𝐑𝐀𝐏𝐏𝐎𝐑𝐓 𝐌𝐎𝐍𝐃𝐈𝐀𝐋 𝐒𝐔𝐑 𝐋𝐀 𝐂𝐎𝐔𝐕𝐄𝐑𝐓𝐔𝐑𝐄 𝐅𝐎𝐑𝐄𝐒𝐓𝐈𝐄𝐑𝐄 𝐓𝐑𝐎𝐏𝐈𝐂𝐀𝐋𝐄 🌳 🚨 Comme chaque année, le World Resources Institute et l'Université du Maryland ont dévoilé leur rapport mondial sur la couverture forestière tropicale. En Indonésie, comme ailleurs, le constat est sans appel : 𝐥𝐚 𝐝𝐞́𝐟𝐨𝐫𝐞𝐬𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐩𝐫𝐨𝐠𝐫𝐞𝐬𝐬𝐞 et c’est une mauvaise nouvelle pour les populations de primates et pour nous tous ! 📉 Avec une 𝐩𝐞𝐫𝐭𝐞 𝟎.𝟐𝟗 𝐌𝐡𝐚 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐫𝐞̂𝐭𝐬 𝐩𝐫𝐢𝐦𝐚𝐢𝐫𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝟐𝟎𝟐𝟑 l’Indonésie a perdu 26% de couverture forestière supplémentaire soit l'équivalent de plus de 4️⃣0️⃣5️⃣ 0️⃣0️⃣0️⃣ terrains de football* ! Ce chiffre vertigineux place l’Indonésie au 4è rang des pays les plus affectés par la déforestation l’an dernier… 👉 Retrouvez l’ensemble des 𝐜𝐨𝐧𝐜𝐥𝐮𝐬𝐢𝐨𝐧𝐬 𝐝𝐮 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭 ici : https://lnkd.in/e_-zDZKw *𝐷𝑢 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑎 𝑑𝑒́𝑓𝑖𝑛𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑒̂𝑡𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑚𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑢𝑡𝑖𝑙𝑖𝑠𝑒́𝑒 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑙𝑒 𝑟𝑎𝑝𝑝𝑜𝑟𝑡 𝑒𝑠𝑡 𝑑𝑖𝑓𝑓𝑒́𝑟𝑒𝑛𝑡𝑒 𝑑𝑒 𝑙𝑎 𝑐𝑙𝑎𝑠𝑠𝑖𝑓𝑖𝑐𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑜𝑓𝑓𝑖𝑐𝑖𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑙’𝐼𝑛𝑑𝑜𝑛𝑒́𝑠𝑖𝑒, 𝑙𝑒𝑠 𝑑𝑜𝑛𝑛𝑒́𝑒𝑠 𝑑𝑢 𝑊𝑅𝐼 𝑠𝑢𝑟 𝑙𝑎 𝑝𝑒𝑟𝑡𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑓𝑜𝑟𝑒̂𝑡𝑠 𝑝𝑟𝑖𝑚𝑎𝑖𝑟𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑛𝑡 𝑛𝑒𝑡𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑒́𝑙𝑒𝑣𝑒́𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑙𝑒𝑠 𝑐ℎ𝑖𝑓𝑓𝑟𝑒𝑠 𝑖𝑛𝑑𝑜𝑛𝑒́𝑠𝑖𝑒𝑛𝑠 𝑜𝑓𝑓𝑖𝑐𝑖𝑒𝑙𝑠. #Deforestation #ForêtsPrimaires #Indonésie #GlobalForestReview #EnsembleAgissons
Post de Association Batang Toru Conservation
Plus de posts pertinents
-
#protection #amazonie #RessourcesHumaines : Bassin amazonien | La parole à Rafaela Molina Vargas Écologue bolivienne, Rafaela Molina Vargas s'intéresse aux forêts avec une approche globale, pour comprendre et aborder les problèmes de la crise socio-écologique. Elle prépare actuellement une thèse sur la déforestation en amazonie bolivienne. À l'occasion du Sommet des trois bassins forestiers, qui se tient du 26 au 28 octobre à Brazzaville en République du Congo, elle revient sur ses recherches et sur les perspectives d'un tel sommet. Quel est ton sujet d'étude ? Je modélise la dynamique socio-écologique et climatique de la déforestation en Amazonie bolivienne en tant que système complexe. Cela passe notamment par la compréhension des dynamiques et rétroactions entre la forêt et les précipitations, car la déforestation entraîne une diminution de la transpiration des arbres et donc une diminution des pluies et un stress accru pour la forêt. Par ailleurs, je vais intégrer les facteurs liés à l'action des acteurs socio-économiques. Sachant que l'agro-industrie du soja destinée à l'exportation est l'une des principales causes de la déforestation en Bolivie, le commerce mondial doit également être pris en compte, puisqu'il est un facteur de déforestation du bassin amazonien. J'essaie ainsi d'intégrer des facteurs globaux dans un problème considéré comme local. Quelle est l’importance du travail avec les peuples autochtones et les décideurs publics dans la gestion de l'Amazonie ? En Bolivie et plus généralement en Amérique latine, la biodiversité est extrêmement riche et coexiste avec les cultures et les modes de vie des communautés indigènes. La participation des populations autochtones est fondamentale pour la gestion des forêts. Les forêts ne sont pas seulement des écosystèmes, mais aussi des territoires et des moyens de subsistance qui ne peuvent être gérées sans les acteurs les plus directement concernés. Source : ird https://lnkd.in/eWxk-bXG Octobre 2024 © IRD
