[ 📰 A lire 📰 ] Découvrez cet article du journal 20 Minutes France sur la prévention et la lutte contre la radicalisation des jeunes menées par l'Etat et les acteurs du territoire, avec l'exemple du travail réalisé par l'association Itinéraires et son équipe mobile. #associationitineraires #prevention #radicalisation
Post de Association Itinéraires (Hauts-de-France)
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Combien faudra-t-il de marches blanches, combien de membres brisés et d'esprits déchirés, combien de familles écartelées par la douleur pour que ceux qui nous gouvernent comprennent enfin que cela fait bien trop longtemps qu'ils abordent le problème à l'envers ? Les discours et autres mesures superficielles sous les feux des projecteurs ne suffisent plus pour garantir la sécurité de nos concitoyens. Pensez-vous réellement qu’un couvre-feu de deux mois à Pointe-à-Pitre pour tous les mineurs va régler les problèmes de sécurité sur cette magnifique île ? Pensez-vous vraiment que la révision de l’ordonnance de 1945 sur la justice des mineurs changera quoi que ce soit à la situation ? Etc. Cela fait des décennies que nos politiques tentent vainement de s'attaquer aux effets de l’insécurité sans jamais travailler sur les causes de ce mal endémique. Apaiser une douleur est une chose ; comprendre et identifier les causes de cette douleur pour l’annihiler ou, du moins, la contrôler en est une tout autre. Les moyens de prévention de la délinquance sont en lambeaux, et ils incluent : programmes éducatifs et de sensibilisation, amélioration de l'environnement urbain, présence permanente et ciblée des forces de sécurité intérieure, programmes de médiation, soutien familial, assistance psychologique, etc. A titre d'exemple, la France compte 900 médecins scolaires pour 12 millions d’élèves, soit un médecin pour 13 333 élèves. Obtenir un rendez-vous avec un pédopsychiatre est aujourd'hui un véritable exploit, souvent impossible à réaliser avant plusieurs mois. Si les moyens de prévention de la délinquance sont en lambeaux, les moyens de répression, eux, sont à l'agonie. Suite à un drame dans un quartier, l'envoi de telle ou telle compagnie de CRS ou de gendarmes mobiles n'est finalement qu'un pansement sur une jambe de bois. En effet, reconquérir des quartiers entiers demande de la méthode et, plus que tout, du temps. Les opérations de place nette XXL ne sont que de la communication, car tout professionnel de la sécurité publique sait pertinemment que ce type d’opération ne représente finalement que des coups d’épée dans l'eau. En décembre 2023, la population carcérale en France s’établissait à plus de 75 000 personnes pour un peu plus de 61 000 places opérationnelles, soit un déficit de 14 000 places. Sans compter les plus de 16 000 personnes non détenues faisant l'objet d'un placement sous bracelet électronique ou à l'extérieur. Et nul besoin de parler des manques criants de la justice. La sécurité publique a toujours été une question d’équilibre entre prévention, répression et réinsertion, et hélas, cet équilibre est rompu depuis bien longtemps. Alors, Mesdames et Messieurs les membres de l'exécutif et autres politiques, arrêtez de communiquer et agissez, car votre bilan est catastrophique.
