Post de Anne Claude LAMUR-BAUDREU

✋🏾25 novembre : Journée internationale pour l'élimination des violences faites aux femmes.✋🏼 Chaque année, cette journée nous rappelle une réalité sombre et urgente : les violences sexistes et sexuelles continuent de briser des vies. En France, une femme meurt tous les trois jours sous les coups de son partenaire ou ex-partenaire. Ces chiffres, insupportables, illustrent un combat essentiel : protéger, soutenir, et agir pour mettre fin à ces violences.   💬 Lors de Be Bold Now Paris, Vigdis Morisse - Herrera, survivante de violences conjugales et fondatrice d’Opale.care, et Migueline Rosset, avocate et médiatrice spécialisée en droit de la famille, ont livré des interventions poignantes et essentielles. Avec force et expertise, elles ont exposé les rouages des violences conjugales et des moyens concrets pour agir. De l'accompagnement des victimes à la réforme des dispositifs juridiques, en passant par la mobilisation collective, elles ont appelé à une action déterminée et sans compromis. Leur message est clair : le changement est impératif, et il commence maintenant, à tous les niveaux.   🔎En France, 1 femme sur 6 est victime de violences conjugales. Et pourtant, l'écoute, la sensibilisation et les solutions adaptées manquent encore trop souvent. Il est temps d'agir, car chaque geste compte : signaler, accompagner, et surtout, ne pas détourner le regard. C'est pourquoi Vigdis a créé Opale.care, une plateforme de diagnostic des violences conjugales qui a pour objectif de prévenir ces violences et d'accompagner logistiquement, juridiquement et psychologiquement les victimes afin de limiter les conséquences sur leurs vies.    👉Pour (re)découvrir l'intervention complète de Vigdis Morisse - Herrera et Migueline Rosset en vidéo, c'est ici : https://lnkd.in/esFJ_wKh   Chaque voix compte, chaque action est un pas vers la justice, rejoignez-nous dans ce combat

📢 Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes : des dispositifs renforcés en Île-de-France En ce 25 novembre, l'Agence Régionale de Santé (ARS) Île-de-France réaffirme son engagement dans la lutte contre les violences faites aux femmes. Ces violences, qui touchent une Francilienne sur dix, ont des conséquences profondes sur la santé physique, mentale et sociale des victimes. Des actions concrètes sont mises en place dans la région pour protéger et accompagner les victimes : ✅ La création de 13 dispositifs d’accueil pour améliorer le parcours des femmes victimes de violences. ✅ Le renforcement des partenariats avec des associations et acteurs locaux pour un accompagnement global. ✅ Un guide spécifique pour les professionnels de santé afin de repérer les signes de violences et orienter les victimes. ✅ Un projet « Article 51 » pour structurer un parcours de soin personnalisé et multidisciplinaire pour les femmes majeures victimes de mutilations sexuelles féminines. ✅ Le déploiement d’outils pour sensibiliser et mieux informer les victimes sur leurs droits et les ressources disponibles. Réparons l'Excision Dr Abramowicz, Cécile Lambert, Zinna Bessa, Jean MALIBERT

Aujourd’hui 25 Novembre : journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes Le SFCD, acteur engagé contre les violences intrafamiliales. Agissons, réagissons ! Ensemble, faisons bouger les lignes 💪🏼 Le SFCD compte parmi les acteurs forts dans la lutte contre les violences intrafamiliales. Depuis 2012, aux côtés de la MIPROF, il a œuvré pour sensibiliser et former les équipes dentaires au repérage et à la prise en charge des victimes de violence. Les cabinets dentaires sont les premiers maillons de détection des violences faites aux femmes : 70% des coups sont portés au visage, sur la bouche et les dents. Parce que ces violences sont encore une actualité, continuons de bouger les lignes. La honte doit changer de camp ! Pour que les violences ne soient plus une fatalité, nos armes sont le savoir, l’expertise et les outils. 12 ans de lutte, retrouvez notre historique sur notre site. #journeeinternationaledeluttecontrelesviolencesfaitesauxfemmes #violencesfaitesauxfemmes #violencesintrafamiliales #sfcd #chirurgiendentiste

#ToutesetTousEgaux | Agissons ensemble pour mettre fin aux violences faites aux femmes 🙅 Aujourd'hui, en cette Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, l'ARS Auvergne-Rhône-Alpes réaffirme son engagement à lutter contre toutes les formes de violences faites aux femmes dans notre région. ⛔ Les violences faites aux femmes sont un fléau qui touche toutes les sphères de la société et n’épargnent ni âge, ni milieu social, ni origine. Au cours de sa vie, 1 femme sur 4 est victime de violences physiques ou sexuelles souvent accompagnées de violences verbales, psychologiques et économiques. 🛡️ Le rôle de l'ensemble des acteurs publics et de la santé est essentiel pour briser le silence et offrir un soutien adapté aux victimes. Chacun a un rôle à jouer pour protéger les femmes et leur permettre de retrouver leur dignité et leur sécurité. 🚀 L'ARS Auvergne-Rhône-Alpes soutient les dispositifs de prévention, les actions de sensibilisation, et les structures d’accueil pour les victimes et finance notamment le déploiement des Maisons des femmes à travers le territoire. Deux nouvelles Maisons des femmes ont été inaugurées ce jour à Clermont-Ferrand et à Lyon, portées par le CHU de Clermont-Ferrand et les Hospices Civils de Lyon - HCL et bénéficiant chacune d'un soutien financier de l'ARS. Elles offrent une réponse coordonnée pour la mise en place d'un parcours de soins personnalisé et un suivi pluridisciplinaire auprès des femmes, victimes de violences en Auvergne-Rhône-Alpes qui compte désormais 9 structures de ce type. 💬 Nous encourageons toutes les femmes à oser parler, à demander de l’aide, et à se tourner vers les ressources disponibles. Des lignes d’écoute comme le 3919 ou des associations spécialisées offrent un soutien précieux dans l'urgence.