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Le Parc National de Kahuzi-Biega et les grottes du Vieux-Cœur : Une richesse en péril , un devoir à assumer. Vous êtes-vous déjà demandé ce qu’il reste du Parc National de Kahuzi-Biega (PNKB) et des grottes du Vieux-Cœur, ces trésors de la République Démocratique du Congo ? Si je vous disais que nous avons perdu 40 % de la superficie initiale du parc, ça vous interpellerait ? Allons, parlons-en franchement. Hier, un sanctuaire. Aujourd’hui, un champ de bataille ? Imaginez-vous une forêt dense, peuplée de gorilles majestueux, traversée par des rivières cristallines. C’était ça, le PNKB, qui s’étendait autrefois sur Kabare, Kalehe et Walungu, couvrant des milliers d’hectares. Aujourd’hui, ce rêve est en train de s’effondrer. Pourquoi ? La déforestation massive, l’exploitation minière artisanale, et l’insécurité. Mais attendez, qui est responsable ? Les populations locales ? Les conflits armés ? Ou tout simplement notre inaction collective ? Posons-nous les bonnes questions : pourquoi un tel désastre ? 1. Pourquoi la déforestation bat-elle son plein ? Parce que le bois de chauffage et le charbon sont les sources principales d’énergie pour les ménages locaux. Mais au prix de quoi ? De hectares de forêt rasés, de biodiversité perdue, et de sols appauvris. 2. Et l’exploitation minière artisanale ? Celle-ci attire des milliers de creuseurs illégaux, transformant des zones forestières protégées en déserts pollués. Imaginez les dégâts : cours d’eau contaminés, espèces animales en fuite, et écosystèmes détruits. 3. Les populations autochtones, amis ou ennemis ? Elles sont une partie de l’histoire de ces terres, c’est indéniable. Mais leur dépendance à l’agriculture itinérante et à l’exploitation des ressources naturelles accélère la dégradation. Une question brûlante se pose : faut-il les chasser ? Non, bien sûr. Mais peut-on les reformer ? Voilà un défi. Qui sauvera le parc ? Un super-héros?😂Batman ? Non, c’est nous. Alors, oui, on pourrait rêver d’un super-héros pour tout régler d’un coup de cape. Mais soyons sérieux, la solution est entre nos mains. Vous, moi, nous. Protéger nos parcs, c’est protéger une partie de nous. Mais entre exploitation illégale, déforestation et pressions démographiques, nos écosystèmes sont en péril. Que faire ? Devons-nous investir dans des alternatives énergétiques ? Réformer les pratiques locales ? Ou rêver d’un écotourisme inclusif qui valorise nos richesses naturelles ? Imaginez… Des projets où les communautés locales deviennent gardiennes de la biodiversité, où la nature génère des revenus. Mais comment agir ? Et si on se bougeait ? Le PNKB et les grottes du Vieux-Cœur ne sont pas qu’un patrimoine, ce sont nos racines, notre avenir. Si nous ne faisons rien, que restera-t-il pour nos enfants ? Moi, je ne peux pas rester les bras croisés. Et vous ? #Biodiversité #PNKB #Déforestation #RichesseNaturelle #ActionPourLaPlanète #CarmelleTerborg #SapiensNdatabaye #VeroniqueCoutteeJenkins #HenriMatiti
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
