Post de AT PROVENCE

Les vœux : une approche sociologique, philosophique et sémiologique en 8 auteurs. https://lnkd.in/e82A_uf6 À travers les regards croisés de ces penseurs, les vœux de la nouvelle année apparaissent comme un lieu de tension, un espace où se rejoue l’éternel ballet du langage, de la relation humaine, et du pouvoir symbolique. Ce dossier est une invitation à voir autrement ce que nous pensions banal, même s'il n'effacera pas les "bonne année cher réseau..." Les vœux de la nouvelle année, souvent considérés comme une politesse anodine, voire un automatisme social, dissimulent un #rituel d'une étonnante complexité. De la sphère #intime des familles à la pompe des adresses présidentielles, ces formules augurales, répétées à l’envi, incarnent une part de notre rapport au temps, à l’autre, et à l’avenir. Derrière leur apparente simplicité se cache une mécanique bien huilée, un langage codé qui mérite d’être décrypté. Jean Baudrillard, maître des #simulacres et des hyperréalités, y verrait sans doute le spectacle d’une société qui ne fait que se rejouer à elle-même. Les vœux ne seraient-ils qu’une mise en scène ritualisée, un simulacre masquant le vide d’un avenir incertain ? Roland Barthes, expert des #mythologies quotidiennes, pourrait s’attarder sur la rhétorique des mots choisis, entre la sincérité revendiquée et l’écriture convenue d’un "bonheur" souvent aussi normatif qu’évasif. Michel Foucault, quant à lui, explorerait les dynamiques de #pouvoir qui se jouent dans ces discours, où chaque formulation peut être perçue comme un geste de #discipline ou de #contrôle symbolique. Avec Jean-Paul Sartre, les vœux deviennent un acte de #liberté projeté dans l’avenir : dire "je vous souhaite" serait alors un engagement, une affirmation d’un "possible" qui résonne dans l’être-pour-autrui. Emmanuel Levinas, en revanche, déplace le regard sur la dimension #éthique de l’échange. Les vœux, sous son prisme, pourraient se lire comme une ouverture à l’Autre, une hospitalité langagière où s’affirme la responsabilité infinie envers autrui. Pierre Bourdieu n’hésiterait pas à les inscrire dans le champ des pratiques sociales, y voyant un rite reproduisant des #habitus et des structures de domination subtilement dissimulées. Avec Jacques Derrida, la question des vœux s’emballe dans le jeu de la #différance : sont-ils jamais sincères ou toujours différés, glissant hors d’eux-mêmes dans l’indécidable ? Enfin, Michel de Certeau, historien des pratiques ordinaires, nous inviterait à regarder ces échanges comme des "braconnages" du quotidien, où chacun réinterprète un code imposé pour en faire un geste singulier, une prise de parole personnelle dans le grand ordre des conventions. #philosophie #celsa #sociologie #sémiologie #pratiquessociales #pratiquesculturelles #mythe #rite #braconnage

Mais foutez-vous la paix avec votre unicité !!!⁣ 😤 ⁣Après la bienveillance et l'authenticité.⁣ C'est au tour de l’unicité d’avoir le vent en poupe. ⁣ ⁣En 2024, on te dit partout que "ce qui te rend unique, c’est ce qui va te faire réussir". ⁣ ⁣L’unicité est devenue l’argument marketing numéro UN.⁣ ⁣La réponse “facile” à tous les problèmes.⁣ ⁣Ton message n’est pas clair : Assume ton unicité.⁣ ⁣Tu n’as pas de client : Assume ton unicité.⁣ ⁣Tu n’arrives pas à vendre : Assume ton unicité.