Post de Adrien W. N'KOGHE-MBA

🌍 Le mécanisme des négociations climat à l'ONU expliqué par Cédric Ringenbach🌍 Lors de sa récente conférence, Cédric Ringenbach, créateur de la Fresque du Climat, a brillamment exposé l’évolution des négociations climatiques à l’ONU. Voici un aperçu captivant de ce processus complexe qui façonne notre avenir : 1️⃣ Les COP (Conferences of the Parties) : Les COP sont l’arène où se jouent les grandes décisions climatiques mondiales. Chaque année, les pays se réunissent pour discuter des actions nécessaires afin de lutter contre le changement climatique. 2️⃣ Un Processus de Consensus : Les négociations sont longues et souvent laborieuses. Chaque pays défend ses intérêts, mais les décisions doivent être prises par consensus. Un seul désaccord peut tout bloquer ! 🤯 3️⃣ Justice Climatique : Ringenbach met l'accent sur l’importance de la justice climatique. Les pays en développement, bien qu’ayant moins contribué aux émissions, subissent souvent le plus lourd fardeau des impacts climatiques. La question du financement pour les aider à s'adapter et atténuer les effets du changement est cruciale. 💰🌱 4️⃣ Avancées et Échecs : Des moments marquants comme l’Accord de Paris ont été des victoires, il a marqué l’engagement de presque tous les pays à réduire leurs émissions pour la première fois. Mais beaucoup reste à faire. Les engagements pris sont souvent loin des actions réelles. 😓 • Kyoto (1997) : Le premier accord international majeur, qui a tracé la voie pour les négociations futures. 5️⃣ Le Rôle des Acteurs Non-Gouvernementaux: ONG, entreprises, mouvements citoyens, ils ont un rôle clé dans ces négociations ! Leur pression pour des actions ambitieuses ne cesse de croître. 🧐Par exemple le Sahel est l’une des régions les plus touchées par le changement climatique, avec des sécheresses récurrentes, des déplacements forcés, et un effondrement des ressources en eau comme le bassin du lac Tchad, qui a perdu 90% de sa surface. Ces phénomènes exacerbent les conflits et l’instabilité. Bien que ces pays contribuent peu aux émissions mondiales, ils en subissent les pires conséquences. Les voix des populations sahéliennes doivent être amplifiées dans les négociations internationales, afin que le soutien financier et technique leur permette de s’adapter et de résister à cette crise. #Climat #COP #TransitionÉnergétique #JusticeClimatique #AccordDeParis #FresqueDuClimat #CédricRingenbach #Engagement

Le saviez-vous? 🌍 Lors de la #COP28 à Dubaï, quatre pays - le Bénin, Madagascar, le Népal et le Sénégal - ont officiellement rejoint LIFE-AR. Cette étape importante porte le total à 10 pays les moins avancés (PMA) qui se sont engagés à abandonner les approches « business as usual » en faveur de l'adaptation et de la résilience au climat. 🌿 Ces signataires rejoignent le groupe des pays pionniers - le Bhoutan, le Burkina Faso, l'Éthiopie, la Gambie, le Malawi et l'Ouganda. Ensemble, ils ouvrent la voie à une résilience à long terme aux impacts climatiques grâce à une adaptation menée au niveau local. L'initiative pilote de nouveaux modèles de renforcement des capacités dans les PMA et vise à ce qu'au moins 70 % des flux financiers soutiennent l'action locale sur le terrain. Le rapport 2023 des Nations unies sur le déficit d'adaptation estime que les besoins réels pour gérer les effets du changement climatique dans les pays en développement au cours de cette décennie se situent entre 215 et 387 milliards de dollars, et qu'ils augmenteront probablement au-delà de 2030. Malgré les promesses faites lors de la COP26 à Glasgow de doubler d'ici 2025 le soutien financier à l'adaptation par rapport aux niveaux de 2019, les flux actuels de financement de l'adaptation s'élèvent à seulement 21 milliards de dollars, ce qui est loin d'être suffisant. L'engagement de ces 10 PMA en faveur de LIFE-AR est un appel à l'action pour la communauté mondiale. 🌏🤝 #ClimateAction #COP28 #LIFEAR #Durabilité #Résilience #ChangementClimatique #Adaptation #PMA #CoopérationMondiale ➡️

