Post de AFAC Haies et Bocages de Normandie

VU LA PRESSE. Quand les cours d’eau locaux reprennent vie ! 🌊 En septembre dernier, une importante tranche des travaux du programme d'actions pour les cours d'eau de la Communauté de Communes de la Région de Rambervillers a été achevé : - Plus de 750 arbres et arbustes plantés pour reconstituer les ripisylves (végétations riveraines) - 940 mètres de clôtures installées pour protéger les ruisseaux des pâturages - 3 abreuvoirs pour permettre aux animaux de boire directement dans les ruisseaux - 5 passages à gué pour faciliter le passage des agriculteurs et de leurs bétails Un projet soutenu par l’agence de l’Eau Rhin Meuse (60%) et le Conseil départemental des Vosges (20%), pour un investissement total de 150 000 €. 🌱 Ces actions permettent d'améliorer la qualité de l'eau et de préserver la biodiversité tout en répondant aux besoins des agriculteurs. Une 5ème tranche du programme est prévue pour 2025 et portera sur le secteur de la Mortagne, entre les communes d'Autrey et de Saint-Pierremont 🎯 Un bel exemple de collaboration pour un avenir plus résilient et durable ! 💧 Source : Les Échos Vosges

🎯 On accompagne !   Journée "Valoriser la filière bois" à Aigues Vives (34).   Ce mardi 10 décembre à Aigues Vives (34), même sans réseau Orange 📴 on peut parler de la valorisation du bois pour protéger la forêt.   Au menu de cette journée, le groupe de travail accompagné par l’Association Adefpat faisait part de ses avancées à des élus de la Communauté de communes du Minervois au Caroux ainsi qu’à des partenaires comme le SDIS, COFOR (communes forestières d'Occitanie), le Parc naturel régional du Haut-Languedoc, le CRPF et la DDTM de l'Hérault. Que du concret, puisque les 4 sujets abordés parlaient de réalisations terminées ou en cours. Le témoignage de COFOR sur les obligations légales de débroussaillement concertées montrait bien ce que des communes ont gagné à organiser ces obligations en concertant les propriétaires. L’opération « mobilier urbain en châtaignier à l’entrée des gorges de Colombière », en cours de montage, apporte des enseignements très intéressants sur la manière de valoriser un bois local délaissé. Au final, cette opération doit déboucher sur un mode d’emploi à destination d’autres communes pour dupliquer la démarche. La valorisation des déchets végétaux de débroussaillage n’a pas forcément un but économique de rentabilité, mais à tout le moins elle permet de trouver des débouchés locaux à ces broyats dont des entreprises peuvent avoir besoin : en compost, en BRF, en plaquettes pour le chauffage… Et enfin la visite de terrain sur une parcelle communale avec un berger et les forestiers-sapeurs a été l’occasion de parler de la contribution de l’élevage au débroussaillement de parcelles stratégiques et de la convention qui a été engagée entre le Département de l'Hérault (sapeurs forestiers) et le berger.   Au-delà des sigles et du jargon (OLD, BRF, SDIS et autres DFCI), les participants ont bien touché du doigt que la collectivité peut être pro-active sur le sujet et que c’est dans l’intérêt de tous que les maires soient présents avant le feu, pendant le feu et après le feu.   Bravo au groupe de travail pour avoir défriché un sujet pas facile et à multiples intervenants.   Communauté de communes du Minervois au Caroux C. Anne Marabuto-Grumler SDIS 34 Association Adefpat Mélanie Verdier Marie-Claire Girier Camille Hautefeuille Emma SANCHO

