✊🏼 Ce mercredi 11 septembre, l’@ANEMF sort son indicateur de la #rentrée2024. Entre les frais de vie courante de plus en plus élevés, et le prix du matériel pédagogique qui ne cesse d’augmenter, les chiffres sont alarmants et mettent en danger la formation de nos futurs médecins. 🔎 Le bilan est sombre pour les externes : 4516,56 € pour démarrer leur année. Une augmentation de 2,88 %, mais surtout un danger pour l’éducation médicale et le système de santé. #ICR2024 📚 Livres, matériel, stages : les frais explosent alors que les étudiants en médecine gagnent à peine 2,76€ de l’heure en tant qu'externes. Un effort surhumain, pour un salaire dérisoire. #précaritéétudiante ‼️ Les externes en #médecine jouent un rôle essentiel dans les hôpitaux : présence en service, suivi des patients, soutien aux équipes, pourtant les rémunérations restent toujours aussi basses. Un paradoxe dans une profession cruciale pour notre système de santé. ✊🏼 Dans ce contexte, l’ANEMF défend une prise de position forte, et un changement de paradigme : mettre fin au mépris que subissent les étudiants en médecine. ➡️ Bourses sur 12 mois ➡️ Revalorisation salariale ➡️ Accès à la prime d’activité Nos étudiants en médecine méritent mieux. Il est temps de reconnaître leur engagement et leur dévouement, et de leur donner les moyens de réussir sans s'épuiser financièrement. Pour un avenir plus juste pour nos soignants. Défendons nos études, défendons notre santé. Retrouvez l'intégralité du Dossier de Presse sur notre site internet. #ICR2024 #Rentrée2024 #Précarité
Post de ANEMF - Association Nationale des Etudiants en Médecine de France
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Quel honneur d'avoir contribué à la publication de l'indicateur du coût de la #rentrée2024 de l'ANEMF - Association Nationale des Etudiants en Médecine de France ! Le constat est alarmant : la hausse continue des frais de vie et d'études pour les étudiants en #médecine doit nous tirer le signal d'alarme. Avec seulement 2,76 € de rémunération horaire pour un externe et des frais de vie atteignant en moyenne 1 103 € par mois, comment peut-on encore douter de l'existence de la #précaritéétudiante ? Et cela sans parler des 4 516 € de frais supplémentaires nécessaires pour commencer l'externat. Il est clair que des mesures doivent être prises pour éviter la privatisation progressive de nos études. 💡 Pendant que certains vantent la méritocratie dans les études de #santé, notre dossier dépeint une autre réalité. Les organismes de préparation privés en #PASS et #LAS, nés de la pression et du désespoir des étudiants désireux d'entrer dans une des filières de santé, vendent leurs services à des tarifs s'élevant à 5 466 € en région et 6 818 € en Île-de-France (en moyenne, pour le PASS). 📢 Face à ces inégalités, l'ANEMF soutient les tutorats : par et pour les étudiants, ils proposent des alternatives gratuites ou à moindre coût. 💡 Mais le problème ne s'arrête pas là : la préparation du concours du deuxième cycle des études de médecine demande l'achat de référentiels essentiels, dont le coût s'élève à 1 468 €. Ces ressources, indispensables pour les étudiants, représentent, avec une rémunération dérisoire de 2,76 € par heure, 15 semaines de travail à 35 heures pour les financer. Sachant que les frais mensuels sont déjà 3 à 4 fois supérieurs au salaire mensuel des externes, comment résoudre cette équation ? 📢 L'ANEMF milite pour un référentiel numérique unique et gratuit pour tous les étudiants en médecine. Le système de santé de demain est construit par les étudiants d'aujourd'hui. Ensemble, luttons pour l'accessibilité du cursus médical et une meilleure qualité de vie étudiante. Défendons nos études, défendons notre santé !