Sommet du G20 : Le Maroc rejoint une Initiative mondiale pour l’intégrité de l’information sur le changement climatique mardi, 19 novembre, 2024 à 17:54 Rio de Janeiro – Le Maroc figure parmi les premiers pays à s’engager dans l’Initiative mondiale pour l’intégrité de l’information sur le changement climatique, lancée ce mardi par les Nations Unies, l’UNESCO et le Brésil, en marge du sommet des dirigeants du G20 à Rio de Janeiro. Cette initiative, qui vise à lutter contre la désinformation freinant les actions climatiques, marque une étape décisive dans la coordination mondiale pour faire face à l’urgence climatique, alors que le monde est, selon l’ONU, à un “point de rupture”. L’adhésion du Maroc à cette initiative traduit son engagement constant en matière d’adaptation aux changements climatiques, les énergies renouvelables représentant aujourd’hui environ 40% de la capacité de production électrique, un taux qui sera porté à 52% avant 2030. Outre le Maroc, des nations telles que le Chili, le Danemark, la France, le Royaume-Uni et la Suède ont déjà confirmé leur adhésion. L’Initiative mondiale pour l’intégrité de l’information sur le changement climatique invite les pays et organisations partageant les mêmes ambitions à unir leurs forces. Le président brésilien Lula da Silva, hôte du Sommet du G20, a souligné que “dans la lutte pour la survie (de la planète), il n’y a pas de place pour le déni et la désinformation”. Le Brésil, qui accueillera en 2025, la COP 30 à Belém, en Amazonie, continuera de travailler avec l’ONU et l’UNESCO sur l’Initiative mondiale pour l’intégrité de l’information sur les changements climatiques, a-t-il affirmé lors de la troisième séance plénière consacrée à la durabilité, au changement climatique et à la transition juste, qualifiant la prochaine COP de “dernière chance d’éviter une rupture irréversible du système climatique”. Il a, dans ce sens, invité la communauté internationale à envisager la création d’un Conseil des changements climatiques à l’ONU, qui articule les différents acteurs, processus et mécanismes désormais fragmentés. Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a pour sa part insisté sur l’importance de combattre la désinformation liée au changement climatique, qu’il s’agisse du déni pur et simple, du greenwashing ou encore du harcèlement des climatologues, précisant que cette lutte sera menée en collaboration avec des chercheurs et divers partenaires engagés. “Notre climat est à un point de rupture. Si nous ne limitons pas la hausse de la température mondiale à 1,5 degré Celsius, des catastrophes en chaîne risquent de dévaster toutes les économies”, a-t-il lancé en guise d’un “appel de détresse”. Cette Initiative sera structurée autour d’un Fonds mondial pour l’intégrité de l’information sur les changements climatiques qui financera des recherches approfondies et des actions stratégiques de plaidoyer et de diplomatie afin de contribuer à déconstruire la désinformation liée au climat