Développer la plaquette bocagère, c’est du bon sens paysan C’est le propre des titres d’articles journalistiques d’être assez négatifs. Je vous invite à prendre deux minutes pour lire celui-ci car il illustre bien les problématiques de développement du bois énergie en général. En premier lieu, une dynamique très positive. Un Préfet qui chausse les bottes, c’est la marque du volontarisme de l’Etat. Une démarche portée par le Conseil général de la Manche, cela illustre le grand intérêt des élus locaux pour se chauffer avec des ressources locales plutôt qu’avec du gaz ou du fioul importé. Un agriculteur déjà exemplaire (140 mètres de haies par hectare c’est impressionnant…) qui plante de nouvelles haies, c’est la démonstration que de nouvelles ressources en biomasse pourront être mobilisées pour répondre aux besoins croissants de decarbonation. Les entreprises de la FEDENE étudient depuis longtemps les possibilités d’alimentation de leurs chaufferies avec ce type de ressources, la preuve dans cet article. Un questionnement sur le mode de « preuve » de la durabilité des actions ensuite. Il est indispensable de s’assurer que le bois énergie, bocager comme forestier, résulte d’une gestion durable. Pour autant, si cela doit se traduire par des empilements de normes et des processus de certifications très lourds, cela ne fonctionnera pas, ni avec les agriculteurs ni avec la petite forêt privée. On ne peut pas se passer d’eux ! A l’heure de la transposition de RED3, à méditer… FEDENE Comité Interprofessionnel du Bois-Energie (CIBE) FRANSYLVA Fédération Forestiers Privés de France ADEME Christophe Béchu Sylvain Waserman Sophie Mourlon Diane Simiu Marc Fesneau Agnès Pannier-Runacher Louis DE REDON Samuel Delcourt

Si mes amis acteurs de la filière bois veulent réagir, ils sont les bienvenus. A l'image de ce qui s'est fait pour l'agriculture et le gouvernement actuel sous la pression de la FNSEA veut encore l'accentuer, notre actuel Président veut industrialiser la filière bois-forêt avec l'appui du lobby des grosses coopératives et des gros propriétaires forestiers - les perdants dans les deux cas : la biodiversité et les petites structures ! Mais on oublie un grand perdant à venir : le secteur touristique : qui ira se promener dans la monotonie des campagnes sans haies, dans les forêts plantées uniformes de résineux, dans des milieux artificiels sans aucune vie et sans intérêt ? https://lnkd.in/e4rczeEZ

[Parution]💧Dernier volet de la série sur le Rhône, sur les projets d'irrigation agricole qui se développent autour du fleuve. Entre la Drôme et le Vaucluse, le projet pharaonique Hauts de Provence Rhodanienne, chiffré à un demi milliard d'euros, prévoit le déploiement de centaines de km de canalisations, pour irriguer entre 20 000 et 40 000 hectares à l'intérieur des terres, dont des cultures comme l'olivier ou le lavandin, désormais confrontées également au manque d'eau. Objectif: éviter les prélèvements dans des cours d'eau fragilisés par le réchauffement climatique, en prélevant dans le Rhône, une ressource considérée comme sécurisée, mais pourtant loin d'être illimitée. 👇 https://lnkd.in/dKWrTGQk

Notre engagement auprès de l’association Pour une Agriculture du Vivant : qu’est-ce que cela signifie concrètement ? 🌱 A la coopérative Les Celliers Associés, nous défendons une agriculture respectueuse de la nature grâce à des techniques d’agroécologie. Mais concrètement, quels engagements prenons-nous ? 🔸 73 % des surfaces de nos producteurs sont déjà en démarche agroécologique, et nous visons 85 % d’ici 2024. 🔸 Nos sols sont couverts 95 % du temps pour préserver leur fertilité et éviter l’érosion. 🔸 78 % de nos vergers abritent un haut niveau de biodiversité, notamment grâce à la présence de haies, d’espèces florales, de ruches et de nichoirs pour protéger la faune locale. Ces actions concrètes témoignent de notre volonté d’aller toujours plus loin dans la protection de la biodiversité et la préservation de notre terroir 🍏🌱

