“Métropolisation parisienne et crise des territoires en marge” Aujourd’hui, une carte réalisée par mes collègues Guillaume Le Roux et Christophe Imbert montrant l’évolution de la composition socio-résidentielle au sein des intercommunalités du Bassin Parisien. La méthode est détaillée dans l’article consultable librement : “Métropolisation parisienne et crise des territoires en marge ? Transformation sociale au sein du bassin parisien depuis 1968 au prisme des mobilités”, Revue Quetelet, vol. 10, n° 2, 24 p. Limitée au Bassin Parisien, cette carte montre que les phénomènes de ségrégation sociorésidentielle répondent à des logiques géographiques d’échelles régionales distinguant : - des territoires caractérisés par des tendances à l’embourgeoisement : le centre de la métropole parisienne, le grand ouest francilien et quelques agglomérations et leurs périphéries (Caen, Orléans) ; - des territoires à la composition sociale stabilisée : les marges orientales de l’Ile-de-France, les espaces périurbains et multipolarisés des vallées de la Seine et de la Loire ainsi que les grandes agglomérations secondaires (Le Mans, Rouen, Amiens, Reims, Troyes) : - des territoires exposés la paupérisation : plutôt situés dans certains espaces ruraux, souvent ceux les moins denses et les plus éloignés des centres urbains.
Post de Arnaud Brennetot
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JE PENSE ET JE SOUPESE CES METROPOLES, LEUR FORTE DENSITE M’EFFRAYE, ENCORE PLUS LEUR POLARISATION EXCESSIVE : L'ALGERIE CONTEMPORAINE DISPOSE-T-ELLE DES COMPETENCES ET DES RESSOURCES POUR GERER LES MONSTRES URBAINS EN GESTATION ? Piégés ou emballés par un capitalisme urbain rompant et ses logiques excessives de densification, de concentration et de polarisation, mais aussi d’usure et de précarisation, nos Think tank continuent quand même à voir dans les politiques de séduction territoriale et capitalistique, l’ultime salut pour nos territoires et économies urbaines. Pourtant, obèses et hypertrophiées, nos métropoles endurent des pathologies chroniques à mesure que leur saturation foncière augmente et que leur métabolisme urbain diminue. Elles ne s’en tiennent plus aux médications locales, et l’expertise étrangère est excessivement chère. Les logements, devenus de simples produits marchands, ils sont souvent inoccupés et installés de plus en plus en hauteur, générant des configurations urbaines inédites, dont les enjeux et les défis en termes d’infrastructures techniques, de sécurité et de gestion urbaine risquent de mettre l’action publique urbaine en mauvaise posture. Les modes classiques de gouvernance éprouvent de plus en plus leurs limites, pas plus que cette nouvelle gestion publique. Si Hong Kong et autres monstres mondiaux sont contraints par la géographie à la forte densité et à la polarisation excessive, l’Algérie dispose d’assez d’espace pour déployer et permettre aux villes nouvelles de prendre leurs aises aux quatre coins du pays et réconforter ainsi l’occupation et le rééquilibrage territorial. On peut bien mailler le territoire national par un réseau hiérarchisé et mutualisé de routes et de voies ferrées, et permettre un meilleur redéploiement des populations et des activités. Par ces temps d’incertitudes, faudrait-il le rappeler, les villes très denses et surpeuplés sont à la fois richissimes et misérables et sont peu résilientes aux situations de crise (guerres, violences,…) et trés vulnérables aux risques majeurs. Les coûts de leur gestion urbaine sont excessifs à supporter par la collectivité et consacrent une dépendance envers le capitalisme mondial.
