Post de Association des microbrasseries du Québec (AMBQ)

TIMBRER C'EST TIMBRÉ ! La Souche supporte l'AMBQ dans sa campagne ---- L'objectif de cette campagne est d’abolir l’obligation d’apposer un timbre de droit sur les bières vendues pour la consommation sur place (CSP), notamment dans les bars et les restaurants. Il est temps de moderniser nos lois et d’abolir cette règlementation archaïque datant de plus de 50 ans, sans valeur ajoutée, qui entraîne des irritants majeurs pour les microbrasseries : coûts, main-d’œuvre, temps, logistique et risques de poursuites. ----

La revue de presse du retail : Valdahon. L214 se mobilise devant une grande surface et dénonce les "pires pratiques d ...: L214 demande au géant breton de la grande distribution « d'exclure de ses approvisionnements les exploitations qui exercent les pires pratiques d ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

À quelques jours de la célébration de la fête de Tabaski, appelée fête des moutons, les marchés à bétail sont envahis par de nombreux fidèles musulmans. Ceux qui en ont les moyens, achètent un bélier ou un bœuf destiné à être immolé le jour de la fête. Une manière de perpétuer le sacrifice d’Abraham. Mais se procurer cet animal en question est un véritable parcours du combattant. Les prix ne sont pas à la portée de tous. Au marché à bétail de Belle vue, Camélia, dans la commune de Dixinn, les prix des varient d’un million et demi à 3 millions GNF, tandis qu’un bœuf peut valoir jusqu’à 9 millions GNF. Tel est le constat fait sur place par Guineematin.com à travers un de ses reporters.« Les moutons commencent à venir, mais les prix sont trop élevés. Il n’y a pas d’affluence de la clientèle. Les moutons maliens sont plus nombreux que ceux de la Guinée. Ceux qui quittent dans les villages pour envoyer les moutons en ville, ils souffrent aussi avec le problème de véhicules. Je ne vais pas mentir, c’est cher. Là où les gens partent pour envoyer ici, ils disent que c’est cher là-bas. Ici, un mouton peut aller jusqu’à 2 voire 3 millions de francs guinéens. Le mouton guinéen, il y en a pour 1 million 500 ou pour 2 millions GNF. #FêtedeTabaski #ChertéduMouton https://lnkd.in/eTNTFCvM

Pour souligner la semaine des entrepreneur.es, les services de police du Québec ont prévu les effectifs nécessaires pour saboter inutilement des PME parfaitement honnêtes et sans aucune malice. Nous avons cru être habitués de vivre avec l’interprétation absurde des lois et règlements concernant l'alcool. Ça fait maintenant 10 ans et 5 mois que les clients « bars et restaurants » approvisionnés par les microbrasseries du Québec sont harcelés par des inspections régulières des policiers qui cherchent des canettes et des bouteilles qui n’auraient pas le timbre « CSP ». Ce timbre indiquent que la microbrasserie productrice affirme avoir payé la taxe spéciale plus élevée …qui n’existe pourtant plus depuis juin 2014, date du dépôt du premier budget du gouvernement Couillard. Cette semaine, l’absurdité a pourtant franchi un pas de géant qui nous laisse bouche-bée; la même histoire, mais inversée. Cette semaine, dans tout le Québec, des policiers sont débarqués dans les épiceries avec vestes anti balle et pistolets à la hanche, pour une chasse à la canette timbrée pour le paiement de la taxe spéciale plus élevée qui n’existe plus depuis 10 ans et 5 mois et qui s’adressait à la bière vendue dans les bars et restaurants. Des bières ont été saisies. Les détaillants ont été menacés d’amendes salées et de perte de permis d’alcool. Certaines microbrasseries ont été entièrement écartées des tablettes des détaillants. Ce que nos clients détaillants et les sièges sociaux de ceux-ci retiennent de l’aventure et des propos des policiers cette semaine (qui en passant est la plus grosse semaine de commandes de bière de microbrasserie de l’année pour les approvisionnements du temps des fêtes), c’est que les microbrasseries sont des fournisseurs de trouble car plusieurs parmi celle-ci vendent de la "bière illégale", "de contrebande"… Pas facile à suivre quand on cherche un raisonnement logique non ? Retenez que personne ici n’a retenu, détourné ou enlevé la moindre somme aux gouvernements. Toutes les bières sont déclarées par les microbrasseries. Pour les gouvernements, toutes les déclarations passent indistinctement par la même case du même formulaire. Pour le Ministère du Revenu, il ne se passe rien du tout. ...Même si cette histoire était un crime inconnu du type « nul ne peut ignorer la loi », n'oublions pas qu'il n’y a aucune victime, aucune perte, aucune conséquence autre qu’un très important sal coup porté à des entreprises qui n’avaient aucune intention malveillante. Pourquoi ? Nous en étions rendus là dans les urgences à régler ? Les policiers se cherchent des activités ? Le Ministère du Revenu doit trouver des projets pour dépenser ? Le Ministère de la Justice doit remplir son calendrier ? Est-ce qu’on peut envoyer des idées de projets à tous ces gens-là?