✊🏼 Ce mercredi 11 septembre, l’@ANEMF sort son indicateur de la #rentrée2024. Entre les frais de vie courante de plus en plus élevés, et le prix du matériel pédagogique qui ne cesse d’augmenter, les chiffres sont alarmants et mettent en danger la formation de nos futurs médecins. 🔎 Le bilan est sombre pour les externes : 4516,56 € pour démarrer leur année. Une augmentation de 2,88 %, mais surtout un danger pour l’éducation médicale et le système de santé. #ICR2024 📚 Livres, matériel, stages : les frais explosent alors que les étudiants en médecine gagnent à peine 2,76€ de l’heure en tant qu'externes. Un effort surhumain, pour un salaire dérisoire. #précaritéétudiante ‼️ Les externes en #médecine jouent un rôle essentiel dans les hôpitaux : présence en service, suivi des patients, soutien aux équipes, pourtant les rémunérations restent toujours aussi basses. Un paradoxe dans une profession cruciale pour notre système de santé. ✊🏼 Dans ce contexte, l’ANEMF défend une prise de position forte, et un changement de paradigme : mettre fin au mépris que subissent les étudiants en médecine. ➡️ Bourses sur 12 mois ➡️ Revalorisation salariale ➡️ Accès à la prime d’activité Nos étudiants en médecine méritent mieux. Il est temps de reconnaître leur engagement et leur dévouement, et de leur donner les moyens de réussir sans s'épuiser financièrement. Pour un avenir plus juste pour nos soignants. Défendons nos études, défendons notre santé. Retrouvez l'intégralité du Dossier de Presse sur notre site internet. #ICR2024 #Rentrée2024 #Précarité
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💸 Le coût de la rentrée en médecine explose tous les (tristes) records ! 4516.56€ à payer lorsque le salaire horaire d'un externe est de 2,76€ brut/h... Il est inacceptable de devoir choisir entre se nourrir ou s'instruire, des mesures concrètes sont attendues, avec, par exemple : ➡️ Des bourses sur critères sociaux sur 12 mois (les étudiants étant en stage pendant l'été, il est inconcevable que les bourses s'arrêtent pendant leurs vacances inexistantes) ➡️ Un simple alignement des rémunérations avec celles des autres étudiants stagiaires (4.35€/h, est-ce vraiment trop demander ?) ➡️ L'accessibilité des référentiels de cours indispensables à la bonne formation des médecins de demain (actuellement coûtant + de 1400€ de frais cachés) Le système de santé français mérite mieux !
✊🏼 Ce mercredi 11 septembre, l’@ANEMF sort son indicateur de la #rentrée2024. Entre les frais de vie courante de plus en plus élevés, et le prix du matériel pédagogique qui ne cesse d’augmenter, les chiffres sont alarmants et mettent en danger la formation de nos futurs médecins. 🔎 Le bilan est sombre pour les externes : 4516,56 € pour démarrer leur année. Une augmentation de 2,88 %, mais surtout un danger pour l’éducation médicale et le système de santé. #ICR2024 📚 Livres, matériel, stages : les frais explosent alors que les étudiants en médecine gagnent à peine 2,76€ de l’heure en tant qu'externes. Un effort surhumain, pour un salaire dérisoire. #précaritéétudiante ‼️ Les externes en #médecine jouent un rôle essentiel dans les hôpitaux : présence en service, suivi des patients, soutien aux équipes, pourtant les rémunérations restent toujours aussi basses. Un paradoxe dans une profession cruciale pour notre système de santé. ✊🏼 Dans ce contexte, l’ANEMF défend une prise de position forte, et un changement de paradigme : mettre fin au mépris que subissent les étudiants en médecine. ➡️ Bourses sur 12 mois ➡️ Revalorisation salariale ➡️ Accès à la prime d’activité Nos étudiants en médecine méritent mieux. Il est temps de reconnaître leur engagement et leur dévouement, et de leur donner les moyens de réussir sans s'épuiser financièrement. Pour un avenir plus juste pour nos soignants. Défendons nos études, défendons notre santé. Retrouvez l'intégralité du Dossier de Presse sur notre site internet. #ICR2024 #Rentrée2024 #Précarité