#DroitsDesFemmes 👩 l Le 8 mars marque la date de la journée internationale des droits des femmes. Dans ce contexte, l'ARS Bretagne rappelle que les violences faites aux femmes sont une priorité du Projet régional de santé #Bretagne 2023-2028. Auprès de la Direction régionale aux droits des femmes et à l'égalité femmes-hommes (#DRDFE) et de ses partenaires, l'Agence s'inscrit également dans un dispositif global de lutte contre les violences, qui comprend : ✅ une offre hospitalière de prise en charge des violences : dispositifs départementaux pour la prise en charge sanitaire des femmes victimes de violences, unités pédiatriques (UAPED) pour la prise en charge des enfants en danger, etc. ; ✅ une offre « ressources et expertise » : création d’un répertoire en ligne "Stopviolences Bretagne" à destination des professionnels amenés à prendre en charge des victimes de violences et qui recense et cartographie toutes les ressources sur un territoire donné ; mise en place de référents violences, prise en charge des auteurs de violences… ; ✅ un volet contractualisation avec les partenaires ; ✅ un engagement sur la prévention et un suivi territorial. En 2024, l'ARS Bretagne poursuivra ses priorités et engagements en matière de violence faites aux femmes : consolidation des dispositifs départementaux dédiés à la prise en charge des femmes victimes de violences, promotion du répertoire en ligne "Stopviolences Bretagne", information sur Centre Ressource Intimagir Bretagne (qui s’adresse notamment aux femmes en situation de handicap), ... 💪

🔴 les chiffres des violences faites aux femmes restent alarmants. Les violences intrafamiliales brisent des vies et marquent durablement les enfants. Pourtant, les progrès pour mieux protéger les victimes restent limités. La réalité est simple : les systèmes actuels ne protègent pas assez les victimes. Chez KidsToo, nous nous engageons à : 🔹 Analyser les pratiques actuelles en cas de violence domestique, notamment en matière de droit de visite, d’autorité parentale ainsi que les disparités entre cantons. 🔹 Assurer un accès aux données collectées tout en identifiant les statistiques manquantes. 🔹 Orienter les politiques publiques et plaider pour des lois et des mesures renforcées qui protègent efficacement les femmes et les enfants contre les auteurs, en prenant en compte la notion du contrôle coercitif et son impact sur les enfants. 🔹 Former les acteurs du système judiciaire pour mieux comprendre et traiter les cas de violence domestique. ✨ Nous remercions chaleureusement nos partenaires pour leurs soutiens précieux dans nos projets en cours et réalisés, qui nous permettent de faire avancer notre mission. Social Insight – Forschung, Evaluation, Beratung University of Applied Sciences and Arts of Southern Switzerland ZHAW Zürcher Hochschule für Angewandte Wissenschaften BFH Soziale Arbeit Association Belles Pages décadréE Nous Prod

⚠️ En France, toutes les 3 minutes, un enfant est victime d’inceste, de viol ou d’agression sexuelle. En septembre dernier, le gouvernement lançait un plan interministériel de lutte contre les violences faites aux enfants 2023-2027 avec sa campagne choc #BrisonsLeSilence 📣 Le ministère des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Égalité entre les femmes et les hommes relance aujourd’hui cette campagne de sensibilisation sur les violences sexuelles faites aux enfants du 28 octobre au 20 novembre 2024. 🗣 Nous avons contribué en tant que consultants à la création de cette campagne, en particulier sur la mise en place des contenus et en demandant à ce que la campagne ne soit pas genrée et mette aussi en avant des garçons victimes. Filles comme garçons, de tout âge et de tout milieu social, peuvent être victimes de violences sexuelles. Cette campagne doit être diffusée et partagée au maximum, nous comptons sur vous ! 🚨 Si vous êtes victime ou si vous soupçonnez une situation d’enfant en danger, contactez le 119. 👉 Pour en savoir plus sur la campagne et télécharger le kit de communication : https://lnkd.in/eiAvxVKH Sebastien Boueilh Ministère des Solidarités 

