🗓️ Semaine 22 Reprise après 2 semaines off 1h30 de séance Dans des rafales entre 23 et 27 nœuds 75% du parcours avec du vent de face ou de travers Pas les conditions les plus agréables pour reprendre Mais il etait temps de s'y remettre Au programme : 4 x 30'x 30' 6 minutes à 85% 2 minutes à 50% 9 minutes à 80% 3 minutes à 50% 12 minutes à 75% 3 minutes à 50% 9 minutes à 80% 2 minutes à 50% 6 minutes à 85% 15 minutes à 70% 2 minutes à 90% 1 minute à 95% La fin de semaine s'annonce déjà beaucoup plus fun 🤘 --- Hello, moi c’est Antoine. Après une pause de 4 ans et une dernière aventure de 50km. Je reprends le Prone Paddleboard longue distance avec pour objectif de participer au Championnat du monde de la discipline à Hawaï en Juillet 2025 ! Je documente sur Linkedin mes entraînements et ma préparation. 3 autres objectifs : Traverser Saint-Martin / Saint-Barth en autonomie = 25 km (Mars) Tour de l’île de Saint-Martin en autonomie = 50 km (Mai) Molokabra au Brésil = 3 x 30km (Septembre)
Post de Antoine Mondou
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Ces quelques jours avant une compétition ... Lorsqu’on se fixe des objectifs sportifs, on organise ses entrainements, ses séances, son calendrier. En canicross comme en attelage, la difficulté est d’avoir le binôme en forme au même moment : l’humain et le chien, l’humain et ses 8 chiens ! Diététique, endurance, rythme, persévérance, il faut mettre bout à bout beaucoup de paramètres pour que tout fonctionne. Lorsqu’on a tout bien fait, lorsque les cases sont toutes cochées, en regardant les chiens on peut espérer et rêver d’une victoire. Ces quelques jours avant une compétition, on vit le calme avant la tempête. J’ai toujours visualisé des passages de lignes, des moments de partage avec les chiens, on sait que la bataille sera rude mais "à plusieurs on est plus fort" et j’ai toujours eu confiance en ma meute. Dans quelques jours, nous allons accompagner mon ami Antony Le Moigne, juliette et Benjamin sur les Championnats du monde de canicross, trott et vtt en Italie. Ayant participé à de nombreuses compétitions internationales, je ressens les émotions d’avant course, la pression positive, la concentration des préparatifs, le regard focus encore et toujours sur les chiens, leur état d’esprit et leur bien-être. Chaque détail compte. Encore aujourd'hui, même si je ne participe plus vu l'âge de la troupe je continue d'être conditionnée ! La compétition ne s’improvise pas, la route est difficile mais le sommet offre une vue superbe ! ELEMENTVET
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#AïeAïeAïe 🔥 La 3e étape de la 55e édition de la La Solitaire du Figaro Paprec fut pour moi l'épilogue d'une année de descente aux enfers sportive. 😱 Le seul moment où j'ai su naviguer à mon niveau sur cette étape fut dans la "baston" sous spinnaker dans des vents soufflants en rafales à presque 40 noeuds avec des pointes de vitesse à plus de 23 noeuds, remontant de la 28e place acquise suite à une erreur incompréhensible, à la 13e position juste aux talons du paquet du 6e. Oui, j'affectionne les conditions musclées. Je n'ai su retrouver la finesse le moment venu pour maintenir ou améliorer cette place, terminant classé 26e de l'étape et 23e sur 37 skippers au classement général. L'autre point positif est que mon Classe Figaro Beneteau Marine Nationale - GICAN n'a subi aucune avarie, preuve d'un bon travail de préparation technique effectué en amont et du bon sens marin mis en oeuvre. 🔚 Hier, la parade de départ du port de La Turballe clôturait donc ce que je ressens comme la pire de mes 4 Solitaire où les choses sont allées de mal en pire, la confiance nécessaire en ma navigation et dans mes choix ayant finit par s'envoler à force de mauvais coups depuis 1 an. Quelques commentaires dans l'interview de Télénantes repris par Ouest-France dans le lien en commentaire. 🤯 A trop en faire, on finit par tout faire mal. C'est le sentiment qui me traverse lorsque je regarde dans les rétroviseurs cette saison. Je n'ai su me sortir de la tête les trop nombreuses choses qui ne devaient s'y trouver sur une telle épreuve où le focus sur l'aspect sportif y est essentiel pour performer au regard de l'exigence de l'exercice. Je reste confiant sur mon potentiel sportif pour retrouver le "flow" au plus vite. Il suffit juste de remettre chaque chose à sa place pour redevenir plus un sportif qu'un gestionnaire. 