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Dans la santé 🥂 c est pas gagné 🏆 Quoi que 🤫 Le malheur des uns fait le bonheur des autres ???? Il semble y avoir des opportunités intéressantes pour certains de nos organismes, avec les groupes privés de la e.santé …. Les affaires sont les affaires…..🏆 Des partenariats lucratifs semblent se mettre en place 🤫🙄🙄 Abonnements, malettes de téléconsultations formations, logiciels, applications….. Un petit marché fort sympathique…🫣🤫et de l argent 💰 pour les grands, mais 😪 Pas pour tous …..😡 Il faudra des petits bras low-cost demain pour pallier à ce manque de médecins 🥼 Les infirmiers libéraux seront donc favorablement élus pour jouer les bras et les yeux 👀 de ce medecin à l autre bout de la planète 🪐….. Des tarifications annoncées 💶défiant toutes concurrences du discount ….12 euros 💶 brut le cachet 🤑au maximum pour cet infirmier 🧑⚕️ réalisant la E.sante 🥜 Malheureusement , 😰pour les infirmiers libéraux écrasés par les charges fixes , écrasés par de tels tarifs , pas sûr que les petites mains sortent grandes vainqueurs de ces splendides nouveautés 🫣 La re ingenuieurie express, la fameuse montée en compétence, cache surtout une incapacité des décideurs à mettre en face des populations le bon effectif de medecin , mais surtout l envie de faire baisser les coûts du monde du soin et peut être un peu de flatterie à bon prix pour l infirmier de demain ?? L infirmier va donc devoir faire évoluer ses pratiques pour rester compétitif, s adapter se former à la E.santé et accepter de baisser encore ses revenus ou augmenter à nouveau ses cadences….😡😡😡 L infirmier n est pas dupe , et , est tout à fait en capacité de se saisir des actes à hautes valeurs intellectuelles 🧐 mais au tarif en dessous du SMIC français pas sûr qu il fasse longtemps marcher sa boutique en black friday permanent…. Quand à ses soins du rôle propre sur la dépendance pas sûr non plus que les décideurs trouvent des bras pour moins chers vu les vocations de plus en plus inexistantes sur le marché du travail.. L infirmier pourra toujours monter 🫠mais risque très vite de chuter vu la reconnaissance financière spectaculaire des décideurs….. Ni dindon…ni couillon…ni trouffion .. Un infirmier sait compter…. Notre plus value apparaîtra au grand jour quand 58 % auront jetés la blouse. Reconnaissez nos talents ou ils disparaîtront. Ensemble soignons notre avenir. Le collectif des Collectif Infirmiers Libéraux En Colère
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Parmi les secteurs particulièrement en tension et sujets à d’importantes difficultés de renouvellement des effectifs, celui de la santé présente des besoins de recrutements toujours plus importants. Et, comme le révèle une étude menée par Transitions Pro Nouvelle-Aquitaine, les métiers de la santé se révèlent particulièrement intéressants en matière de…
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Parmi les secteurs particulièrement en tension et sujets à d’importantes difficultés de renouvellement des effectifs, celui de la santé présente des besoins de recrutements toujours plus importants. Et, comme le révèle une étude menée par Transitions Pro Nouvelle-Aquitaine, les métiers de la santé se révèlent particulièrement intéressants en matière de…
Reconversion : avez-vous pensé aux métiers de la santé ? - Rebondir
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Merci pour cet exposé très interressant. Je rajouterai 2 point fondamentaux pour bien cerner cette difference entre medecine salariée et dite liberale: 1er point la medecine liberale, economiquement parlant, n existe pas car vous ne pouvez pas reporter vos coûts d exploitation sur vos honoraires. Ceux si sont reglementés, fixés par la convention avec la cpam. Pour que cette medecine devienne vraiment economiquement liberale, il faudrait que ce les honoraires soient totalement libres (déconventionnement) et que ces honoraires soient soumis à la TVA, ce qui n est pas le cas. C est pourquoi le terme de medecine "Independante" me parait plus juste. 2e difference majeure: un medecin salarié n investit pas 1 euro dans son lieu de travail: ni pour son aquisition ni pour son fonctionnemment. Il n investit pas non plus dans ses outils de travail. Ce qui n est pas le cas du medecin dit liberal qui prends tout à sa charge, charges en deduction de son revenu. Heureusement que certaine societé sont là pour nous accompagner dans ce monde liberal comme Ipsum-achats. Que pensez- vous de ces 2 remarques?