La revue de presse du retail : Les forêts tropicales du bassin du Congo menacées par l'exploitation forestière illégale (rapport): Les forêts tropicales du bassin du Congo, région considérée comme "le deuxième poumon de la planète" après l'Amazonie, diminuent de 1 à 5% par an en raison de l'exploitation forestière et minière illégale, selon une étude du Centre d'études stratégiques pour l'Afrique. Alors que 30% de la couverture forestière régionale a disparu depuis 2001, cette dégradation "menace les moyens de subsistance de millions de personnes dépendant des ressources de ces forêts" et pèse sur son "rôle régulateur dans le cycle des pluies de l’Afrique et le processus de séquestration du carbone", indique ce rapport publié en novembre. Menés par des réseaux criminels qui exploitent "les lacunes du cadre règlementaire" avec des complicités officielles nourries par la corruption, le pillage de ces forêts qui couvrent environ 200 millions d'hectares coûte 17 milliards de dollars par an au continent, selon le centre d'études stratégiques de l’Afrique, institution académique créée par le Département de la Défense des États-Unis. ==> Abonnez vous à la revue de presse du retail #GrandeConso #retail
Les forêts tropicales du bassin du Congo menacées par l'exploitation forestière illégale (rapport)
challenges.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
ACTU AFRIQUE 🌍 : 4 millions d'hectares de forêts primaires tropicales perdus en 2022. Deuxième « poumon du monde », le bassin du Congo pourrait, peut être un allié de poids dans la lutte contre le réchauffement climatique. Avec environ 200.000 hectares de forêts humides, ce massif forestier fait face à une cascade de défis, notamment la conversion agricole, l’exploitation minière, l’exploitation forestière illégale et la criminalité liée aux espèces sauvages. Pour relever ces défis, les experts scientifiques environnementalistes et autres acteurs de la société civile réunis dans le cadre en vue de la rédaction du 7ème “Etat des forêts” qui devrait paraître d’ici la fin de l’année 2024( A24)
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
18% des forêts tropicales de montagnes africaines ont disparu entre 2003 et 2022 (rapport) Le principal facteur de déforestation des zones montagneuses africaines a été attribué à l'expansion des terres cultivées à petite échelle. D'autres facteurs tels que l'urbanisation, les cultures industrielles à grande échelle et les feux de forêt jouent un rôle moins important. https://lnkd.in/ecbphfqc
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Une forêt qui représente 10 fois la superficie de la France ! 👉 C’est la taille des forêts du bassin du Congo qui couvrent 550 millions d’hectares. 🌳 En Afrique, la déforestation s’accélère. Elle est passée d’une moyenne annuelle de moins de 2 millions d’hectares entre 2001 et 2013 à plus de 4 millions entre 2014 et 2018. 📍 Actuellement peuplé de 185 millions d’habitants, la population du bassin du Congo devrait doubler d’ici 2050. L’étalement urbain, le développement d’infrastructures et l’agriculture familiale ou de subsistance ont amplifié le processus de déforestation dans la région. 🌍 Mosaïque de forêts, de marécages, de rivières ou de savanes, le bassin du Congo déborde de vie. Il s’agit du deuxième bassin de forêts tropicales après l’Indonésie, mais aussi du seul bassin qui absorberait encore plus de carbone qu’il n’en émettrait. Envie d’en savoir plus sur notre action dans le bassin du Congo ? Écoutez René Noungang nous parler des actions de l'ONG au Cameroun dans le podcast Baleine sous Gravillon au micro de Marc Mortelmans 🙈 🙉 🙊 👇
Replanter la forêt au Cameroun 1/3 : Des Crevettes tigre aux Palétuviers (René Noungang, Planète Urgence)
smartlink.ausha.co