🚀 Bienvenue à bord pour un petit voyage dans le monde des changements climatiques ! PARTIE 1 Je démarre ce week-end avec un sujet qui me tient particulièrement à cœur : le changement climatique. Pourquoi celui-ci ? Eh bien, d'une part, il est étroitement lié à l'actualité brûlante de notre pays, notamment avec le CCDR (je vous en dirai plus bientôt, promis !). D'autre part, il demeure encore largement méconnu de la majorité de nos compatriotes. Beaucoup pensent encore que cette problématique ne concerne pas les Africains, encore moins notre cher pays. J'ai même entendu une affirmation des plus surprenantes de la part d'un Djiboutien : "Deux degrés de plus sur notre thermomètre ? Bah, ça ne changera pas grand-chose. Nous vivons déjà à 40 degrés en été, alors que feront deux degrés de plus ?". Cette réflexion, bien que captivante, présente une petite erreur de raisonnement, comme je vais vous l'expliquer un peu plus loin. Commençons d’abord par comprendre comment le système mondial est organisé pour répondre à ce problème mondial qu’est le changement climatique. Il faut connaitre le GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur le Climat), également connu sous son acronyme anglais IPCC, et la CCNUCC (Convention-Cadre des Nations Unies sur le Changement Climatique). Le GIEC est la source principale de recherches scientifiques sur le climat. Il fournit des évaluations régulières sur les causes, les impacts et les solutions possibles d’atténuation ou d’adaptation. Les deux derniers mots vous parlent 🤔? Si oui, vous vous connaissez. Sinon, pas de soucis. En revanche, la CCNUCC est un traité international signé en 1992 à Rio de Janeiro, qui établit un cadre juridique pour la coopération internationale sur le changement climatique. Pour résumer, le GIEC se concentre sur la recherche scientifique, tandis que la CCNUCC est chargée de faciliter la coopération internationale et de négocier ls accords visant à lutter contre le changement climatique. La CCNUCC organise les COPs (Conférences des Parties) – Si, si vous connaissez bien les COP 🤪 - organisé chaque année où les représentants des pays signataires se réunissent pour discuter des progrès réalisés, négocier de nouveaux accords et prendre des décisions sur les actions à entreprendre. C’est ainsi la COP est organisé chaque année depuis 1995 et la dernière COP29, la vingt-neuvième ait eu lieu à Dubaï, Emirates Arabes Unis, du 30 novembre au 13 décembre 2023. Pour info, le président IOG en personne a participé à la COP28 à Sharm-el-Sheick et à la COP29 à Dubaï. Comme Biden, Macron et compagnies.

Mission de l'UE sur l'adaptation au changement climatique : Des résultats concrets à découvrir dans le dernier rapport d'activité 📊 Il y a quelques jours, je vous partageais mes impressions sur le 3ème Forum de la Mission de l'UE sur l'adaptation au changement climatique, un événement clé pour comprendre les enjeux et les actions mises en œuvre pour renforcer la résilience de nos territoires face aux défis climatiques. Aujourd'hui, je poursuis ma veille sur ce sujet crucial en vous présentant le dernier rapport d'activité de la Mission de l'UE. Ce document riche en informations met en lumière les progrès réalisés et les initiatives inspirantes qui se déploient à travers l'Europe pour faire face au changement climatique. [Lien vers le rapport d'activité #MIP4Adapt https://lnkd.in/eEjFCauF ] Des actions concrètes et des outils innovants pour une Europe résiliente 🌱 • Découvrez comment des régions européennes comme Turku en Finlande et Burgas en Bulgarie mettent en œuvre des solutions d'adaptation innovantes pour faire face aux défis climatiques. • Explorez les outils pratiques développés par la Mission pour aider les acteurs locaux à mieux comprendre les risques climatiques, planifier leurs actions et accéder aux financements. • Apprenez-en plus sur la lutte contre la maladaptation grâce à des outils d'auto-évaluation qui permettent d'identifier et de réduire les risques de conséquences négatives involontaires. • Inspirez-vous des collaborations entre acteurs publics, privés et société civile qui démontrent le pouvoir de l'action collective pour renforcer la résilience de nos territoires. C'est un rappel que chaque action compte, que chaque projet a un impact. Je vous invite à consulter ce rapport pour découvrir les initiatives inspirantes qui se déploient à travers l'Europe et qui prouvent que l'adaptation au changement climatique est non seulement une nécessité, mais aussi une opportunité pour innover et construire un à-venir durable :-) 📢 Restons en veille sur projets ou initiatives qui nous inspirent dans nos régions & secteur d'activité et continuons à apprendre les uns des autres ;-) Mission Implementation Platform for Adaptation to Climate Change (MIP4Adapt) #adaptation #résilience #changementclimatique #développementdurable #environnement #UE #rapportUE #climat #MIP4Adapt #innovation #collaboration

