Post de Anthony Da Cruz

Un mois dans la vie d'une navigatrice - Avril Partie 2 Passage obligé pour tous les navigateurs : le stage de survie en mer. Avant de participer à des courses de plusieurs jours, il est nécessaire de valider un stage certifié par la fédération internationale. Au programme, de la théorie et de la pratique notamment des exercices en piscine, en combinaison de survie, où nous avons simulé des hélitreuillages et l’embarquement dans un radeau, tout en apprenant des techniques pour retarder l’hypothermie. Mais aussi la pyrotechnie : apprendre à éteindre différents types de feux et à tester les systèmes de signalisation, comme les feux à main 🧨 Parler de ce qui peut mal se passer en mer peut être angoissant, mais c'est aussi rassurant. L’inconnu m’intrigue, et j’adore cet aspect de l’aventure mais quand ça touche à comment gérer les problèmes qui peuvent empirer, je préfère être préparée 🫡 Le 20 avril : Départ pour la qualification hors course ⛵️ Pour me qualifier à la Mini Transat, plusieurs épreuves sont nécessaires, dont un parcours de 1000 milles (1800 km) à réaliser en solitaire. Le départ se fait quand je le souhaite selon la météo avec un parcours imposé : il faut passer une bouée en mer d’Irlande, puis descendre jusqu’à La Rochelle et retourner au port de départ. J'avais de l’appréhension, car passer de 24 heures à 6 jours en mer représente un grand saut. C’était ma première vraie aventure, sans filet, sans concurrents ni partenaires d'entraînement à l'horizon : - Passer plus qu’une nuit en mer : 6 au total ! - Aller en Irlande 🇮🇪 - Faire uniquement des siestes de 20 minutes pendant 6 jours - Traverser la Manche… deux fois - Appeler des cargos pour qu’ils me laissent passer : quand ils font 300 mètres de long face à mes 6,5 mètres, mieux vaut s’assurer qu’ils m’ont vue ! - Voir des dauphins presque tous les jours 🐬 Étonnamment, le rythme de vie en mer m’est venu assez naturellement, sans trop ressentir l’accumulation de fatigue. J’ai eu des conditions idéales, avec des levers et couchers de soleil magiques 🌅. Je me souviendrai particulièrement de la traversée retour de la Manche. De nuit, avec 20 à 25 nœuds de vent, le bateau lancé sous spi, tout en évitant les cargos… Autant dire que je n’ai pas dormi ! A l'arrivée, ma famille et mes amis m’attendent sur le ponton du port de Lorient pour me féliciter. En prime, un condensé en image de ces 6 jours 🎥 Naviguer sans pression de compétition m’a confirmé ce que j'espérais : j’aime naviguer au large, les moments simples en mer et aussi me challenger face aux éléments. Le mois d'avril a été intense et avec des beaux succès. La semaine prochaine, je vous raconterai le mois de mai, où j'ai affronté la plus grosse difficultés du projet ❌ Je suis à la recherche de partenaires, si vous souhaitez utiliser le pouvoir du sport et de l'aventure au service de vos enjeux d'entreprise, n’hésitez pas à me contacter. Pour avoir plus de détails sur le projet : https://lnkd.in/e6BFBKuu

🚀  L’art du leadership » Un autre exemple inspirant pour le monde de l’entreprise : le rôle essentiel du barreur en aviron. Assis à l'avant, il fait face à la direction de la course, contrairement aux rameurs qui tournent le dos à l'horizon. Sa principale mission est de diriger l'embarcation, de veiller à la sécurité de l'équipage et de s'assurer que chaque rameur donne le meilleur de lui-même en termes de puissance et de rythme. le barreur est le seul membre de l’équipage qui n’a pas de rame mais joue un rôle crucial dans les équipages comportant plusieurs rameurs. 👉 Il ne se contente pas d’essayer d’aller droit. Il est responsable de plusieurs aspects essentiels : 1️⃣ Direction de l’embarcation : Le barreur contrôle le gouvernail pour maintenir ou changer la direction du bateau, assurant ainsi que l’embarcation suive la trajectoire optimale. L’idée est de favoriser la ligne droite, éviter les virages et faire en sorte que l’embarcation effectue la plus courte distance vers la ligne d’arrivée et maximise sa vitesse de glisse. 2️⃣ Stratégie de course : Il décide de la meilleure trajectoire à suivre en fonction des conditions de course et des mouvements des adversaires. C’est ici qu’intervient la tactique. En course, le barreur tente d’adapter la tactique choisie à l’état de fraîcheur de ses rameurs, aux options prises par les adversaires ainsi qu’aux conditions climatiques qui influencent fortement le comportement du bassin. L’idée est de faire basculer son embarcation en tête. Au bon moment. Il doit faire preuve d’adaptabilité. 3️⃣ Communication : Le barreur communique avec l’équipage en donnant des instructions pour synchroniser les coups de rame, ajuster le rythme (cadence) et encourager les rameurs. Une communication claire et efficace est essentielle pour maximiser la performance de l’équipage. Souvent le barreur dispose d’un micro dont le son est relayé par deux enceintes dans le bateau. L’idée est de bien se faire entendre. 4️⃣ Motivation : Le barreur joue également un rôle psychologique en motivant les rameurs, surtout pendant les moments difficiles de la course. Le barreur connaît à la perfection le style de chaque rameur, leurs points forts. Avec des mots choisis, il tente de leur faire reproduire des gestes appris et répétés durant des heures lors des entraînements. 🥇 « Si vos actions inspirent les autres à rêver davantage, à apprendre davantage, à faire davantage et à devenir davantage, vous êtes un leader » #management #leadership #coaching #coachingmental #cohesion #teamspirit #inspirer #motivation

