Post de Alexandre Bazillac 🌱

Très bon débat hier sur le budget écologique

🔴 0 minute hier sur BFM sur l'écologie alors que c'est la 3ième inquiétude des français 🇫🇷 The Shift Project et Les Shifters vous proposent une analyse climat des programmes. Pourquoi ❓ ❌ Nous avons indiqué avant le premier tour, combien cette quasi absence de l'écologie dans le débat public est dommageable (https://lnkd.in/eH_64res). Aucune Assemblée nationale, aucun parti, aucune majorité, aucune coalition ne peut en faire abstraction : il y a là une condition préalable à la réalisation de quasiment tout objectif social ou économique à moyen et long terme. 🌱 Les constats scientifiques, à commencer par ceux du Giec, sont clairs : si la France ne relève pas le défi de la mise en œuvre de l’Accord de Paris, elle s’expose à des risques lourds et irréversibles, non seulement sur le plan environnemental, mais également sur le plan social et économique (l’humanité vivant à l’intérieur de son environnement, et non à côté ou en dehors). 🇪🇺 La conduite du pays doit se faire de manière à accélérer la transition au niveau national, européen et international. Quel est le rôle du Shift Project et des Shifters? 💡 Notre vocation est d'apporter un éclairage et de pousser constamment le débat démocratique à la cohérence. 💻 Pour cela, nous avons confronté ces programmes par rapport à notre Plan de transformation de l’économie française (https://lnkd.in/d6P_JFjB). ⚖️ Apartisan, les Shifters ne sont pas apolitiques pour autant. 📖 Nous laissons aux citoyennes et citoyens français qui prendront le temps de lire notre analyse le soin d’en tirer leurs conclusions. Nous souhaitons que celles-ci contribuent à leur choix dans l’isoloir. Bien entendu, il est important de rappeler que l'enjeu climatique est loin d'être uniquement celui qui se joue le 7 juillet. 🗳️ Votons ! 👉 Merci à l'équipe du The Shift Project qui a travaillé sur ce rapport

à lire!

Le backlash écologique est politique, pas citoyen. C'est en somme le message que j'ai porté vendredi dernier à l'Université Libé organisée par Libération, dans un panel dédié à la place de l'écologie au niveau européen. J'ai en effet eu l'opportunité de débattre des deux sujets qui me tiennent le plus à cœur (🌿+🇪🇺) aux côtés du député européen David Cormand (Europe Écologie Les Verts), de la députée Aurélie Trouvé (La France insoumise) et de Neil Makaroff (du think tank Strategic Perspectives). Interrogé par Aurore Coulaud sur le #backlash écologique et la montée du mécontentement dans la société, j'ai expliqué que ce backlash était bien davantage politique - piloté par certains partis politiques qui instrumentalisent la question écologique (dont le Green Deal européen) - que citoyen. La population reste en effet favorable à l'action. Pour beaucoup, elle en demande même davantage ! https://elabe.fr/cop28/ Bien que des frustrations émergent à l'égard de *certaines* politiques climatiques au sein de certaines parties de la société (on pense à la taxe carbone ou aux ZFE), il faut rester ferme sur l'ambition écologique et trouver les outils pour bâtir des politiques climatiques justes, désirables et bénéfiques à la population. L'instrumentalisation de la part de certains ne doit pas nous faire dévier de l'essentiel. Une voie de passage est possible, il faut juste faire mieux. Pour cela, il faut réinvestir le champ du discours politique sur la question et, en somme, donner envie ! C'est tout l'objet de ma note pour la Fondation Jean-Jaurès : https://lnkd.in/esxjh_Yq Sciences Po Research CEE - Centre d'études européennes et de politique comparée