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Louis Vogel, membre de l'Académie, sénateur et ancien président de Panthéon-Assas université, a été le maire de Ville de Melun, ville de 42 000 habitants, chef-lieu du Département de Seine-et-Marne, de 2016 à 2023 et président de la Communauté d'Agglomération Melun Val de Seine qui compte plus de 135 000 habitants, de 2014 à 2023. Il est intervenu devant l'Académie sur le thème « La petite et moyenne délinquance : incompréhension ou méconnaissance ? Le regard d’un maire ». Durant ces dix années, il a pu observer le quotidien des habitants, dégradé par une délinquance devenue banale, la perte de confiance dans la capacité de l’État à résoudre les problèmes, la grande déception à l’égard des pouvoirs publics. La plupart des indicateurs servant à définir la petite et moyenne délinquance (coups et blessures volontaires, vols, cambriolages, destructions et dégradations volontaires) sont en hausse. Les émeutes de juin et juillet 2023 montrent une société prête à s’embraser. La mission d’Information sur les Émeutes créée par la commission des Lois du Sénat a souligné que ce sont des bâtiments publics mais aussi privés, servant aux habitants de ces quartiers, qui ont été attaqués, elles ont touché au-delà des quartiers dits « sensibles », des zones rurales ou des villes petites et moyennes. Enfin, ce qui frappe est la jeunesse des émeutiers : l’âge moyen est de 23 ans et un tiers des 3500 personnes interpelées étaient mineures. Ces émeutiers ne se situent pas en situation de « marginalité sociale » » : 60% des personnes interpelées sont des primo-délinquants et près des ¾ des mineurs déférés sont inscrits dans une formation professionnelle supérieure. La situation sécuritaire de la France est donc complexe. Pour assurer la paix civile, il faut renforcer les moyens de sécurité mais aussi s’intéresser aux causes afin de mettre en place des politiques publiques beaucoup plus fines pour qu’elles soient plus efficaces. Retrouvez le détail de sa communication ⤵️ https://lnkd.in/eQvVKh56
Communication de Louis VOGEL – « La petite et moyenne délinquance : incompréhension ou méconnaissance ? Le regard d’un maire »
http://academiesciencesmoralesetpolitiques.fr
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Les approches critiques en communication organisationnelle Répression des lanceur·e·s d’alerte (Snowden, Assange, Winner, Pinto, Gaudin, Manning, Therrien, etc.), des mouvements sociaux (Black Lives Matter, Gilets jaunes, étudiant·e·s de Hong Kong et du Mexique), surveillance et profilage policier, prolifération de la désinformation à des fins de polarisation et de propagande, processus de dé-démocratisation (Brown, 2007), développement du libéralisme autoritaire (Chamayou, 2018, 2020), répartition toujours plus inégale des richesses (Piketty, 2013). Tous ces phénomènes viennent confirmer la nécessité de penser notre présent historique et ce tant dans ses dimensions structurelles que conjoncturelles. C’est en effet à ce prix que nous pouvons espérer mettre en lumière les obstacles, souvent présentés comme indépassables, aux processus d’émancipation. Il y a vingt ans, dans son texte consacré à l’état de la critique en théories des organisations, Yiannis Gabriel évoquait la nécessité de penser le monde – et plus spécifiquement nos organisations – de manière critique devant la montée de l’incertitude liée aux multiples problèmes sociaux qui structurent le monde : « Jamais auparavant l’avenir n’a semblé moins certain, moins connaissable qu’aujourd’hui. Et pourtant, jamais auparavant l’avenir n’est apparu aussi unidimensionnel qu’il le semble aujourd’hui. Marchés capitalistes sans entraves, mondialisation, disparition des alternatives politiques et l’hégémonie universelle du consommateur n’ont pas conduit seulement aux déclarations mélodramatiques sur la fin de l'histoire, mais aussi à un l’épuisement de l’imagination critique. Nous sommes devenus incapables d'envisager un avenir à tout cela, mais on a besoin de plus de la même chose, plus de biens, plus de commerce, plus de pollution, plus catastrophes naturelles, plus de guerres et plus d'inégalités entre les nantis et les je n'ai pas. Alors que nous entrons dans le nouveau siècle, la conscience critique du monde social les sciences sont devenues émoussées (2001, p. 231) ». À ces problèmes sociaux s’ajoutent aujourd’hui ceux liés notamment à la discrimination et au racisme, à la souffrance et aux pathologies du travail (Aubin et Rueff, 2016, p. 2). Nombreux sont les auteurs qui vont mettre l’accent sur les transformations des différents modes d’organisation du travail, les relations de pouvoir et de domination, les inégalités structurelles dues aux hiérarchies et sur la gestion du changement technologique et organisationnel, intégrant, de fait, une conscience critique dans la recherche qui porte sur les organisations. La communication organisationnelle, comme champ d’études, n’y échappe pas. Quels sont les contours illustrant cette tendance ? Aller au fond des choses :