🎓 Conseil pédagogique de la semaine Aujourd'hui, mettons en lumière le conseil avisé de Salim, l'un de nos enseignants partenaires chez Ornikar ! ✨ Salim nous invite à adopter une méthode originale pour anticiper toutes les situations sur la route : utiliser la métaphore de la canne à pêche. 🎣 Invitez vos apprentis conducteurs à lancer leur regard comme une canne à pêche, le plus loin possible, puis à le ramener vers eux en scannant tous les éléments. Par exemple, si vous voyez un feu vert depuis un moment, rappelez-vous qu'il peut passer au rouge à tout moment. Continuez à ramener votre "canne à pêche" vers vous en restant attentif à votre environnement. Si vous apercevez un rond-point, observez sa taille pour déterminer comment l'aborder et vous placer en conséquence. Si votre "canne à pêche" vous ramène à un passage piéton, jetez un coup d'œil aux deux côtés du trottoir pour évaluer le trafic piétonnier. Si le passage est chargé, préparez-vous à vous arrêter. Cette méthode permet d'anticiper les situations et de prendre des décisions éclairées sur la route. Avez-vous déjà utilisé une métaphore similaire dans votre enseignement ? Partagez vos expériences et vos astuces en commentaires ! 👇

Le vent a tourné. Pour ceux qui me suivent depuis un bon moment, vous savez que trouver une nouvelle place de port a été un long chemin houleux. Je ne vous ai pas raconté comment le vent avait tourné quelques jours avant le jour J du convoyage du bateau. Rembobinons un peu l’histoire, Penboat n’ayant plus sa place au port de Lorient depuis décembre, je trouve une solution de secours dans un port à sec à côté de chez mes parents pour mon chantier d’hiver. Mais où vais-je mettre mon mini après 🤔 ? Cette question a été source de beaucoup de stress, j’ai fait plusieurs demandes, passé de nombreux coups de téléphone… Finalement, c’est au port du Havre que je décide de placer le voilier. Je prépare tout, l’administratif, l’organisation du convoyage du Golfe du Morbihan jusqu’au Havre, l’achat d’une remorque adaptée, le permis remorque etc…Tout pour que dès la fin de mon contrat pro, je puisse partir. Tout est presque prêt. Le vent tourne, un coup de fil vient bouleverser mes plans… Une place se libère au port de La Trinité-sur-Mer, plus précisément sur un terre-plein. C’est une opportunité à ne pas manquer. Le propriétaire du terre-plein me réserve une place pour la mi-février. Deuxième rebondissement, j’ai une place à la Trinité pour le bateau, mais j’intègre aussi son pôle d'entraînement. À peine, après avoir obtenu la place, je contacte le président d'Orlabay je lui expose mes objectifs et mon parcours, il m’annonce la bonne nouvelle : j'intègre le pôle de formation et d’entraînement à la course au large ! En l’espace d’une heure, j'ai trouvé une place au port et un centre d'entraînement. Ce que je n’avais pas réussi à faire en 10 mois ! Ce que je retiens de cette expérience : Après la pluie vient le beau temps Tout vient à point à qui sait attendre. Et vous, quel a été le plus gros rebondissement dans vos projets ? PS: je vous laisse avec une photo lors de mon premier entraînement ⛵️

Vous vous êtes inscrit(e) à l’un de nos cours théorique ou pratique. Félicitation ! En route donc vers l’obtention de votre brevet de conduite ou l’approfondissement de vos connaissances nautiques. Pour vous accompagner au mieux, nous limitons la taille des groupes que nous encadrons. Votre place est donc jalousement réservée 😉. Un imprévu se présente dans votre agenda ? Cela peut arriver. Vérifiez nos conditions générales de vente pour connaître les critères d’annulation ou de report de cours. En cas de maladie ou de décès d’un proche, nous déplacerons votre cours sans frais pour autant que le certificat médical ou le faire-part de décès nous parvienne dans les 48 h avant le démarrage du cours. 🩺👨🏼⚕️ Nous vous préférons présent(e) mais, en cas d’absence, prévenez à temps afin que les autres participants ne vous attendent pas inutilement ! Nous comptons sur vous ! 💙 ➡️https://lnkd.in/eZzHJ6Ck ☎️015 15 14 44 #ecolenautique #brevetdeconduite #permisbateau #apprendreanaviguer #ICC #spfmobilité #voile #moteur Just now

