Post de Aline Chenu

Et si vous deveniez des Créateurs d'Univers ? 🌌 C'est intriguant non ?  Pour ce faire, j'ai besoin des réponses de vos ados ! Le lien magique : https://lnkd.in/eWWFSpNm Bref, je suis étudiante et je réalise un projet de fin de Master sur la médiation scientifique, autour de l'astronomie, à destination des adolescents. Et pour réaliser un projet qui saura leur parler : j'ai besoin de leurs avis ! ✨ Que vous ayez des frères et sœurs, des enfants ou des neveux et nièces entre 12 et 17 ans... Mon sondage est pour eux !  Ou pour vous, si tu es un adolescent (même si je ne pense pas les trouver sur LinkedIn, je reste réaliste !) Sinon, vous, adultes, je vous challenge. Prêt à faire décoller ce sondage ? 3, 2, 1... À vos partages ! 🚀 Avec les remerciements de l'étudiante qui a un peu la tête dans les étoiles ! 💫 Des questions ? Des remarques ?  Houston vous lit en commentaire ! 👀

𝟓𝟎 𝐧𝐮𝐚𝐧𝐜𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐛𝐢𝐨𝐠𝐫𝐚𝐩𝐡𝐢𝐞 #𝟐𝟒 « 𝐇𝐚𝐫𝐨 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐩𝐬𝐲𝐜𝐡𝐨𝐥𝐨𝐠𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 ! » Nous donnons souvent des explications psychologiques à nos actes. Le procès de Mazan en est l’illustration parfaite. Nous cherchons des ressorts psychologiques à des phénomènes de société, ce qui a pour but de croire en un pur aspect personnel de notre trajectoire individuelle. Notre éducation a certes une influence notable sur notre psyché, mais elle forge surtout des manières de penser, de réagir, de comprendre le monde, de nous tenir, de manger, etc. Il faut toutefois prendre en considération notre éducation dans un sens large et complexe : le milieu de nos parents et grands-parents, les singularités des autres membres de la famille, nos rencontres à l’école, au lycée, à l’université et dans le monde professionnel. Pour les biographes, il y a un monde à explorer. Un monde de trajectoires, un monde de transfuges, un monde de déterminismes, un monde de privilèges, des plafonds de verre, des contextes sociaux favorables à l’ascension sociale, des origines ethniques à examiner. Si c’est le souhait des narratrices et narrateurs, la ou le biographe qui s’en sentira compétent.e pourra tenter de détricoter ces éléments du monde social qui se nichent en chacun de nous. Il le fera en s’intéressant plutôt au « comment » qu’au « pourquoi », c’est-à-dire en aidant nos narratrices et narrateurs à décrire comment les choses sont advenues en elles plutôt que pourquoi. Les avantages d’une telle démarche, même lorsqu’elle est menée de manière sommaire, sont de rendre le récit plus profond. En faisant cela, on évite largement de donner des explications trop sommaires et de justifier des actes de manière artificielle. Emmanuel Desestré, biographe Écriture et accompagnement à l’écriture autobiographique. 📱 06 42 59 85 25 🖥️ e.desestre@gmail.com Illustration : archives personnelles Biographicus #autobiographie #biographie #social #psychologique

Vous avez dit complotisme, platisme ? L'an dernier, en plein cours d'économie, un élève me dit "Mais Madame, mon collègue, il croit que la terre est plate et que Brigitte Macron est un homme". Le ton était assez moqueur... Comme prof, j'ai immédiatement stoppé mon cours. Ouvert la discussion : explique-moi, terre plate, Brigitte un homme. Les explications de cet élève n'ont pas trop existé, et c'est bien dommage, confus d'être balancé par un autre. Et la posture de professeur ne met pas forcément en confiance pour ouvrir véritablement la boite de Pandore. Par contre, j'ai réagi en sortant un PowerPoint que je garde toujours dans mes séquences dites "spéciales". J'ai fait un cours de l'Histoire de France, depuis Clovis, à nos jours avec 15 personnages historiques. Et une première vue rappelant les différentes trajectoires des premiers humains, par l'est de l'actuelle Europe, et par le continent africain. Certains d'entre vous ici sur Linkedin m'ont eu pour le 3e jour de formation OFII d'accueil des candidats à la nationalité, à la vie ici. J'ai gardé de merveilleux souvenirs de ces rencontres avec tous ces nouveaux et nouvelles venues de la planète entière. Ce powerpoint en est l'esprit. Ce cours d'histoire, dit "séquence spéciale", rappelant que nous venons de partout, ne permet pas de bien faire comprendre que la planète est bien ronde. Il permet, de façon détournée, de nous recentrer sur ce que nous sommes : des hominidés nomades ou sédentaires, épris de mystique parfois, ce qui n'a pas changé depuis nos premiers voyages jusqu'à nos jours Avec la complexité de ce monde abouti, certaines angoisses ressurgissent, encore et toujours. Le platisme, le complotisme, touche beaucoup nos jeunes, et à mon sens, est largement sous-estimé par le monde adulte. La recherche d'un certain absolu de nos adolescents doit être bien surveillé, en terme de réponse claire, et de vigilance. #Éducation #Complotisme #Platisme #Histoire #Pédagogie #Professeurs #Enseignement #Adolescence #EspritCritique #FakeNews #Société #Formation #HistoireDeFrance #Diversité #Migration #PsychologieAdolescente #Vigilance #Dialogue