Les approches critiques en communication organisationnelle
najib-bensbia.com
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👉Séance plénière du conseil local de sécurité de prévention de la délinquance (CLSPD) Cette semaine s’est tenue cette instance essentielle afin de coordonner nos actions de lutte contre l’insécurité et de prévenir la délinquance La Ville poursuit ainsi ses efforts de prévention et de sécurisation avec entre autres: - La complétude des effectifs du service de Police Municipale ; - L’extension du réseau de vidéo protection passant de 27 à 80 caméras - L’agrandissement du Centre de Supervision Urbaine. - La mise en chantier de deux Centres d’Hébergement d’Urgence pour les femmes victimes de violences conjugales. - La Sécurité routière : aménagements de voirie, obtention du label Ville Prudente de la Prévention Routière. - Des expositions de prévention sur l’égalité des sexes et les discriminations. - Un arrêté municipal restreignant la vente de capsules d’oxyde d’azote. - La création d’un poste de chargée de mission Inclusion-Egalité et lutte contre les discriminations. Ces actions, couplées à un renforcement de la coordination opérationnelle avec le commissariat de Nogent, ont conduit à une amélioration de la surveillance du territoire et à une forte baisse de plusieurs indicateurs de la délinquance : -19% de vols avec violence en moins entre décembre 2021 et décembre 2023. - 16% de vols par effraction en moins. -11% en moins d’atteintes aux biens. On soulignera en particulier l’excellente maîtrise de la tranquillité publique au moment des émeutes de juillet 2023. Ces bons résultats ont permis à la ville, comptant désormais plus de 20 000 habitants, de se hisser parmi les villes les plus sûres du Val-de-Marne. Prévenir c’est déjà agir. Merci à nos nombreux acteurs pour leur présence et leur engagement quotidien auprès de la ville dont Monsieur le sous-Préfet de Nogent sur Marne, Monsieur le commissaire général du commissariat de Nogent sur Marne, de représentants du département Chantal Durand, de l’académie, de bailleurs sociaux et de nos services municipaux.
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👉Séance plénière du conseil local de sécurité de prévention de la délinquance (CLSPD), quel bilan! La sécurité et la prévention sont deux sujets que j’affectionne particulièrement. J’ai le plaisir et l’honneur d’être coordinatrice du CLSPD de la ville de Joinville-le-Pont depuis 2023. Souvent décrié, j’ai pourtant découvert au fur et à mesure de mes prises de contact la nécessité de ce dispositif et l’efficacité des mesures de prévention ciblées. Basés sur un diagnostic détaillé, nos axes de travail ont porté leurs fruits grâce a un travail transversal de nombreux acteurs. Cette séance n’est pas qu’une simple chambre d’enregistrement comme je peux souvent l’entendre. Elle permet un réel échange en présence de représentants provenant de nombreux univers et de d’acter des décisions concrètes qui aideront à déployer toujours d’avantage ce dispositif. Quelques actions depuis sa mise en place: - La complétude des effectifs du service de Police Municipale ; - L’extension du réseau de vidéo protection passant de 27 à 80 caméras - L’agrandissement du Centre de Supervision Urbaine. - La mise en chantier de deux Centres d’Hébergement d’Urgence pour les femmes victimes de violences conjugales. - La Sécurité routière : aménagements de voirie, obtention du label Ville Prudente de la Prévention Routière. - Des expositions de prévention sur l’égalité des sexes et les discriminations. - Un arrêté municipal restreignant la vente de capsules d’oxyde d’azote. - La création d’un poste de chargée de mission Inclusion-Egalité et lutte contre les discriminations. Couplées à une forte baisse de plusieurs indicateurs de la délinquance : -19% de vols avec violence en moins entre décembre 2021 et décembre 2023. - 16% de vols par effraction en moins. -11% en moins d’atteintes aux biens. Ces bons résultats ont permis à la ville, comptant désormais plus de 20 000 habitants, de se hisser parmi les villes les plus sûres du Val-de-Marne. #clspd #coordination