**🚗🐴 À tous ceux qui croisent des chevaux sur la route : prenez une seconde pour comprendre leur monde 🐴🚗** On partage les routes avec tout le monde, y compris des cavaliers et leurs chevaux. Mais est-ce qu’on sait vraiment ce qu’un cheval ressent quand une voiture passe à toute vitesse ? Spoiler alert : ce n’est pas de la joie. 😅 👉 **Le cheval, c’est quoi ?** Un animal magnifique, intelligent, mais aussi extrêmement sensible. Leur instinct de survie est toujours bien actif, et pour eux, un bruit fort, un mouvement brusque ou une voiture qui s’approche trop vite peut être perçu comme un danger. Ils réagissent alors… comme un cheval : en fuyant ou en paniquant. Et ça peut vite devenir dangereux pour tout le monde. 👉 **Alors, que faire ?** 1. **Ralentir** : Prenez le temps de passer doucement. Si vous roulez vite, le cheval peut s’effrayer et faire un écart. 2. **S’éloigner** : Laissez un bon mètre de distance entre votre voiture et le cheval. Pensez que cet animal peut peser 500 kg et bouger en une fraction de seconde. 3. **Soyez patient** : Si le cavalier vous fait signe de ralentir davantage ou de vous arrêter, ce n’est pas pour vous embêter, c’est pour la sécurité de tous. 4. **Coupez le moteur si besoin** : Si vous voyez un cheval particulièrement nerveux, un moteur coupé peut vraiment aider à le calmer. 👉 **Pourquoi c’est important ?** Un accident avec un cheval, c’est souvent grave. Non seulement pour l’animal, mais aussi pour le cavalier et les occupants des voitures. Une seconde de prudence peut éviter des drames. Alors, la prochaine fois que vous croisez un cheval, pensez à lui et à son cavalier. Prenez le temps d’être respectueux. Et si vous êtes du genre pressé, dites-vous que ralentir 30 secondes, c’est peut-être la plus belle preuve d’humanité que vous ferez de la journée. 🌟 🚦🐎 Merci pour eux ! Qu'en penses-tu ? N'hesitez pas a nous donner des conseils https://postly.click/rEY/

intéressant de réfléchir au business model du liberty pass adapté à la voile légère.. A vos neurones

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Un début de course à s’arracher les cheveux 🤯 Nous sommes au troisième jour de la Québec St-Malo. 💥 Le début de course a été hyper intense. Non pas que les conditions météorologiques aient été difficiles, mais le fait qu’il n’y ait pas beaucoup de vent, beaucoup de zones de molle, beaucoup de changements et de courants, nous a forcés à être sur les réglages et à multiplier les manœuvres depuis le début. Sur le papier, les conditions de mer étaient plutôt agréables avec ce peu de vent et ce grand soleil, mais pour une course au large, ce sont des conditions difficiles à prévoir, il faut s’adapter en permanence. 😵 La flotte des Class40 association a été très compacte, avec pas mal de revirements de situation, de retours de la flotte par derrière… On est fatigué à bord à cause de toutes ces manœuvres et réflexions sur la meilleure route à prendre. Bref, on aurait dit une vraie étape de la La Solitaire du Figaro Paprec, comme je vous l’avais dit dans mon précédent post ! 🐋 On est maintenant sur un bord assez droit, à Rivière-au-Renard, un bord qui va nous emmener proche d’une zone d’exclusion donnée par l’organisateur, zone où il y a beaucoup de baleines noires. On voit la fin du fleuve Saint-Laurent qui se rapproche, on va pouvoir se concentrer sur la stratégie de la traversée de l’Atlantique. On n’a pas encore eu trop le temps depuis le début de se pencher sur la stratégie à adopter sur cette transatlantique, on a plutôt fait de la course côtière les uns à côté des autres, en essayant de faire avancer au mieux notre Class40 dans la bonne direction. À côté de tout ça, tout va bien à bord, l’ambiance est bonne, on mange bien, il ne fait pas trop froid… On a vraiment un super équipage avec Amélie Grassi, Claudia Conti et marie riou. 🗺 Pour nous suivre sur le Class40 La Boulangère, la carto est ici 👉 https://lnkd.in/eJHuxwPs #QuébecSaintMalo #Class40 #OffshoreSailing

Dans le cadre d’une conduite longue les élèves de terminale CTRM ont pu se rendre, en mars, à Font-Romeu où ils ont visité le marché Saint-Charles. Ce sera l’occasion pour les futures conducteurs routiers de développer leur expérience : - aborder une descente et une montée en toute sécurité ; - maîtriser le gabarit du véhicule ; - croiser un véhicule en montagne ; - conduire dans des conditions atmosphériques difficiles, route de nuit ; - bien se comporter dans les tunnels et aux passages à niveau ; - s’adapter aux passages difficiles et étroits ; - négocier un virage très serré ; - adopter une conduite économique et citoyenne ; - anticiper les risques spécifiques à la montagne (exemple : chute de pierre, verglas). En tout, ce sera presque 2000 km de conduite en 5 jours. Tous sont revenus ravis de cette expérience.