Manifeste de la vitalité L'orange n'est pas une couleur, c'est une révolution ! Une révolution contre la morosité, contre l'apathie, contre la résignation. Là où l'orange entre, la vie s'éveille. Les murs gris s'animent, les esprits endormis s'éveillent, les cœurs fatigués retrouvent leur rythme. L'orange est le cri de ralliement des optimistes, des rêveurs, des battants. C'est la couleur de ceux qui refusent de baisser les bras, même quand le ciel est gris. Dans les hôpitaux, l'orange est notre allié secret. Il combat la maladie non pas avec des pilules, mais avec des sourires, de l'espoir, de l'énergie pure. Un tableau orange dans une chambre d'hôpital, c'est une fenêtre ouverte sur un monde de possibilités. C'est le soleil qui se lève chaque matin, promettant un nouveau départ. L'orange ne connaît pas la timidité. Il ose, il provoque, il stimule. Il nous pousse hors de notre zone de confort, là où la guérison devient possible. Regardez un coucher de soleil orange et osez me dire que le monde manque de magie. L'orange nous rappelle que la beauté est partout, même dans les moments les plus sombres. L'orange est la couleur de la créativité débridée. Il nous invite à peindre hors des lignes, à rêver plus grand, à imaginer l'impossible. Dans la palette de la guérison, l'orange est notre arme secrète contre la dépression. Il est le rire qui éclate soudain dans un couloir silencieux, la joie qui surgit au cœur de l'épreuve. L'orange est communication. Il brise les barrières, encourage le dialogue, crée des ponts entre les gens. Dans un monde orange, personne n'est seul face à la maladie. Méfiez-vous de l'orange : il est contagieux ! Un sourire orange se propage plus vite qu'un virus. Une pensée orange peut transformer toute une journée. L'orange est action. Il ne se contente pas de souhaiter le changement, il le provoque. Chaque touche d'orange est un appel à se lever, à bouger, à vivre pleinement. Alors n'ayez plus peur de l'orange. Embrassez sa folie, sa joie, son audace. Laissez-le illuminer vos jours, enflammer vos nuits, transformer vos espaces. Car l'orange n'est pas qu'une couleur. C'est un état d'esprit, une philosophie, une façon de voir le monde. Et dans ce monde orange, la guérison n'est pas qu'un rêve - c'est une réalité vibrante et lumineuse. Rejoignez la révolution orange avec ARTCURHOPE - FONDS DE DOTATION. Peignez votre vie, votre art, votre monde avec ses teintes audacieuses. Votre geste généreux vous permet de faire une différence tout en profitant d'avantages financier : https://lnkd.in/g8nbYdHP #bienetreparlart #altruisme #santé #artcontemporain #lartpourtous #lartnoussoigne #lartalhopital #culture #bienetreparlart #culturealhopital #alliancesanteculture #CharlesPepin #LaureMayoud #lionelnaccache Chantal Piani Karine de Labarthe Cécile Chalvet Armand CAIAZZO Arnaud Ameline Alexandre Giuglaris Jérôme de Boisseson Anne de la Roussière Prudhom Anne-Catherine Sylvie Serre
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La vitalité de l'orange, couleur de l'énergie et de la créativité...le pouvoir d'une couleur sur notre état psychologique et sur nos émotions est fort. Et si vous en profitiez pour quelque temps grâce à ce bel orange que nous offrent les feuilles d'automne? #lartquisoigne #artetcoaching #coaching #bienetreparlart
Manifeste de la vitalité L'orange n'est pas une couleur, c'est une révolution ! Une révolution contre la morosité, contre l'apathie, contre la résignation. Là où l'orange entre, la vie s'éveille. Les murs gris s'animent, les esprits endormis s'éveillent, les cœurs fatigués retrouvent leur rythme. L'orange est le cri de ralliement des optimistes, des rêveurs, des battants. C'est la couleur de ceux qui refusent de baisser les bras, même quand le ciel est gris. Dans les hôpitaux, l'orange est notre allié secret. Il combat la maladie non pas avec des pilules, mais avec des sourires, de l'espoir, de l'énergie pure. Un tableau orange dans une chambre d'hôpital, c'est une fenêtre ouverte sur un monde de