Les conférences des parties (COP) sur le climat se succèdent depuis des années, mais leur efficacité réelle pour enrayer la crise climatique est de plus en plus remise en question. C’est le constat sévère dressé par le président colombien Gustavo Petro lors de l’inauguration de la COP16 sur la biodiversité qui se tient actuellement à Cali en Colombie. Les limites des COP pointées du doigt Après 16 éditions pour la biodiversité et pas moins de 30 pour le climat, ces grand-messes internationales ne permettent toujours pas de solutionner la crise environnementale majeure à laquelle fait face l’humanité selon Gustavo Petro. Le dirigeant colombien se dit même “amer” de quitter ces conférences “sans que rien de concret n’en soit sorti”. Il pointe notamment du doigt les pays les plus puissants qui empêcheraient l’application de déclarations pourtant adoptées lors de ces COP. Des rendez-vous qui se résument trop souvent à seulement “continuer à parler” déplore-t-il, alors que le monde court à sa perte. Repenser le système économique en profondeur Pour le président colombien, la résolution de la crise climatique ne se fera pas uniquement par des solutions “scientifiques” ou techniques comme planter des arbres. Elle nécessite surtout de s’attaquer aux racines du problème en changeant en profondeur le modèle économique mondial. La crise climatique requiert des solutions profondes pour l’économie mondiale, comme arrêter d’utiliser le pétrole, le charbon et le gaz, faire des réformes agraires et édifier la justice. Gustavo Petro, président de la Colombie Il appelle ainsi à une véritable transformation du système économique, prônant notamment l’abandon des énergies fossiles et la mise en place de réformes agraires. Des changements de paradigme qui doivent s’accompagner d’une quête de justice sociale, “qui nous aidera le mieux à dépasser la crise climatique” martèle-t-il. La “zone verte” pour mobiliser les peuples À l’occasion de la COP16, une “zone verte” a été inaugurée à Cali par la ministre colombienne de l’environnement Susana Mohamad. Ouverte au public, elle se veut une “agora politique” accessible à tous pour mobiliser les citoyens. Car pour la ministre, “faire la paix avec la nature implique la mobilisation des peuples”. Elle était soucieuse que cet événement majeur, le plus grand jamais organisé sur la biodiversité avec 23000 participants, ne soit pas vu comme “un événement d’exclusion”. Les enjeux cruciaux de la COP16 sur la biodiversité L’objectif principal de cette 16ème conférence des Nations unies est de parvenir à un accord pour stopper d’ici 2030 la destruction de la nature par les activités humaines. Un défi titanesque qui nécessitera de débloquer d’importants moyens financiers. Les discussions s’annoncent intenses entre pays du Nord et du Sud concernant ce financement et le partage des efforts. Mais au-delà des négociations entre États, cette COP16 devra aussi réussir à embarquer la société civile et les citoyens dans ce...

Chers membres de mon réseau LinkedIn, Je souhaite attirer votre attention sur un sujet critique qui concerne directement notre avenir et celui de notre planète. La Suisse vient de chuter de 12 places dans le classement climatique 2025, publié en marge de la COP29 à Bakou. Nous sommes désormais à la 33e place sur 63, évitant de justesse la note globale "faible". Ce recul est attribué principalement à l'immobilisme de la politique climatique suisse. Malgré des classements "moyens" en termes d'émissions de gaz à effet de serre et de consommation d'énergie, la Suisse souffre de retards significatifs dans le développement des énergies renouvelables et, surtout, d'une politique climatique insuffisante. Nous nous classons même 48e dans ce dernier domaine, avec une note "faible". Depuis l'Accord de Paris en 2015, la Suisse n'a pas fait suffisamment d'efforts pour réduire les émissions carbone d'ici 2030. Les autorités fédérales ont refusé d'utiliser les ordonnances pour améliorer la situation, et l'idée d'orienter le secteur de la finance vers la protection du climat reste lettre morte. Il est crucial que nous réagissions collectivement à cette situation. Nous devons exiger des mesures plus ambitieuses de la part de nos autorités pour atténuer le réchauffement climatique et respecter nos engagements internationaux. La volonté populaire et les engagements internationaux doivent être respectés. Je vous invite à rejoindre ce débat et à prendre des actions concrètes pour un avenir plus durable. Ensemble, nous pouvons faire la différence. #climatsuisse #changementclimatique #politiqueclimatique #energiesrenouvelables #décarbonation #accorddeparis #protectionduclimat #suisseetclimat #actionclimatique #durabilité