🔭 Mon regard se porte dorénavant vers l'avenir où je sais que celui-ci continuera de s'écrire en course au large en IMOCA à la seule condition que des sponsors souhaitent m'accompagner. Je ne saurai m'engager de nouveau dans une saison sportive, quel que soit le support, à moyens si contraints. Comme on le dit si souvent, l'argent est le nerf de la guerre. ⚓️ La Marine 🇫🇷 mérite sa place sur la ligne de départ des plus grandes courses océaniques et je ferai le maximum pour la lui offrir et représenter chaque militaire qui se bat au quotidien pour notre liberté. ⏳️ Priorité aux opérations alors pas de temps pour le repos car je me donne jusqu'à la fin de l'année pour convaincre des sponsors de leur intérêt de s'associer à mon destin maritime. J'ai la chance d'avoir une petite garde rapprochée compétente pour m'y aider, très qualifiée aussi pour constituer l'ossature de ma future équipe technique et logistique. ⏭️ Pour ce qui est de la Solitaire du Le Figaro où #IciNaissentLesLégendes, je reviendrai si possible pour ne pas cloturer notre histoire commune sur une note si amère et rappeler aussi que #IciReviennentLesLégendes... 📸 Alexis Courcoux
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Idée exercice de travail Intermittent recréant la charge interne d'un match. Public visé : équipe de foot à 11 (grand terrain). Période visée : préparation de début de saison (fin du cycle) - mi-saison - fin de saison dans une période d'entretient. Type de course : lente aérobie (Endurance fondamentale 10-12km/h) - sprint (VO2max >25km/h) - soutenue (Endurance Aérobie - 90 à 100% VMA- 16 à 18km/h) - marche (5 à 6km/h) Durée de l'exercice : de 11min (10aller-retours) à 22min (20aller-retours).
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Un dossard en plein hiver : le remède parfait contre la monotonie de la préparation. L’hiver est souvent synonyme d’entraînement dans l’ombre, loin des compétitions. Mais parfois, enfiler un dossard au cœur de cette préparation peut apporter un souffle d’air frais… et une bonne dose de plaisir ! Ces dernières semaines, j’ai pris part à deux courses qui n’ont rien à voir avec mes objectifs estivaux, mais qui m’ont offert une belle opportunité de casser la monotonie de l’entraînement : 👉 Un 5 km sur route à la Saint-Sylvestre : une course intense et rapide, où je décroche un podium devant 1200 personnes et un chrono que je n’espérais pas ! Les sensations étaient meilleures que prévu, et cet effort court m’a permis de travailler à haute intensité. 👉 Une verticale en ski-alpinisme : remonter une piste de ski avec des peaux sous les skis : voilà le concept. Une 5ᵉ place et une souffrance bien au rendez-vous… comme ce type d’effort sait en imposer ! Ces compétitions, bien qu’éloignées de mes formats habituels, trouvent pleinement leur place dans ma préparation : • Elles permettent de varier les efforts, tout en restant dans une approche qualitative. • Elles créent des moments de partage avec la communauté sportive locale. • Et, avouons-le, elles font du bien à l’esprit : l’adrénaline de la compétition est difficile à égaler. Mais attention : ces escapades doivent rester des exceptions, judicieusement intégrées pour préserver l’équilibre de la préparation principale. Chaque effort a sa place et son rôle dans la quête des objectifs majeurs. En tout cas, la préparation suit son cours. Entre entraînements ciblés et compétitions choisies avec soin, je continue de poser sereinement les bases de 2025. PS: Oui, j'ai gagné un verre! PPS: Oui, j'aime bien m'amuser sur le podium! 😅
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Un début de saison laborieux... Je vous explique pourquoi ! Cela fait maintenant deux semaines que je suis arrivé à Lanzarote pour préparer les premières compétitions de l'année. L'objectif ? Le championnat de France et décrocher une sélection pour les championnats du monde. Mais voilà, deux semaines de galères où j'enchaîne des plongées avec des sensations pour le moins désagréables et le niveau de confiance dans les chaussettes. Je navigue entre la recherche de plaisir, qui est ma boussole dans ce sport axé sur le bien-être et les sensations, et un calendrier serré. Un mois et demi pour revenir à mon meilleur niveau. Un minimum de 105 mètres à atteindre pour prétendre à la sélection. On n'a pas tous la même notion du minima... 😅 Cette année est particulière. Je suis devenu papa en janvier. Cela a changé la donne, mais surtout mes nuits! J'ai aussi beaucoup travaillé sur le développement de ma communication, l'organisation de conférences, la recherche de partenaires. La vie d'un sportif de haut niveau est loin d'être un fleuve tranquille. Résultat : je me suis moins entraîné que d'habitude et surtout, je n'ai pas eu la même récupération. Il va falloir bien gérer jusqu'aux championnats qui auront lieu les 28 et 29 juin. S'entraîner sans s'épuiser : un juste dosage à trouver. La saison commence difficilement, mais je ne baisse pas les bras. L'objectif reste le même : donner le meilleur de moi-même, pour moi, pour tous ceux qui me soutiennent, pour le sport. Et vous, comment gérez-vous les périodes difficiles ?