possibilités. C'est le soleil qui se lève chaque matin, promettant un nouveau départ. L'orange ne connaît pas la timidité. Il ose, il provoque, il stimule. Il nous pousse hors de notre zone de confort, là où la guérison devient possible. Regardez un coucher de soleil orange et osez me dire que le monde manque de magie. L'orange nous rappelle que la beauté est partout, même dans les moments les plus sombres. L'orange est la couleur de la créativité débridée. Il nous invite à peindre hors des lignes, à rêver plus grand, à imaginer l'impossible. Dans la palette de la guérison, l'orange est notre arme secrète contre la dépression. Il est le rire qui éclate soudain dans un couloir silencieux, la joie qui surgit au cœur de l'épreuve. L'orange est communication. Il brise les barrières, encourage le dialogue, crée des ponts entre les gens. Dans un monde orange, personne n'est seul face à la maladie. Méfiez-vous de l'orange : il est contagieux ! Un sourire orange se propage plus vite qu'un virus. Une pensée orange peut transformer toute une journée. L'orange est action. Il ne se contente pas de souhaiter le changement, il le provoque. Chaque touche d'orange est un appel à se lever, à bouger, à vivre pleinement. Alors n'ayez plus peur de l'orange. Embrassez sa folie, sa joie, son audace. Laissez-le illuminer vos jours, enflammer vos nuits, transformer vos espaces. Car l'orange n'est pas qu'une couleur. C'est un état d'esprit, une philosophie, une façon de voir le monde. Et dans ce monde orange, la guérison n'est pas qu'un rêve - c'est une réalité vibrante et lumineuse. Rejoignez la révolution orange avec ARTCURHOPE - FONDS DE DOTATION. Peignez votre vie, votre art, votre monde avec ses teintes audacieuses. Votre geste généreux vous permet de faire une différence tout en profitant d'avantages financier : https://lnkd.in/g8nbYdHP #bienetreparlart #altruisme #santé #artcontemporain #lartpourtous #lartnoussoigne #lartalhopital #culture #bienetreparlart #culturealhopital #alliancesanteculture #CharlesPepin #LaureMayoud #lionelnaccache Chantal Piani Karine de Labarthe Cécile Chalvet Armand CAIAZZO Arnaud Ameline Alexandre Giuglaris Jérôme de Boisseson Anne de la Roussière Prudhom Anne-Catherine Sylvie Serre
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- Mais maman pourquoi tu mets ça dans ton dos ?" - Je lumilutte mon chéri - ça veut dire quoi ? - ça veut dire que je me bats à ma manière pour apporter de la lumière et rouvrir le cœur des gens. Depuis quelques années, il s'est tout refermé parce qu'on ne se parle plus assez. Demain c'est un grand jour, alors je leur adresse un message. - et qu'est-ce qu'il y a d'écrit maman ? "Peu importe le ras le bol, la colère ou la peur, on n'essaye pas le RN pour voir. On n'essaye pas la noirceur et la haine. Tôt ou tard quelqu'un que tu aimes en fera les frais, peut-être toi-même. Bon vote" Ce samedi matin, jour de marché dans ma ville rurale où le RN arrive en tête, j'aurais dans mon dos un panneau avec ce texte pendant que je fais mes courses. Et vous, quelle est votre façon de lumilutter (définition 👇) ? --- Lumilutter : verbe d'action issu de lumière et lutter - agir avec intention et conviction, mue par un espoir radical, qui permet de sortir de l'impuissance. Pour qui lumilutte, se résigner n'est pas une option. Parfaitement lucides sur les difficultés, les lumiluttant.es se concentrent sur les failles sur système, sur l'étendue des possibles et sur le potentiel humain. Jeanne Henin Livre "les mots qu'il nous faut" avec Sandrine Roudaut