Quelques distinctions entre une activité libérale et une activité salariée qu'il faut intégrer avant de se lancer : → C'est une liberté : il y a une multitude de façon d'exercer en libéral. Selon le type d'exercice individuel ou collectif ; selon le statut de la société : SELARL, BNC, SCP, SDF, SCM, collab, etc. ; en fonction des spécificités qui sont mentionnées dans les statuts / pactes d'associés. Même avec un exercice varié, il n'y a que deux façons d'être salarié : en CDD ou en CDI, toutes les spécificités sont inscrites dans les termes du contrat (lorsqu'il existe). → Une activité libérale est potentiellement plus rémunératrice qu'une activité salariée. Mais c'est essentiellement parce que le médecin devient son propre patron : pour que ce soit une réalité c'est à la condition de gérer correctement son entreprise médicale ( = gérer couverture santé/parentalité/retraite, ses finances, ses investissements, etc.) → L'activité libérale nécessite de faire son métier avec autant d'exigence, mais une responsabilité plus directe : l'erreur, l'aléa, l'imperfection sont possibles mais ils sont alors à assumer personnellement. → Pour les spécialités qui dépendent d'établissements privés (chirurgie, obstétrie, certaines spécialités médicales) : il faut bien mesurer les perspectives d'évolution de ces établissements. Un certain nombre d'entre eux pourrait réduire (euphémisme) ou modifier ses activités dans les prochaines années. → Il n'y a pas de chef de service en libéral : c'est trivial mais ça veut dire qu'il faut porter une attention particulière à l'organisation de l'équipe qu'on rejoint. Une équipe joviale et bienveillante mais désorganisée peut-être un problème à moyen/long terme. #MédecineLibérale #Installation #SELARL #BNC #MicroBNC #Comptabilité #Médecin #Liberal #CPAM #URSSAF #CARMF #Gestion
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Le système de santé français s’effondre sous le poids des pseudos réformes "d'améliorations" ainsi que des coupes budgétaires, et les médecins fuient dans le déni des derniers hypocrites ministres de la santé adeptes du "tout va très bien madame la marquise". 1 130 départs en 2022, soit une hausse de 47 % par rapport à 2021, témoignent de l’ampleur du malaise. On attend les chiffres de 2023 ! Les soignants quittent une France qui les pousse à bout : bureaucratie écrasante, salaires plafonnés, mépris en 13eme mois et impôts qui ne cessent d’augmenter sous Macron, bientôt Barnier. Face à cela, des destinations comme le Québec deviennent irrésistibles. Là-bas, 27 000 postes sont à pourvoir d’ici 2026, avec des salaires jusqu’à 50 % plus élevés qu’en France, pour une charge de travail bien plus raisonnable. Un médecin québécois peut espérer gagner entre 200 000 et 300 000 euros par an. Ce n’est pas seulement la rémunération qui fait la différence, mais aussi un environnement de travail plus sain, où la bureaucratie est réduite et où la pression quotidienne sur les soignants est moindre. En France, les hôpitaux sont au bord de la rupture....depuis si longtemps qu'on nanalise les drames qui s'y jouent chaque jours. Les urgences ferment les unes après les autres, les médecins hospitaliers sont épuisés par des gardes interminables, et