Post de Art En Gare

#Archives epOcc, un site pour raconter les faits d'hier en Occitanie: Sous la coordination de l'agence régionale Occitanie Livre & Lecture, un groupe d'archivistes et de bibliothécaires se sont lancés à corps perdu dans une série d'enquêtes. Mieux que les cold cases, voici les « enquêtes patrimoniales d’Occitanie », ou epOcc, à retrouver sur un site dédié et un compte Instagram.@ActuaLitte

#Archives epOcc, un site pour raconter les faits d'hier en Occitanie: Sous la coordination de l'agence régionale Occitanie Livre & Lecture, un groupe d'archivistes et de bibliothécaires se sont lancés à corps perdu dans une série d'enquêtes. Mieux que les cold cases, voici les « enquêtes patrimoniales d’Occitanie », ou epOcc, à retrouver sur un site dédié et un compte Instagram.@ActuaLitte

❓ Faire de l'histoire scientifique des sapeurs-pompiers : les sources ❓ ➡ Véritablement construite à la fin du XIXe siècle, l’histoire comme discipline scientifique a pour but de restituer les faits du passé. L’historien est une sorte d’enquêteur qui, suivant les traces du passé, cherche à comprendre leur chronologie, leur imbrication, leurs logiques. ➡ En ce qui concerne le monde des sapeurs-pompiers, les traces du passé, c’est-à-dire les sources primaires, sont très nombreuses : aux documents d’archives (pièces administratives provenant des autorités locales, états nominatifs, diplômes, budgets et pièces comptables, correspondances, faire-part de décès, registres de matricules militaires, prototypes de véhicules…) s’ajoutent les artefacts (pompes à incendie, véhicules, tuyaux, lances, sapes, sceaux, extincteurs, médailles et coupes, casques et uniformes, écussons, pucelles, matériel de secours à victime…). Toutes ces sources témoignent de la vie de sapeurs-pompiers à un moment donné : les étudier permet de saisir un usage, un besoin. ➡ Aujourd’hui, la collecte de ces sources entend se développer. 1️⃣ D’abord, les centres d'archives publiques (Archives nationales, Archives départementales) collectent et conservent les sources provenant des administrations publiques en charge des sapeurs-pompiers (préfectures, mairies, conseils départementaux…). 2️⃣ Ensuite, et c’est une initiative nouvelle ces dernières années, des passionnés d’histoire et bien souvent, d’anciens sapeurs-pompiers eux-mêmes, se réunissent pour organiser la collecte du matériel ancien et éviter qu’il ne soit jeté à la poubelle. Ces commissions histoire et patrimoine sont chapeautées par la Commission Histoire de la Fédération nationale. Elles permettent de faire la jonction entre centres de secours, UD, SDIS et particuliers, pour donner une seconde vie au matériel ancien. En le collectant, elles les restaurent, les stockent et certaines les proposent même à la visite en mettant sur pied de véritables musées ! ➡ Ces initiatives locales sont cruciales en ce qu’elles permettent de conserver ces traces du passé et, parfois même, celles du présent. Le VSAV d’aujourd’hui deviendra une source pour l’historien des sapeurs-pompiers dans 50 ou 100 ans ! ➡ Sans ces sources, collectées et conservées par les centres d’archives publiques, les associations ou les particuliers, l’historien est aveugle. On ne fait de la recherche historique que parce que l’on dispose de sources sur lesquelles appuyer notre argumentation. 💡

Un chantier, cela fait du bruit, et cela a toujours fait du bruit. Mais, dès lors que nous ne disposons d’aucune machine à remonter le temps qui soit vraiment efficace, comment savoir ce qu’entendaient, par exemple, les riverains du chantier de construction de Notre-Dame de Paris en 1170 ? Et les batailles du passé, quels bruits faisaient-elles ? Et les fameux embarras de Paris ? Et les outils des artisans d’autrefois ? Grâce au progrès technique, une « archéologie » des paysages sonores est récemment devenue possible : elle consiste à « faire entendre l’histoire » en transmutant le passé en bande sonore. L’espace-temps serait-il en train de franchir le mur du son ? Nous en discuterons ce vendredi 23 février à 16 heures sur France culture, avec Mylène Pardoen, ingénieure de recherche au CNRS, archéologue des paysages sonores.