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Café filtre ou sans filtre ? À mon tour, je me suis laissée séduire par le chant des sirènes de l’IA… le résultat est plutôt sympa ! Une autre version de moi peut-être, qui cependant n’est pas tout à fait moi. Et je me questionne du coup sur la production des écrits qui a été la première à bénéficier de l’intelligence artificielle. Autant je disais récemment à mes collègues que l’IA n’allait pas de sitôt remplacer le service en salle de restauration, car c’est le lien humain authentique, ce lien de cœur à cœur, qui fait toute la qualité du service, et cela ne faisait pas débat. Autant ici, la démonstration semble moins évidente, et pourtant ! Que devient la communication si les mots ne sont pas habités ? S’ils ne sont pas animés et portés par nos tripes (certains parleront ici de l’âme), autrement dit les parties les plus profondes et les plus lumineuses de notre être, que devient notre message ? Qui n’a pas déjà été traversé, voire transpercé par la puissance et la justesse des mots, comme une flèche qui viendrait toucher sa cible en plein cœur ? Qui n’a pas été touché par l’enveloppement et la douceur des mots, comme la caresse d’une plume ? S’ils sont justes et à-propos, et si le timing est le bon, les mots éclairent et ouvrent des portes sur d’autres mondes. Et ils viennent de nos profondeurs, de la présence que nous habitons, à l’intérieur de notre corps. Il n’est pas question ici des pensées, de l’ego et du mental. Je te parle de ta présence incarnée, celle qui vit au présent. Et depuis cet espace, depuis les profondeurs de ton être sortent des mots habités, nourris et densifiés. Ils sont TA vibration. À la lumière de ce processus, il m’apparaît évident de pouvoir t’accompagner aussi sur ce chemin de reconnexion. Écrire, c’est créer, c’est mettre en forme, c’est diffuser une énergie qui rayonne, qui circule et qui va venir toucher précisément les bonnes personnes. C’est impacter avec des mots matière, qui sont mis en corps. C’est insuffler à tes offres toute la puissance et la beauté de qui tu es. Je pourrai en parler des heures, mais je vais retourner à mon café, le vrai, parce que la tasse sur la photo est vide 🤣🤣🤣 🩵
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Questionnement...
FIRE-COACH - CONFERENCIER - ECRIVAIN - EDITEUR - POETE - CHERCHEUR - CHANTEUR - COMPOSITEUR - ENSEIGNANT - FORMATEUR - CO FONDATEUR D'ESPRIT FIRE-COACH
"Happé ou Happy ? Sais-tu réellement au plus profond de toi, quelle direction donner à ta vie ? T'autorise tu parfois encore ce type de questionnement, ou fais-tu simplement partie de ceux qui, régulièrement se renient, s'ignorent et bien trop souvent s'oublient ? A se laisser bringueballer dans un monde particulièrement agité, A toutes ces parts, de nous même pillées, au risque de s'égarer, A toutes ces existences détournées d'un juste chemin emprunté, Que te rappelle aujourd'hui ton rêve d'autrefois oublié ? Happé ou happy ? De tant de techno'logis habité D'une digitale folie sans arrêt, D'une masse d'infos à ingurgiter Où sont passés les options "pause", Et la touche "replay" ? Happé ou happy ? As tu toi aussi remarqué Tous ces passants arrêtés, Tous ces visages figés, Les regards vides de voyageurs hypnotisés, Par des écrans plats de quelques centimètres carrés Dont ils ne parviennent plus à aucun instant à se détacher ? Happé ou happy ? Ce monde en globalité câmé et cramé... Happé ou happy ? Dans le smart Aphone de la numérisation de nos élans de vie, Je rêve et je prie D'un retour aux saveurs et senteurs de nos propres natures perverties, Déconnectées du vrai parce que faussement connectées en 5G. Happé ou happy ? Qui sait aujourd'hui qui dit vrai Si ce n'est cet enfant en corps oublié Celui qui tout petit en toi te disait Un jour quand je serai grand Je serai ... Happé ou happy... Qu'attends-tu pour enfin te prononcer ?" Nicolas Goudenove