les libéraux croulent sous les tâches administratives. Dans ce chaos, les déserts médicaux s’étendent, privant des millions de Français d’un accès adéquat aux soins. Les "réformes" Macronisantes, notamment la loi Rist, qui impose des plafonnements pour les intérimaires hospitaliers, n’ont fait qu’amplifier le malaise avec des conséquences dramatiques Le prochain gouvernement, sous la houlette de Michel Barnier, semble déterminé à suivre la même trajectoire : augmenter les impôts pour combler les déficits et continuer à réaliser des économies sur la santé. Les médecins le savent : rester en France signifie sacrifier leur qualité de vie et leur bien-être professionnel. Pendant ce temps, des pays comme le Québec, qui valorisent les soignants, leur offrent des opportunités inégalées pour exercer leur métier dans des conditions dignes. Exercer à l’étranger devient plus qu’un choix professionnel, c’est une question de survie pour les médecins français. Et augmenter le numerus clausus en continuant à mépriser le travail et le rôle essentiel des soignants n'apportera aucune solution si la fuite des blouses blanches continue. Tant que la politique ne remettra pas la santé publique au cœur de ses priorités, la France continuera de perdre ses meilleurs talents, accélérant ainsi l’effondrement de son propre système de santé. Ministère de la Santé Cabinet du Premier ministre Geneviève Darrieussecq Conseil national de l'Ordre des médecins Médecins pour demain UFML Syndicat Fédération hospitalière de France (FHF) Fédération de l'Hospitalisation Privée (FHP) InterSyndicale Nationale des Internes (ISNI) Yannick NEUDER
Le Québec recrute 27 000 professionnels de santé d’ici à 2026, soignants français « appréciés » !
lequotidiendumedecin.fr
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Les mesures de ces dernières années ne vont pas dans le bon sens , nous subissons une médecine à bas coût depuis Maastricht, enveloppe sociale de 3%, T2A, ouverture de l'exercice privé avec du personnel et du matériel public. Nous sommes au bout de cette doctrine. Nos Soignants, Médicaux sociaux, Personnels Sociaux sont par endroit à bout. Partage du plateau technique publique, privé ou le rentables va sur un secteur au détriment de l’autre qui n’a bien souvent que des activités moins lucratives… Mais encore et toujours on utilise le bâton symbolisé par des textes de loi contraire aux intérêts des professionnels et surtout des patients et autres usagers. De nos jours même le secteur privé semble être impacté par les économies, peut être pour cela qu’ils semblent motivé sur des textes de loi et décrets qui finalement n’a qu’un but, la baisse des salaires des “petits personnels” La France touche bientôt le fond, ce n'est pas un conflit mondial qui permettra d'effacer des bilans déplorables. Adsps soutient l'ensemble des professionnels de la Santé sur l'ensemble des branches professionnelles. Nous en sommes plus à faire le bilan de ce qui ne fonctionne pas, trop long, plutôt que sur ce qui fonctionne. N’hésitez pas à mettre en commentaire, les endroits où tout va bien dans la Santé. Adsps.fr
médecin (urgentiste, d'unité Covid, généraliste, de croisière), consultant santé, chef d'entreprises....