programme de #recherche action "Systèmes Agricoles et d’élevage de Demain, Aptes à la préservation des Paysages et à une Transition Écologique Résiliente" SADAPTER répond à une situation observée à des degrés divers dans toutes les régions de petite montagne, alliant #déprise #agricole, essoufflement des systèmes de production et impact déjà fort du #changementclimatique. Ce projet s’inscrit dans la démarche Grand Site de France déployée autour du site classé de Bibracte, véritable dispositif d’expérimentation qui parie sur le paysage comme levier de projets de territoire intégrés et durables. Il concerne 12 communes du Parc naturel régional du Morvan :  🌿 Arleuf, Fâchin, Glux en Glenne, Larochemillay, Millay, Poil, Villapourçon pour la Nièvre 🌿 La Comelle, La Grande Verrière, Roussillon en Morvan, Saint Léger sous Beuvray, Saint Prix pour la Saône-et-Loire   SADAPTER est un projet territorial et paysager mettant au cœur du dispositif un collectif d’agriculteurs locaux (GIEE du Mont Beuvray) appuyé par : 🌿 Une approche technico-économique pilotée par les deux Chambres d’agriculture de Saône-et-Loire et de Nièvre 🌿 Une approche écologique pilotée par le Parc naturel régional du Morvan 🌿 Une expérimentation foncière pilotée par la Safer 🌿 Un accompagnement scientifique piloté par l’UFR Agriculture comparée d’AgroParisTech 🌿 Une coordination assurée par BIBRACTE EPCC  

Et si une bonne gestion des haies avec l'exploitation du bois rimait avec une plus grande biodiversité et plus d'aménités.

Faut-il exploiter les haies pour les sauver ? Il y a quelques temps, nous avons pu échanger au sujet de la #préservation du bocage avec l'ASSOCIATION FAUNE FLORE DE L'ORNE (AFFO). 📌 "Quand on adopte une gestion #durable, on produit plus de #bois. Si on veut préserver le bocage et valoriser le travail des exploitants agricoles, il faut apprendre à #gérer la haie et réfléchir aux débouchés du bois bocager, créer des #filières pour approvisionner les chaudières des collectivités locales par exemple", explique Marine LEVRARD, notre Coordinatrice / Responsable. Cette réflexion est aujourd'hui concrétisée grâce au Plan Bois Normand, financé par la Région Normandie et l'ADEME : le déploiement de la gestion durable des haies grâce au Label Haie, en partenariat avec BIOMASSE NORMANDIE, la Fédération des cuma Normandie Ouest et Bois Bocage Energie (SCIC) ⚡ Charlotte Delaune l Afac-Agroforesteries l Baptiste Sanson l Maya Vavasseur l Fanny Duperray l Etienne Levavasseur l Morgane Rollot l LOUISA GARNIER l Léa Chédeville l Pierre-Edouard B. l Paul ANTOINE l Marie-France CLAVE l Rémy P. l Louise Fromageot l Fleur Masse-Navette

C’est la saison d’amender les sols en calcaire ! Avez-vous déjà pensé à de la coquille broyée ?  L’amendement que nous vous proposons est composé de coquilles d’huîtres, de St Jacques et d'autres coquillages issus de la consommation. Son spectre granulométrique est varié : 50% de poudre pour une action rapide sur la structure de vols sols et leur biologie, des paillettes et des particules jusqu’à 8mm pour une action prolongée dans le temps. Nous produisons également du paillage d'une granulométrie de 0 à 15mm pour vos aménagements paysagers. Ces coquilles ont été collectées par l'association LES DETRITIVORES, auprès des habitants, des collectivités partenaires de la collecte, lors d’événements et auprès de restaurateurs bordelais engagés dans cette démarche d’économie circulaire. Elles sont ensuite stockées, rincées, séchées, broyées et empaquetées en sacs de 25kg sur notre unité de production sur la rive droite de Bordeaux. Vous êtes jardinier, maraîcher, viticulteur, arboriculteur, paysagiste ? Contactez-nous ! Merci à tous nos partenaires et soutiens qui rendent possible ce réseau de collecte et de recyclage : Mairie de Bordeaux Ville du Bouscat COMMUNE DE LE TAILLAN MEDOC Ville de Bègles Mairie de Martignas-sur-Jalle Ville du Haillan COMMUNAUTE DE COMMUNES JALLE EAU BOURDE Ville de Saint Jean d'Illac Ville de Cestas @Canéjan Région Nouvelle-Aquitaine Bordeaux Métropole DREAL (Direction Régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement) La Ruche®️ Bordeaux IUT de Bordeaux - département GCCD BORDEAUX MÉCÈNES SOLIDAIRES (BMS) France Active Nouvelle-Aquitaine Les Entrepreneures Bienveillantes #amendementcalcique #maraichage #collecte #viticulture #arboriculture #paysagisme #agriculturedurable #paillage #economiecirculaire