Organiser un paradigme scientifique ? Comme je l’ai déjà mentionné plus haut, cette activité réflexive n’est pas inconnue des pratiques scientifiques en général, y compris dans les sciences dites « dures, naturelles, exactes ». Et l’on sait que diverses études, menées dans une posture « intérieure / extérieure » par des chercheurs « humains et sociaux » intégrés dans des laboratoires de sciences « dures… », ont montré comment se bricole effectivement la recherche sur le terrain, intriquée dans des contextes humains et sociaux, pour sa plus grande efficacité d’ailleurs (Latour, 2001). Cependant, c’est bel et bien dans les sciences « de terrain » que l’activité réflexive s’est jusqu’ici développée de façon plus ample et plus approfondie, notamment chez les ethnologues / anthropologues habitués depuis les débuts de leur discipline à tenir un journal de recherche qui est souvent, sinon toujours, un lieu d’écriture réflexive (Lourau, 1988). Et l’on n’est pas étonné que les travaux sur les laboratoires de sciences « dures… » aient été menés par des anthropologues et sociologues (tel B. Latour). Est-ce à dire que la réflexivité, profondément intégrée comme condition et comme objectif scientifiques, constitue un véritable paradigme scientifique qui réunirait ou pourrait réunir autour de principes épistémologiques partagés les recherches ethnographiques, interprétatives, qualitatives (en priorité, cf. 3 ci-dessus) ? Ce qui signifierait que d’autres types de recherche ne pourraient pas y être inscrites, parce qu’elles s’appuient à la fois sur des conceptions des connaissances et en conséquence sur des méthodologies de recherche incompatibles avec une activité réflexive ? Il semble effectivement relativement évident qu’une méthode exclusivement hypothético-déductive où les résultats recherchés sont proposés a priori pour être invalidés ou validés de façon expérimentale, qui s’appuie nécessairement sur une décontextualisation à tendance positiviste, n’est pas accessible à l’exercice d’une réflexivité approfondie, organisatrice, laquelle la remet en question de façon radicale. Il me semble cependant qu’il faut se garder d’une vision caricaturale des choses. D’une part parce que les activités de recherches scientifiques, ici commodément polarisées autour de deux prototypes opposés (positivisme contre relativisme), s’étalent plutôt sur un continuum où les pratiques se mêlent. D’autre part parce que des formes de réflexivité sont attestées dans des épistémologies à dominantes positivistes et parce qu’il n’est pas sûr du tout que l’exercice organisé d’une réflexivité approfondie soit toujours attesté dans les démarches interprétatives / qualitatives. Cela a d’ailleurs l’avantage de laisser une possibilité de réflexivité dans toute recherche scientifique, quel que soit son cadre épistémologique. La réflexivité comme condition et comme objectif d'une recherche scientifique humaine et sociale - Philippe Blanchet (2009)

#lapenséedanslamarge J'ai divers centres d'intérêts en philosophie. Si j'avais à choisir un concept ou une thématique qui me suit depuis 23 années déjà (oui, je suis entrée à l'université en philo en 2001) c'est sans contredit la dignité humaine. Ce serait une trop longue histoire d'expliquer ici ce que je trouve de neuf à chaque fois que j'aborde la question, pour la petite histoire j'en ai fait le coeur de mon mémoire de maîtrise sur l'éducation. L'entretien ci-dessous porte sur un livre publié l'an dernier intitulé La clinique de la dignité. Cet ouvrage place au centre du questionnement sur la suite du monde cette notion de dignité et d'en prendre soin. Ma pratique actuelle dans le monde de la tech est axée sur ces dimensions humaines qui sont trop souvent absentes des discussions. #éthique #tech #numérique #réflexion #dignité #philosophie #lesoin #discussion #pourlasuitedumonde

