peuvent être beaucoup plus performants que ceux qui en comportent 10 ou 15 » Article complet : https://lnkd.in/eRpURgTQ

Saisissons l'opportunité de repenser la #ville, son #urbanisme et sa #democratie locale. Les citoyen.nes sont prêt.es à s'organiser. Les bonnes volontés sont multiples. Les convictions qu'il faut (à peu près) tout repenser pour mieux vivre également. Pourquoi, dès lors, ne pas essayer ? #ville #resiliencealimentaire #resilience #ecocitoyennete #vivant #justicesociale #citoyennete #villeverte #rechauffementclimatique #urbanisme #ville

100 % pour ,c'est si simple en plus

exemple à méditer #agricutureurbaine

Autre attente des couverts : produire de l’énergie, avec la Methanisation. Ce qui permet de rendre la pratique économiquement viable (pour les cas où les bénéfices économiques d’un couvert sont difficilement quantifiables) ou même rentable, notamment en augmentant le volume des couverts grâce aux digestats), ce qui peut apporter plus de résilience à l’exploitation agricole.