🔥 Le mouton de l'Aïd : Le casse-tête de tous les Algériens 🔥 La polémique sur les prix du mouton de l’#Aïd_el_Adha s’installe en #Algérie. C’est un peu comme si chaque année, on se faisait un remake de la même mauvaise comédie. La viande de mouton coûte, selon les régions, entre 1800 et 2500 DA le kilo chez le boucher, mais les prix des moutons vivants eux, flirtent avec les étoiles. Entre 90 000 et 110 000 DA pour un mouton de 20/25 kilos, vraiment ? Les abats à 4500 DA le kilo ? Et les têtes de moutons et les tripes ensemble entre 6000 et 7000 DA? Vous êtes sérieux ? On dirait que nos éleveurs et marchands intermédiaires se sont inscrits à un cours de spéculation avancée : "Comment doubler, voire tripler les prix pendant l'Aïd et plumer les citoyens avec un sourire en coin". Chaque année, on en parle, on s’indigne, et puis quoi ? Rien. Absolument rien ne change. J’ai fait un tour dans plusieurs marchés à bestiaux, et franchement, c’est le même cirque. Certains commerçants voient dans chaque fête religieuse une opportunité de gonfler les prix de manière indécente, oubliant complètement les valeurs de miséricorde et d'entraide prônées par l'#Islam. La #religion comme fonds de commerce, vraiment ? Au fond, les vrais moutons, c’est nous. Il est grand temps d’agir : régulation et contrôle des prix par les autorités, promotion des coopératives d’éleveurs, et surtout, une bonne dose de sensibilisation sur les valeurs éthiques de cette fête. Si nous continuons ainsi, nous risquons de perdre le sens même de cette tradition. Le citoyen moyen et le smicard versent des larmes de sang à l'approche des fêtes religieuses, sans parler des autres événements comme les rentrées scolaires. La faute à qui ? Au gouvernement ? À l'Islam, ses obligations et ses traditions ? Ou tout simplement à ces profiteurs qui se prétendent musulmans ? Il fut un temps pas si lointain où même les plus démunis mangeaient de la viande le jour de l’Aïd. Aujourd'hui, ils se contentent d'en humer les odeurs de barbecue et autres plats qui s’échappent des maisons des plus chanceux. Gare à la poudrière des ventres affamés. Les conséquences pourraient être funestes pour tous. État et citoyens. Si nous ne nous penchons pas sérieusement sur cette problématique, elle prendra des proportions plus alarmantes chaque jour qui passe. Il est grand temps que ça change. On ne peut se contenter de solutions court-termistes et de replâtrages et autres ravalements de façades. Il y va de notre survie et celle de notre seule et unique patrie. La patience, la résilience et même la résignation ont des limites. Il arrivera un moment ou même en tant que bons #musulmans, on ne peut se contenter d'attendre la #justice divine et l'espoir d'une compensation divine au paradis.

🚨 FRAUDE 🚨 Un trafic de viande de cheval découvert en Europe 😨 Le journaliste d’investigation irlandais Conor Ryan a dévoilé dans sa dernière enquête que des chevaux de course, impropres à la consommation, entrent dans les abattoirs et dans la chaîne alimentaire avec le risque de finir dans des barquettes en supermarché, dans nos frigos ou dans les boucheries. Une fraude massive rendue possible par le manque de traçabilité et de transparence de l’industrie agroalimentaire. 🗨️ Pour mieux comprendre le sujet, on vous recommande l’interview par Reporterre de notre collègue Ingrid Kragl, spécialiste de la fraude alimentaire : https://lnkd.in/e4QEwZvu ▶️ Le documentaire “Horses — Making a Killing” est disponible (en anglais) en accès libre sur le site de RTE : https://lnkd.in/dN5MVgep ✍️ Pour mettre mettre fin à la fraude alimentaire, signez et partagez la pétition de foodwatch France : nous voulons plus de contrôles, savoir qui triche et quelles sont les sanctions ! https://lnkd.in/ecJGPArS

La revue de presse du retail : Des gambas écolos élevées à Saint-Herblain - Ouest-France: L'objectif est désormais de passer à la vitesse supérieure, pour pouvoir notamment fournir la grande distribution. ... grande ferme d'élevage de gambas ... ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #retail #distribution #commerce

« La maison Poilâne sort du pétrin ». Nous aurions aussi pu écrire, pour filer la métaphore boulangère🥖 🥖 🥖 , que Poilâne a mangé son pain noir. La réalité est que le groupe de boulangerie artisanale (dont les trois quarts de l’activité sont réalisés en BtoB) vient, selon nos informations, d’obtenir la validation d’un plan de sauvegarde qui lui donne de l’air après plusieurs années compliqués. L’entreprise, célèbre pour son pain au levain 🍞 , prévoit aussi des diversifications pour développer son activité, dans un marché de la boulangerie moyen / haut de gamme devenu très concurrentiel. Nos révélations (avec les éclairages de Bernard Boutboul) sont à lire ici , dans l'Informé :

On faisait aussi facilement appel aux #repas à emporter dans l'Empire Aztèque. Des étals de marchés proposaient des #plats faciles à consommer pendant que la population faisait ce qu'elle avait à faire. Parmi les plats les plus répandus on retrouve les tamales, avec plusieurs variantes possibles: dinde, lapin, poisson, œuf ou fruits. https://lnkd.in/eQfCH5e5