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Le fan club non officiel de Asma MHALLA vous propose de jouer à 1-2-3-Soleil ! Ou comment faire pour que votre cerveau ne soit pas le champ de bataille du XXIe siècle ... 😱 Source Asma MHALLA (Licorne certifiée 🦄) : Essai #Technopolitique et Konbini News sur la culture du vide (oui, oui la vidéo sur les chats qui pètent … 🙀🤦♀️). Avec les réseaux sociaux, le ciel de notre libre arbitre s’obscurcit de jour en jour de particules fines et lourdes, toxiques, de manipulation cognitive individualisée et de masse 😱. Pourtant le soleil est toujours là … au dessus des nuages et il ne tient qu’à chacun de nous d’adopter les bons réflexes pour les percer et de nouveau voir apparaitre les rayons salvateurs 🌞. 1 – Prendre du recul 🤔 Afin de démystifier l’évènement, la sollicitation, l’interpellation, la (fake ?) news et éviter de réagir sous saturation informationnelle et cognitive, il faut se poser les questions essentielles de détachement face à l’évènement : 🤔 Qui ? 🤔🤔 Qui me parle ? 🤔🤔🤔 D’où me parle t’on ? 🤔🤔🤔🤔 Qui me dit quoi dans quelle intention ? 2- Marquer une pause ✋ Après une exposition à un contenu, ne jamais engager aucune action (like, share, follow, etc.) dans les 5s qui suivent, le temps de basculer du circuit cognitif premier des réflexes et croyances à celui de la pensée froide et du raisonnement (il parait qu’en haut lieu ça les fait sourire 😢). 3- Postures : Du savoir vivre que diable 😘 Injures, insultes, invectives deviennent la norme, en somme un certain manque de savoir vivre ensemble. Une posture d’humilité (je ne suis pas expert mais j’ai des choses à dire) et de bienveillance (même pour exprimer une divergence d’opinion ou un désaccord) permet de débrutaliser les débats tout en se faisant entendre. Soleil 🌞 Pour ne pas être qu’une coke de charbon dans la chaudière à vapeur bouillonnante des réseaux sociaux (Oh my God 😱 mais il a quel âge Etienne ?!?), en somme, un simple combustible alimentant leurs emballements, MAIS ETRE un acteur citoyen impliqué et conscient. Mode d’emploi en commentaire (Pensée spéciale à Natacha Israël (PhD) qui m'a récemment réconcilié avec Hobbes 😘) #ia #ai #reseauxsociaux #tiktok #twitter #x #facebook
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Il fut un temps où les réseaux sociaux et la technologie n’avaient pas encore envahi chaque instant de nos vies. Les moments partagés étaient plus précieux, les regards plus compatissants, et les discussions plus profondes. Aujourd’hui, nous sommes constamment connectés, mais paradoxalement, nous n'avons jamais été aussi déconnectés les uns des autres. La technologie, avec ses promesses de rapprochement, a souvent tendance à nous isoler. Nos écrans sont devenus des barrières, nous coupant de la chaleur humaine, des sourires et des étreintes réconfortantes. Nous sommes enfermés dans des bulles virtuelles, où l’authenticité cède souvent la place aux apparences trompeuses. Les réseaux sociaux, ces vitrines de vies idéalisées, nous font croire que le bonheur est mesurable en "likes" et en commentaires. Mais derrière ces écrans se cachent des réalités souvent bien différentes. La comparaison incessante nous vole notre paix intérieure, nous plonge dans une quête insatiable de validation et de perfection inatteignable. Nous comparons nos vies à ces images soigneusement sélectionnées et éditées, oubliant que chacun cache aussi des moments de doute, de tristesse et de difficulté. Nous voyons les réussites des autres, leurs moments de joie, mais rarement leurs échecs et leurs luttes. Notre bien-être psychologique en souffre en silence. L’anxiété et la solitude se glissent sournoisement dans nos vies, exacerbées par cette connexion permanente qui, paradoxalement, nous isole. Nous perdons le goût des conversations vraies, de ces moments partagés sans filtre ni artifice. Il n’est pas trop tard pour trouver un équilibre et de lever les yeux de nos écrans, de tendre la main à ceux qui nous entourent et de redécouvrir la beauté des interactions humaines. Chaque sourire échangé, chaque parole sincère, chaque étreinte partagée est une victoire contre l’isolement. Redécouvrons la richesse de la présence de l'autre. Osons débrancher, même un instant, pour nous reconnecter à l’essentiel : nos proches, nos amis, notre communauté, les petits plaisirs de la vie tout simplement. Les réseaux sociaux et la technologie ne sont pas nos ennemis, mais il est crucial de les utiliser avec sagesse, sans leur laisser le pouvoir de détruire ce qui fait de nous des êtres profondément humains. Bon mercredi à vous tous!