👉Séance plénière du conseil local de sécurité de prévention de la délinquance (CLSPD) Cette semaine s’est tenue cette instance essentielle afin de coordonner nos actions de lutte contre l’insécurité et de prévenir la délinquance La Ville poursuit ainsi ses efforts de prévention et de sécurisation avec entre autres: - La complétude des effectifs du service de Police Municipale ; - L’extension du réseau de vidéo protection passant de 27 à 80 caméras - L’agrandissement du Centre de Supervision Urbaine. - La mise en chantier de deux Centres d’Hébergement d’Urgence pour les femmes victimes de violences conjugales. - La Sécurité routière : aménagements de voirie, obtention du label Ville Prudente de la Prévention Routière. - Des expositions de prévention sur l’égalité des sexes et les discriminations. - Un arrêté municipal restreignant la vente de capsules d’oxyde d’azote. - La création d’un poste de chargée de mission Inclusion-Egalité et lutte contre les discriminations. Ces actions, couplées à un renforcement de la coordination opérationnelle avec le commissariat de Nogent, ont conduit à une amélioration de la surveillance du territoire et à une forte baisse de plusieurs indicateurs de la délinquance : -19% de vols avec violence en moins entre décembre 2021 et décembre 2023. - 16% de vols par effraction en moins. -11% en moins d’atteintes aux biens. On soulignera en particulier l’excellente maîtrise de la tranquillité publique au moment des émeutes de juillet 2023. Ces bons résultats ont permis à la ville, comptant désormais plus de 20 000 habitants, de se hisser parmi les villes les plus sûres du Val-de-Marne. Prévenir c’est déjà agir. Merci à nos nombreux acteurs pour leur présence et leur engagement quotidien auprès de la ville dont Monsieur le sous-Préfet de Nogent sur Marne, Monsieur le commissaire général du commissariat de Nogent sur Marne, de représentants du département Chantal Durand, de l’académie, de bailleurs sociaux et de nos services municipaux.
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Il y a 19 ans, la disparition tragique de Zyed Benna et Bouna Traoré à Clichy-sous-Bois a révélé les fractures dans nos relations entre la jeunesse des quartiers populaires et les forces de l’ordre. Cet événement souligne l’urgence de repenser nos politiques de sécurité, en mettant l’accent sur la prévention et l’inclusion sociale. 🔍 Des données révélatrices : • Selon l’Institut des Hautes Études de la Sécurité et de la Justice (IHESJ), 42% des jeunes vivant en quartiers prioritaires se déclarent victimes de discriminations lors des contrôles de police, contre seulement 9% des jeunes dans d’autres zones. •Une étude de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) indique que les interventions policières perçues comme abusives augmentent de 20% l’hostilité envers les forces de l’ordre dans ces quartiers. Ces chiffres appellent à une révision de nos méthodes d’intervention, favorisant une approche où la prévention est au cœur des stratégies de sécurité. 💡 La sécurité par la prévention, un choix stratégique : • L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) affirme qu’une politique de prévention bien conçue peut réduire la criminalité jusqu’à 30%, notamment grâce à l’éducation et à des programmes d’inclusion sociale. • En Espagne, le programme de médiation “Policía de Proximidad” a montré une diminution de 25% des actes délictueux dans les zones urbaines, en promouvant une relation de confiance entre la police et la population. Ces données plaident pour des politiques publiques intégrant une vision double : la sécurité, mais aussi la dignité humaine. Investir dans la prévention et la médiation réduit les tensions et favorise un environnement où chaque citoyen se sent protégé et valorisé. La mémoire de Zyed et Bouna ne doit pas être oubliée, mais doit plutôt servir de catalyseur pour un changement de paradigme. Nous avons la responsabilité collective de construire une société où la sécurité rime avec justice sociale, afin que chaque individu puisse trouver sa place et vivre en harmonie.
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Clap de fin des 2 jours de #séminaire des directions du réseau des associations de la Fédération France Victimes ➕️ de 80 directions présentes pour 2 jours d'échanges et de partage dans 1 contexte financier difficile rendant le maintien des actions ou l'avenir des associations incertain. Pour autant les équipes présentes ont pu : - échanger avec le Ministère de la Justice en la personne de Mme Liaud nouvelle cheffe du sadjav - partager des experiences avec le Fonds de Garantie des Victimes représenté par Mamadou Guèye Vincent Jouffroy et Tristan Massart - assister à une très belle conférence théâtrale sur les #RPS de Stimulus France - bénéficier d'une analyse de pratique #APP grand format avec Damien Fouques (🙏 d'avoir relevé le défi) - et bien sûr interpeller, partager et travailler avec le bureau de la Fédération et l'équipe fédérale. L'activité croissante des associations locales en direction des #victimes a pu etre soulignée : ➡️ + de 350000 Victimes reçues ➡️ près de 1 million d'entretiens dispensés (+50% en 5 ans) ➡️ 8400 femmes détentrice d'un téléphone ☎️ grave danger accompagnées ➡️ 20200 rapports d'évaluation des besoins des victimes #evvi ➡️ 2300 femmes détentrice d'un bracelet anti rapprochement suivies et bien d'autres chiffres éloquents Merci aux équipes de terrain. 🙏 Ne lâchons rien. Le binôme etat-associations agréés reste une réelle valeur ajoutée à la politique publique d'aide aux victimes !
