Post de AICEP | France

L'Afrique devrait considérer l'élimination du monopole des fournisseurs d'énergie pour plusieurs raisons… Premièrement, cela encouragerait la concurrence, ce qui pourrait potentiellement réduire les coûts pour les consommateurs. Deuxièmement, cela favoriserait l'innovation dans le secteur de l'énergie, ce qui pourrait conduire à des solutions plus efficaces et durables… l’uns des objectifs à long termes de amoovo.com Enfin, cela pourrait stimuler l'investissement étranger dans le secteur de l'énergie, contribuant ainsi au développement économique global de la région. Examinons cela plus en détail : Réduction des coûts pour les consommateurs : Lorsqu'il y a concurrence sur le marché de l'énergie, les fournisseurs sont incités à offrir des prix compétitifs pour attirer les clients. Cela peut entraîner une baisse des prix pour les consommateurs, les rendant plus abordables pour les ménages et les entreprises, ce qui stimule la croissance économique. Stimulation de l'innovation : Lorsque plusieurs entreprises opèrent sur le marché de l'énergie, elles sont incitées à innover pour rester compétitives. Cela peut conduire à des avancées technologiques dans la production, la distribution et l'utilisation de l'énergie, ce qui pourrait à long terme rendre le système énergétique plus efficace et durable. Amélioration de la qualité du service : La concurrence encourage également les fournisseurs à améliorer la qualité de leurs services pour attirer et fidéliser les clients. Cela pourrait se traduire par une meilleure fiabilité de l'alimentation électrique, un meilleur service client et une plus grande disponibilité de solutions énergétiques adaptées aux besoins locaux. Stimulation de l'investissement : L'ouverture du marché de l'énergie à la concurrence peut attirer des investissements étrangers, car les entreprises voient un potentiel de profit dans un marché dynamique et en croissance. Cela pourrait contribuer à moderniser les infrastructures énergétiques et à créer des emplois locaux dans le secteur de l'énergie. En somme, en éliminant le monopole des fournisseurs d'énergie, l'Afrique pourrait potentiellement créer un environnement énergétique plus dynamique, compétitif et innovant, ce qui bénéficierait à l'économie et à la population dans son ensemble. #Énergie_en_Afrique , #Concurrence_sur_le_marché_de_énergie,#Innovation_énergétique,#Investissement_étranger,#Développement_économique,#Qualité_du_service_énergétique Crédit Photo: #freepik

Ce pays a été responsable à lui seul de 1/4 des émissions de l’Europe en 2021 et pourtant il est celui nécessitant le moins d’investissements pour décarboner son économie ! Ce pays, c’est l’Allemagne et, à première vue, cet avantage ne saute pas aux yeux… Bouquet énergétique à plus forte intensité de carbone, industrie plus développée et secteur agricole proportionnellement plus petit… Si le pays a vu ses émissions diminuer de 39% depuis 1990, le chemin vers la neutralité carbone semble encore long. Comment atteindre cet objectif ? 👉 Un investissement supplémentaire de 55 milliards d'euros est nécessaire d'ici 2050 pour décarboner l'économie allemande, soit environ 1,4 % du PIB actuel. 👉 Ce plan d'investissement supplémentaire peut être en partie financé en redirigeant les subventions aux énergies fossiles et sera compensé par une forte baisse des coûts énergétiques. 👉 Les dépenses publiques de l'Allemagne devraient doubler, passant de 48 à 93 milliards d'euros par an. Et attention, 45 milliards d'euros par an, c'est trois fois moins que ce que l'Allemagne a dépensé en 2022 en subventions aux combustibles fossiles, y compris le plafonnement des prix. C'est également 50 % de moins que la distribution de dividendes ! 👉 En termes d'investissement total, environ 81 % se concentrent sur deux secteurs : les transports (47 % de l'investissement total, 151 milliards d'euros par an) et les bâtiments (34 %, 108 milliards d'euros par an). Malgré ces constats, l’Allemagne nécessite pourtant le budget additionnel pour décarboner son économie le plus bas parmi les pays étudiés dans notre rapport Road to Net Zero ! Comment cela s’explique-t-il ? 👉 Des économies de transition significatives dans le secteur des transports. 👉 Des investissements proportionnellement plus faibles pour décarboniser le système électrique allemand. 👉 Des investissements plus faibles dans l'agriculture sont attribués à une surface agricole plus petite par unité de PIB, en comparaison avec d'autres pays. Vous êtes intrigué par cette conclusion? Découvrez toutes les explications dans la synthèse “Allemagne” de notre rapport #RoadtoNetZero : https://lnkd.in/eYMEa2HE #europe #allemagne #transitionécologique #écologie

Ces deux pays sont les pionniers de l’électrification totale en Afrique Pour plus d'infos👇 https://lnkd.in/eGV8Hbun #electricite #Afrique

Le Canada a établi ses objectifs dans le but d’atteindre une économie net-zéro d’ici 2050, mais la demande en électricité continuera de croître. Pourquoi les ressources énergétiques distribuées seront-elles essentielles à l’atteinte de ces objectifs? Pour tout savoir, découvrez le dernier numéro de notre série Perspectives des leaders. https://pwc.to/481v6iw

💼 Le PIB français a augmenté plus qu’attendu, le prix de l’énergie payé par les #entreprises en 2024 restera supérieur à 2021, et la France championne des investissements étrangers en 2023 ! 🔎 Découvrez le récap complet de l'actualité du marché de l'#énergie de cette semaine avec les articles rédigés par nos experts 👉 https://lnkd.in/etS5GyyZ

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Un rapport intéressant et pas que sur l'énergie 💙 « L’avenir de la compétitivité européenne : rapport de Mario Draghi » Commission européenne, 9 septembre 2024. Le rapport Draghi sur la compétitivité européenne propose trois axes principaux : 1. Combler le retard technologique et d'innovation par rapport aux États-Unis et à la Chine, notamment en doublant le budget de recherche et innovation à 200 milliards d'euros sur 7 ans. 2. Élaborer un plan commun liant décarbonation et compétitivité, incluant une réforme du marché de l'électricité. 3. Renforcer la sécurité et réduire les dépendances stratégiques, en créant une plateforme pour sécuriser les approvisionnements en matières premières critiques. Le rapport souligne en outre la nécessité d'une coopération et d'une intégration plus étroites entre les pays européens, avec un financement annuel estimé entre 750 et 800 milliards d'euros pour mettre en œuvre ces recommandations. -----