📌 𝗣𝗨𝗕𝗟𝗜𝗖𝗔𝗧𝗜𝗢𝗡 | Une hausse inévitable des décès dans l’Ouest breton Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la France a connu un rebond de la natalité. Le nombre de naissances est resté très élevé entre 1946 et le milieu des années 1970, inscrivant ainsi le baby-boom comme un évènement démographique majeur en France. En 2020, les baby-boomers avaient entre 45 et 74 ans. Alors qu’une partie de cette génération est toujours active, une autre a atteint l’âge de la retraite et les premiers nés sont aujourd’hui aux portes du grand âge. Cette génération, qui a marqué la démographie, par son nombre élevé de naissances, est donc également amenée à l’impacter par ces décès. L’objet de cette étude est de quantifier ce phénomène à l’échelle de l’Ouest breton. 👉 Une publication à consulter en ligne sur : https://lnkd.in/gQkgYrE7 Pôle métropolitain du Pays de Brest, Pays de Morlaix, Pays du Centre Ouest Bretagne, Lannion-Trégor Communauté, Pays de guingamp, Saint-Brieuc Armor Agglomération
Post de ADEUPa Brest-Bretagne
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📉 𝐋𝐚 𝐧𝐚𝐭𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐞𝐧 𝐅𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 : 𝐮𝐧𝐞 𝐝𝐞́𝐠𝐫𝐢𝐧𝐠𝐨𝐥𝐚𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐢𝐧𝐮𝐞 2024 pourrait enregistrer le plus faible nombre de naissances depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Selon l'Insee, le nombre de naissances continue de baisser de manière alarmante. 🔍 𝐿𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑖𝑓𝑓𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑒𝑛𝑡 𝑑'𝑒𝑢𝑥-𝑚𝑒̂𝑚𝑒𝑠 : - En 2023, la France a enregistré une baisse des naissances de 7%, passant sous la barre des 700.000 naissances. - De janvier à août 2024, le nombre de naissances a baissé de 3% par rapport à la même période en 2023. - En deux ans, entre 2022 et 2024, le nombre de naissances a chuté de 9,9%. 📊 𝐹𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑙'𝑒𝑥𝑐𝑒𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑎𝑖𝑠𝑒 ? Depuis 2011, le nombre de naissances a reculé chaque année en France, à l'exception de 2021. En 2023, l’indicateur conjoncturel de fécondité s’établissait à 1,68 enfant par femme, rejoignant le niveau des autres pays d’Europe. La France est désormais en dessous du seuil de renouvellement des générations (2,05 enfants par femme). 📣 𝐷𝑒𝑠 𝑚𝑒𝑠𝑢𝑟𝑒𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑖𝑛𝑣𝑒𝑟𝑠𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑡𝑒𝑛𝑑𝑎𝑛𝑐𝑒 : En janvier 2024, Emmanuel Macron a annoncé des mesures en faveur d'un "réarmement démographique", incluant la création d'un "congé de naissance" de six mois. Cependant, Pascale Morinière, présidente des Associations familiales catholiques (AFC), estime que ce n'est pas la solution. Elle souligne que les parents souhaitent un congé long et une allocation de base plus élevée, ainsi que des modes de garde accessibles. 🌟 𝑈𝑛 𝑠𝑢𝑗𝑒𝑡 𝑐ℎ𝑒𝑟 𝑎𝑢 𝑝𝑎𝑝𝑒 𝐹𝑟𝑎𝑛𝑐̧𝑜𝑖𝑠 : Le pape François s'est également alarmé de la baisse de la natalité en Europe. Lors de son voyage au Luxembourg, il a exhorté les autorités à encourager les naissances : "Plus d’enfants… c’est l’avenir." 💡 𝑄𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑙𝑢𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙'𝑎𝑣𝑒𝑛𝑖𝑟 ? La baisse de la natalité pose des défis majeurs pour la société française. Quelles politiques publiques pourraient inverser cette tendance ? Partagez vos idées et solutions en commentaire ! 👉 https://lnkd.in/e9TVqEhR #Natalité #Démographie #Famille #PolitiquePublique #France #Société
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📉 Une baisse historique des naissances en France : un enjeu de société majeur Le bilan démographique 2024 de l'INSEE révèle une baisse continue des naissances en France. Avec seulement 663 000 naissances en 2024, la diminution est de 2,2 % par rapport à l'année précédente et de 21,5 % depuis 2010. 👉 Un indicateur conjoncturel de fécondité alarmant : à 1,62 enfant par femme, nous atteignons un niveau historiquement bas depuis la fin de la Première Guerre mondiale. 📊 Cette tendance contraste avec le désir d'enfant exprimé par les couples, qui reste stable à environ 2,27 enfants en moyenne. 🔍 Quelles en sont les causes ? Coût élevé de l'éducation des enfants : la réduction des aides socio-fiscales pèse sur les familles. Conciliation vie pro/vie perso difficile : 38 % des parents actifs signalent des obstacles majeurs, contre 17 % en 2007. 💡 Une réflexion collective nécessaire Il est essentiel d'adapter les politiques familiales pour mieux répondre aux attentes des familles et soutenir la natalité en France. Cela passe par des mesures concrètes pour améliorer la conciliation entre travail et parentalité, ainsi que pour alléger les contraintes financières des familles.
