Post de AS 28 - Accompagnement Stratégie Eure-et-Loir

Et si on parlait de la ressource EAU 💦 C'est justement ce qui se fait sur le CPC Campus Pyrénées Comminges avec les premières agricole🚜, vente 🍅et service aux personnes 🙋et aux territoires L'objectif est de sensibiliser les élèves à: -l'importance de cette ressource dans la vie de tous les jours : des légumes obtenus dans nos jardins à la production d'un Jean (11000 litres) 👖, -la fragilité de cette ressource : surconsommation, pollution (pfas)🍳 -la prévention et les bons gestes 💧🚿🛁🚰 Sans oublier que la ferme de Saint Médard du Campus Pyrénées Comminges expérimente en partenariat avec l'INRAE, la chambre d'agriculture de la Haute Garonne de nouvelles variétés de plantes plus résistantes au stress hydrique pour une meilleure autonomie fourragère et assurer l'alimentation de nos animaux 🐮🐑 Cela passe aussi à faire des choix et d'utiliser au champ les bons outils afin de préserver et retenir l'eau du sol 🚜 #INRAE #CAMPUSPYRENEESCOMMINGES

⚡🤠 Pas de temps orageux à Conches-en-Ouche hier soir. Et pourtant, Serge Zaka avait fait le déplacement pour un exercice de prospective sur les évolutions des pratiques agricoles et des paysages à horizon 2050-2100 en #Normandie. J'en retiens : 👉 Une tendance accrue à un excès d'eau l'hiver et à des étés secs - l'année 2022 deviendra la norme ; 👉 La préservation des sols et des couverts sera cruciale afin de gérer au mieux la ressource eau ; 👉 Une dimension géopolitique à prendre en considération, les productions de blé et de betteraves sucrières se déplaçant plus au nord (Russie, Ukraine, etc.) 👉 Les productions agricoles évoluent d'ores et déjà en Normandie mais ces changements seront plus marqués à compter de 2050 avec quelques observations ⤵️ ☘️ stabilité des rendements fourragers mais décalage de la pousse 🐄 un bien être animal remis en question du fait de la hausse des températures 🍅 des filières maraîchage et arboriculture qui devraient gagner en importance 🍇 le développement de la vigne avec l'arrivée des vins blancs et pétillants dans un premier temps puis des vins de Bordeaux à la fin du siècle 🙏 Merci beaucoup pour ce partage de connaissances et les échanges. Comme le disait Jerome Pasco en conclusion : "Nous ne pourrons plus dire que nous ne savions pas". Et maintenant, on débat #énergie ? Syndicat des énergies renouvelables (SER) I Financement LEADER - Pays de Bernay, de Conches, du Neubourg et du Sud de l'Eure I Syndicat Mixte d'Aménagement du Bassin de l'Iton I Chambres d'agriculture de Normandie

Priorité terre, à petites parcelles taiseuses mais Ô combien convaincantes C'est une émission sur France région paca présentées par Éric Dehorter tous les jours pendant les vacances vers 19 heures. Ces reportages sur le terrain nous amènent à reconsidérer notre mode d'alimentation de façon concrète afin de faire face aux aléas climatiques et à une production à taille humaine et plus variée et à protéger notre environnement . Exemple : De jeunes paysans ou viticulteurs cultivent leurs lopins de terre en diversifiant les variétés de légumes ou d'agrumes en les plantant dans des rangées de terre labourées en prenant soin de laisser entre elles un espace assez large . Ainsi ces espaces les protègent mutuellement et les diffèrentes variétés peuvent durablement garder leur spécificité (plus résistantes à la grêle ou à la chaleur etc..) et pour obtenir un meilleur rendement. En utilisant les méthodes de nos ancêtres et aussi les expérimentations réalisées par les agronomes le résultat est probant et efficace. Dommage que cette èmission ne soit pas diffusée sur nos chaînes nationales à plus grande audience.

Si vous n’avez pas pu être présent au 3ème colloque de PPAM de l’Association Biovallée et à ses débats, retrouvez les principaux sujets sur le documentaire de Radio Saint Ferréol. Découvrez différents témoignages retraçant les solutions et thématiques d’échange pour la filière des Plantes à Parfum Aromatiques et Médicinales : https://lnkd.in/epTRRzVp Le constat du changement climatique est clair et alarmant : sécheresses à répétition, diminution des ressources, effondrement de la biodiversité, bouleversement des phénomènes météorologiques… Les agriculteurs et agricultrices se retrouvent face à de nombreuses transformations environnementales et sociétales. Alors mobilisons nous tous à notre niveau dans ces changements