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Week-end « 𝗨𝗻 𝗽’𝘁𝗶𝘁 𝘁𝗿𝘂𝗰 𝗲𝗻 𝗽𝗹𝘂𝘀 », le film. 𝗔𝗹𝗹𝗲𝘇 𝗹𝗲 𝘃𝗼𝗶𝗿 ! Pour votre équilibre, votre mindset, votre santé, mieux qu’un package « 5 fruits – 5 heures de salle – 5 afterworks » ! Je ne vais pas vous faire de comparaison bancale du type « 𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑙’𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒𝑝𝑟𝑒𝑛𝑒𝑢𝑟𝑖𝑎𝑡... » en lien avec mes activités, franchement, on s’en fout bien ! Je vais également passer outre les clichés de la montée des marches, la polémique des grands couturiers ou la rampe d'accès au palais. Le buzz de Cannes, aussi bon soit-il pour la visibilité, reste superficiel. Je m'efforcerai de ne pas tomber dans le cliché du « 𝑅𝑆𝐸 𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑝𝑡𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑏𝑎𝑟 », en vous disant que ce film offre « 𝑢𝑛 𝑎𝑢𝑡𝑟𝑒 𝑟𝑒𝑔𝑎𝑟𝑑 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑒 ℎ𝑎𝑛𝑑𝑖𝑐𝑎𝑝 𝑚𝑒𝑛𝑡𝑎𝑙 » et encourage une « 𝑚𝑒𝑖𝑙𝑙𝑒𝑢𝑟𝑒 𝑑𝑖𝑣𝑒𝑟𝑠𝑖𝑡𝑒́ ». Je pense aux familles devouees, aux professionnels qui ont dû transformer radicalement leur vie pour une existence pleine de défis et de sacrifices, mais aussi de bonheurs inattendus. Ils méritent bien plus que de simples slogans. Sur ce sujet, il y a des experts à suivre et à écouter – coucou Camille Coulombel, Sandra THOMAS et Ivan CAMUGLI 💡🇷🇪 , vous êtes mes cheffes de file. Alors voilà : d’un point de vue cinématographique, c’est génial. Ça joue bien, c’est drôle (avec un humour frais et original), le scénario est solide, et c’est brillamment réalisé. Sur le plan émotionnel, ca bouleverse completement : mon fils de 12 ans, qui voulait voir « Godzilla 9 » ou « Planète des Singes 12 », en a pleuré (pendant et après), et moi aussi. C’est rare qu’on reste scotchés 5 minutes aux sièges en fin de projection, éconduits par le personnel de nettoyage, sans attendre une scène bonus à la Marvel. Sur le plan humain, vous comprenez rapidement pourquoi vous aimez instantanément les 11 acteurs en situation de handicap qui ont ce p’tit truc en plus, et tout ceux que vous rencontrez dans la vraie vie : 𝗟𝗼𝗿𝘀𝗾𝘂’ 𝗶𝗹𝘀 𝗰𝗼𝗺𝗺𝘂𝗻𝗶𝗾𝘂𝗲𝗻𝘁, 𝗶𝗹𝘀 𝗻𝗲 𝗺𝗲𝘁𝘁𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗱𝗲 𝗳𝗶𝗹𝘁𝗿𝗲. Ils expriment leurs émotions, joie, peur, colère, sans passer par les prismes d’ « adultes normaux », que nous avons laborieusement construits et qui sont dissimulés derrière des façades socialement acceptables ou les convenances qui régissent nos interactions quotidiennes. Vous ressentez instantanément de l’amour, le plus pur, l’« Agapé » du grec ancien. Et oui, notre société est malade : elle privilégie la surface au détriment de la substance. Nous sommes tous handicapés. Et maintenant, quelle est la suite ? Le film pourrait faire bouger les lignes, comme « le 8e jour » à l'époque, pour accélérer l’inclusion et effacer les discriminations. Suffisamment ? Sans doute pas. Mais gardons espoir. La mise en lumière est souvent le premier pas déclencheur des changements indispensables. Et vous, avez-vous vu « Un p’tit truc en plus » ?