⁣ ⁣ Mais qu’est-ce que cela signifie vraiment ? ⁣ ⁣ Pour beaucoup, cette pression de 'devoir' être unique crée plus de confusion qu’autre chose. ⁣ ⁣On en vient à se demander : qu’est-ce qui me rend vraiment unique ? ⁣ ⁣Est-ce que ce que je fais est assez différent ? ⁣ ⁣Suis-je à la hauteur de cette unicité qu’on me vend partout ?⁣ ⁣ En réalité, cette quête de l’unicité crée des dualités qui te bloquent. D’un côté, tu veux t’affirmer et exprimer ce qui te rend différente. Mais de l’autre, tu doutes constamment de la légitimité de cette différence parce que tu te compares aux autres. ⁣ Tu souhaites impacter le monde. Mais tu te sens parfois paralysée par l'idée de ne pas être à la hauteur ou d'être jugée.⁣ ⁣Tu veux être authentique. Mais tu crains le regard extérieur.⁣ ⁣ Il est important de comprendre que ces dualités n'existent que parce qu'on leur donne le pouvoir d'exister. ⁣ ⁣Si tu cesses de les nourrir, tu réalises que l'unicité n'est pas dans l'extraordinaire. Mais dans la façon dont tu incarnes qui tu es vraiment au quotidien, sans vouloir 'être plus'. ⁣ ⁣ Incarner qui tu es signifie accepter ton humanité, tes imperfections, tes dons, et tout ce qui fait de toi une personne complète.⁣ ⁣ Comment ? ⁣ ⁣ En se libérant des comparaisons.⁣ ⁣En cessant de chercher l’approbation extérieure .⁣ ⁣Et en arrêtant de te poser des questions sur ta valeur.⁣ ⁣ Alors lâche toi la grappe avec cette "unicité".⁣ Le véritable pouvoir réside dans ta capacité à vivre en pleine conscience de ce que tu es déjà.⁣ ⁣En acceptant que tu es à la fois imparfaite et puissante. ⁣ ⁣ C’est ça, ton unicité : être pleinement humaine, libre et alignée. ⁣ ⁣Le moment où tu cesses de chercher à être "plus" est celui où tu réalises que tu as déjà tout pour réussir.💖

Pourquoi dit-on qu’un savant est confirmé et qu’un artiste est accompli ? Cette distinction sémantique suggère une dimension différente du #talent.  Une première approche met l’accent sur les clés de la #motivation. Celle-ci peut se construire selon l’adhésion aux cadres académiques et à la reconnaissance associée qui valident l’atteinte de la maitrise d’un savoir et de ses codes ; la consécration est obtenue par un prix Nobel par exemple. L’auto-motivation représente l’autre voie qui fait traverser parfois les déserts du rejet, voire du mépris ; le « Salon des refusés » exclura de l’art officiel, entre 1863 et 1881, « Le déjeuner sur l’herbe » de Manet comme les œuvres de Renoir, Monet, Sisley ou Pissaro. Une seconde analyse s’intéresse davantage au moyen privilégié pour accéder à l’excellence. Il s’agit de saisir et de choisir les deux vitesses de la pensée (Daniel Kahneman), qui peut être vive et rapide comme l’intuition ou plus lente et délibérée comme la raison. La figure du #héros qui dessine de nouvelles attentes au travers l’exemplarité de son récit vient ici se confronter à celle de l’expert qui se concentre sur les contenus grâce à la pertinence de sa démonstration. Le savant se confirme auprès de ses pairs par le choix de la raison et de motivations plutôt externes. L’artiste s’accomplit dans la recherche de sa vérité intérieure et de la révélation de son potentiel créatif. Mozart qui vivait dans un siècle de morales sévères et d’étiquettes contraignantes a su imposer son individualité et satisfaire ses aspirations profondes en toute indépendance. Son génie repose sans doute aussi sur la façon avec laquelle il a su créer des œuvres qui sont le fruit du dénouement de la tension entre ces contraintes et sa vérité intérieure. Il faut réécouter Don Giovanni. 

