Post de Agence française de développement dans les Caraïbes-Guyanes

🌟 Retour sur la collaboration entre la Collectivité Territoriale de Martinique (CTM - Collectivité de Martinique) et l'AFD ! 🌟 📊 Depuis 2016, la CTM et l'Agence française de développement (AFD) ont renforcé leurs liens pour accompagner le développement économique, social et environnemental de la Martinique. En effet, l’AFD est le principal financeur de la CTM qui représente la troisième principale exposition non-souveraine de l’Agence, pour un montant de 543 M€ répartis en onze financements (entre 2016 et 2022. Un rapport récent évalue cette collaboration de 2016 à 2022, et propose des recommandations pour l'avenir : 1. Renforcement des orientations stratégiques : 📅 Organisation d’un séminaire annuel pour partager les grandes orientations et attentes de chaque institution, renforcer la connaissance mutuelle et optimiser les stratégies d’intervention. 2. Amélioration de l’interconnaissance et des échanges opérationnels : 🤝 Mise en place de réunions techniques thématiques pour améliorer la fluidité des échanges et la transparence des procédures, facilitant ainsi l'instruction des demandes de prêts et le suivi des projets. 3. Formalisation d’un partenariat pluriannuel : 📜 Création d’un "contrat de partenariat" aligné avec un Plan Pluriannuel d’Investissement (PPI) pour mieux structurer et pérenniser la collaboration, intégrant les évolutions comptables et conjoncturelles. 🚀 Ces recommandations visent à maximiser l'efficacité des financements, améliorer la réalisation des projets structurants, et renforcer le dialogue stratégique sur des enjeux clés comme le climat et la biodiversité. 🌍🌱 En les adoptant 🤝, les deux institutions pourront mieux répondre aux défis locaux et aux attentes des Martiniquais. 👥✨ 📚 Pour en savoir plus, consultez le rapport complet sur le site de l'AFD : https://lnkd.in/e_7uQq7p #DéveloppementDurable #Partenariat #Martinique #AFD #InvestissementPublic #TransitionÉcologique Préfet de la Martinique Serge LETCHIMY Luc Migozzi FRANK ROBERT Jerome Notebaert David NEMBROT Lucien Zerbib

À l’heure où le budget européen semble insuffisant à relever les défis géopolitiques et de cohésion qui sont devant nous il faut défendre à toutes forces l’utilité de #LEADER pour les territoires ruraux. Au delà d’une meilleure mise en valeur des aides européennes à l’échelle de chaque projet et territoire, trois objectifs devraient être poursuivis : 1. la simplification administrative et technique du programme, 2. La redéfinition des objectifs des mesures de contrôle et le redimensionnement des procédures afférentes 3. L’évaluation objective des coûts de gestion globaux du programme