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L'Insee a révélé une nouvelle fois la baisse des naissances en 2024 pour la France : seulement 663 000 bébés, un record historiquement bas depuis la Seconde Guerre mondiale. Avec un indicateur de fécondité de 1,62 enfant par femme, la France continue de s'éloigner du seuil de renouvellement des générations (2,1 enfants par femme). Pourquoi cette tendance inquiète ? 1️⃣ Dans un système où la retraite est basée sur un système par répartition, notre modèle est basé sur la solidarité intergénérationnelle et repose pour ceci sur une population active suffisante pour financer les pensions. Avec une population de plus en plus âgée (1 personne sur 5 a 65 ans ou plus en 2024), où le taux d'emploi des seniors (60-65 ans qui est à 39% vs 51% dans l'UE comme le signalait Olivier Redoulès dans un post récent), le déséquilibre entre actifs et retraités s'accentue. Si rien ne change, comment garantir la pérennité de notre système ? Or dans ces récents rapports le Cor se base sur un taux de fécondité de 1,8 enfants par femme ! 2️⃣ Il devient urgent de repenser la politique familiale. Nous avons à nouveau besoin d'une politique familiale ambitieuse, généreuse et équitable, capable de soutenir toutes les familles et de redonner confiance en l’avenir afin de ne pas gager notre système de retraite par répartition. comme le rappelait Olivier Klein dans un article récent publié dans les Échos (Opinion | Abroger la réforme des retraites serait dangereux https://lnkd.in/e74iqKDm) il y a plusieurs solutions pour soutenir notre système de retraite. Cependant si en 1960 il y avait 4 cotisants pour 1 retraité, en 2010 nous sommes tombés à 1,8 cotisants pour 1 retraité et nous nous orientons comme rappelé dans l'article vers 1,2 cotisants pour 1 retraité en 2050, mais avec quelle hypothèse de fécondité ? 1,8 enfants par femme en âge de procréer comme dans les analyses du Cor !? La démographie n'est pas une fatalité. Agir maintenant, c’est préparer l’avenir de notre pays. #Demographie #ReformeDesRetraites #MinistereDeLeconomie #AvenirDeLaFrance Démographie : l'inexorable chute des naissances en France https://lnkd.in/erpApeDB
Démographie : l'inexorable chute des naissances en France
lesechos.fr
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🍼 Nous venons de publier les chiffres définitifs des naissances et de la fécondité de 2022. Les principales conclusions sont : 📉 le nombre de naissances a diminué de 3% en 2023 par rapport à 2022 ; 🤰 tout comme en 2021, l’âge moyen de la maman à la naissance de son premier enfant est de 29,6 ans en 2022 ; 🌙 un bon 16 % des naissances ont eu lieu la nuit en 2022. La plupart des enfants sont nés l’après-midi. Environ 34% des naissances se sont produites à ce moment de la journée. 👉 Tous les chiffres et plus d’informations sur https://lnkd.in/e-4cG3V9 #Statbel
Natalité et fécondité
statbel.fgov.be
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📢 La #démographie, un enjeu d'État : pourquoi les naissances devraient être prises en charge par l'État La démographie est la clé de l'avenir d'un pays. Pourtant, laisser la natalité au simple ressort des choix individuels est une prise de risque majeure. Si nous voulons assurer la pérennité de notre modèle social, garantir le renouvellement des générations et maintenir notre dynamisme économique, alors nous devons réfléchir différemment. Et si les naissances devenaient une véritable priorité politique ? L'idée peut sembler audacieuse, mais elle mérite d'être posée : pourquoi ne pas délester la société civile des contraintes financières et organisationnelles liées aux