L’arbre🌳, ami😃ou ennemi👹de l’agriculture ? Les deux !     🌽Ennemi parce qu’il a tendance à reprendre les surfaces agricoles, et donc bloquer le travail du sol avec ses racines.     🐇Ennemi parce qu'il héberge à son pied lapins et rongeurs toujours affamés de graines et qu'il entre en compétition avec les cultures et les animaux par l’ombre portée et l’eau consommée.    ⛱️Mais surtout ! Ami qui protège le champ des coups de vent et des fortes chaleurs, qui nourrit par ses branches les ruminants en cas de sécheresse, ou par ses fruits les hommes.     🪵Et aussi ! Ami qui permet de se chauffer pendant l’hiver avec les coupes d’entretien, voire de vendre le surplus de bois ou d’en faire des piquets de clôture et les manches des outils. Et qui porte dans ses branches basses les oiseaux insectivores, soulageant les cultures de trop de prédation, et dans ses hautes branches les rapaces prélevant lapins et rongeurs.     💧Enfin ! Ami pour l’eau que ses racines permettent de faire descendre dans le sol, rechargeant la nappe, pour la pluie qu’il sait créer en libérant des terpènes (des noyaux microscopiques autour desquels peuvent se former les gouttes de pluie) en cas de sécheresse, et surtout pour les mycorhizes qu'il permet avec les céréales ou autres productions !    Si la révolution industrielle puis la révolution verte ont rendu l’arbre ringard, il est temps de lui redonner sa modernité pour sauver l'agriculture.    👉 Urgence d'arrêt de l’arrachage en masse des haies des bocages !    Je soutiens l’agroforesterie comme solution d’adaptation du monde rural dans mon livre La France Bleu Blanc Vert, publié chez L'ADN. Merci à Fabien Balaguer, Léa Lugassy et Charlène Descollonges pour leurs précieuses contributions à cette partie du livre.    J’en parlerai à Paris : à la @Société de Géographie le 30 mai, à Agrostrophe (La Coopération Agricole & SYRPA) le 5 juin et pour les Anciens de l’École normale supérieure le 7 juin. Mais aussi à Lyon au @Musée des arts décoratifs avec Mazars le 12 juin. Et d’autres dates sont à venir…    #adaptation #resilience #FranceBleuBlancVert #agroforesterie    Marc-André SELOSSE Olivier Hamant Kalina Raskin 🌍Marine Calmet Antoine CADI Laurent Piermont Jean-Guénolé Cornet Sylvestre COUDERT Tom Verheyde Fanny Basteau Marie Hégly Eve Messulam Isabelle Albert d'Argenson Joffrey Côme Oriane Moal Aurore Such Aslan BACHA Adrien de Blanzy Theo Lichtenberg  

Et oui, les Politiques ne parlent que de reverdir les villes, ce qui est une bonne initiative, mais encore faut-il le faire ! Les milieux ruraux souffrent et nous le voyons à chaque épisode de pluies soutenues où l'eau ruissellent entraînant la boue...etc... L'agriculture intensive venue des USA fut globalement néfaste même s'il faut nourrir une population mondiale toujours en importante croissance ! PLEINCHAMP - Prévisions météo, actualités agricoles, cours... Forum International de la Météo et du Climat Weather Solutions NL B.V.

"Dans l'unité expérimentale du Pin pilotée par l'Inrae, on n'est pas sur ce credo. « Le sujet de l'élevage est souvent traité sous l'angle des crises. Or, l'élevage est aussi une solution pour lutter contre le réchauffement climatique, estime Philippe Mangin, PDG de l'Inrae. On a souvent tendance à dire qu'il faut arrêter de consommer de la viande et du lait pour limiter le réchauffement climatique. Mais la fertilisation azotée des sols grâce aux pâturages est essentielle pour la capture du CO2 », poursuit-il. Les prairies sont en effet d'importants puits de carbone , dont l'Hexagone va avoir besoin pour tenir ses engagements de neutralité carbone. La fin de l'élevage en prairie n'est pas donc pas forcément souhaitable, surtout si on arrive à combiner cette pratique avec une baisse des émissions de méthane. Un pari que les chercheurs de l'Inrae sont en passe de réussir. Avec une palette d'outils plus large qu'on ne pourrait l'imaginer. […] « On a encore du mal à faire passer cette idée, mais diminuer la taille des vaches ne veut pas dire qu'elles produisent moins de lait », insiste Pauline Martin. En revanche, elles produisent moins de méthane, d'où l'intérêt de travailler sur l'efficience alimentaire des bêtes pour leur assurer le meilleur apport nutritionnel possible tout en diminuant les quantités. Dans les élevages classiques, chaque vache consomme en moyenne 2 tonnes d'aliments par an. Dans la ferme de Sylvain Quellier, qui travaille en collaboration avec l'Inrae, on est plutôt sur un 1 tonne. Un régime sec ? Pas vraiment. Mais un régime « vert », sûrement, puisque la base de l'alimentation de ses vaches est constituée d'herbe. « Faire manger de l'herbe aux vaches, ça paraît évident mais c'est tout un art. On gère des flux de matière qui ne sont pas toujours compatibles entre la pousse de l'herbe d'une part et l'appétit des vaches d'autre part », remarque Luc Delaby, en arpentant les prés."