Pensée du jour (2) Les paradoxes. On en est tous pétris et c'est même constitutif de notre humanité au même titre que l'imperfection. La différence entre ambivalence et dualité est complexe à déterminer. En gros, la dualité c'est la science de considérer deux trucs comme faisant partie d'un seul et même, comme Zorro et Clark Kent ou Superman et Don Diego. L'ambivalence est plus qu'une indécision ou un cœur qui balance, c'est osciller entre deux côtés d'une médaille d'une façon tellement multiplexe que c'est comme si les deux faces cohabitaient. Tout ça évoque vaguement Schrödinger, avec son chat à la fois là et pas là dans la boîte, avec la valeur "dedans" et "pas dedans" qui sont équivalentes... Évidemment les exemples de Zorro et de Superman sont inadaptés, parce que justement. on n'a jamais les deux alter ego ensemble, sauf tricherie avec un sosie ou figurant ! Encore que... Puisque c'est la même personne, quand Zorro est là, Don Diego est là aussi, sous le déguisement. Dualité des identités. Ambivalence quand on pense au moment où l'une des identites replace l'autre. et en cherchant le moment exact s'il y en a un où le passage se fait. (Et encore, si j'ai pris deux exemples c'est parce que Zorro sans déguisement c'est DD, alors que pour Superman c'est la même chose mais dans l'autre sens. c'est Clark Kent qui est déguisé (le type "ordinaire") et Sup' qui est l'identité sans uniforme. Dualité ou ambivalence d'un concept où le "héros" est le caché ou la cachette ?) Sont-ce la deux notions comparables voire connexes, y a-t-il une sorte de dualité d'une même notion, ou bien est-ce qu'elles sont plutôt équipotentielles sans pouvoir se décider pour en privilégier une sur l'autre ? Alors après cette introduction, allons-y dans le vif du sujet. Je lisais un post sur LinkedIn sur le paradoxe divin : Dieu tout-puissant peut il créer une chose si lourde qu'il ne puisse la porter, auquel cas il n'est plus tout-puissant, et s'il ne peut pas. alors il n'est pas tout-puissant... Un autre syllogisme aurait fait l'affaire sans doute. Mais la réponse généralement admise et qui ressemble a une définition de la spiritualité qui prenne en compte son utilité, est que c'est notre conception de "Dieu" et de "tout-puissant" qui ne peut pas concevoir la multiplicité des Ses dimensions. La portée de la spiritualité est de reconnaître les limites de notre capacité de penser, concevoir, croire même tout en rendant grâce à l'envergure de l'humilité qui permet de concéder la possibilité (malgré son flou) de ce qui dépasse notre entendement. Dieu et sa toute puissance (la spiritualité) décrivent peut-être plutôt bien ce paradoxe, cette Schrödingerisation entre la dyade ambivalence-dualité, et un niveau de la même ambivalence-dualité qui ne soit ni ambivalence ni dualité mais quelque chose d'un autre niveau. Le troisième degré spirituel, le troisième oeil, le 3 qui naîtrait du 2 comme on peut ressentir que le sens de la vie humaine est de faire un enfant.

