Post de ATELIER KER ANNA

L’Institut de Recherche et d’Innovation, Nathalie Quiot et Christophe Lasserre, architectes urbanistes de O'zone architectures ont le plaisir de vous convier à l'exposition "Urbanités Numériques En Jeux", à la Serre Wangari à Saint-Ouen, du 22 novembre au 5 décembre 2024. L'inauguration aura lieu le 22 novembre à partir de 18h30. L'exposition présente la démarche "UNEJ", menée durant quatre ans par O'zone architectures et l'IRI, "Institut de Recherche et d'Innovation" longtemps dirigé par le philosophe Bernard Stiegler, avec nos partenaires d'Ici!, du Cdos93, et d'une vingtaine d'enseignants de l'académie de Créteil, mobilisant près de 300 élèves de collèges et de lycées de Seine-Saint-Denis, et en particulier de Plaine Commune. La démarche UNEJ est un dispositif d'ateliers conjuguant des dimensions pédagogiques, citoyennes, et contributives.  Lors de balades urbaines, d'échanges avec des intervenants, et d'activités pédagogiques, les élèves découvrent les dynamiques historiques, géographiques, écologiques et sociales, de la transformation de leurs lieux de vie. Sur la base d'une maquette numérique réalisée par l'IGN dans le format du jeu video Minetest/Luanti, jeu de "Lego" numérique et moyen d'expression que les jeunes maîtrisent pour la plupart, les élèves élaborent collectivement des propositions d'aménagement de leur cour de récréation, des espaces publics de leurs quartiers, et du Village Olympique et Paralympique des athlètes dans sa phase héritage. Porteuses de leur imaginaire et aspirations, ces maquettes numériques constituent des contributions précieuses, riches d'informations sur le vécu des lieux par les jeunes habitants et sources d’inspiration pour "réenchanter" la ville. La méthode contributive développée lors de la démarche UNEJ, est propice à la création collective, et ouvre une voie nouvelle pour renforcer la co-conception intergénérationnelle des projets d'aménagement.

L’Institut de Recherche et d’Innovation,  Nathalie Quiot et Christophe Lasserre, architectes urbanistes de O'zone architectures ont le plaisir de vous convier à l'exposition "Urbanités Numériques En Jeux", à la Serre Wangari à Saint-Ouen, du 22 novembre au 5 décembre 2024. L'inauguration aura lieu le 22 novembre à partir de 18h30. L'exposition présente la démarche "UNEJ", menée durant quatre ans par O'zone architectures et l'IRI, "Institut de Recherche et d'Innovation" longtemps dirigé par le philosophe Bernard Stiegler, avec nos partenaires d'Ici!, du Cdos93, et d'une vingtaine d'enseignants de l'académie de Créteil, mobilisant près de 300 élèves de collèges et de lycées de Seine-Saint-Denis, et en particulier de Plaine Commune. La démarche UNEJ est un dispositif d'ateliers conjuguant des dimensions pédagogiques, citoyennes, et contributives. Lors de balades urbaines, d'échanges avec des intervenants, et d'activités pédagogiques, les élèves découvrent les dynamiques historiques, géographiques, écologiques et sociales, de la transformation de leurs lieux de vie. Sur la base d'une maquette numérique réalisée par l'IGN dans le format du jeu video Minetest/Luanti, jeu de "Lego" numérique et moyen d'expression que les jeunes maîtrisent pour la plupart, les élèves élaborent collectivement des propositions d'aménagement de leur cour de récréation, des espaces publics de leurs quartiers, et du Village Olympique et Paralympique des athlètes dans sa phase héritage. Porteuses de leur imaginaire et aspirations, ces maquettes numériques constituent des contributions précieuses, riches d'informations sur le vécu des lieux par les jeunes habitants et sources d’inspiration pour "réenchanter" la ville. La méthode contributive développée lors de la démarche UNEJ, est propice à la création collective, et ouvre une voie nouvelle pour renforcer la co-conception intergénérationnelle des projets d'aménagement.

Un article pédagogique, intitulé "De la référence vernaculaire à la transposition ambiantale – Le voyage d’études comme dispositif immersif", vient d'être publié dans le numéro 4 de la revue Plateia, en collaboration avec mon cher ami et collègue Mohsen Ben Hadj Salem. Ce numéro coordonné par Céline Drozd et Valérie Lebois aborde les ambiances en les raccordant aux questions de la référence et des techniques, à la matérialité du projet ainsi qu'aux pédagogies afférentes. Dans cet article, l’architecture vernaculaire tunisienne est traitée selon une double approche, d’une part selon son exemplarité, et d’autre part selon sa transposition ambiantale dans les opérations projectuelles à caractère pédagogique en école d’architecture à Tunis. Nous nous appuyons ainsi sur un moment pédagogique important dans la formation académique des apprentis-architectes, celui du voyage d’études du premier cycle axé sur l’architecture vernaculaire du sud tunisien et son projet d’application thématique. Cette expérience immersive dans différents sites d’étude met en exergue la primauté du lieu et ses ambiances comme référents identitaires, un lieu enraciné dans son passé mais dialoguant aussi, à travers sa durabilité, avec son futur. 