naissances ? ➡️ Prendre en charge les naissances, c'est investir dans l'avenir Un tel projet impliquerait un accompagnement total : des coûts liés à la grossesse à l’éducation des enfants, en passant par une meilleure reconnaissance du rôle des parents. Cela pourrait réduire les inégalités sociales, encourager la natalité et faire de la parentalité un levier de progrès collectif, au lieu d'un défi personnel souvent lourd à porter. ➡️ Une démographie maîtrisée pour un équilibre durable Laisser la natalité aux choix individuels, c'est courir le risque d'un déséquilibre démographique fatal. Une population vieillissante sans jeunesse pour la soutenir mène à l'effondrement des systèmes sociaux. L'État peut, et doit, jouer un rôle stratégique en faisant de la démographie une priorité nationale. Alors, comment pourrait-on imaginer un modèle où l'État prendrait réellement en charge les naissances ? 💬 Et vous, qu'en pensez-vous ? L'État doit-il intervenir pour soutenir et encadrer davantage la natalité ? Quels seraient les leviers les plus efficaces pour encourager un tel projet ? Peut-on vraiment envisager de délier la natalité des projets personnels pour en faire une décision politique ? Vos réflexions sont précieuses : partageons nos idées pour dessiner ensemble l’avenir démographique de notre pays. 🌍 #Démographie #Natalité #PolitiquePublique #Société #Avenir
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L’année 2024 se termine avec un solde naturel positif de 17 000 personnes, selon les dernières données de l’Insee. Bien que les naissances restent supérieures aux décès, ce solde est le plus faible jamais observé depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, marquant un triste record historique. De plus, l’indicateur conjoncturel de fécondité atteint 1,62 enfant par femme, un niveau jamais aussi bas depuis la fin de la Première Guerre mondiale. En 2024, 663 000 naissances ont été enregistrées, soit une baisse de 2,2 % par rapport à l’année précédente et de 21,5 % par rapport au pic de 2010. Parallèlement, l’âge moyen à l’accouchement reste élevé, à 31,1 ans. Du côté des décès, 646 000 personnes sont mortes en 2024, soit une hausse de 1,1 % par rapport à 2023. Cette augmentation s’explique principalement par le vieillissement des générations du baby-boom, désormais atteintes d’un âge avancé. L’Insee signale également une augmentation préoccupante de la mortalité infantile, atteignant 4,1 décès pour 1 000 naissances vivantes, contre 3,7 pour 1 000 en 2021. Au total, environ 2 700 enfants de moins d’un an sont morts en 2024, confirmant une tendance à la hausse observée depuis trois ans. Malgré cette démographie morose, la population française a légèrement augmenté de 0,25 %, atteignant 68,6 millions d’habitants au 1er janvier 2025. Cette progression est largement portée par un solde migratoire provisoirement estimé à +152 000 personnes. Cette dynamique permet de compenser partiellement le faible excédent naturel et contribue à maintenir une croissance démographique positive. Autre évolution notable, les mariages sont en légère hausse avec 247 000 unions célébrées, tandis que 204 000 Pacs ont été enregistrés, un chiffre en léger recul par rapport à l’année précédente, mais qui reste significatif. Enfin, l’espérance de vie à la naissance demeure élevée : 85,6 ans pour les femmes et 80 ans pour les hommes, illustrant un bon niveau de santé générale dans le pays. Cependant, la baisse persistante des naissances couplée au vieillissement de la population demeure un défi majeur pour les années à venir, accentuant le déséquilibre démographique et les pressions sur le système social.