[l’Orateur du Weekend] Simonide de Ceos - l’art de la mémoire Retour aux classiques, avec un orateur antique dont le nom ne vous dit sans doute pas grand chose. Il est pourtant associé a un pan magique et (un peu) oublié de la rhétorique : la mnémotechnique ou l’art de la mémoire. Cette discipline - qui aurait pu être olympique - fait partie des rares activités dans lesquelles l’esprit humain a manifestement régressé depuis l’Antiquité. L’invention de l’imprimerie et la diffusion de l’écrit ont en effet modifié notre façon de structurer nos prises de parole. Vous êtes vous déjà demandé comment circulaient les idées dans une société sans écrit ? Comment se souvenir des structures, des arguments, des exemples ? Comment s’assurer que les idées arrivent dans le bon ordre, que les mots soient justes ? Les orateurs antiques étaient formés à des techniques aujourd’hui disparues. Replonger dans les sources de cet exercice est fascinant : on y apprend les principes des « lieux » (que les orateurs utilisaient pour fixer la structure de leurs discours), ceux pour la mémoire des « images » (auxquelles ils avaient recours pour se souvenir de l’ordre de leurs arguments). Enfin, « la mémoire des mots », dont Ciceron considérait qu’elle était la plus difficile et la plus discriminante, mais qu’elle n’était pas forcément nécessaire à un beau discours. De nos jours, presque toutes les présentations se font avec l’aide de notes (ou pire, de powerpoints !), et très peu sont ceux qui investissent encore dans l’art de la mémoire. Parmi les grands orateurs du barreau que j’ai pu écouter, seuls quelques uns me paraissent s’y adonner : Thierry Lévy (qui nous a quitté mais qui était très fort dans cet exercice), Marc Bonnant évidemment qui est pour moi le maître du genre, mais aussi Jean-Yves Le Borgne et Christian Charrière-Bournazel. Et je crois que récemment, Bertrand Périer s’est aussi détaché de ses notes ;-). Je les admire beaucoup pour cette technique qui suppose un important travail et ube pratique sur des années et des années. Parler sans note est un exercice difficile, surtout si l’on intervient sur un sujet technique et que l’on s’astreint à un certain niveau de précision sur le choix des arguments et des mots. Cela suppose, pour les premiers vols, d’avoir un discours simple et une écoute bienveillante. Ce n’est pas forcément le cas dans un tribunal :-( L’histoire raconte que Simonide de Ceos, invité à prendre la parole lors d’un banquet, échappa par miracle à l’écroulement du toit. Il parvint toutefois, par sa méthode mnémotechnique, à reconstituer la place de chacun des 400 convives. Et vous, avez-vous deja essayé la méthode des lieux, des images et des mots ? (Image - système de mémoire de Giordano Bruno, Francfort, 1591)

Dans ma quête des relations authentiques et profondes, Je ne cherche pas la perfection, mais la sincérité qui inonde. Un cœur vrai, transparent, sans artifice ni faux-semblant, Où l'authenticité règne en maître, en tout temps. Je valorise la sensibilité, cette douceur de l'âme, Qui se manifeste à travers les gestes et les mots, sans drame. Un soupçon de délicatesse, une touche de compassion, Pour nourrir les liens et créer des émotions. Et au cœur de chaque être, je recherche cette humanité, Ce souci pour autrui, cette bonté partagée. Un fond d'altruisme, une générosité spontanée, Pour illuminer le monde de sa lumière dorée. Car ce sont ces qualités simples et essentielles, Qui donnent du sens à nos relations, si belles. La sincérité, la sensibilité, l'humanité en filigrane, Sont les piliers sur lesquels se construisent nos vies humaines.