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[Performance] « Tout ce qui est excessif est insignifiant. » En faisant l’éloge de la modération, cette pensée de Talleyrand semble touchée par la grâce de la sagesse. Indéniablement d’actualité, j’aime la faire sonner tel un mantra dans nos quotidiens hyper connectés et sur-stimulés où l'excès éclipse de plus en plus la quête de sens… Un grand poncif de notre époque est de dire que nous vivons dans ce que Guy Debord appelait «la société du spectacle». Désormais au contact du monde par le biais de nos smartphones, nous vivons nos relations sociales à travers le filtre trompeur de nos écrans. Ce spectacle est-il excessif ? Certainement. Dans le monde professionnel, je tire trois leçons d’équilibre de cette lecture. Sur les réseaux sociaux d’abord… où à la déculturation de notre époque s'ajoute l'envie de «maîtriser sa communication», au point que l'excès finit la plupart du temps par la tuer. On parle en posts et en partages, on vibre en stats et en hashtags. Le nuage devient brouillard. Alors ici plus qu’ailleurs, ciblons pour ne pas encombrer, pesons pour ne pas laisser la valeur des mots se diluer. En matière de gestion de crise ensuite… la sur-réaction est souvent perdante. Loin d’estomper le soupçon, elle l’épaissit. «Plus ça cause, moins ça peut», écrivait Régis Debray. Dans ce genre de situation souvent violente, les choix des éléments de langages martelés et des gesticulations médiatiques alimentent la défiance. Le porte-parole, son organisation et parfois tout son écosystème en sortent encore plus fragilisés. Avant toute action, redonnons place au temps, au silence et à la réflexion. Au bureau enfin… lorsque quantité n’est pas toujours synonyme de performance. Surabondance de mails, surconsommation d’heures supp’, superposition de rendez-vous, de réunions, de devis ou d’appels. On en perd la priorité, le sens, parfois l’engagement. Or, c'est dans l’engagement que naissent les réussites durables. Apprenons à dire non au superflu, à nous concentrer sur l'essentiel, à évaluer la réelle valeur ajoutée du temps consommé. En bref, une réaction impulsive, un déballage d’énergie ou une communication trop fréquente peuvent nuire à notre image, notre performance ou notre capacité à résoudre un problème de manière constructive. Cultivons la sobriété, contraignons nous à la modération et laissons ainsi réapparaitre le sens de ce que nous entreprenons… #rh #intelligenceémotionnelle #bienveillance #communicationdigitale #developpementpersonnel Marina Ferrari Hervé Gaymard L'Agence Savoie Mont Blanc Département de la Savoie @followers
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#Édito ou #autoportrait #analytique #nocturne Je ne suis pas beau, mais, je m’aime : c’est l’essentiel ! Le milieu de la nuit, l’instant calme malgré la chaleur quelque peu lourde, mais l’ambiance tellement douce avec la pause de la densité effervescente d’une journée olympique. Un confort pour le repos des yeux face à ce brouhaha multicolore et nullement indolore, un privilège pour la quintessence sonore à l’abri de toute pollution auditive. Seul un lointain bruit de réfection de la chaussée par les employés municipaux qui s’affairent à reconstruire la route pour la rendre aux automobilistes dès les premières heure de la matinée, vient troubler la tranquillité. Rien de bien perturbant pouvant porter atteinte à l’inspiration: la rédaction d’un scénario que je dois mettre en phase de réalisation pour un premier long métrage 100% fiction. Enfin si ! Une chose !! Un mail reçu en fin de soirée. Et une phrase qui me raisonne encore et encore… « Monsieur, Si vous aurez le temps de lire