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LYON, QUEL AVENIR ? Je vis à LYON et aux alentours depuis 30 ans et cette ville qui était dynamique et attirante semble atteinte de léthargie, comme si la stratégie définie à son niveau et à celui de la métropole (58 communes), était floue avec un pouvoir finalement autocratique car peu exposé médiatiquement aux opposants. A plus d'1 an de nouvelles élections, chacun peut s'interroger sur ce qu'il perçoit de sa ville : Le premier constat est que LYON perd des habitants au profit des communes de la Métropole dont Villeurbanne : le sujet est donc de savoir si la politique en matière de logements est efficace, ce qui n'est malheureusement pas le cas vu la production, sans réelle stratégie menée avec les promoteurs (neuf et rénovation) et en ignorant des réserves foncières à Caluire notamment où la Métropole reste focalisée sur une agriculture urbaine qui n'a pas vraiment de sens. Le deuxième constat concerne les flux au sein de cette métropole qui ne sont pas gérés en dehors des pistes cyclables, certes utiles, mais qui ne peuvent pas constituer la seule solution à la circulation, c'est peut-être dommage mais c'est la réalité, essayez d'aller dans des communes environnantes ou les habitants se sentent exclus ou dans certaines cliniques et hôpitaux, aux accès très difficiles. La politique de sécurité, point essentiel pour les citoyens, avec un niveau de police municipale et d'équipements vidéo indigne d'une grande ville confrontée à des accès de fièvre de certains quartiers, on ne peut pas ignorer les émeutes de 2023 et le risque induit par l'immigration irrégulière. La politique en matière d'environnement, j'attendais personnellement plus d'actions de reboisement, il y a des villes en Europe qui peuvent servir d'exemple : la place BELLECOUR, au moins partiellement, ou la réserve foncière de CALUIRE permettraient d'oxygéner la ville. On pourrait dire la même chose de la propreté, on a installé partout des receveurs de déchets alimentaires mais la ville reste sale avec des employés mal équipés qui nettoient les rues. La politique en matière de développement économique car on ne sait pas grand chose de l'implantation (ou du départ) d'entreprises dans la ville et dans la Métropole, on a l'impression que ce n'est qu'accessoire. La politique en faveur du commerce urbain, notamment de la presqu'ile, délaissé depuis maintenant plusieurs années et même avant cette mandature qui n'a rien fait pour améliorer la situation, les accès restent difficiles et les événements prévus lors des fêtes semblent assez légers, tout est axé sur une fête des lumières qui pour moi a vécu sous sa forme actuelle. Alors certes tout ne se résume pas à ces points mais rappelons que le budget de la ville de LYON est de 1 milliard € et que celui de la Métropole est de 4 milliards €, il faut donc être attentif à leur utilisation. Que celles et ceux qui veulent un avenir différent pour la ville nous présentent une stratégie claire, c'est le voeu que je forme pour 2025.
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LA DENSIFICATION DOIT DEMEURER PROGRESSIVE , AUTREMENT LA COLLECTIVITÉ AURA À SUPPORTER DES SURCOÛTS INUTILES ET DES DÉSÉQUILIBRES STRUCTURELS. Avant d'urbaniser l'espace, il serait judicieux de s'inscrire dans le temps et d'entrevoir une action urbaine qui n'est pas nécessairement linéaire, avec des rétroactions et des proactions. C'est bien ce mode de construction de la ville qui opère à la fois en extension et en DENSIFICATION et qui est à même de permettre le respect des hiatus, des continuités des bassins de vie et surtout la vocation rurale ou naturelle des territoires ainsi que leur rythme d'évolution. Ériger des tours en rase compagne, au milieu de nulle part permet certes de reporter la croissance du centre vers la périphérie, mais sans pouvoir solutionner à temps les problèmes de centralité et d'accueil des néo ruraux, les limites se brouillent à mesure que les infrastructures routières se démultiplient, et les terres agricoles subissent l'assaut du béton. Lorsque le pays est assez grand pour absorber la croissance urbaine, il y a besoin de penser stratégiquement le déploiement des populations et des activités, d'entrevoir une hiérarchie des lieux avant de songer à des densifications accélérées qui ne font que renchérir la gestion urbaine et aggraver les situations de déséquilibre, de marginalisation et de zones d'ombres.
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voilà un article parfaitement rédigé et très éclairant sur le décalage entre les bassins de vie et les limites politiques actuelles a l échelon local. je recommande vivement la lecture
https://lnkd.in/dzWn6gGw Une approche vraiment intéressante pour une organisation territoriale nouvelle et ambitieuse à même de donner de la lisibilité à l'action publique et à l'aménagement. Institut Terram " il nous faut prendre en compte cette évidence et en conséquence construire un véritable gouvernement des villes, au sens des bassins de vie, donc avec des maires bien moins nombreux mais bien plus puissants".