Colloque les 13, 14 et 15 mai "Pour d’autres espèces d’espaces : penser, imaginer, pratiquer l’espace en arts numériques" Proposé par le Laboratoire Modulaire de l’ésam dans le cadre du festival ]interstice[ et du Millénaire de la Ville de Caen De quel espace voulons-nous parler dans ce colloque ? De l’espace de l’œuvre, de l’espace dans l’œuvre, de l’espace de réception/d’interprétation ; de l’œuvre dans une perspective topoïétique, c’est-à-dire à la fois en tant qu’espace de création et création d’espace (Guérin, 1997).  Cependant c’est moins l’espace en soi, pour autant qu’on puisse l’appréhender en ces termes, que l’on entend examiner que le «faire espace» propre à l’œuvre (Maldiney, 1973). Et, à partir de l’analyse de pratiques artistiques contemporaines où les technologies numériques ne sont pas un simple outil de création, mais davantage un instrument de réflexivité, nous souhaitons observer ce que cette production d’espace (Lefebvre, 1974) dit de notre monde, dans quelle politique ou poétique elle l’insère, quel système de relations/interrelations/interactions elle met à jour ; quelles formes, quels enchevêtrements, quelles marges, quels écarts elle fait expérimenter. Trois axes seront envisagés : - Configuration, 13 mai, ésam site de Caen. - Machination, 14 mai Bibliothèque Alexis de Tocqueville. - Transaction/Fiction, 15 mai, Le Dôme. Programme complet : https://lnkd.in/ePfqKkRX

🎙️🌍 PODCAST : La dimension européenne du concours en 2024 Quels sont les langages européens communs qui émergent lors du concours ? Les différents modes de faire en fonction des pays ? Les suites opérationnelles ? la pertinence d'une réflexion architecturale extra-européenne ? Un grand merci à Anne-Charlotte Depondt et à son émission COM D'ARCHI pour avoir animé ces débats passionnants !

Nous lançons la 2ème édition de « In Situ », programme de résidences pluridisciplinaires qui a pour volonté d’être à la fois un temps et un espace de rencontres, de recherche, de travail individuel et collectif au cœur de la Cité internationale des arts, mais aussi un atelier de production de savoirs et d’œuvres. Vous avez jusqu’au 26 mai inclus pour envoyer votre candidature ! Explorer collectivement la transition écologique Durant 6 mois, In situ rassemble au sein de la Cité internationale des arts à Paris, 10 artistes ayant une pratique artistique qui s’inscrit dans le champ des arts visuels, de la performance, du design, de la musique et de la recherche sonore, de l’écriture, du spectacle vivant, de l’architecture-urbanisme et du commissariat d’exposition. Une dynamique collective et individuelle les réunit au service d’un axe de travail proposé par un chercheur invité, autour des rapports entre contexte général, réalité du monde et modalités d’actions possibles. María Inés Rodríguez, Directrice de Tropical Papers, sera l’invitée de cette édition 2024-2025 : « Nos rencontres seront guidées par la pensée visionnaire de l’architecte franco-hongrois Yona Friedman qui nous invite à voir le monde au- delà des méthodes statistiques, à reconnaître le potentiel créatif et à envisager de nouvelles approches dans notre processus de création artistique. Grâce à une série d’ateliers et de conférences mensuelles avec des invités et des visites d’expositions, nous allons, d’une part, poursuivre les discussions sur les tensions géopolitiques, historiques et actuelles, à l’origine de la crise écologique et climatique et jouant un rôle dans la transition vers une société circulaire et climatiquement neutre. D’autre part, nous approfondirons les différentes méthodes de travail et les processus sous-jacents à cette réflexion.» #artcitoyen #CIA #transitionecologique #arts Fondation Daniel et Nina Carasso

Bravo à tous les membres de Les Augures Lab Scenogrrrraphie pour 🤸♀️ la boîte à outils 🤸♀️, des trésors en open source destinés aux professionnel.le.s de la scénographie tels que : 📒 Un clausier environnemental et une annexe au mémoire technique pour intégrer des exigences d'écoresponsabilité dans les cahiers des charges des marchés publics 🎁 Un guide de l'éco-conditionnement avec plusieurs annexes d'outils d'aide à la décision, pour sensibiliser aux enjeux, identifier les alternatives et fournir les clés pour des choix plus raisonnés 🎯 Les termes clés du droit d'auteur·e ; un recueil de ressources utiles (fondements juridiques, documents opérationnels) ; des préconisations suivant les étapes du cycle de vie 🔥 Le guide "Ignifugation & Alternatives - Concilier écologie, sécurité et santé", présentant un état des lieux, des leviers d’actions, des préconisations et des pistes prospectives 🤓 La synthèse des enjeux et du cadre juridique existant sur le réemploi ; des hypothèses d'action ; des propositions d'outils d'aide à la décision 🃏 La synthèse de la démarche de définition de l'écoscénographie ; des supports d’ateliers, une affiche de la définition à afficher sur votre lieu de travail 👏 BRAVO Sylvie Bétard, Caroline Géral, Quentin Rioual, Annabel Vergne, Emma Duchesnes, Anh Boutin, Laurence Perrillat et toutes les nombreuses personnes qui ont travaillé sur ces outils. La voici https://lnkd.in/efAyZT8d Si vous souhaitez monter en compétence sur ces sujets, faire communauté, partager des moments chouettes 🦉 dans des lieux incroyables, faire des expérimentations, prendre des apérrrros🍷 il est temps de rejoindre le Lab !