Records de baisse de la fécondité et du solde naturel... Un bilan démographique morose pour la France en 2024
lsa-conso.fr
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677 800 Ce nombre est passé relativement inaperçu alors qu'il devrait retenir toutes les attentions et mobiliser. Ce nombre est celui des naissances en France en 2023 selon l'Insee. C'est une baisse de 6,6% par rapport à 2022, de 20% par rapport à 2010 qui était un pic, et, surtout, le plus faible depuis la fin du baby-boom. Alors que notre pays vieillit et va faire face à une accélération massive du #vieillissement, nous devrions nous inquiéter de cette situation atone qui concerne toutes les générations. La #démographie est trop souvent négligée alors qu'elle trace largement les trajectoires économiques et sociales. Herve de Trogoff Aymeric Mathias Florian Bachelet Nicolas Pécourt Philippe MENDEL Korian France Synerpa Insee Serge Guérin Emmanuelle Potin Clariane Sophie Boissard Nicolas Merigot Edwige Masson Laurent COTTIER Remi Boyer Nadège PLOU Camille Blanchet Charles-Antoine Thel Chaire ICP-ESSEC Entreprises et Bien Commun Priscilla Fontaine Guillaume Penigault Charles Jarjanette Françoise Weber Jérome Vandekerkhove Christelle Boscher
Les naissances en 2023
insee.fr
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Le nombre de naissance continue de s'effondrer. Derrière le "réarmement démographique" (vocabulaire guerrier particulièrement mal choisi) se cache une mauvaise analyse et de mauvaises solutions de cette tendance lourde. Tout d'abord, il est bon de rappeler que cette chute du nombre des naissances n'est pas propre à la France et est un phénomène quasi mondial. Elle s'explique, en particulier chez nous, par une forte attente (non pourvue) des familles en matière d'équilibre vie familiale - vie professionnelle et d'accès aux services d'accueil de la petite enfance. Sur ce dernier sujet, les solutions sont connues : - un développement massif et durable de l'offre de service, notamment en réinterrogeant et simplifiant le financement de ces services mais aussi en permettant à tous les parents d'y accéder économiquement - une valorisation des métiers de la petite enfance, y compris via la formation et la politique de rémunération Enfin et surtout, les familles ne font pas d'enfants pour toucher des allocations. Il faut donc arrêter de penser qu'en revalorisant ces aides attribuées par les CAF cela infléchira la tendance. En réalité, plusieurs études montrent que le facteur déterminant pour les futurs parents qui aimeraient avoir un enfant est la confiance en un avenir positif et stable. Malheureusement et plus que jamais les voyants sont au rouge : déficit budgétaire, instabilité politique, crise du logement, tensions géopolitiques, dérèglement climatique... Ce sont là les principales explications de cette baisse continue de la natalité, un symptôme parmi d'autres d'une société pétri d'inquiétudes.
Loin du « réarmement démographique », le nombre de naissances encore en baisse en 2024
sudouest.fr