mon messages parmi vos nombreux mails, (…) Je vous remercie d’être toujours aussi naturel à la télé et surtout montrer que les personnes dénuée de beauté divine peuvent s’exprimer avec charme et facilité devant des milliers de téléspectateurs (…) » Les critères de beautés…. Arffff !!! Dites-moi, la beauté ! Qu’est-ce sans le charme qui l’accompagne ? Le physique qui se fane avec l’âge ??? La beauté touche les sens et le beau touche l'âme. Pour moi, une belle âme me ravit partout où je la trouve, et je cède facilement à cette douce violence dont elle nous entraîne quelle que soit sa forme. Là où les critères de beauté varient tellement en fonction de paramètres dont chacun garde jalousement le secret. Il est vrai que les hommes sont aussi jaloux sur le chapitre de l'esprit que les femmes sur celui de la beauté. Donc à l’ Élysée comme dans les égouts de Pzris pour jauger la qualité de l’eau de la Seine pour les JO, je préfère rester en harmonie avec ma propre personnalité en accord avec ce qui fait essence de ma phylogénétique. En plus clair, rien à voir avec le narcissisme… je ne suis pas beau, mais, je m’aime : c’est l’essentiel !!! Petit détour par la fenêtre avant de rejoindre mon lit et tenter d’inviter Morphée dont les bras me sont infidèles à cet instant. Oups ! Au bas de la rue, dans la pénombre d’un lampadaire, un couple trop pressé d’échanger la succulence de leurs effluves corporelles s’adonnent à des plaisirs inavouables. Spectacle voluptueux, me dois-je l’avouer, secrètement inspirant pour un auteur infortunement solitaire. Mais il est temps de les abandonner à d’autres regards indiscrets et de retrouver mon lit. Ainsi va ma nuit !
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322/365 🥁 Quoi de mieux qu'un podcast natif pour parler de musique qui bouge, qui fait bouger, qui met en mouvement ? Pour le média Jam (RTBF), la journaliste Camille Loiseau est allée explorer l'intersection entre bon son et révolution, entre industrie musicale et lutte sociale. L'alternance entre reportages dans les salles de concert et interviews in situ posées fonctionne bien, la narration est convaincante, et on sort de l'écoute avec l'envie d'en faire, de la musique, d'en écouter, et de se fondre dans la foule. La puissance de la musique, c'est son collectif. - Sa présentation ✍️ : « Imaginez un monde où la musique n’est pas qu’un simple divertissement, où prendre le micro c’est politique, où les lieux de fête sont aussi des endroits de luttes et de revendications… Bienvenue dans l’ici, et maintenant ! Et si se rassembler c’était déjà participer à un nouveau projet de société, plus juste et plus inclusive ? Né de la passion pour les sons, ce podcast explore des luttes sociales telles que le féminisme, l’antiracisme, la culture durable ou encore la lutte contre les violences sexistes et sexuelles. En allant sur le terrain, à la rencontre de celles et ceux qui refusent de rester silencieux, cette série met en lumière les marges. C’est dans ces alternatives qu’elle trouve des solutions sociétales, globales et durables » - Ses mentions spéciales 👏 | Écriture, conception, prise de son et montage : Camille Loiseau. Composition musicale et co-réalisation : Théo Rota. Mixage : Christophe Loerke - Son lien d'écoute 🔗 : https://lnkd.in/dJxaPEKz - - - 🎧 Le projet « Grégoire écoute », c’est une nouvelle recommandation de podcast chaque jour de l’année 2024 : tous sujets, tous formats, toutes longueurs et tous moods, 365 podcasts qui m'instruisent, m'émeuvent, me divertissent et m’ouvrent l’esprit. 📱 @gregoirecoute sur TikTok, Instagram, Facebook, Twitter, LinkedIn et YouTube
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