🔴 0 minute mercredi sur BFM sur l'écologie alors que c'est la 3ième inquiétude des français 🇫🇷 The Shift Project et Les Shifters vous proposent une analyse climat des programmes. Pourquoi ❓ ❌ Ils ont indiqué avant le premier tour, combien cette quasi absence de l'écologie dans le débat public est dommageable (https://lnkd.in/erKTUsFv). Aucune Assemblée nationale, aucun parti, aucune majorité, aucune coalition ne peut en faire abstraction : il y a là une condition préalable à la réalisation de quasiment tout objectif social ou économique à moyen et long terme. 🌱 Les constats scientifiques, à commencer par ceux du Giec, sont clairs : si la France ne relève pas le défi de la mise en œuvre de l’Accord de Paris, elle s’expose à des risques lourds et irréversibles, non seulement sur le plan environnemental, mais également sur le plan social et économique (l’humanité vivant à l’intérieur de son environnement, et non à côté ou en dehors). 🇪🇺 La conduite du pays doit se faire de manière à accélérer la transition au niveau national, européen et international. Quel est le rôle du Shift Project et des Shifters? 💡 Leur vocation est d'apporter un éclairage et de pousser constamment le débat démocratique à la cohérence. 💻 Pour cela, ils ont confronté ces programmes par rapport à notre Plan de transformation de l’économie française (https://lnkd.in/gatNYKF4). ⚖️ Apartisan, les Shifters ne sont pas apolitiques pour autant. 📖 Ils laissent aux citoyennes et citoyens français qui prendront le temps de lire leur analyse le soin d’en tirer leurs conclusions. Ils souhaitent que celles-ci contribuent à leur choix dans l’isoloir. Bien entendu, il est important de rappeler que l'enjeu climatique est loin d'être uniquement celui qui se joue le 7 juillet. 🗳️ Votons ! 👉 Merci à l'équipe du The Shift Project qui a travaillé sur ce rapport Texte repris de Melissa Evelyne PEREZ VP Les Shifters

🌍 Entend-on vraiment assez parler d’écologie ? 🤔 A écouter les Français : l’écologie n'est pas assez présente dans les médias. ➡️ Pire, quand on en parle, c’est le flou total. Résultat : 2/3 des Français estiment manquer d’informations fiables sur le dérèglement climatique. Et 3/4 ont le sentiment d’entendre tout et son contraire sur le sujet. ⚠ Alors, pourquoi ce silence assourdissant ? 1️⃣ D’abord, par manque de temps. L’écologie, c’est complexe, ça demande des explications. Pas évident de vulgariser correctement le sujet en 2 minutes chrono. 2️⃣ Par manque de moyens. Les journalistes spécialisés dans l’environnement se comptent sur les doigts d’une main. 3️⃣ Enfin, par désintérêt. Les médias préfèrent souvent parler de sujets plus “vendeurs”, même si ça signifie occulter les sujets sur l’environnement. Résultat : en 2019, l’écologie ne représentait que 1,5% du temps d’antenne sur les chaînes d’info ! Heureusement, certains se battent pour changer la donne et (enfin) informer correctement les Français sur ce sujet ! 🌍 Il est temps que les médias donnent à l’écologie la place qu’elle mérite dans nos débats, avec des informations claires et des analyses profondes. Et pas juste 5 min en fin de JT avant la météo. 👀

📥 Les législatives arrivent à grand pas et le contexte, qui semble peu propice aux échanges apaisés, permet difficilement d’avoir une vision claire des programmes de chaque groupe politique. Comme l’ont souligné de nombreux acteurs engagés pour le climat (Thomas Wagner 😉 ), l’écologie est malheureusement souvent le parent pauvre des premiers débats. Pourtant, la question est centrale. 𝗘𝗻 𝗽𝗹𝗲𝗶𝗻𝗲 𝘂𝗿𝗴𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗰𝗹𝗶𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲, 𝗻𝗼𝘂𝘀 𝗻𝗲 𝗽𝗼𝘂𝘃𝗼𝗻𝘀 𝗽𝗮𝘀 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗹’𝗶𝗺𝗽𝗮𝘀𝘀𝗲 𝘀𝘂𝗿 𝘂𝗻 𝘀𝘂𝗷𝗲𝘁 𝗮𝘂𝘀𝘀𝗶 𝗽𝗿𝗲𝗴𝗻𝗮𝗻𝘁. Si certes, elle n’est pas le thème principal de cette campagne, qui voit se confronter des projets sociétaux aux antipodes les uns des autres, nous pouvons être certains que 𝗻𝗶𝗲𝗿 𝗹𝗮 𝗰𝗿𝗶𝘀𝗲 𝗰𝗹𝗶𝗺𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗲𝘁 𝗿𝗲𝗷𝗲𝘁𝗲𝗿 𝘀𝗲𝘀 𝘀𝗼𝗹𝘂𝘁𝗶𝗼𝗻𝘀 𝗻𝗲 𝗳𝗲𝗿𝗼𝗻𝘁 𝗾𝘂’𝗮𝗴𝗴𝗿𝗮𝘃𝗲𝗿 𝗹𝗲𝘀 𝘁𝗲𝗻𝘀𝗶𝗼𝗻𝘀 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲𝘀 𝗲𝘁 𝗻𝗼𝘁𝗿𝗲 𝗰𝗮𝗽𝗮𝗰𝗶𝘁𝗲́ 𝗮̀ 𝘃𝗶𝘃𝗿𝗲 𝗲𝗻𝘀𝗲𝗺𝗯𝗹𝗲 🌍 Dans sa dernière tribune publiée sur Forbes France, Thomas Guyot, co-fondateur de Traace, analyse les propositions de chaque camp en faveur de l’écologie et leur projet pour faire face au réchauffement climatique et ses conséquences 👇 https://lnkd.in/eG-3qE7Q #législatives #écologie #réchauffementclimatique

