Post de ADRESS Normandie

Vous avez une idée d'entreprise dans l'économie sociale et solidaire ? On a la méthode et les contacts pour qu'elle devienne réalité ! Qui prendrait le risque de se jeter dans la gueule du loup sans assurer ses arrières et être bien sûr·e de son coup ? ❌ Les plus téméraires peut-être, mais quand il s’agit d’entrepreneuriat, ce n’est pas vraiment la bonne chose à faire. Se lancer dans l’entrepreneuriat dans l’économie sociale et solidaire c’est : ✅ avoir un projet solide et défini, utile au territoire ✅ travailler sa posture d’entrepreneur·e ✅ comprendre les enjeux de l’économie sociale et solidaire ✅ être prêt·e à accueillir les réussites et les échecs ✅apprendre à s’entourer pour que son idée devienne réalité C’est l’objectif de ce parcours d’idéation : appuyer les futur·es entrepreneur·es à structurer leur idée pour définir un projet solide, les préparer et les outiller pour se lancer dans une aventure entrepreneuriale dans l’ESS. Transformez votre idée en projet concret avec nous ! 🌱 Un parcours créé par l'ADRESS Normandie, l'ARDES Normandie et la CRESS Normandie. Soutenu par Caen la mer. Inscription au parcours sur le lien en commentaire.

Vous avez une idée d'entreprise dans l'économie sociale et solidaire ? On a la méthode et les contacts pour qu'elle devienne réalité ! Qui prendrait le risque de se jeter dans la gueule du loup sans assurer ses arrières et être bien sûr·e de son coup ? ❌ Les plus téméraires peut-être, mais quand il s’agit d’entrepreneuriat, ce n’est pas vraiment la bonne chose à faire. Se lancer dans l’entrepreneuriat dans l’économie sociale et solidaire c’est : ✅ avoir un projet solide et défini, utile pour le territoire ✅ travailler sa posture d’entrepreneur·e ✅ comprendre les enjeux de l’économie sociale et solidaire ✅ être prêt·e à accueillir les réussites et les échecs ✅apprendre à s’entourer pour que son idée devienne réalité C’est l’objectif de ce parcours d’idéation : appuyer les futur·es entrepreneur·es à structurer leur idée pour définir un projet solide, les préparer et les outiller pour se lancer dans une aventure entrepreneuriale dans l’ESS. Transformez votre idée en projet concret avec nous ! 🌱 Inscription au parcours sur le lien en commentaire. --- Muriel MAURICE-JUHASZ Florent R. Timothée Fallet Zoé VANACKER Hélène LEGRAND Odette BA

Vous avez une idée d'entreprise dans l'économie sociale et solidaire ? On a la méthode et les contacts pour qu'elle devienne réalité ! Qui prendrait le risque de se jeter dans la gueule du loup sans assurer ses arrières et être bien sûr·e de son coup ? ❌ Les plus téméraires peut-être, mais quand il s’agit d’entrepreneuriat, ce n’est pas vraiment la bonne chose à faire. Se lancer dans l’entrepreneuriat dans l’économie sociale et solidaire c’est : ✅ avoir un projet solide et défini, utile pour le territoire ✅ travailler sa posture d’entrepreneur·e ✅ comprendre les enjeux de l’économie sociale et solidaire ✅ être prêt·e à accueillir les réussites et les échecs ✅apprendre à s’entourer pour que son idée devienne réalité C’est l’objectif de ce parcours d’idéation : appuyer les futur·es entrepreneur·es à structurer leur idée pour définir un projet solide, les préparer et les outiller pour se lancer dans une aventure entrepreneuriale dans l’ESS. Transformez votre idée en projet concret avec nous ! 🌱 Inscription au parcours sur le lien en commentaire. --- Sarah Hourçourigaray Florent R. Timothée Fallet Zoé VANACKER Hélène LEGRAND Odette BA