Le système de santé français s’effondre sous le poids des pseudos réformes "d'améliorations" ainsi que des coupes budgétaires, et les médecins fuient dans le déni des derniers hypocrites ministres de la santé adeptes du "tout va très bien madame la marquise". 1 130 départs en 2022, soit une hausse de 47 % par rapport à 2021, témoignent de l’ampleur du malaise. On attend les chiffres de 2023 ! Les soignants quittent une France qui les pousse à bout : bureaucratie écrasante, salaires plafonnés, mépris en 13eme mois et impôts qui ne cessent d’augmenter sous Macron, bientôt Barnier. Face à cela, des destinations comme le Québec deviennent irrésistibles. Là-bas, 27 000 postes sont à pourvoir d’ici 2026, avec des salaires jusqu’à 50 % plus élevés qu’en France, pour une charge de travail bien plus raisonnable. Un médecin québécois peut espérer gagner entre 200 000 et 300 000 euros par an. Ce n’est pas seulement la rémunération qui fait la différence, mais aussi un environnement de travail plus sain, où la bureaucratie est réduite et où la pression quotidienne sur les soignants est moindre. En France, les hôpitaux sont au bord de la rupture....depuis si longtemps qu'on nanalise les drames qui s'y jouent chaque jours. Les urgences ferment les unes après les autres, les médecins hospitaliers sont épuisés par des gardes interminables, et les libéraux croulent sous les tâches administratives. Dans ce chaos, les déserts médicaux s’étendent, privant des millions de Français d’un accès adéquat aux soins. Les "réformes" Macronisantes, notamment la loi Rist, qui impose des plafonnements pour les intérimaires hospitaliers, n’ont fait qu’amplifier le malaise avec des conséquences dramatiques Le prochain gouvernement, sous la houlette de Michel Barnier, semble déterminé à suivre la même trajectoire : augmenter les impôts pour combler les déficits et continuer à réaliser des économies sur la santé. Les médecins le savent : rester en France signifie sacrifier leur qualité de vie et leur bien-être professionnel. Pendant ce temps, des pays comme le Québec, qui valorisent les soignants, leur offrent des opportunités inégalées pour exercer leur métier dans des conditions dignes. Exercer à l’étranger devient plus qu’un choix professionnel, c’est une question de survie pour les médecins français. Et augmenter le numerus clausus en continuant à mépriser le travail et le rôle essentiel des soignants n'apportera aucune solution si la fuite des blouses blanches continue. Tant que la politique ne remettra pas la santé publique au cœur de ses priorités, la France continuera de perdre ses meilleurs talents, accélérant ainsi l’effondrement de son propre système de santé. Ministère de la Santé Cabinet du Premier ministre Geneviève Darrieussecq Conseil national de l'Ordre des médecins Médecins pour demain UFML Syndicat Fédération hospitalière de France (FHF) Fédération de l'Hospitalisation Privée (FHP) InterSyndicale Nationale des Internes (ISNI) Yannick NEUDER
Le Québec recrute 27 000 professionnels de santé d’ici à 2026, soignants français « appréciés » !
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Sécurisation des Soins, la réforme est enfin validée ! À partir du 1er juillet 2024, une nouvelle réforme du système de soins sera mise en place. Cette réforme met fin à la guerre déloyale entre les établissements de santé et les entreprises de travail temporaire. Un choix clair a été fait en faveur de l'apprentissage et de la maîtrise du métier. Elle incite les jeunes professionnels à se concentrer sur le perfectionnement de leurs compétences, plutôt que sur le rendement et l'idée de "travailler à sa guise". C'est essentiel pour garantir des soins de qualité et un environnement de travail plus équitable. L'obtention d'un diplôme de soignant ne fait pas tout. Un jeune diplômé est tel un jeune conducteur : il sait rouler, mais pas encore conduire. Il faut du temps et une certaine stabilité pour acquérir de l'expérience et offrir des soins de qualité. Espérons que les bénéfices de cette réforme se manifesteront rapidement, dans les jours et mois à venir pour nous, établissement de santé. https://lnkd.in/eppsApMf
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[Secteur porteur] Parmi les secteurs particulièrement en tension et sujets à d’importantes difficultés de renouvellement des effectifs, celui de la santé présente des besoins de recrutements toujours plus importants. Et, comme le révèle une étude menée par Transitions Pro Nouvelle-Aquitaine, les métiers de la santé se révèlent particulièrement intéressants en matière de reconversion. A lire ici : https://lnkd.in/e_xW_-vy #sante #reconversion #changerdevie #formation #changedejob #recherchedemploi
Reconversion : avez-vous pensé aux métiers de la santé ?
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