🖼️ Une artothèque pour Namur en 2025 ? On dit oui…Et avec BSolutions 😊 !   L’art et la culture vivent, s’exposent et comptent de nombreux vecteurs à Namur. Le juste complément de ce patrimoine magnifique – une artothèque – manquait encore à la Ville, ce ne sera plus longtemps le cas 🙌 .   L’équipe que nous formons avec les bureaux VIA architecture, étude & patrimoine et Artbee Conservation sprl s’est en effet vu désigner pour accompagner et suivre l’exécution d’un projet qui livrera à Namur son artothèque.   🤔 Précisément, c’est… ? Un lieu de stockage, de restauration, de préparation aux expositions hors site, mais aussi une vitrine et un espace de formation.   🎯 Où se situera ce nouveau QG artistique ? Dans le bâtiment précédemment occupé par l’imprimerie provinciale, rue Eugène Thibaut à Salzinnes.   💡La fonction du bâtiment impliquera des points d’attention tout particuliers. C’est le cas notamment de la gestion du risque incendie, de la sécurisation stricte des accès, ainsi que du recours à des équipements techniques permettant une gestion minutieuse et « à la carte » de la température, de la lumière, de la ventilation et de l’hygrométrie, dans le respect des normes spécifiques ICOM (International Council of Museums).   💗 Un projet stimulant et la perspective d’une collaboration enthousiasmante avec VIA et ArtBee. #artwork #Villedenamur #engineering #firesafety #patrimoine #icom

Appel à communication (date limite le 18 octobre 2024) 149e congrès, Orléans, 14-18 avril 2025: "Reconstruire, réformer, refonder" https://lnkd.in/epAMK9j6 Le Congrès national des sociétés historiques et scientifiques de 2025 se propose d’aborder ces perspectives d’action refondatrice qui scandent l’histoire de la terre, de l’humanité et des sciences tout autant que les périodes de rupture et de destruction. Plutôt que les effets et les conséquences, on analysera les contextes et les processus qui se définissent par trois verbes d’action : reconstruire, réformer, refonder.   Ces mots sont construits avec un préfixe à valeur itérative ; ils impliquent la transformation d’un état donné antérieur, interrogent le rapport tissé entre le passé et le présent vécu à une époque donnée, jettent les bases pour l’avenir. Puisqu’il s’agit de re-construire, re-former, re-fonder, ces actions sont définies par leurs promoteurs ou leurs acteurs en référence à un état antérieur qu’il s’agit de rétablir ou au contraire de dépasser, selon que ce passé est connoté positivement ou négativement. S’ils expriment des sens équivalents ou proches, les trois verbes distinguent toutefois des démarches qui ont chacune une signification précise. Reconstruire a un sens évident en matière d’architecture : il signifie remplacer un édifice ancien, démoli accidentellement ou volontairement, par un autre sur le même emplacement, qui peut être reconstruit à l’identique ou, plus souvent, modifié dans son architecture et/ou dans ses usages. L’archéologie du bâti a mis en évidence la présence fréquente d’éléments de réemplois qui peuvent conserver intentionnellement le souvenir de l’édifice antérieur. La reconstruction n’est pas une table rase qui efface le souvenir du passé. Les processus de reconstruction urbaine sont à prendre en compte en distinguant des reconstructions partielles ou totales et planifiées : il convient alors de s’interroger sur l’initiative de ces opérations, soit menées par des particuliers, soit coordonnées par les autorités publiques. Toujours en architecture, dans le domaine de la pédagogie, l’opération de restitution visuelle d’édifices disparus ou à l’état de ruine occupe pendant toute la période moderne et au début de la période contemporaine une place centrale dans l’apprentissage de la composition. De telles pratiques existent aujourd’hui dans le domaine de l’enseignement de la construction, où la reconstruction matérielle de procédés techniques est une voie possible pour comprendre des dispositifs anciens et apprendre à les restaurer. L’archéologie expérimentale ou reconstructive est de même utilisée de longue date pour comprendre le fonctionnement des objets et des structures par l’expérience." Cet appel promet d'avoir un bon retentissement chez les historiens de l'architecture et de la construction: à vos claviers ! https://lnkd.in/ekQE6iv9