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Après des jours rythmés par les sprints massifs, le Tour de France 2024 change de décor ce mercredi avec la 17e étape reliant Saint-Paul-Trois-Châteaux à la station de Superdévoluy. Au programme : 177 kilomètres vallonnés avec un final en altitude propice aux attaques des baroudeurs. L’occasion idéale pour les échappés de viser la victoire et de s’offrir un moment de gloire sur la Grande Boucle. Un parcours taillé pour les audacieux Si le profil général de l’étape n’est pas des plus montagneux, la fin de parcours promet d’être intense avec l’enchaînement de trois ascensions : le Col Bayard (7,2 km à 6,4%), le Col du Noyer (7,5 km à 6,8%) et la montée finale vers la station de Superdévoluy (4,3 km à 5,9%). De quoi mettre les organismes à rude épreuve après plus de deux semaines de course. Un terrain de jeu idéal pour les baroudeurs qui voudront anticiper le retour des favoris en partant de loin. Les 70 derniers kilomètres seront déterminants avec un parcours constamment ondulé et piégeux. Il faudra faire preuve d’audace mais aussi de lucidité pour gérer son effort jusqu’à la ligne d’arrivée. Les sprinteurs passent le relais Après une 16e étape plutôt tranquille conclue au sprint par le Belge Jasper Philipsen, les sprinteurs vont passer le témoin aux grimpeurs et aux puncheurs ce mercredi. L’occasion pour les équipes de faire souffler leurs leaders en vue des étapes alpestres à venir. Mais certaines formations pourraient quand même tenter de contrôler la course si une échappée venait à prendre trop d’avance. On sait que les échappées ont peu de chances d’aller au bout sur ce Tour mais on va quand même essayer. Il faudra être malin et avoir de bonnes jambes dans le final. Si un groupe se forme avec de bons grimpeurs, tout est possible. Explique Benoît Cosnefroy, récent champion de France. Les favoris sur leurs gardes Si l’étape ne devrait pas chambouler le classement général, les favoris Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard seront tout de même sur leurs gardes. Car leurs rivaux directs pourraient profiter de ce parcours pour tenter un coup et grappiller quelques secondes précieuses. Parmi eux, le Français David Gaudu, actuellement 3e du général, aura à cœur de conforter sa position sur le podium. Les derniers kilomètres en haute altitude, au-delà des 1500 mètres, permettront de jauger l’état de forme des cadors en vue des prochaines étapes dans les Alpes. Une répétition générale avant les grands rendez-vous qui détermineront le vainqueur final de ce Tour de France 2024. Les outsiders à l’affût Outre les favoris, d’autres coureurs pourraient tirer leur épingle du jeu sur ce parcours. On pense notamment au Danois Mattias Skjelmose, excellent puncheur, ou à l’Australien Michael Matthews, récent vainqueur d’étape et toujours à l’aise sur ce type de profil vallonné. Les Français Thibaut Pinot et Romain Bardet, en quête d’un succès sur ce Tour, pourraient aussi saisir leur chance. L’Érythréen Biniam Girmay, révélation de ce Tour, ...
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⛷️ Depuis quelques semaines, nous avons le plaisir d'accueillir dans notre service les skieurs alpins U16, U18 et U21 des équipes de Ski Valais et NLZ West pour des tests de pré saison. 📊 Cela a permis à notre équipe de préparateurs physiques menée par Aurélie Delacroix-Tarenne et physiothérapeutes d’établir une batterie de tests. 🧠🔁 Cette batterie de tests est développée en étroite collaboration entre les entraîneurs des équipes et les médecins du sport Maxime Moreillon et Maxime Grosclaude tous deux médecins pour Swiss-Ski avec deux objectifs: répondre au diagnostic de performance demandé par les entraîneurs et prévenir les blessures: ✅ Évaluation de la capacité de force isocinétique et isométrique des membres inférieurs réalisée par nos physiothérapeutes. ✅ Évaluation de la mobilité et souplesse. ✅ Évaluation de la force d’endurance des muscles du tronc avec les tests de gainage de Swiss Olympic. ✅ Analyse de sauts sur plateformes de force (CMJ et SJ). ✅ Évaluation de la capacité d'endurance par un test de VO2 Max. 🔎A l'issue de ces tests, les préparateurs physiques de l'équipe Santé Performance établissent un bilan individuel et fournissent des axes de travail aux athlètes et aux entraîneurs. François Fourchet Boris Gojanovic, MD Aurélie Delacroix-Tarenne Maxime Gros-Jean Guillaume LACHAUX COUTTET Amélie Vial Maxime Masson #ski #prevention #performance #sante