#Violences 👩 l #25novembre - journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes (et leurs enfants). Cette journée intègre toutes les formes de #violencessexistesetsexuelles que sont les violences au sein du couple, les violences sexuelles, les mutilations sexuelles féminines, les mariages forcés et la prostitution. 👉Ces dernières années, dans le prolongement du « Grenelle 2019 » consacré aux violences faites aux #femmes, cette thématique a pris une place croissante dans l’action et les financements de l’ARS Bretagne. Elle est inscrite dans les priorités du dernier Projet Régional de Santé 2023-2028. ✅En région, l’ARS Bretagne a contribué à la mise en place d’un dispositif global de lutte contre les violences qui comprend : ▪️ une offre hospitalière de prise en charge des violences ; ▪️ une offre « ressources et expertise », avec notamment la création du répertoire en ligne « stopviolencesbretagne.fr » pour les professionnels ; ▪️ un volet contractualisation avec les partenaires ; ▪️ un engagement sur la prévention. 🤝La mise en œuvre des actions se fait en étroite collaboration avec la Direction régionale aux droits des femmes et à l'égalité femmes-hommes (DRDFE), mais aussi avec les partenaires : Rectorat, Justice, collectivités territoriales, établissements de santé, associations, structures de prévention et de prise en charge ℹ️ En savoir plus : https://bit.ly/3CG0mrD

Moi, je fais partie de ceux qui ne comprendront jamais l’inceste. Je ne comprendrai jamais comment un adulte, un adolescent, un proche ou même un parent peut s’en prendre à un enfant, ce petit être innocent qui fait confiance, qui a besoin de protection, de bienveillance et d’amour. Comment peut-on franchir cette barrière, cette limite fondamentale, et abîmer une âme si fragile ? Je ne comprendrai jamais comment quelqu’un peut arracher à un enfant son innocence, voler ses rêves et lui imposer un fardeau qu’il portera toute sa vie. Ce qu’on fait à un enfant, il le porte en silence, il le garde en lui, bien souvent sans même comprendre pourquoi il ressent cette douleur sourde, ce poids qui l’empêche d’avancer, de s’épanouir. Ce que subit un enfant victime d’abus, il en gardera les traces jusqu’à l’âge adulte, parfois sans même avoir les mots pour décrire ce mal-être, cette peur, cette méfiance envers le monde et envers lui-même. Comment peut-on condamner un enfant à cette lutte intérieure, à cette solitude qui ronge de l’intérieur, à cette perte d’insouciance et de joie ? Comment peut-on le priver de la possibilité de grandir sereinement, de se construire librement, de vivre pleinement ? La souffrance causée par de tels actes est incommensurable, les séquelles invisibles, mais elles sont là, gravées au plus profond de l’âme. Parfois, ces enfants deviennent des adultes qui cherchent désespérément des réponses, qui tentent de réparer ce qui a été brisé, de recoller les morceaux de leur enfance. Parfois, la douleur devient trop lourde et ils se perdent dans des chemins sombres. Je comprends la souffrance, mais jamais je ne comprendrai comment on peut s’en prendre à un enfant. J’écris ces mots pour rappeler que ce combat, ce traumatisme, ne devrait jamais exister. Aucun enfant ne devrait avoir à survivre à cela. Aucun enfant ne devrait porter ce poids.🌟♥️

🟣En 2022, 118 femmes ont été tuées par leur partenaire ou ex-partenaire. Des chiffres qui font froid dans le dos, mais qui révèlent surtout l’urgence d’agir plus fermement pour lutter contre les violences faites aux femmes qui, dans les cas les plus extrêmes, se transforment malheureusement en féminicides. Lundi, à l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, le Premier ministre Michel Barnier a annoncé de nouvelles mesures dans ce combat, prônant notamment la « tolérance zéro » à l’égard de ces violences. Parmi les mesures annoncées, celle de la généralisation du dépôt de plainte à l’hôpital « d’ici la fin 2025 » a pour but d’aider les victimes à prendre plus facilement la parole. 🗣️ Une décision à saluer, dès lors que l’on sait que la peur des représailles, la peur d’être montrée du doigt ou la crainte de ne pas être crue, empêche encore beaucoup trop de victimes de libérer leur parole -par exemple en passant la porte de l’institution policière- et de raconter ce qu’elles ont vécu ou continuent de vivre... Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en 2022, seulement 15% des victimes déclarent avoir déposé plainte en gendarmerie ou dans un commissariat. 📝 ➡️Alors, pour éviter de nouveaux drames, comment mieux accompagner les victimes ? Comment les aider à prendre la parole plus facilement ? Comment former de manière plus efficace les forces de l’ordre, tout en leur permettant de repérer plus rapidement une femme victime de violences ? Ce sont les questions auxquelles j’ai tenté de répondre dans mon article pour Sud Radio : « Violences faites aux femmes : comment mieux accompagner les victimes ? ». 🙏🏻Merci à Marie-Laure Pezant, porte-parole de la Gendarmerie Nationale, d’avoir répondu à nos questions. Une aide précieuse pour mieux comprendre les procédures de la Gendarmerie, notamment en cas de violences faites aux femmes, et ce, peu importe la nature des violences.