Le Roi Mohammed VI appelle à une accélération de la régionalisation avancée pour relever les défis du développement Dans un message adressé aux participants de la deuxième édition des Assises nationales de la régionalisation avancée, tenue les 20 et 21 décembre à Tanger, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a exhorté à passer à la “vitesse supérieure” pour concrétiser pleinement ce projet structurant. Le Souverain a insisté sur l’importance d’une mobilisation collective et d’un dialogue constructif entre tous les acteurs concernés pour assurer le succès de ce chantier. Un bilan de la première phase Dans son message, lu par le ministre de l’Intérieur Abdelouafi Laftit, le Roi a rappelé que la première phase de la régionalisation avancée a permis la mise en place des structures des conseils régionaux, l’adoption des lois organiques relatives aux collectivités territoriales, et l’élaboration des premiers programmes de développement. Cette étape a également été marquée par la promulgation du Pacte national de déconcentration administrative. Cependant, selon le Souverain, la nouvelle mandature exige une évaluation approfondie et une accélération des efforts pour atteindre une mise en œuvre effective et efficiente. Les défis à relever Le Roi Mohammed VI a identifié sept défis majeurs entravant le progrès de ce projet. 1. L’opérationnalisation du Pacte national de déconcentration administrative Le Roi a souligné l’importance stratégique de la déconcentration administrative, rappelant qu’elle constitue un pilier essentiel de la régionalisation avancée. Cependant, il a déploré le retard accusé par plusieurs ministères dans le transfert effectif des compétences aux services déconcentrés, notamment dans les secteurs prioritaires tels que l’investissement. Cette situation freine les procédures administratives et nuit à l’attractivité des régions pour les investisseurs. 2. La clarification et l’exercice effectif des compétences des collectivités territoriales Malgré les efforts déployés, le Roi a constaté que les progrès restent insuffisants. Il a appelé à une coordination accrue entre les ministères et les collectivités pour parvenir à une répartition claire des compétences et pour renforcer le rôle des régions dans le développement économique et social. 3. La promotion de la démocratie participative Le Souverain a insisté sur la nécessité d’impliquer les citoyens et la société civile dans la conception, la mise en œuvre et l’évaluation des politiques publiques au niveau régional. Une vision stratégique pour le développement En conclusion, le Roi a réaffirmé que la régionalisation avancée est un levier clé pour relever les défis économiques et sociaux du Maroc. Ce chantier structurant ne peut réussir sans un engagement fort et concerté de tous les acteurs. En accélérant sa mise en œuvre, le Royaume aspire à renforcer la gouvernance territoriale et à promouvoir un développement équilibré et inclusif.

📣 [#lettre ouverte] aux élus du Conseil Régional 👉 Début novembre 2024, la présidente de la Région Pays de la Loire Christelle Morançais a annoncé une réduction de près de 100 millions d’euros du budget régional pour l’année 2025. Cette réduction affecterait différents secteurs, avec des 𝐜𝐨𝐮𝐩𝐞𝐬 𝐦𝐚𝐣𝐞𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐨𝐩𝐞́𝐫𝐞́𝐞𝐬 𝐧𝐨𝐭𝐚𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐚𝐮 𝐧𝐢𝐯𝐞𝐚𝐮 𝐝𝐮 𝐛𝐮𝐝𝐠𝐞𝐭 𝐝𝐞́𝐝𝐢𝐞́ 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐯𝐢𝐞 𝐚𝐬𝐬𝐨𝐜𝐢𝐚𝐭𝐢𝐯𝐞. Les acteurs de la coopération et la solidarité internationales, qui composent le réseau régional Pays de la Loire Coopération Internationale, s’inquiètent de ces orientations qui impacteraient drastiquement leur capacité à poursuivre leur engagement. 🌍 Les conséquences de ces coupes seraient lourdes pour notre territoire comme pour les territoires partenaires. En effet, 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐨𝐣𝐞𝐭𝐬 𝐬𝐨𝐮𝐭𝐞𝐧𝐮𝐬 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐜𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐨𝐥𝐢𝐝𝐚𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥𝐞 𝐩𝐞𝐫𝐦𝐞𝐭𝐭𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐫𝐞́𝐩𝐨𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐚̀ 𝐝𝐞𝐬 𝐛𝐞𝐬𝐨𝐢𝐧𝐬 𝐞𝐬𝐬𝐞𝐧𝐭𝐢𝐞𝐥𝐬 : accès à l’éducation, à la santé, à l’eau, à l’assainissement, lutte contre le changement climatique, promotion de l’égalité des genres, etc. Ces initiatives renforcent la résilience des communautés et tissent des liens durables entre les peuples. 💬 Ainsi, le réseau Pays de la Loire Coopération Internationale appelle les élus régionaux à reconsidérer cette décision et à ouvrir un dialogue constructif avec les acteurs concernés. 𝐄𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞, 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐯𝐨𝐧𝐬 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐭𝐫𝐮𝐢𝐫𝐞 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐫𝐞́𝐠𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐢𝐧𝐜𝐚𝐫𝐧𝐞 𝐝𝐞𝐬 𝐯𝐚𝐥𝐞𝐮𝐫𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐨𝐥𝐢𝐝𝐚𝐫𝐢𝐭𝐞́ 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐨𝐧𝐬𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐚𝐠𝐞́𝐞𝐬. 🤝 La coopération internationale n’est pas une option, elle est une promesse fondamentale qu’il nous appartient de tenir. Elle construit et entretient des liens empreints de respect, de solidarité, de compréhension mutuelle, nécessaires à la résolution des crises planétaires. 𝐄𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞, 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐢𝐧𝐮𝐨𝐧𝐬 𝐚̀ 𝐛𝐚̂𝐭𝐢𝐫 𝐮𝐧 𝐦𝐨𝐧𝐝𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐞, 𝐬𝐨𝐥𝐢𝐝𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐮𝐫𝐚𝐛𝐥𝐞. ▶️ Télécharger la lettre ouverte : https://urlr.me/cH6Avg #budget #Paysdelaloire #solidarité #coopération #international