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Ça ne s’est pas passé comme prévu, mais c’était prévisible. Finisher de cette Maxi-Race 94 km malgré tout. Je vous explique. (Tour de Lac d'Annecy par les montagnes 94 km et 5300d+). Je reviens d’une blessure au genou, et 2 semaines avant la course, les feux sont au vert. Il manque un peu d’entraînement et de dénivelé positif, mais le physique est là. Je souhaite partir sur une base de 14 heures de course, et pourquoi pas 13h45. Je suis dans mon objectif les 37 premiers kilomètres, et soudain, c’est la panne sèche : plus d’énergie, KO technique. Pas de douleur, mais je suis faible et je n’avance plus. Je me dis que la course va être longue, il me reste 57 km avant de passer la ligne d’arrivée. Au ravitaillement à Doussard, je pense même à abandonner, mais heureusement, les copains et ma chérie par téléphone me boostent et me refocusent sur l’objectif premier d’un ultra, qui est de passer la ligne d’arrivée avant même de regarder le chrono. Je craque, c’est dur, mais je repars. S’ensuit un chemin de croix pour passer la ligne d’arrivée. Le temps n’est pas à la hauteur de mon objectif en 15h45, mais je passe la ligne d’arrivée, je finis au mental et à la résilience. Alors, c’est quoi le problème ? Je pense avoir mis le doigt sur un problème récurrent chez moi : une très mauvaise gestion de l’alimentation en course. Pour faire simple, je ne mange pas assez. J’arrive à tenir sur mes réserves les 2/3 premières heures et ensuite c’est une baisse complète d’énergie. Pas de magie, rien de nouveau, il faut juste bien mettre en place une stratégie nutritionnelle. Ma prochaine étape pour éviter d’être le champion à l’entraînement et exploser en course. Merci à toute la team Fraich' TOUCH Goulven CORNEC pour ce top weekend. Les copains Hugo, Alexandre Mallier , Julien, Nico, ma chérie et tous les autres pour le soutien, et un big up à tous les bénévoles de la Maxi Race que j’ai pu croiser dans les chemins. Maintenant, on corrige les erreurs et focus TDS (150km et 9200D+)
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Quinté+ du jeudi 19 décembre à Deauville : Les analyses de trois professionnels Ce jeudi 19 décembre, le Quinté+ se déroule sur l’hippodrome de Deauville, où une épreuve palpitante est attendue. Pour guider les turfistes dans leurs pronostics, trois professionnels partagent leurs analyses et se montrent optimistes quant aux performances de leurs chevaux. Voici un aperçu de leurs impressions et de leurs ambitions pour cette course clé. Une préparation soignée pour viser la victoire: Le premier professionnel interrogé souligne la qualité de la préparation de son cheval. Il mentionne que l’état de forme est optimal et que le profil de la piste en sable fibré convient parfaitement à son protégé. Confiant, il estime que son cheval a les atouts nécessaires pour jouer un rôle de premier plan dans cette épreuve compétitive. Une stratégie adaptée aux conditions de course: Un autre entraîneur mise sur une stratégie bien définie pour tirer le meilleur parti des capacités de son cheval. Il explique avoir ajusté l’entraînement en fonction des conditions spécifiques du jour et pense que l’engagement est favorable. Selon lui, le numéro de corde et la composition du peloton sont des éléments qui pourraient faire la différence. Un cheval régulier et prêt à se surpasser: Le dernier intervenant met en avant la régularité de son cheval dans les performances récentes. Il se montre particulièrement confiant, affirmant que son représentant est en pleine forme et qu’il peut se surpasser pour décrocher une belle place, voire la victoire. Il invite les parieurs à ne pas sous-estimer sa candidature. Une course ouverte et prometteuse: Avec des chevaux affûtés et des stratégies bien pensées, cette épreuve de Quinté+ promet d’être disputée. Les avis des professionnels montrent que plusieurs concurrents disposent de solides arguments pour briller sur la piste de Deauville. Les parieurs auront donc l’embarras du choix pour tenter de décrocher le bon ticket gagnant. Ne manquez pas cette course passionnante et faites vos jeux en tenant compte des conseils avisés de ces experts !!!
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🤔 Cela ressemble à quoi une semaine type d'entrainement pour le MARATHON DES SABLES ? 🏜️ Pour dompter ces 250 kms dans le désert qui attendent Sandra et Flavien, nos aventuriers s'entraînent durs chaque jour depuis maintenant plusieurs mois. ❓Mais à quoi ressemblent ces entrainements ? Bien encadrés par Laurence Klein, triple vainqueur du MARATHON DES SABLES et entraineur de l'équipe de France de 100km, voici comment se décompose une semaine classique de leur plan d'entrainement 👇
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