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GOUVERNER LA VILLE MASTODONTE AVEC POLITIQUE ET INTELLIGENCE : QUELS CHOIX DES HOMMES, DES POLITIQUES ET DES DSPOSITIFS « Comment, par qui et quoi gouverner la ville aujourd’hui, telle est la question que bon nombre de gouvernants ne se posent guère lorsqu’ils daignent caser des bouteilles ou mettre en œuvre des chaines de production ». Les villes algériennes subissent depuis les années 1990 des mutations urbaines et économiques accélérées qui ne chamboulent pas seulement leur posture égalitaire et uniforme de jadis, mais les font aussi exposer à de réels enjeux et défis que les édiles n’arrivent pas encore à problematiser pour mieux les gérer de façon collective et partagée : - un étalement urbain dévastateur et coûteux, ravageant les terres agricoles et forestières et favorisant l’usage de l’automobile ; - des programmes de logements solitaires ou désarticulés, sans rapport aux tissus urbains existants et souffrant de problèmes de viabilité, d’urbanité, de mobilité et de centralité ; - des programmes de promotion immobilière qui densifient et démultiplient les isolats et les enclos résidentiels et font promouvoir des représentations catégorielles, et un esprit d’entre soi porteur de différenciation sociale ; - un développement urbain gourmant qui n’est, ni en faveur d’une modernité progressiste et radieuse, ni une durabilité économe de ressources et garante d'une qualité de vie pour tous ; l’urbanisation ne s'y accommode à aucune forme et nul modèle et s'apparente à un peuplement tout azimut, organisant et désorganisant la ville et la faisant fonctionnant à différentes vitesses, où règne une sphère morose, et explosive qui appellent des soupapes de soulagement. L’urbanisation contemporaine fait la joie du capital, interne et externe, et fait grossir indéfiniment les villes, en sur-occupant la frange littorale à un rythme inquiétant, notamment pour ces pays en voie de développement où le niveau technologie actuel ne permet pas d’assurer une organisation urbaine cohérente et efficace, encore moins de produire et gérer infrastructures techniques lourdes susceptibles d’assurer la résilience des territoires. Le mode actuel de croissance urbaine dégage favorise les déséquilibres territoriaux et consacre une dépendance durable envers les pays développés, en termes d’acquisition de produits et de savoir-faire pour en assurer la gestion et la réponse aux crises récurrentes. Les modes actuels de gestion urbaine consacrent l’esprit normatif, bureaucratique et technique, et le recours à la privatisation ou à la délégation ne permettent pas de faire de la ville le champ d’expérimentation des politiques urbaines pour gérer les contradictions urbaines, inverser ou atténuer les processus négatifs et instaurer un équilibre dynamique des différentes composantes de l’armature urbaine. Il est impératif que la Ville soit entre de bonnes mains pour que la collectivité puisse la maitriser pas ses cornes et éviter que la bête fasse du mal à soi-même.
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📢 La proximité dans l'aménagement urbain et territorial. 📢 **Invitation au grand débat !** J'invite toutes et tous à participer à une table ronde passionnante sur le thème de la **proximité dans la planification urbaine et territoriale**. 🌍💼 La question est cruciale : devons-nous réellement décentraliser les ressources et les opportunités de la ville au plus près des citoyens ? Comment procéder ? Quels en sont les enjeux et les contradictions ? Aujourd'hui, l'aménagement des métropoles, longtemps structuré autour des pôles économiques et d’emploi, s'oriente vers la proximité et le cadre de vie. Avec le concept de la **Ville du Quart d’Heure**, il s'agit de permettre à chacun·e d'habiter, de travailler, de s’approvisionner, et de se soigner dans un rayon de 15 minutes à pied ou à vélo. Cette idée, déjà intégrée dans les politiques municipales, prend désormais une dimension régionale : **la Région des 20 minutes**. ➡️ **Qu'exprime cette aspiration à la proximité ? Quelles en sont les limites ?** Le 13 novembre 2024 de 17:15 à 19:00 Amphithéâtre Simone Veil 28 rue des Saints-Pères, 75007, Paris L'Urban School of Sciences Po propose, à travers cette table ronde, d’analyser cette idée qui connaît un succès mondial, d'en présenter les fondements et les exemples, tout en posant un regard critique sur le concept et sa force fédératrice. **Pourquoi la Ville du Quart d’Heure suscite-t-elle tant d'engouement ?** Comment ce concept s'est-il imposé dans les politiques d’aménagement métropolitaines ? Quels sont ses impacts concrets et que nous dit-il sur l’efficacité des concepts dans nos sociétés ? **Ville du Quart d’Heure, où et pour qui ?** 📅 **En présence de :** - Jérôme BARATIER, Directeur général délégué, fabrique de la ville écologique et solidaire à Nantes Métropole, professeur affilié à l’Urban School of Sciences Po, enseignant dans le Cycle d'urbanisme (Master) - Ecole urbaine de Sciences Po. - Patricia LEJOUX, Chercheuse en aménagement et urbanisme, Laboratoire Aménagement, Économie, Transport (LAET-ENTPE), Lyon. - Jean-Marc Offner, Président du conseil stratégique de l’École urbaine de Sciences Po, directeur scientifique de 6t Bureau de recherche et ancien directeur de l’agence d'urbanisme Bordeaux Aquitaine. 🎤 **Modération :** Gabriella Tanvé, Responsable de développement (SEDES HOLDING – SOLIHA GRAND PARIS), diplômée du Master Governing the large metropolis (GLM). Ne manquez pas cette occasion de débat. **Rejoignez-nous !** : https://lnkd.in/ekEMk7YS Association Sciences Po Urba, In Situ - Ecole urbaine Sciences Po, Ilaria Milazzo, Bertrand VALLET, Saskia Wallig, patrick Le Galès, Brigitte Fouilland, Clément Boisseuil https://lnkd.in/eRFJN5Gb
Ville du Quart d’Heure, Région des 20 min : les proximités métropolitaines en question
sciencespo.fr
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On s'était dit rendez-vous dans 10 ans. Cet fête précisément ses 10 ans. Sans doute parce qu'il n'a que 10 ans, il a l'âge de raison mais pas encore toute sa maturité. En effet, alors même que la loi NOTRe a réouvert le débat sur l'aménagement du territoire et que textes et programmes ont étoffé les outils destinés à rééquilibrer l'espace en renforçant la place des petites et moyennes villes, les résultats sont contrastés. Volontarisme et COVID, crise et résilience ont rappelé cette urgence à aménager et disposer de pôles intermédiaires sans pour autant pouvoir contrebalancer l'attraction des métropoles. Le territoire continue de se fragmenter et les inégalités qui en découlent se poursuivent. Alors, oui il y a encore une urgence à agir. La République est une et indivisible mais le territoire est multiple. Penser l'espace c'est croire aux espaces intermédiaires qui contribuent localement à la promesse du pacte républicain.