La science spirituelle, ou encore la science ésotérique, ne peut faire l'objet d'une critique scientifique comme cela se pratique dans les universités dédiées aux sciences évolutives. En effet, les érudits et/ou hommes de sciences religieuses, ou encore les hommes religieux, reçoivent des enseignements au-delà des cinq sens. De plus, leurs écrits et pensées sont souvent intrinsèquement liés aux textes sacrés et aux révélations ; ce sont des questions dogmatiques. Il n'y a que deux options possibles pour ces questions dogmatiques : croire ou ne pas croire. Aucune possibilité de critique, même dans une logique d'amélioration, n'existe. Dans le dogme, on perçoit la perfection. Il existe deux pièges potentiels pour les amoureux de la connaissance, ignorants de l'immensité de leur ignorance, et pour les nouveaux initiés à la connaissance : le talent précoce et l'effet de surestimation connu sous le nom d'effet Dunning-Kruger, ou effet de surconfiance, qui est un mécanisme cognitif par lequel les personnes les moins qualifiées d'un groupe tendent à surestimer leurs compétences dans un domaine. Il est essentiel que celui qui est en quête de savoir ait un maître pour l'encadrer, l'accompagner, et ainsi lui éviter ces pièges. Même pour prétendre améliorer une œuvre scientifique simple, il faut au moins en avoir le niveau requis. Jummah Mubarak

On pourra élaborer une multitude de #programmes de #techniques et de #pratiques avec la #science et notre #cerveau, mais à mon #sens il y aura toujours de la place pour ce que j'appelle la #systémique du #coeur 💚 La systémique du coeur c'est la science du caché, une science à portée de tous les chercheurs quelles que soient leurs origines où la forme de leur quête... une science au centre de laquelle il y a cet #amour #universel où tout se rejoint...✨️ une science qui s'apprend ailleurs qu'en #formation où à l'#école. C'est pour cela que je crois en ma pratique 🙏 et que je valide totalement mon incompétence à prendre la place d'un #médecin ou d'un #psychologue 🕊 je n'ai aucun besoin de me comparer ni rien à faire valoir... je reconnais simplement mon niveau de #compétence pour complèter leurs précieux #soins avec ceci en plus et qui est tellement important et au centre chaque problématique : 25 ans d'expérience de la systémique du coeur 💚 Pourtant je sais qu'ici je vais en faire sourire plusieurs... peu importe... même si à côté de mes ainé(e)s et de mes ami(e)s qui m'enseignent encore tous les jours je sais que je suis encore bien loin de tout connaître de cette science, même si certains mettrons du temps à reconnaître son importance, je comprends au fur et à mesure de nos rencontres que ce que je connais je dois le partager #naturellement et dans le #respect de tous et cela fait #sens et me rempli de #gratitude 🙏💚✨️🕊 _________ je m'appelle Florence Charron et je suis la partenaire de votre écologie personnelle 🌱 je facilite votre évolution dans le respect de vos sensibilités et en complément des soins conventionnés 🗝 www.kiffetonzen.fr #apprentissages #sommeil #relation #bienetre #coeur #bienêtre #QVT #sagesse #animation #corps #esprit #ressentis

 🚀 IL N’Y A AUCUNE ETUDE SCIENTIFIQUE SUR LE HPI ! 🚀 👉🏽 POST 2 : les HPI atypiques 👉🏽 Voir aussi POST 1 : les HQI typiques ************************** les HPI atypiques ************************ 👉🏽 Ils sont ignorés par les typiques (pas concernés) et la sciences (qui ne sait pas les appréhender. Ils sont trop souvent pathologisés).     👉🏽 Les HPI #atypiques se reconnaissent entre eux par fréquence vibratoire, ce qui ne fonctionne pas avec HQI typiques. 🔥Ici, ce qui est exprimé est un PROCESSUS interne, pas un LIVRABLE externe !                                                  🔥D’où les difficultés de reconnaissance par le monde autochtone.   ☘️🌟 Pour ces mêmes raisons, HPI atypiques c’est : -         Sentiment de décalage naturellement : ne comprend pas les codes et les implicites locaux (sans pour autant être #TSA) -         Trop (ou pas assez) TOUT -         Hypersensibilité intense et profonde -         Perfectionniste -         Esthétique -         Réactions intenses -         Vouloir sauver le monde et les gens -         Besoin de complexité -         Très sensible à l’injustice et la trahison -         Besoin viscéral de comprendre -         Envie de s’améliorer -         Pensée divergente -         Forte #empathie -         S’oppose souvent au « récit collectif » dont il voit les contours -         Hyperexcitabilité (voir #Dabrowski) -         Métacognition -         Besoin absolu de cohérence et congruence -         Plus anxieux que la moyenne (Par culture et pas par nature. Ce que produit le fait d’être un expatrié à l'étranger) -         …   ➡️ Evidemment, indépendamment de tout cela : - Tout le monde peut être en situation d’#échec scolaire - Tout le monde peut avoir un problème de #pathologie - Tous les profils peuvent s’auto masquer : HPI/TSA/TDAh/Dys  ( cela veut dire pour les pros, qu’il faut connaitre et étudier TOUS les spectres en même temps ! ) ➡️ Donc, pour éviter tous les débat inutiles et stériles, IL FAUDRAIT : - Sortir de la confusion confusante : QI/douance/intelligence : le triangle dramatique - Des équipes de recherche scientifique qui s’intéressent enfin aux HPI atypiques, quelque part dans le monde - Reconnaitre et séparer les 2 populations/cutures HP qui co-existent sur cette planète : 🔥HQI Typique (deuxième cerveau / performance cognitive efficiente) 🔥De HPI atypique (premier cerveau / performance viscérale et cognitive / câblage diffèrent) 🔥(Même s’il n’y a pas encore d’études #scientifiques sur le sujet, car on ne sait pas constituer un échantillonnage valide et opposable, et même si c’est beaucoup plus facile d’ignorer le sujet pour rester dans « le récit collectif dominant ») ☘️🌟 Je serai ravi si vous avez des remarques et des contributions utiles à ce sujet délicat et sortir des stéréotypes confusants ont du mal à disparaitre ! Dites moi en commentaire quelles expériences les plus significatives avez-vous vécues ou vivez vous actuellement ? J’ai hâte de vous lire 😊  

