🚨#CovidLong : des effets durables sur le cerveau révélés Des chercheurs de Helmholtz Munich & de l’Université Ludwig-Maximilians-Universität München ont découvert que la protéine Spike du SRAS-CoV-2 s’accumule dans le cerveau et les méninges, persistant jusqu’à 4 ans après l’infection. Cette présence pourrait expliquer les symptômes neurologiques du #LongCovid 🧠Inflammation chronique et risques neurodégénératifs: La protéine Spike, détectée dans la moelle osseuse du crâne et les couches protectrices du cerveau, pourrait déclencher une inflammation chronique, augmentant le risque de maladies comme les AVC ou un vieillissement cérébral accéléré soit une perte de 5 à 10 ans de fonctions cognitives saines. 🔬 Une technologie d’imagerie révolutionnaire Grâce à une technique d’imagerie basée sur l’IA les chercheurs ont visualisé en 3D des dépôts de protéine Spike auparavant indétectables dans des échantillons de tissus humains et de souris. Les récepteurs ACE2 dans ces régions expliqueraient leur vulnérabilité. 🌍 Une crise de #santépublique mondiale Avec 50-60 % de la population mondiale infectée et 5-10 % souffrant de #CovidLong, environ 400 M de personnes pourraient être exposées à des complications neurologiques chroniques. Ces découvertes soulignent l'urgence d'agir pour la santé publique mondiale. 🩺 Vers de nouveaux outils de diagnostic Les chercheurs suggèrent de cibler la moelle osseuse du crâne et les méninges pour détecter la protéine Spike ou des marqueurs inflammatoires via des analyses de sang ou de liquide cérébral. Une étape clé pour le diagnostic précoce et les thérapies ciblées. 💡Cette étude, publiée dans @cell journal marque une avancée majeure. Elle offre des pistes pour comprendre, diagnostiquer et traiter les effets neurologiques du #COVID19. Une recherche essentielle pour mieux protéger les populations. ✍️ «Il ne s'agit pas d'un simple problème de santé individuel, mais d'un défi sociétal » Pr @Ali Ertürk directeur de l’étude. 🗣️Cette recherche apporte des insights majeurs sur les interactions à long terme entre le SARS-CoV-2 et le cerveau", souligne le Pr Protzer Ulrike 💉 Les vaccins à ARNm offrent une protection partielle: Le vaccin BioNTech/Pfizer réduit de 50 % l’accumulation de protéine Spike dans le cerveau. Cependant, des résidus toxiques subsistent, justifiant la nécessité de thérapies supplémentaires. Ces résultats proviennent de modèles murins mais pourraient éclairer les recherches humaines. 👉 Retenons que les vaccins réduisent les risques mais les défis restent immenses face au #CovidLong 🎯Prochaines étapes Développer des thérapies contre la persistance de Spike, étudier d'autres types de vaccins et affiner les diagnostics pour mieux protéger contre les effets neurologiques du #COVID19 🔑Une avancée clé dans la lutte contre le #CovidLong et ses effets sur le cerveau. 🔗https://lnkd.in/eubj8zYG 🔗L'étude : https://lnkd.in/eSG4wSM8.