LES PIEDS SUR TERRE👇POUR CE QUI NOUS UNIT https://fb.me/e/5D9JHfUHw Comprendre la rigueur du travail des cartographes, ce qu’est la donnée cartographique et pourquoi elle est, avant tout, une affaire intemporelle de citoyenneté, de sécurité collective et celle de l’État. Et pourquoi LA DONNÉE N’EST JAMAIS DONNÉE. À l’heure où nous avons à notre disposition tous les outils numériques qu’il faut pour réaliser nos cartes confortablement, il faut le redire, concevoir une information de qualité dans le respect de l’attente des publics, respect de notre déontologie, celui de la mémoire à laisser aux futures générations, doit demeurer un engagement civique constant. Ceci en réponse aux fausses interprétations dues à la méconnaissance de nos métiers bousculés par l’incompétence, les coupes budgétaires sans conscience de l’avenir, vent debout contre les désinformations qui polluent l’esprit public. ALORS, LA CARTO QUÉSAKO ? Cette question jaillit dans notre monde en mouvement. Elle concerne la société civile et notre citoyenneté qui interroge lorsqu’elle se sent flouée par les désordres de l’information que les ‘ cartes ’ (!) envahissant nos médias lui soumettent inconsidérément. CARTOGRAPHIER, C’EST, D’ABORD, SAVOIR RETRANSCRIRE LE RÉEL SANS LE CORROMPRE. Pour pouvoir cartographier la Terre, il faut la mesurer — c’est le rôle de la géodésie terrestre et spatiale. Quelle que soit l’application, il n’y a pas de cartographie envisageable sans le travail scientifique de la géodésie. Ce travail contribue à l’étude des formes et dimensions de la Terre, des variations de ses champs gravitationnels, des déplacements tectoniques. C’est à partir de ce travail scientifique que peuvent s’élaborer l’information géographique et cartographique, le traitement de bases de données liées à des objets ou à des phénomènes géolocalisés et géoréférencés. La géodésie fixe les coordonnées géographiques servant d’ossature à toute représentation cartographique de nos espaces et de nos territoires. Le levé des mesures mobilise de multiples compétences institutionnelles chargées de coordonner les séries d’opérations dans l’espace et sur le terrain à l’appui de points de repère précis, appelés points géodésiques, constituant, pour l’ensemble du territoire national, un canevas géodésique cohérent entretenu par l’État qui en a la charge. TOPOGRAPHIER consiste à lever et à représenter graphiquement les mesures d’un lieu sur un format réduit dans un rapport constant défini par le choix d’une échelle, sur une projection adaptée à la volonté de déformer le moins possible les distances et les angles sur la carte. La carte qui rend compte du lieu représenté le plus exactement possible est appelée ‘ CARTE DE BASE ’. Elle est un préalable à toute production cohérente de cartographies dérivées à plus petites échelles conçues sans rechigner à l’effort ayant pour but de… 👁🔎 VOUS INFORMER 🥳 Bienvenue dans le monde extraordinaire mais inconnu de la mesure de la donnée !

Merci à Olivier Namias pour cet article sur ce pavillon poétique et magnifiquement photographié par Florent Michel

[Sentier de mémoire] Création d’un Centre de Ressources Documentaires 📢Appel à témoignages ⚪️ Le territoire de l’Arc Mosellan a toujours été marqué par son histoire en lien avec les enjeux de guerre pendant les deux guerres mondiales – du fait de son positionnement géographique en Alsace Moselle, de la présence de la ligne Maginot, des populations déracinées, des annexions allemandes (1871/1918 et 1940/1944), des habitants enrôlés de force devenus Malgré-nous … ⚪️ L’héritage du passé tend à disparaître progressivement alors même que nous savons collectivement qu’il est important de transmettre l’histoire aux générations futures. 👉 Dans ce cadre, l’Arc Mosellan développe un centre de ressources documentaires et propose à ses habitants de contribuer à son enrichissement. 📷🎥🎧 Témoignages, récits, photographies seront collectés jusqu’au vendredi 29 novembre 2024. L’ensemble des données servira au travail de restitution orchestré par une résidence d’artistes qui prendra place sur les terres de l’Arc Mosellan au dernier trimestre 2024. 📍Cette grande collecte sera utilisée à terme à la création d’un Sentier de Mémoire. 📢 Nous comptons sur votre mobilisation à tous, habitants, réseaux familiaux et associatifs, pour agrémenter cette grande collecte historique, qui sera la première étape de la réalisation du Sentier de Mémoire de l’Arc Mosellan.