Qu'est ce que les #reseaux ? Un cumul d'etats d'esprit individuels qui tissent l'esprit du moment, dans un temps humain donné: ils definissent en quelque sorte, parmi d'autres moyens d'échange, "l'air du temps". ♉ L'humain à toujours manifesté un besoin de communiquer et de transmettre, de la peinture rupestre, en passant par toutes formes d'écriture apparues il y a 5000-6000 ans, pictogrammes sumériens, hiéroglyphes egyptiens... A différentes fins, religieuses, administratives, commerciales. Mais au fond, l'essence de ce qui détermine ce besoin de transmission déposé en dessins, écriture, représentations diverses... n'est-il de laisser une trace au delà de notre finitude? Nous en avons conscience, et assurons par là une des modalités de survie de l'espèce. 💹 Les réseaux traduisent, avec nos moyens numériques, ces mêmes besoins: échanges commerciaux, organisation des connaissances, co-constructions, voire mythologies communes. - Ils ont ceci de spécifique qu'ils se construisent "de la base", non par des "spécialistes" (les médias notamment, en d'autres temps, les scribes, les moines...), suivant une coloration plus spontanée, personnelle, hétéroclite. - Il s'agit d'un montage collectif en même temps qu'individuel de toutes ces bribes de pensées. - Ils n'organisent pas de réelles relations dites "virtuelles", toutefois en lien éloigné, pour Linkedin dans une culture professionnelle. Cette exteriorite amène nécessairement ce qui dérive de l'image - nous ne sommes pas en direct, mais sur un écran: ⏺ quête et mise en avant de "positivité" et valorisation de ce qui embellit, ceux-ci devenant problématiques si ils omettent des aspects plus nuancés de pensée ; ⏺ entretien de fréquentes critiques, au regard des productions extérieures pour se mettre à profit et rivaliser (outils du domaine professionnel) ⏺ utilitarisme, productivisme (publicités...) Puis cette forme de lien entre-deux, je ne l'appelerai pas "bienveillance", terminologie surfaite au regard de la complexité des "relations". Mais échanges de "bons usages", avec ses propres codes de communication. ♦Relations qui marquent des échanges d'idées parfois pertinents, éclairants, certaines nous interpellent, nous touchent davantage, en fonction de ce que l'on y projette respectivement. Loin de la vraie vie, mais qu'importe. C'est un espace transitionnel comme un autre... #reseauxsociaux #airdutemps #communication #transmission