#Ressources #Ressources Séminaire : L’éducation par la fiction: Peu de questions sociales, politiques, amoureuses ou philosophiques échappent aujourd'hui à l'exploration d'une série ou d'un roman. Qu'il s'agisse de la maladie ou de la rencontre de… @ActuaLitte

/30 Mai 2024 Propos sur l’envie de faire une thèse Avec mes 60 thésards/amis que j’ai accompagnés jusqu’à la soutenance de leur thèse (nouveau régime et état), j’ai eu l’occasion de percevoir les motivations qui déterminaient chacun à s’engager, s’accrocher ou abandonner (rare pour l’abandon, surtout maladie). Comme le précise Paul Ricoeur, il ne faut pas confondre la motivation,avec la cause, qui peut être d’origine multiple, consciente ou inconsciente, autonome ou en emprise. Il est clair, pour moi, que ma thèse de 3° cycle (1960-1967, les fameux 7 ans  dont je disais hier qu'ils n’ont servi à rien ! Bien sûr c’est faux. Le titre parle de lui-même : « l’adolsecence face aux parents et aux professeurs » ! Mon jury n’a rien dit sur ce titre ! soixante ans plus tard, je prends conscience que le « face » était l’expression de mon désir de comprendre la violence (positive ou négative) de ma propre crise d’adolescence.   (je viens d’être interrompu par mon médecin, qui m’explique l’effet d’arthrose pour mon pouce droit, la nécessité de telle pommade pour lutter contre les démangeaisons pour mes brase, etc. Mais il finit en évoquant mon isolement : « une étude récente montre que le cerveau a un besoin vital de « lien social » (j’aurais pu lui parler de la reliance !) Donc, ma première thèse m’a aidé comme une thérapie, par les contacts avec le millier d’adolescents ayant répondu à mon long questionnaire, où la 50taine d’entretiens individuels, à analyser la différence entre les motivations et les causes (réelles) des choix opérés dans la vie (y compris la façon d’évaluer les parents, les enseignants, ou la façon de réagir aux événements, la guerre d’Algérie en particulier). Grâce au lien social j’ai pu développer ma façon d’être, de vivre, d’aimer ou de détester. Le lien social (couple, famille, maîtres, expériences amicales..) intervient constamment, mais il faut différencier le lien et les connexions produitess (comme diraient les ISA ! Le rapport de la thèse d’Etat (1981) était aussi une façon de mieux comprendre les liens qui m’unissaient aux 5 membres du jury. Vous n’avez sans doute pas souvent lu de « rapports de thèse », je vous propose la copie que Didier Anzieu m’avait fait parvenir.  Tout cela pour dire que dans le lien social, la dimension identitaire ( le fait d’être évalué soi-même (en dehors de l’objet scientifique ou en liaison/opposition avec lui) est déterminante : qui êtes-vous à travers votre oeuvre, la façon dont vous l’avez écrite, dont vous nous la présentez ?… Lisez comment à travers le jugement qu’il fait de mon texte, chaque « juge » exprime aussi sa façon d’exprimer quels faits, quelles valeurs, sont importants pour lui dans la vie. On l’a vu à propos de Didier Anzieu, l’importance du corps (son livre sur « le corps à l’oeuvre » qu’il publia cette année-la !) A suivre Voir, ci-joint, les 10 pages du rapport de thèse (1981)