De nouveau à Paris aujourd’hui, à Bercy, pour présenter à la commission « stratégie de développement de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS) » du Conseil Supérieur de l’ESS, l’étude de l’observatoire des politiques régionales de Régions de France sur les chiffres clés 2023 de l’action des régions dans l’ESS finalisée ce mois de novembre. 👉 Ces chiffres seront officiellement publiés mais, pour susciter attente et intérêt, en 2023, l’ensemble des régions ont consacré plus de 1,2 millards d’euros à l’ESS tant dans ce champ de compétences direct qu’au travers de l’ensemble des politiques régionales et les achats publics régionaux. 👉 À cela s’ajoute les fonds européens (FEDER, FSE, Leader) qui sont actionnés pour compléter les financements régionaux soit 100 millions d’euros programmés sur 2021-2027. 👉 En 2023, ce sont plus de 13 516 entreprises de l’ESS qui ont été accompagnées par les Régions. Pour les régions, l’ESS est un formidable levier d’attractivité, de développement économique, de transition écologique et de cohésion sociale des territoires. Un grand merci au responsable de l’observatoire, Jérémy Pierre-Nadal , pour ce travail fastidieux de collecte, de synthèse et de présentation des données figurant dans cette étude. Denis Dementhon Elisa BRALEY Antoine Détourné Pauline Raufaste Jérôme SADDIER Rachid Cherfaoui

[#CohésionTerritoriale] 📅 Le mardi 1er octobre 2024, un Comité Local de Cohésion Territoriale (CLCT) s’est tenu sous la présidence du préfet de la région Guadeloupe, Xavier Lefort. 📍 Ce comité a réuni les élus locaux, les services de l’État et divers acteurs territoriaux afin d’échanger sur les dispositifs mis à disposition par l'Agence Nationale de la Cohésion des Territoires (ANCT), qui soutient les petites communes et territoires ruraux en offrant un appui technique et financier pour des projets visant à réduire les inégalités et renforcer l’attractivité locale. ✅ Au programme : ➡️ Témoignages des chefs de projets sur la mise en œuvre de deux dispositifs de l'ANCT : Avenir Montagnes et les Contrats de Relance et de Transition Écologique (CRTE). Ils ont partagé leurs expériences ainsi que les éventuelles difficultés rencontrées sur le terrain. ➡️ Présentation des offres d’ingénierie territoriale, avec des interventions du SGAR, de la DEAL, de l’ADEME, de l’AFD, du CEREMA, d’Atout France et de la DRFIP. ➡️ Point sur les financements État en ingénierie territoriale. Cette rencontre participe au renforcement de la collaboration entre les acteurs locaux et les services de l’État pour une mise en œuvre plus efficace des projets sur le territoire.