Petites villes : un avenir hors des métropoles ?
lagazettedescommunes.com
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[ CONTRAT DE VILLE MÉTROPOLITAIN ✍️ ] Ce matin, LIGERIS a signé le nouveau contrat de ville de la métropole tourangelle aux côtés de Patrice Latron, préfet d'Indre-et-Loire, Frédéric AUGIS, président de Tours Métropole Val de Loire et de tous les partenaires. ✍️ Cette signature est l’aboutissement de nombreux mois d’échanges et de travail pour définir les grands enjeux et orientations stratégiques qui seront mis en œuvre dans les 13 quartiers prioritaires de notre département. ▶️ 4 enjeux locaux : - Des quartiers attractifs et ouverts sur leur environnement - Des espaces publics apaisés et sécurisés - Des quartiers mobilisés pour l’emploi, l’insertion socio-professionnelle et l’activité économique - Des quartiers d’émancipation pour les habitants tout au long de leur vie ✅ LIGERIS est partie prenante du contrat de ville et prend des engagements forts en participant à cette signature : - Renforcer la mixité sociale par l’habitat - Améliorer et valoriser la qualité du logement - Dynamiser l’attractivité de nos quartiers - Valoriser l’image des quartiers - Adapter les espaces publics aux usages partagés - Apaiser le quotidien des habitants et agir sur les facteurs de risque de la délinquance - Coordonner les acteurs et habitants pour la préservation du cadre de vie . Marion Attra | Conseil départemental d'Indre-et-Loire | Région Centre-Val de Loire
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Si la métropole bordelaise reste la plus attractive du pays, elle doit néanmoins gérer les revers de cette popularité (logement, déplacements) pour maintenir la dynamique. #Bordeaux #BordeauxMétropole #Urbanisme #Architecture #Immobilier #Logement #Mobilité #Déplacements #Economie
Bordeaux, métropole la plus attractive de France : « Ce classement nous oblige »
sudouest.fr
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Aujourd’hui c’était les rencontres des acteurs de la politique de Ville à la Scène Nationale de Macon - des échanges très intéressants et une présentation inspirée sur la participation citoyenne par l’Agence d’Urbanisme et de développement du Pays de Montbéliard- Échanges riches lors des ateliers (le matin seulement, faute de temps)avec une question qui vu du quartier du Stade en démolition lente, revient dans ma tête de manière lancinante : quelle place pour la mémoire dans les processus de rénovation urbaine ? Non patrimonial ou l’muséal ou nostalgique, mais comme élément dynamique ? Même si le quartier doit être détruit !!! Le travail psychologique de ces « topos » semble indispensable et salutaire. Tout les lieux, contextes, espaces ne sont pas équivalents, mais ne dit on pas « pour savoir où l’on va c’est bien de savoir d’où l’on vient » ? Au vu des temporalités de ces travaux d’aménagements et de transformation, qui rendent souvent l’étude préalable caduc au moment de la réalisation, le temps long qui s’inscrit dans le passé (du moins celui-ci est factuel au regard d’un avenir toujours incertain) ne donne t’il pas des outils pour une inclusion des publics concernés par les changements en cours ? Le passé donne parfois des angoisses d’être transformer en statue de sel, mais l’ignorer c’est se priver d’un outil de « voyance » dans l’obscurité du présent. Alors à quand une modélisation de ces utopies (urbanistique) dans le sillage immédiat et l’élan de ce qui les a fait émerger de l’éther ? Time will tell En tout cas merci pour ces moments de rencontre et d’échanges, ça fait avancer ! #rencontre #BFC #renouvellementurbain #poldelaville DREETS de Bourgogne-Franche-Comte Trajectoire Ressources - Centre de ressources politique de la ville Bourgogne-Franche-Comté
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Professor of Economic Geography & Environmental Management, PhD • Chairholder of the European Chair of Excellence on Circular Economy and Territories
7 moisMathieu OBERTELLI