👏 Youpi c'est vendredi, l'heure de la recommandation de sortie à Paris. 🗼 ⚓️ Cette semaine, vacances scolaires obligent, je vous conseille une sortie en famille au Musée national de la Marine, fraîchement rouvert après six ans de travaux. 🗼 Au sein du palais de Chaillot, jouxtant le musée de l'Homme, faisant face à la Tour Eiffel, le musée retrace de l'Antiquité à nos jours l'histoire de la navigation à travers plus de 900 pièces restaurées. 🤓 Avec sa muséographie moderne, mêlant matériaux nobles, salles thématisées (celle du naufrage vaut le détour) et animations multimédia, on y découvre les grandes explorations, les batailles navales, la vie des marins et l'évolution de la construction navale : un récit vivant et fascinant de l'histoire maritime française (petit rappel : la France possède par sa superficie le 2ème domaine maritime au monde!) 🧒 Si le musée brille par sa richesse et son interactivité, il se révèle peut-être un peu technique pour captiver les plus jeunes (on m'indique que néanmoins un parcours en audioguide rend le parcours beaucoup plus ludo-éducatif, lien en commentaire). 🎬 Encore pour quelques mois, l'exposition temporaire sur la représentation de la mer au cinéma (Objectif Mer) ajoute une note ludique à la visite. #MuséeDeLaMarine #HistoireMaritime #SortieCulturelle ————— 📩 Chaque semaine, j'aborde 5 sujets clés de l'actualité médias, tech et de leur impact sur la société dans ma newsletter #LeWrapUp. Pour d'autres news comme celle-ci, abonnez-vous via le lien dans le premier commentaire.

LA PRÉCISION DE L’ART DE LA PAIX EST LEUR ENNEMIE. Là, la paix tenue d’être invisible pour permettre sa colonisation. Écrasée par ses propres ambassadeurs ! 27.O1.2O24 #Souvenirs ? Jasmine Desclaux-Salachas les Cafés-cartographiques 👁🔎🫧👇 LA RAISON ET L’HÉRÉSIE 04.01.2O2O https://lnkd.in/e2iWhjKZ Parlons cartographie. Il y a la cartographie gloubiboulga, la cartographie du vide, commode, très à la mode, sur laquelle nous ne nous attarderons pas pour le moment. C'est compliqué de créer UNE CARTE. Pour commencer, il faut créer la carte dite ' CARTE DE BASE' qui reste partout l'affaire de l'État. Il faut travailler à grande échelle, c'est-à-dire relever chaque détail du territoire d'abord à l'échelle du 1/1 pour le généraliser d'une échelle à une autre, dans la volonté commune d'informer. Quels que soient nos outils de production, nos méthodes d'exécution, la carte à réaliser doit être fidèle au terrain qu'elle dessine, digne de nos curiosités, à hauteur de l'urgence de bien informer, pensée pour l'intérêt général qui n'est plus du tout à la mode, plus du tout. Pourtant, ici, ce n'est que l'intérêt général qui prévaut. Ce qui nous intéresse, c'est la qualité de l'information mise à notre disposition à travers ce qui est communément appelé ' UNE CARTE', combler les vides, remplir les blancs, apprendre à mieux comprendre, voir pour entendre. Pour obtenir de véritables cartes, il faut les orthophotographies du territoire. Il faut savoir les interpréter. il faut se déplacer sur le terrain, le mesurer, le relever, l'étudier et reporter chaque tracé précisément à l'échelle du document final. Nous y reviendrons en détail lors des prochaines expositions des travaux cartographiques de Battir, seules données topographiques spatialisées disponibles (depuis 2012) pour expliquer publiquement nos travaux d'ordinaire confidentiels — les dates de nos prochains rendez-vous seront annoncées dans les mois qui viennent. Pour cartographier, il faut les relevés et mesures exigeant un travail d'équipe, des compétences précises coordonnées savamment pour permettre de construire une représentation cohérente de la réalité du paysage. C'est tout ce travail d'équipe qui a été réalisé à Battir aprés 2003, jusque fin Novembre 2011, que personne n’a voulu voir ! (…) #Mesurer #Voir #Entendre #Comprendre #Cartographier #Transmettre

#Spot 6-7 📡 La couverture complète de la France métropolitaine acquise en 2023 à très haute résolution spatiale a été recalculée par l’IGN (Institut national de l'information géographique et forestière), permettant d’améliorer la version précédemment distribuée, en particulier sur les zones de montagne. 1️⃣ Cette nouvelle version de la Couverture France métropolitaine est en ligne sur le catalogue du site DINAMIS. Vous pourrez également accéder à ces données en Open Data sur https://lnkd.in/eVaiGNkC. ☑️ Panchromatiques (noir & blanc) à 1.5 m de résolution spatiale : ◻️ Données orthorectifiées : https://lc.cx/xW8oqC ◻️ Données brutes : https://lc.cx/k5PfOK ☑️ Multispectrales (couleur) à 6 m de résolution spatiale : ◻️ Données orthorectifiées : https://lc.cx/pFWGfg ◻️ Données brutes : https://lc.cx/BsxJzI Les couvertures précédentes de la France métropolitaine sont toujours disponibles depuis 2015 sur le catalogue DINAMIS. Ces données sont accessibles gratuitement aux acteurs institutionnels et privés en charge de politiques publiques ou R&D. ➡ DINAMIS diffuse par ailleurs, depuis l’année dernière, les produits ortho rectifiés des couvertures précédentes de la France Métropolitaine en open data depuis le lien suivant : https://lnkd.in/eVaiGNkC.