Je lance déjà un nouveau projet ! Et il est d’utilité publique… Quand j’ai annoncé la fin de RESAP PARIS, il s’est passé 3 choses : • j’ai reçu énormément de messages de soutien (Merci infiniment pour ça 🙏) • j’ai pleuré toute la journée entre tristesse, joie et reconnaissance… • j’ai reçu des centaines de témoignages d’entrepreneurs en détresse ! Ce dernier point, je m’y attendais pas… J’étais persuadée d’être seule dans ma peine. D’être la seule à qui c’était arrivé. Puis, j’ai reçu ces messages et j’ai compris qu’on était plein. J’ai compris que TOUS les entrepreneurs avaient une histoire à raconter. Une histoire impossible à raconter publiquement à cause de leurs proches, de leurs équipes, de leurs investisseurs… Un silence qui pèse sur chacun d’eux. Qui enfouit en eux des peines et un sentiment de solitude extrême. Les entrepreneurs sont les capitaines de l’innovation en France. Ils créent l’économie de demain. S’ils flanchent…leurs entreprises flanchent. C’est impossible de rester comme ça. 👉 J’ai donc en à peine 48h décider de lancer le projet : Entrepreneurs Solitaires. Des témoignages anonymes d’entrepreneurs qui ont vécu une épreuve pendant leur aventure. (Retrouvez la page en commentaire) Il est temps de libérer la parole sur la santé mentale des entrepreneurs. 🩶

𝗘𝗻 𝟮𝟱 𝗮𝗻𝘀, 𝗹’𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲𝗻𝗲𝘂𝗿𝗶𝗮𝘁 𝗲𝗻 𝗙𝗿𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗲𝘀𝘁 𝗱𝗲𝘃𝗲𝗻𝘂 𝘂𝗻 𝘀𝗽𝗼𝗿𝘁 𝗱’𝗮𝗺𝗮𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀. 𝗘𝘁 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗯𝗼𝗻𝗻𝗲 𝗰𝗵𝗼𝘀𝗲 ! 🔥 Les défis écologiques et sociétaux ne peuvent plus être portés uniquement par les modèles industriels. Nous avons aussi besoin de petites/micros structures agiles et connectées aux besoins émergeants du public et des territoires. 🔥 Face à la digitalisation et aux opportunités de l'intelligence artificielle, les anciens modèles économiques et méthodes commerciales s'essoufflent et perdent de leur impacte. Nous avons aussi besoin de pionniers qui explorent de nouvelles manières de faire. Depuis le dépôt de mes premiers statuts en 2001 j’ai vu l'allègement des contraintes à l’ouverture d’une entreprise, démocratiser l’entrepreneuriat.  🦕 L’EURL : plus besoin de s’associer pour créer sa boite  🦖L’Entreprise à 1 euros : plus besoin d’avoir un capital minimum de 50.000 francs histoire d’être “crédible” 🪶Micro-entreprises : obligations déclaratives simplifiées 𝗖’𝗲𝘀𝘁 𝗷𝘂𝘀𝘁𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗹𝗮̀ 𝗾𝘂𝗲 𝘀𝗲 𝘀𝗶𝘁𝘂𝗲 𝗹𝗲 𝗯𝗲́𝗻𝗲́𝗳𝗶𝗰𝗲 𝗱𝗲 𝗰𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗮𝘂 𝗰𝗮𝗱𝗿𝗲 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲𝗻𝗲𝘂𝗿𝗶𝗮𝗹.  L’ouverture aux amateurs. “Ceux qui aiment”  Ceux qui, motivés par une envie, une conviction, testent et cherchent de nouvelles manières de faire, avant de devenir les moteurs dont l’économie, le territoire et les usagers ont besoin. Et pourtant malgré cette absence de “professionnalisme” 52% des micro-entreprises (en activité principale) sont toujours là 3 ans après. Durant ces 3 ans, elles génèrent du chiffre d’affaire, de l’expérience professionnelle et proposent des solutions concrètes aux besoins du public sur leurs territoires. Certaines d’entre elles continueront à grandir pour se transformer en société employant plusieurs salariés. D’autres fermeront leur portes, laissant leur fondateur retourner au salariat. Quand d'autres continueront à proposer leurs produits et services tel qu’el. 𝗣𝗲𝘂𝘁-𝗲̂𝘁𝗿𝗲 𝗲𝘀𝘁-𝗶𝗹 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗱𝗲 𝗾𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗿 𝗻𝗼𝘀 𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝘁𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘃𝗲𝗿𝘀 l'𝗮𝘃𝗲𝗻𝘁𝘂𝗿𝗲 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲𝗻𝗲𝘂𝗿𝗶𝗮𝗹𝗲 pour l’aborder non pas en termes d’échec ou de réussite, mais bien comme un processus fertile d’expérimentation, de créativité et d'enthousiasme. Certes une entreprise est destinée à générer des bénéfices. Mais aujourd’hui plus que jamais, les motivations et la manière de le faire comptent, pour celui qui se lance comme pour ses clients. La question qui se pose alors n’est plus "comment retourner à un entrepreneuriat plus professionnel", mais plutôt "comment offrir à cette nouvelle génération d'entrepreneurs optimistes/visionnaires/hyper compétents les environnements et ressources nécessaires à l'exploration active du potentiel leur projet ? Le défi est lancé. Une idée ? Loïc Boutard Jean-François REZEAU Marie ELOY ⚖️ Bruno Le Maire Alexandre Dana Nicolas Dufourcq #créativité