Les élections européennes approchent et on peut légitimement se demander où est passée l'écologie dans le débat public ? Qui est le candidat ou la candidate qui la représente le mieux ? Les enjeux écologiques se retrouvent en arrière-plan… L’écologie est invisibilisée, instrumentalisée. Pourtant, beaucoup de combats écologiques se jouent au niveau européen. Les élections arrivent à un moment clé pour la politique climatique européenne. Depuis 2019, le Green Deal ou Pacte vert a été introduit et a permis d'adopter une série de mesures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre d’au moins 55% d’ici à 2030 (par rapport aux niveaux de 1990). Des mesures qui sont pour beaucoup remises en question alors qu’elles n’ont même pas encore été totalement appliquées. L’enjeu des prochaines années est pourtant de les mettre en œuvre mais aussi d’augmenter l’ambition. Les défis les plus importants sont encore devant nous. Et pourtant, encore une fois, certains pensent qu’il y a plus urgent que l’écologie. Alors comment s’y retrouver pour faire son choix ? Que raconte ces élections européennes de l’état du débat public sur l’écologie en France ? De l’écologie politique ? Réponses dans ce nouveau décryptage : https://lnkd.in/eJ8E5Ez4

Oui c'est vrai pourquoi ? Bonne question ! La réponse avec Marseille Vert https://lnkd.in/d-x8dfXJ 🙏🌎✨ « Il nous arrive d’entendre cette formule : nos politiques ne sont pas à la hauteur. C’est évident dans le cas de l’écologie, puisque rien ou si peu n’est fait par le gouvernement pour enrayer la machine infernale. Mais sa responsabilité, tout comme celle des multinationales et du fameux 1 %, n’est (presque) plus à prouver. Clément Sénéchal s’attelle ici à comprendre les autres causes, plus discrètes, qui conduisent l’écologie politique à l’échec : celles qui s’enracinent dans son propre camp. Structurellement, l’écologie, fruit de l’environnementalisme, s’est constituée comme une cause des élites. Dès les années 1970, ses militants, les ONG et certains politiques ont fait d’elle un objet de lutte pour privilégiés, morcelable, négociable et, surtout, profitable. Et, ce faisant, ils et elles ont réduit la lutte à une mise en scène, une morale abstraite, éloignée des citoyens et des citoyennes. Ces acteurs de l’écologie B.C.B.G., s’ils ne cessent de marteler les constats scientifiques, se montrent nettement moins diserts sur leur propre échec. Pour construire les victoires de demain, il est pourtant nécessaire de regarder les impasses de cette « écologie du spectacle » bien en face. Un essai fort, qui pose enfin des mots sur une évidence politique. »

Les élections européennes approchent et on peut légitimement se demander où est passée l'écologie dans le débat public ? Qui est le candidat ou la candidate qui la représente le mieux ? Les enjeux écologiques se retrouvent en arrière-plan… L’écologie est invisibilisée, instrumentalisée. Pourtant, beaucoup de combats écologiques se jouent au niveau européen. Les élections arrivent à un moment clé pour la politique climatique européenne. Depuis 2019, le Green Deal ou Pacte vert a été introduit et a permis d'adopter une série de mesures pour réduire les émissions de gaz à effet de serre d’au moins 55% d’ici à 2030 (par rapport aux niveaux de 1990). Des mesures qui sont pour beaucoup remises en question alors qu’elles n’ont même pas encore été totalement appliquées. L’enjeu des prochaines années est pourtant de les mettre en œuvre mais aussi d’augmenter l’ambition. Les défis les plus importants sont encore devant nous. Et pourtant, encore une fois, certains pensent qu’il y a plus urgent que l’écologie. Alors comment s’y retrouver pour faire son choix ? Que raconte ces élections européennes de l’état du débat public sur l’écologie en France ? De l’écologie politique ? Réponses dans ce nouveau décryptage : https://lnkd.in/eCaZgRmc