Dijon labellisée « Territoires unis et solidaires face aux crises » par Cités Unies France ! 📆 Depuis le 24 octobre 2024, Dijon est labellisée « Territoires unis et solidaires face aux crises ». Cette distinction est une reconnaissance par les collectivités françaises fédérées au sein de Cités Unies France pour les actions de solidarité internationale menées par la Ville de Dijon et Dijon métropole (guerre en Ukraine, séisme au Maroc, développement économique dans plusieurs pays d’Afrique, mais aussi des Balkans, coopération médicale avec Lomé (Togo), etc...) 🔎 Qu’est-ce que CUF ? Cités Unies France est un réseau regroupant les collectivités territoriales françaises engagées dans l’action internationale. Cités Unies France accompagne ces collectivités dans la mise en œuvre d’une action internationale au service de leur ouverture à l’international, de leur rayonnement, de leur attractivité et de la promotion des échanges humains, culturels et économiques. 📍 Pourquoi ce label ? Ce label atteste de l’engagement de la collectivité dans la mise en œuvre d’une politique de solidarité internationale volontariste, notamment dans le cadre de crises affectant des collectivités territoriales des pays partenaires. Toutes ces actions menées par les fonds de solidarité mis en œuvre par C.U.F., sont en lien direct avec les compétences des collectivités territoriales françaises qui les alimentent par leurs dons. Ville de Dijon Dijon métropole Cités Unies France - Officiel Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères AFD - Agence Française de Développement

[La cohésion en Europe] À l'occasion du Congrès des maires organisé par l'AMF à Paris, lors d'une table ronde intitulée “Partager les compétences et répondre aux demandes des habitants : quels outils pour aider les collectivités locales rurales et quels partenariats mobiliser", je suis intervenue sur la question des fonds européens, un tiers du budget de l’Union, près de 400 milliards sur 2021-2027. En tant que maire et Présidente d’agglomération que j’ai été et conseillère régionale de Bretagne que je suis toujours, je sais la difficulté d'accès à ces fonds et souhaite me faire la porte-parole des porteurs de projets. Feader, Feder, Leader, FSE plus, Fond pour la transition juste... Erasmus plus, Life, Horizon, Creativ,... il existe une quarantaine de dispositifs européens en faveur des territoires et des initiatives locales. Les acteurs sont très nombreux, qui conseillent, instruisent, versent les fonds, contrôlent... A cet égard, le principal reproche formulé par les élus locaux, les entreprises ou les associations, c’est la complexité, à laquelle s’ajoute les délais pour toucher concrètement les fonds mais aussi le contrôle « tatillon ». L’ayant expérimenté moi-même, je souhaite mettre à profit mon mandat de députée européenne pour contribuer à améliorer les choses. D’où l’idée de la rédaction d'un livre blanc. Un livre blanc qui fera la liste de tous ces fonds, en précisera les principes et les conditions d’éligibilité, les montants consacrés, au niveau européen, mais avec un focus sur la France. Un livre blanc qui donnera la parole à des maires, des entreprises et des associations, qui auront une expérience, heureuse ou malheureuse, dans l’accès à ces fonds. Un livre blanc qui présentera une analyse des forces et des faiblesses actuelles, des opportunités et des menaces à venir, à partir des rapports d’évaluation qui existent déjà et dans la perspective du débat budgétaire qui va s’ouvrir dès 2025 pour la période 2027-2034. Ce livre blanc se veut une démarche positive et pragmatique afin d'améliorer l'accès au fonds européens et la politique de cohésion de l'Union ». Votre témoignage est précieux ! Mon adresse : isabelle.lecallennec@europarl.europa.eu ; merci d'avance pour votre contribution !

Les deuxièmes Assises de la régionalisation avancée : Sa Majesté le Roi Mohammed VI a mis en exergue les défis à relever et les priorités stratégiques pour renforcer le rôle des régions en tant que moteurs d’un développement territorial équilibré et inclusif "Sept défis et trois priorités définis pour un Maroc des régions inclusif et durable" 1.L’application effective de la Charte nationale de déconcentration administrative 2. L’audit et l’opérationnalisation des compétences des collectivités territoriales 3. Le renforcement de la démocratie participative. 4. La responsabilité et la reddition des comptes 5. L’amélioration de l’attractivité des régions 6. La  conception de mécanismes de financement innovants 7. La gestion des crises et l’adaptation aux transformations

Le chantier de la régionalisation avancée, socle d’une gouvernance moderne et participative, reste une ambition collective qui nécessite l’engagement de tous.