Même l’Eglise le dit : le DISC ouvre la porte de la Communion. … enfin, au moins de la Communication 😉 Vous connaissez mon attachement à l’outil DISC https://lnkd.in/eh-FbqGu Je ne pouvais que parler de la grande cape de l'archevêque de Paris. C’est un des points que j’affectionne particulièrement avec ce modèle : les couleurs sont signifiantes et parlent à tous et toutes. Jean-Charles de Castelbajac , le créateur de la cape dit : "On voulait de la simplicité, de l'humilité, un langage universel ». Le DISC, c’est exactement ça ! Lorsque j’anime en groupe, je commence par demander, à quoi est associé chaque couleur. En 16 ans, j’ai eu des propositions variées. Toutes ramènent vers un style, une forme d’énergie, associée à chaque couleur. Est-ce que ça fonctionne aussi avec la symbolique associée à la tenue de l’Archevêque ? Jean-Charles de Castelbajac, indique « Le rouge pour le sang du Christ, le bleu pour Marie, la mer, le vert pour l'espérance et le jaune pour la gloire ». 🔴 Rouge : Le sang est souvent cité quand je propose Rouge. Une des caractéristiques du « Comportement Rouge » est de ne pas s’arrêter aux obstacles, de se relever une fois de plus qu’on ne tombe. Alors, le Christ ? Il meurt et ressuscite. Rien que ça. 🟡 Jaune : La Gloire. La lumière. Glorifier dans la Bible signifie mettre en lumière de manière positive toutes les qualités d'une personne. Une des caractéristiques du « comportement Jaune » est de (se) faire remarquer, d’attirer la lumière, de voir les côtés positifs des situations. 🟢 Vert : L’espoir est souvent cité avec cette couleur. De même que l’écologie. En langage DISC, le vert est synonyme de stabilité, d’une harmonie où chacun est à sa juste place, et assure ainsi la pérennité collective. Quelle meilleure définition de l’Espoir ? 🔵 Bleu : Autant, la mer et le ciel sont souvent cités quand parle du Bleu, autant le lien avec Marie ne me semblait pas évident. J’ai cherché ce que voulait dire le Bleu associé à Marie : synonyme de Noblesse, du Pureté, et aussi de de modestie, de réserve et de protection. [1] Le « comportement Bleu » en DISC, c’est la recherche de la qualité, trouver le geste juste, jusque dans le moindre détail comme l’artisan, le Compagnon du Devoir, ceux qui ont restauré Notre-Dame. C’est aussi mettre des normes, un cadre protecteur. C’est fou, mais ça marche aussi. Et puis j’ai lu « Porter du bleu pour la Vierge Marie souligne ainsi son rôle comme médiatrice entre la terre et le ciel, entre l'humanité et Dieu. » [2] Là, celui-là, je l’avais pas vu venir [3]. Faut dire que mon profil DISC porte un joli 85/100 de Bleu. J’ai commencé ce post en souriant, je l’achève en pleurant. Je me sens vivant, et c’est ce qu’exprime le DISC pour moi : les couleurs de la Vie. Ce qui est sûr, c’est que je ne présenterais plus le Bleu exactement pareil dans mes futures formations 😂 La prochaine avec votre équipe ? https://shorturl.at/HBUPW ❤️💛💚💙

« Deviens celui que tu es » Cette toile de 1m40 par 1m20, réalisée avec des médiums Acrylic Posca et Oil Bar, est une invitation à explorer et à embrasser toute la complexité de notre être. L'oeuvre représente une figure regardant vers la gauche, symbolisant le besoin de se tourner vers le passé pour comprendre notre identité. Ce regard introspectif est essentiel pour reconnaître et accepter nos origines et notre histoire personnelle. La dualité de la figure – une partie armée et une autre en pleurs – évoque les défis et les émotions variées que l'on doit affronter pour parvenir à une acceptation complète de soi-même. J'ai choisi ces médiums pour leur capacité à capturer la texture et la profondeur des émotions humaines. La figure centrale incarne la lutte intérieure entre la