Avec 65 000 personnes accompagnées formées et 34 000 chef·fe·s d’entreprise appuyés dans leur développement en 2023, #BGE continue, aux côtés des entrepreneur·e·s, de se développer, d’expérimenter et de se mobiliser en faveur d’un entrepreneuriat répondant aux enjeux économiques, sociaux et environnementaux de notre époque. 2023 : Analyser, Décupler, Renforcer, au service d’un #entrepreneuriat responsable. L’année passée, BGE a analysé la réalité entrepreneuriale et a initié une démarche inédite de segmentation et de définition de familles d’entrepreneur·e·s en menant avec L'ObSoCo, aux côtés de son partenaire Crédit Mutuel Alliance Fédérale, l’étude « Qui sont les entrepreneur·e·s d’aujourd’hui ? Comprendre pour mieux accompagner ». BGE a renforcé sa capacité d’action auprès des entrepreneur·e·s, en investissant toujours plus dans les compétences : avant la création, pour les aider à construire des projets viables, mais aussi après la création, pour les accompagner dans leurs trajectoires de développement. Avec ses 45 années d’expertise, ses 1350 collaborateurs et ses 31 structures installées sur tout le territoire, le réseau a continué de se décupler pour accompagner toujours plus d’entrepreneur·e·s, où qu’ils soient et quel que soit leur profil. Pour en savoir plus sur nos réalisations 2023 et découvrir les témoignages des partenaires majeurs qui s’engagent à nos côtés, découvrez notre rapport d’activité digital. 👉 Lien en commentaire.

💥 Coup de gueule d'entrepreneure ! 💥 En créant mon entreprise, Indepia, je me suis rendue compte qu’en 2024, il reste encore trop d’idées reçues sur l’entrepreneuriat en France. 🚀 Alors, un peu de vérité s’impose ! 🔸 "L’entrepreneuriat, c’est la liberté !" Bien sûr, j’aime ce que je fais et j’ai la chance de bâtir ma vision. Mais soyons réalistes : créer une entreprise, c’est aussi des nuits blanches, des montagnes russes émotionnelles et des décisions cruciales au quotidien. La liberté, oui, mais pas sans responsabilités ! 🔸 "C’est plus simple avec les aides de l’État" Vrai… mais c’est un labyrinthe administratif ! Naviguer dans les démarches pour les aides ou les exonérations, ça prend un temps fou. Et ce temps-là, c’est du temps que je ne passe pas avec mes clients, à développer Indepia ou à innover. 🔸 "Pour se lancer, il faut un réseau solide" Ce n’est pas faux, mais ça ne fait pas tout. Le vrai moteur, c’est la persévérance et le travail. Oui, des contacts peuvent ouvrir des portes, mais la confiance, ça se gagne, même sans carnet d'adresses bien rempli. 🔸 "Les banques sont frileuses" Ce n'est pas qu'une légende. Obtenir des financements en tant que nouvelle entreprise reste un défi. On est constamment mis à l’épreuve pour prouver la viabilité de notre projet, et le chemin n’est pas toujours pavé d’or ! Entre la théorie et la pratique, il y a un grand écart. Mais l'entrepreneuriat, c’est ça : transformer les obstacles en opportunités. 💪 C’est avec ce mindset qu’Indepia grandit chaque jour, malgré les idées reçues et les challenges. 👉 Entrepreneurs, quelles sont les idées reçues auxquelles vous faites face ? Partagez vos expériences, et ensemble, faisons bouger les choses ! #Entrepreneuriat #Indepia #CoupDeGueule