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🙁 Le chiffre du jour : -2,4% 𝘓𝘦 𝘯𝘰𝘮𝘣𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘯𝘢𝘪𝘴𝘴𝘢𝘯𝘤𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘯𝘵𝘪𝘯𝘶𝘦 𝘥𝘦 𝘳𝘦𝘤𝘶𝘭𝘦𝘳 𝘦𝘯 𝘍𝘳𝘢𝘯𝘤𝘦 𝘢𝘶 1𝘦𝘳 𝘴𝘦𝘮𝘦𝘴𝘵𝘳𝘦 Mauvaise nouvelle qui perdure pour les marques proposant des produits/services à destination des futurs parents / femmes enceintes et des nourrissons/bébés, et à plus long terme pour celles qui visent les enfants... 💡 Des réflexions importantes à avoir sur les attentes conso pendant cette période de vie, sur la relation marque-conso, un travail sur la notoriété et l'image de marque, mais également des réflexions/actions R&D/innovations à avoir, ... ceci pour positionner au mieux sa marque/ses produits sur ces cibles qui diminuent en nombre et font face à des questionnements / des arbitrages prix, développement durable, ... mais qui restent exigeantes ! ➡ Comprendre et avoir le retour de ces populations de consommateurs (et leurs cibles connexes) au cœur d'une période très particulière de leur vie sera la clé ! ☎ On en parle quand vous voulez avec plaisir :) 𝑁'ℎ𝑒́𝑠𝑖𝑡𝑒𝑧 𝑝𝑎𝑠 𝑎̀ 𝑚𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑎𝑐𝑡𝑒𝑟 𝑒𝑛 𝑀𝑃 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑠𝑒 𝑐𝑎𝑙𝑒 𝑢𝑛 𝑚𝑜𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑'𝑒́𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒. _ _ _ _ Sur le 1er semestre 2024, un peu plus de 326 000 enfants sont nés en France. En 2023, la natalité avait déjà atteint un niveau historiquement bas, jamais vu depuis la seconde guerre mondiale... 𝑆𝑜𝑢𝑟𝑐𝑒 - 𝐿𝑒 𝐹𝑖𝑔𝑎𝑟𝑜 : ℎ𝑡𝑡𝑝𝑠://𝑤𝑤𝑤.𝑙𝑒𝑓𝑖𝑔𝑎𝑟𝑜.𝑓𝑟/𝑓𝑙𝑎𝑠ℎ-𝑎𝑐𝑡𝑢/𝑙𝑎-𝑛𝑎𝑡𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒-𝑡𝑜𝑢𝑗𝑜𝑢𝑟𝑠-𝑒𝑛-𝑏𝑎𝑖𝑠𝑠𝑒-𝑒𝑛-𝑓𝑟𝑎𝑛𝑐𝑒-𝑎-𝑚𝑖-2024-20240801 _ _ _ _ 𝙑𝒐𝙪𝒔 𝒏𝙚 𝙢𝒆 𝒄𝙤𝒏𝙣𝒂𝙞𝒔𝙨𝒊𝙚𝒛 𝒑𝙖𝒔 𝒂𝙫𝒂𝙣𝒕 𝒄𝙚 𝙥𝒐𝙨𝒕 ? 👋 𝐽𝑒 𝑠𝑢𝑖𝑠 𝑀𝑦𝑟𝑖𝑎𝑚 𝐿𝐸 𝐷𝐴𝑁𝑉𝐼𝐶, 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝐸𝑡𝑢𝑑𝑒𝑠 𝑀𝑎𝑟𝑘𝑒𝑡𝑖𝑛𝑔 𝑄𝑢𝑎𝑙𝑖𝑡𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑒𝑡 𝑄𝑢𝑎𝑛𝑡𝑖𝑡𝑎𝑡𝑖𝑣𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑑𝑜𝑟𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑎𝑑𝑎𝑝𝑡𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑚𝑒𝑠 𝑐𝑖𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑜𝑢𝑐ℎ𝑜𝑢𝑠, 𝑐’𝑒𝑠𝑡-𝑎̀-𝑑𝑖𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑖𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑝𝑒́𝑐𝑖𝑓𝑖𝑞𝑢𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑎𝑑𝑜𝑙𝑒𝑠𝑐𝑒𝑛𝑡𝑠, 𝑓𝑢𝑡𝑢𝑟𝑠 𝑝𝑎𝑟𝑒𝑛𝑡𝑠, 𝑓𝑒𝑚𝑚𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑐𝑒𝑖𝑛𝑡𝑒𝑠, 𝑝𝑎𝑟𝑒𝑛𝑡𝑠 𝑑𝑒 𝑗𝑒𝑢𝑛𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑓𝑎𝑛𝑡𝑠, 𝑘𝑖𝑑𝑠, 𝑎𝑑𝑜𝑙𝑒𝑠𝑐𝑒𝑛𝑡𝑠, 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑎𝑢𝑠𝑠𝑖 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑒́𝑛𝑖𝑜𝑟𝑠, … 𝑒𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟s 𝑐𝑖𝑏𝑙𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑛𝑛𝑒𝑥𝑒𝑠 (𝑃𝑟𝑜𝑓𝑒𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛𝑛𝑒𝑙𝑠 𝑑𝑒 𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒́, 𝑑𝑒 𝑙'𝑒́𝑑𝑢𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛, ...) 📝 𝑁’ℎ𝑒́𝑠𝑖𝑡𝑒𝑧 𝑝𝑎𝑠 𝑎̀ 𝑚𝑒 𝑑𝑒𝑚𝑎𝑛𝑑𝑒𝑟 𝑒𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑎𝑐𝑡 𝑒𝑡 𝑝𝑟𝑜𝑣𝑜𝑞𝑢𝑒𝑟 𝑢𝑛 𝑒́𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑒𝑛 𝑠𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑝𝑙𝑢𝑠, 𝑗’𝑎𝑖 𝑑𝑒́𝑗𝑎̀ ℎ𝑎̂𝑡𝑒 𝑑’𝑒́𝑐ℎ𝑎𝑛𝑔𝑒𝑟 ! (𝑒𝑛 𝑀𝑃 𝑜𝑢 𝑣𝑖𝑎 𝑙𝑒 𝑓𝑜𝑟𝑚𝑢𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑎𝑐𝑡 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑛 𝑠𝑖𝑡𝑒 𝑖𝑛𝑡𝑒𝑟𝑛𝑒𝑡 : 𝘩𝘵𝘵𝘱𝘴://𝘸𝘸𝘸.𝘮𝘭𝘥-𝘤𝘰𝘯𝘴𝘦𝘪𝘭.𝘤𝘰𝘮/) _ _ _ _ #insightsconsommateurs #conseil #etudesmarketing #etudesqualitatives #etudesquantitatives #familles #enfants #futursparents #femmesenceintes #parentalité #grandparentalité #hommesfemmes #femmeshommes
Le Figaro on Instagram: "Entre janvier et juin, un peu plus de 326.000 bébés ont vu le jour en France. En 2023, la natalité avait déjà atteint un niveau historiquement bas, jamais vu depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le taux de fécondité s'établissait à 1,68 enfant par femme l'an dernier dans notre pays."
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