force et la vulnérabilité, illustrant le courage nécessaire pour ne pas faire l'autruche, mais plutôt pour faire face à nos vérités internes. « Deviens celui que tu es » est plus qu'une oeuvre d'art; c'est un parcours introspectif proche de la maïeutique, qui incite à une exploration personnelle pour finalement accoucher de soi-même. Proposée à 70 000 francs CFP (environ 586 euros), cette oeuvre est une réflexion puissante sur l'identité et la résilience. Ajoutez cette pièce à votre collection pour vous inspirer et embrasser votre propre voyage vers l'acceptation de soi.

📖 𝙇𝙞𝙧𝙚, 𝙘'𝙚𝙨𝙩 𝙪𝙣 𝙫𝙤𝙮𝙖𝙜𝙚 𝙞𝙣𝙩𝙚́𝙧𝙞𝙚𝙪𝙧 𝙤𝙪̀ 𝙘𝙝𝙖𝙦𝙪𝙚 𝙢𝙤𝙩 𝙙𝙚𝙫𝙞𝙚𝙣𝙩 𝙪𝙣𝙚 𝙘𝙡𝙚́ 𝙤𝙪𝙫𝙧𝙖𝙣𝙩 𝙙𝙚𝙨 𝙥𝙤𝙧𝙩𝙚𝙨 𝙫𝙚𝙧𝙨 𝙙𝙚𝙨 𝙢𝙤𝙣𝙙𝙚𝙨 𝙞𝙣𝙨𝙤𝙪𝙥𝙘̧𝙤𝙣𝙣𝙚́𝙨. Je ne lis pas pour engranger des principes figés ou mémoriser des phrases savamment tournées, mais pour m'inspirer, m’enchanter, et parfois, m’égarer dans l’univers de l’autre, dans une vision différente, une philosophie, une existence qui n’est pas la mienne. C’est une immersion totale dans des réalités multiples, une invitation à contempler l’inconnu, à éprouver des émotions qui nous traversent et nous transforment, bien plus qu’un exercice intellectuel. René Barjavel, dans La Nuit des Temps et Ravage, nous pousse à réfléchir sur le passé et le futur de l’humanité, entre science et mystère. Pa Kin, avec Le Jardin du Repos, nous renvoie aux tumultes de l’âme humaine face aux bouleversements sociaux. Mireille Calmel, avec ses romans historiques parsemés de magie et de passions, tels que Le Bal des Louves et Aliénor, redonne vie à des figures féminines oubliées. Au travers de Le Secret de Bernard Lenteric, on plonge dans des intrigues où le mystère se mêle à la science, éveillant un sens du possible et de l’improbable. Dans les lignes de Max Gallo, Une affaire intime pénètre l’esprit d’un homme au parcours singulier, un mélange de passion et d’engagement. Jacques Attali, dans Notre vie, disent-ils, nous invite à penser l’avenir avec un regard lucide et critique, à questionner les chemins que nous empruntons collectivement. Marie-France Hirigoyen éclaire les zones d’ombre des relations humaines, dévoilant les dynamiques de pouvoir et de manipulation qui façonnent nos interactions. Dans Les Amitiés particulières de Roger Peyrefitte, on découvre l'intensité des émotions secrètes, des liens tissés dans la discrétion et l’ambiguïté, qui défient les normes et les conventions. Avec La Disgrâce de Nicole Avril, on se glisse dans l’histoire poignante de la vengeance d’une enfant, où le ressentiment et la détermination sculptent un destin marqué par le besoin de réparer les blessures de l’enfance. Et puis, il y a Stefan Zweig. Dans ses récits comme Le Joueur d'échecs, il explore la frontière fine entre raison et folie, capturant l’essence même des contradictions humaines avec une précision délicate. 𝙇𝙞𝙧𝙚, 𝙘’𝙚𝙨𝙩 𝙚𝙢𝙥𝙧𝙪𝙣𝙩𝙚𝙧 𝙙𝙚𝙨 𝙘𝙝𝙚𝙢𝙞𝙣𝙨 𝙙𝙚 𝙩𝙧𝙖𝙫𝙚𝙧𝙨𝙚, 𝙚𝙭𝙥𝙡𝙤𝙧𝙚𝙧 𝙙𝙚𝙨 𝙢𝙤𝙣𝙙𝙚𝙨 𝙞𝙣𝙘𝙤𝙣𝙣𝙪𝙨 𝙤𝙪 𝙥𝙚𝙧𝙙𝙪𝙨, 𝙧𝙚𝙣𝙘𝙤𝙣𝙩𝙧𝙚𝙧 𝙚𝙩 𝙨𝙚 𝙧𝙚𝙣𝙘𝙤𝙣𝙩𝙧𝙚𝙧. 𝘾’𝙚𝙨𝙩 𝙘𝙝𝙖𝙡𝙡𝙚𝙣𝙜𝙚𝙧 𝙨𝙚𝙨 𝙘𝙧𝙤𝙮𝙖𝙣𝙘𝙚𝙨 𝙚𝙩 𝙨𝙚𝙨 𝙘𝙤𝙣𝙣𝙖𝙞𝙨𝙨𝙖𝙣𝙘𝙚𝙨, 𝙧𝙞𝙧𝙚 𝙚𝙩 𝙥𝙡𝙚𝙪𝙧𝙚𝙧 𝙖𝙫𝙚𝙘 𝙙𝙚𝙨 𝙥𝙚𝙧𝙨𝙤𝙣𝙣𝙖𝙜𝙚𝙨, 𝙨’𝙤𝙪𝙗𝙡𝙞𝙚𝙧 𝙚𝙩 𝙤𝙪𝙗𝙡𝙞𝙚𝙧, 𝙫𝙤𝙮𝙖𝙜𝙚𝙧 𝙨𝙖𝙣𝙨 𝙛𝙞𝙣 𝙖̀ 𝙩𝙧𝙖𝙫𝙚𝙧𝙨 𝙙𝙚𝙨 𝙥𝙖𝙜𝙚𝙨 𝙦𝙪𝙞 𝙟𝙖𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙣𝙚 𝙨𝙚 𝙧𝙚𝙛𝙚𝙧𝙢𝙚𝙣𝙩 𝙫𝙧𝙖𝙞𝙢𝙚𝙣𝙩. 🫶🏼Je vous souhaite de belles et dévorantes lectures à venir! 📚 #lecoinrh