C'est tellement vrai! Je dois dire que j'y ai moi-même cru un moment à ce concept d'"intra-entrepreneur". Je sortais même l'expression à tout va dans mes entreprises, en vain et sans aucun résultat tangible. Puis je suis revenu à la dure réalité! J'ai fini par appeler ce type de mots à la mode en management: des "𝐜𝐨𝐧𝐜𝐞𝐩𝐭𝐬 𝐜𝐫𝐞𝐮𝐱 𝐨𝐮 𝐯𝐢𝐝𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐞𝐧𝐬" qui se réfère, selon moi, à l'utilisation de termes, slogans ou idées qui manquent de contenu concret, de clarté ou de pertinence. Il s'agit de ces mots, inventés de toute pièce par quelques gourous médiatiques et diffusés lourdement, qui sont souvent employés dans le but de motiver ou d’obtenir l’adhésion des salariés, mais qui échouent à produire des résultats tangibles parce qu'ils manquent de substance et ne sont pas reliés à des actions spécifiques ou à des objectifs clairs. Voici quelques exemples au delà de l'intraprenariat: - "𝐒𝐲𝐧𝐞𝐫𝐠𝐢𝐞" : Utilisé pour indiquer que deux entités ou plus travaillant ensemble créeront plus de valeur que la somme de leurs parties. Sans explication précise de comment cette synergie sera réalisée, ce terme reste creux. "𝐈𝐧𝐧𝐨𝐯𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐢𝐬𝐫𝐮𝐩𝐭𝐢𝐯𝐞" : Souvent cité comme un objectif sans explication concrète de ce que cela signifie pour l'entreprise ou comment cela sera accompli. "𝐄𝐱𝐜𝐞𝐥𝐥𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐨𝐩𝐞́𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐧𝐞𝐥𝐥𝐞" : Bien qu'il s'agisse d'un objectif louable, sans actions spécifiques et mesures claires, ce terme peut sembler vide de sens. "𝐄𝐧𝐠𝐚𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞𝐬 𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐲𝐞́𝐬" : Parler de l'importance de l'engagement sans mettre en place des stratégies et actions concrètes pour le promouvoir peut rendre ce concept superficiel. "𝐂𝐮𝐥𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐡𝐚𝐮𝐭𝐞 𝐩𝐞𝐫𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐧𝐜𝐞" : Promouvoir une telle culture sans définir les comportements, valeurs et systèmes qui la soutiennent rend ce concept difficile à saisir et à mettre en pratique. et tant d'autres mots à banir! Qu'en pensez-vous? A votre bon cœur pour en rajouter quelques uns qui ont marqué votre histoire de manager mais n'ont servi à rien. #manager #management #intraprenariat

Les relations humaines ont toujours été mon Leitmotiv en entrepreneuriat. Etant le fils d’une enseignante, la fibre éducative a toujours été dans le sang, d’où le lancement de ma première startup Kezakoo il y a quelques années. Or, quand on est dans l’éducation, on finit par devenir coach par la force des choses…Je le fus d’abord pour quelques uns de mes élèves en mathématiques et en informatique…Par la suite, cette fibre s’est attaquée au coaching entrepreneurial au sein de mes propres entreprises soi en motivant les gens à se projeter avec moi ou bien en développant des modèles de revenus autour de mes activités. L’économie du partage c’est l’économie du siècle. L’économie du 2.0 est exponentielle contrairement au 1.0 qui reste plafonnée. Pousser les autres à devenir la meilleure version d’eux mêmes dans le cadre d’un cercle vertueux et rentable c’est bien le secret de toute startup qui réussit au delà de tout entendement. Partagez de la valeur ajoutée , développez vos réseaux, développez vos communautés et prospérez, et si vous systématisez cela c’est 1000 fois mieux ✨ Si Ahmed a été le premier artisan à me faire confiance il y a 6 ans, aujourd’hui il y a 30 autres ateliers indépendants avec lesquels nous collaborons régulièrement. Merci à lui et à toutes les bonnes âmes prêtes à partager et à faire preuve de bonne foi.