Très pertinente analyse, malheureusement. L’autre « avantage » du thème de l’adaptation, c’est qu’il déplace l’effort vers la recherche de « solutions » plutôt que de projeter, préparer et concevoir les changements radicaux de comportements et de modèles économiques que l’urgence de la situation appelle. Mais l’adaptation est une solution qui n’est pas à l’avantage du plus grand nombre, ceux qui sont déjà les perdants du modèle économique actuel.

L'adaptation, un sujet politiquement rentable pour l'actuel gouvernement parce qu'il ne ferait pas peur à la droite ? Merci Victor Roux-Goeken de poser cette question très intéressante :-) Je me permets d'apporter quelques éléments au débat car il me semble que c'est un peu à nuancer. Le but de l'adaptation est de préserver "ce qui a de la valeur", "ce qui compte" aux yeux des personnes. Jusque-là, ok pour dire que ce projet attire tout le monde. Mais comme le dit Alexandre Florentin, dès que l'on creuse 1 mm, les choses se compliquent. Je plussoie et je dirais même "d'un 1/2 millimètre". Car une des conditions majeures pour qu'une mesure d'adaptation soit "faisable" (vocabulaire GIEC), c'est qu'elle soit juste et équitable. Sans justice et équité, elle ne sera pas acceptable (même si la notion d'acceptabilité déborde celles de justice et équité). Tout simplement parce que ceux qui ont le moins contribué à l'augmentation de la fréquence et de l'intensité des aléas climatiques (autrement dit qui ont le moins émis de gaz à effet de serre) sont à la fois les plus exposés physiquement à ces aléas et les plus vulnérables (sensibilité + manque de moyens pour faire face). Et donc si, à cette inégalité de base, on vient ajouter des mesures qui augmentent encore les inégalités, ça ne peut pas marcher. Les 2 écueils : - Les mesures d'adaptation sont au-delà des moyens financiers des personnes concernées (même avec les aides de l'Etat). - Les mesures d'adaptation ne ciblent pas des enjeux qui ont la même valeur pour tout le monde. « Changer pour préserver l’essentiel. » certes, mais c'est quoi "l'essentiel" ? Continuer de produire des biens et services "non essentiels" mais qui font de l'emploi et sont bons pour la croissance ? Pour les victimes des inondations, l'essentiel est d'avoir un toit et de ne pas perdre l'investissement financier que représentait leur logement... Je rejoins pleinement l'analyse de Vivian Dépoues : "Selon les visions défendues, les trajectoires suivies la politique d'adaptation devrait donc se colorer politiquement en mûrissant :)". Last but not least Toujours dès que l'on creuse d'un demi-millimètre, on comprend que l'adaptation sera transformationnelle ou ne sera pas. Se contenter d'ajustements à la marge réactifs et coûteux conduit droit dans le mur et "verrouille le futur" comme dit le GIEC. Et qui dit "transformationnelle" dit remise en cause des modes de vie et des structures économiques et sociales. En conclusion Si un gouvernement, quel qu'il soit, néglige la question de la justice et de l'équité et choisit de préserver avant tt les intérêts des catégories sociales privilégiées, les protestations bloqueront la mise en oeuvre des mesures. Voilà pourquoi choisir ce qui doit être préservé et bénéficier de l'aide publique ne peut être qu'un exercice démocratique, qui prend l'avis de toutes les parties prenantes impliquées par telle ou telle mesure. C'était ma contribution optimiste du jour 😉