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Bien que les récents défis météorologiques dans le nord du Ghana aient causé quelques retards dans nos efforts de plantation, nous sommes heureux d'annoncer des progrès encourageants. Grâce au leadership et au soutien de nos partenaires dévoués @Asdev et @ICRAF, nous avons réussi à planter 12 010 arbres supplémentaires à partir de la cinquième semaine , ce qui nous rapproche de notre objectif ambitieux de 500 000 arbres Nous avons également introduit des jujubiers dans notre stratégie de plantation diversifiée. Réputés pour leur résistance à la sécheresse, les jujubiers jouent un rôle crucial dans le renforcement de l'écosystème du karité. Ils empêchent l'érosion du sol, améliorent la santé du sol et leur large canopée offre une ombre vitale. Leurs racines profondes aident à stabiliser le sol et à retenir l'humidité. Au-delà de leurs avantages environnementaux, les jujubiers constituent un atout précieux pour la sécurité alimentaire. Leur riche profil nutritionnel permet de lutter contre la malnutrition dans les communautés rurales et offre des opportunités économiques aux petits exploitants agricoles grâce à la vente de fruits et de produits. Ils complètent parfaitement les arbres à karité, améliorant ainsi la résilience de nos parcs. Notre projet fait partie du Ghana Shea Landscape Emission Reductions Project (GSLERP), une initiative menée en collaboration avec la Forestry Commission Ghana, le PNUD Ghana, le Fond vert pour le climat et nos partenaires du secteur privé, sous la houlette de l’Alliance Globale du Karité. Nous restons déterminés à restaurer les parcs à karité dégradés et à faire progresser les pratiques de gestion durable des terres. Nous vous remercions de nous avoir suivis et d'avoir soutenu notre mission, qui est de créer un avenir plus vert et plus durable ! #Plantation d’arbres #Actionclimatique #NordduGhana #Reforestation #Durabilité #GSLERP #GenerationRestoration
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Le Programme Intégrateur de la Grande Muraille Verte est en effet une initiative importante pour lutter contre la désertification et restaurer les terres dans la région du Sahel en Afrique. La Grande Muraille Verte est un projet de plantation d'arbres et de végétalisation sur une bande de terre s'étendant à travers plusieurs pays, de l'ouest à l'est du continent, visant à freiner l'avancée du désert et à restaurer les écosystèmes dégradés. Cette initiative vise à promouvoir la résilience des communautés locales face aux défis environnementaux, tels que la sécheresse et la dégradation des terres. En plantant des arbres et en mettant en œuvre des pratiques de conservation des sols, le programme cherche à restaurer la fertilité des sols, à reboiser les zones dégradées et à fournir des sources de nourriture et de revenus durables pour les populations locales. En plus de ses avantages environnementaux, la Grande Muraille Verte contribue également à renforcer la sécurité alimentaire, à améliorer les moyens de subsistance des populations locales et à atténuer les effets du changement climatique. Cependant, pour que cette initiative soit pleinement efficace, il est essentiel de garantir la participation active des communautés locales, ainsi que la coordination entre les différents acteurs impliqués, y compris les gouvernements nationaux, les organisations internationales et la société civile.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
GESTION DURABLE DES FORETS ET COMMUNAUTES LOCALES... Les concessions forestières mayas au Guatemala, un modèle à suivre : Dans le nord du pays, de vastes étendues de forêt tropicale sont protégées par des populations locales qui y pratiquent une sylviculture durable. Un exemple qui pourrait s’exporter. https://lnkd.in/e972-dzY
Lutte contre la déforestation : les concessions forestières mayas au Guatemala, un modèle à suivre
lemonde.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
102 abonnés