Petite fenêtre météo où l’activité dans les champs est plus intense . 3 jours ….3 machines ….3 actions Ici un binage de soja en resemis de tournesol qui n’a pas survécu aux pluies intenses . Précision et rapidité (22ha dans cette journée de lundi ) . Toutes les conditions sont réunies : terre ressuyée , travail à 2 cm , vitesse permettent de ne pas recouvrir les plants de soja , peu d’adventices développées , soleil et température qui favorise la dessiccation des adventices , caméra très précise malgré l’intensité lumineuse de fin de journée Ici l’itinéraire est en AB mais pourrait parfaitement être en « conventionnel progressiste » Cette machine a été achetée en CUMA et a bénéficié d’aides dans le cadre du programme proteines ( vous savez cette filière qui n’arrive pas à s’extraire des dilemmes de sa rémunération et où les politiques publiques restent « molles ») Pourtant de nombreux acteurs travaillent à ce que ces cultures émergent pendant que d’autres favorisent leurs incapacités à être rentables et durables . Cette année sera forcément plus compliquée même si à première vue les récoltes sont bien implantées Le retard d’implantation et de croissance en cette année 2024 atypique seront corrigés par une récolte probablement plus tardive qui sera nécessairement séchée dans le séchoir adossé à l’unité de cogeneration Biogaz HORSCH Simon Dierickx Fédération Nationale d'Agriculture Biologique (FNAB) Région Grand Est Soisic Ollion Agence de l'Eau Rhin Meuse Agence de l'eau Seine-Normandie Office français de la biodiversité LIFE Biodiv'Est

Lancement de la journée "#Semences et #plants, leviers d'avenir pour les Hauts-de-France dans l'hémicycle de la Région Hauts-de-France, organisée par SEMAE en partenariat avec Chambres d'agriculture des Hauts-de-France La filière semences et plants, filière d'excellence dans la Région. Palmarès : 🥇plants de #pommes de terre 🥈semences de #lin derrière la Normandie 🥈semences de #blé derrière le Grand Est Filières pourtant concurrencées par les nombreuses productions régionales et challengées par le #changement #climatique. Nécessaire de maintenir les moyens de production : protection des cultures, eau pour les protéger. Laurent Degenne Marie-Sophie Lesne Jean-Yves Delpouve Sébastien DOUAY Agathe OLIVIERA Odile Oswald bruno DEFIVES Valentin DAVID-LEGLEYE Léa Ledour Charlotte Demay Journel COMITE NORD PLANTS DE POMME DE TERRE Vincent DELAUNAY François Desprez

Quand les résultats de. l'#étude ENVa et INRAE en collaboration avec Les #Bergers Urbains, des micros polluants en systemes ovins innovant en Ile de France (pâturage en ville, eco-paturage en bords de route et pâturage de couverts d'intercultures) s'avère contre intuitive. On trouve plus de résidu Phyto sanitaire dans les fourrage interculture que dans les paturage urbains. Les traces métalliques détectées dans les fourrage ne dépassent pas les LMR (limites maximales de résidus) et les Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques. Des effets bénéfiques du pâturage en milieu urbain sur le profil en acide gras. Plus d'A.G. poly insaturés pour les systèmes en pâturage urbain toute l'année que dans les système interculture avec lactation en bergerie. Détails en PJ. Très intéressé, pour participer a une nouvelle étude sur les éventuels impacts du #vitipastoralisme en #Beaujolais avec les #brebis du Goût d'Épicure sur les brebis (cuivre, souffre, phytosanitaire,hydrocarbure, ....) Parce que l'intuition c'est mieux quand elle est vérifiée scientifiquement, et ça évite de dire faire et colporter pas mal d'erreurs. https://lnkd.in/efGew3eD https://lnkd.in/eG_XPzKR ou ici https://lnkd.in/eeNzjC5a Enva INRAE #bergersurbains #élevageenville #elevageenville #ecopaturage #écopâturage #ecopastoralisme #agricultureurbaine #elevageurbain #AU #ovin #brebis #paturage