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Aujourd’hui, le service protection des personnes de l’Udaf de la Lozère présente aux équipes de #latraverse, de manière détaillée, les différentes mesures de protection et le déroulé des mesures. L’objectif est d’informer les professionnels afin qu’ils puissent accompagner leurs publics vers l’ouverture d’une mesure de protection lorsque cela est nécessaire et justifié par le juge. #protéger #accompagner #unispourlesfamilles
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𝙌𝙪𝙖𝙣𝙙 𝙪𝙣𝙚 𝙘𝙧𝙞𝙨𝙚 𝙘𝙝𝙖𝙨𝙨𝙚 𝙡’𝙖𝙪𝙩𝙧𝙚… Vous avez remarqué. La crise calédonienne a fait passer au second plan la médiatisation des faits divers qui impliquent des mineurs. On se désole pour la Nouvelle-Calédonie qui n’avait guère besoin de cela. Le débat public a redistribué comme à l’accoutumé la hiérarchie des urgences. Des annonces sont attendues. Pour autant, il est bon que les questions de violence des jeunes et de délinquance des mineurs passent le cap de la prochaine échéance électorale et s’inscrivent dans un agenda plus apaisé. Tentons d’éviter dans l’urgence une nouvelle production législative ou même réglementaire et de supposées nouvelles réponses. Un code de la justice pénale des mineurs entièrement revu en 2021 offre déjà un éventail de sanctions et de mesures éducatives très diversifié. De l’avis des professionnels, commençons déjà à mettre en œuvre les textes et dispositifs en vigueur et donnons leur tous les moyens requis pour exécuter toutes les décisions de justice. Il n’existe pas ici de recette miraculeuse. Si ce n’est un juste équilibre à trouver entre les politiques de prévention et d’éducation, les politiques pénales et les actions de solidarité avec les plus démunis. Groupe SOS Jeunesse inlassablement allier, prévention, éducation et sanction Philippe Caumartin geoffroy kaczmarek Guylaine Chauvin Alexia Martel Didier TRONCHE
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Nous vivons une période trouble. Certaines catégories sociales fragiles en ont gros sur la patate, des groupes politiques bien souvent aux extrêmes en profites pour attiser la colère de ces populations fragilisées par des conditions de vie compliquées. Et puis il y a les anti institutions, et donc forcément les anti flics, les anti gendarmes, les anti armée...les anti tout, en colère, pas cool, violent et bas du plafond. C'est une minorité, mais une minorité qui cause du tort. Alors à mon tout petit niveau de citoyen lambda et de photographe témoin de son époque, je publie cette photo réalisée en 2018, au plus fort de la colère jaune, pour rappeler que les membres des forces de l'ordre, sont aussi des citoyens comme ceux qui se trouvent en face d'eux lors des manifestations. Des citoyens, avec leurs opinions, mais qui ont choisis d'oeuvrer pour le bien commun. Tous à notre niveau individuel de citoyen, oeuvrons pour véhiculer un message positif à l'égard des forces de l'ordre. Tout les policiers et gendarmes que je connais, quel que soit leur grade sont des mecs bien. Certains sont devenus de trés bons copains. Voilà c'est tout ce que j'avais à dire. #Gendarmerie Nationale #Police nationale #Région de gendarmerie d'Ile-de-France #Ministère de l'Intérieur et des Outre-mer #Groupement Blindé de Gendarmerie Mobile (GBGM) #GIGN #RAID #BRI #gendarmeriemobile #Circulation_dopc #
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Directeur du domaine Défense et Société, IRSEM, Associate Professor, Conservatoire National des Arts et Métiers, (HDR), Paris
3 moisInstructif !