📣 De plus en plus d'organisations publiques ou associatives, culturelles ou sociales portent aujourd'hui des projets artistiques participatifs. 🙌 Ces projets ont en commun de générer une participation des personnes du #territoire et de créer du lien. La forme et les concrétisations de ces projets peuvent être particulièrement variables, d'une contribution ponctuelle à une implication active dans une représentation artistique. 🤩 Ces expériences peuvent correspondre à une attente exprimée par les habitant·es mais aussi à une évolution des projets portés par les institutions culturelles et les équipes artistiques, tandis que nombre d'élu·es souhaitent soutenir de telles initiatives. 💡 Trois agences culturelles régionales, Auvergne-Rhône-Alpes Spectacle Vivant, ARTIS en Bourgogne-Franche-Comté, L'A. Agence culturelle Nouvelle-Aquitaine, en partenariat avec l’Association des Maires Ruraux de France - AMRF et avec la complicité de la FNCC, ont conçu ces fiches synthétiques à l’intention des élu·es. 👉 Pour voir tous les sujets abordés dans "Culture, une fiche pour l'essentiel" : https://bit.ly/3gRlBII 👌 Quelques exemples des thématiques déjà traitées : La protection du #patrimoine culturel, les résidences d'#artistes et d'auteurs, l'intercommunalité culturelle, les liens entre #culture et #ESS, conservatoires et écoles de #musique... #droitsculturels #participation #territoire #territoires
Post de Auvergne-Rhône-Alpes Spectacle Vivant
Plus de posts pertinents
-
La culture, au coeur des territoires. 🤍 Les Agences culturelles Les Agences culturelles sont des associations qui agissent au service d’une politique culturelle régionale, de ses acteurs et des territoires. Elles interviennent dans les domaines du spectacle vivant, des techniques de la scène et de l’action publique. Elles participent au développement de l’aménagement culturel du territoire, des publics et des qualifications des pratiques professionnelles dans une perspective d’équité territoriale. À ce titre, l’Agence culturelle propose un ensemble d’accompagnements à destination des équipes artistiques et des structures culturelles en vue de soutenir la création et la diffusion ; s’ajoutent également des formations, des rencontres professionnelles et des parcours. Projet culturel de territoire, schéma de développement culturel, projet local de développement culturel, stratégie culturelle... Ces différentes appellations traduisent toutes une même volonté : celle de se doter d’un outil de cadrage de référence pour conduire une politique publique en matière culturelle sur son territoire. Un projet culturel de territoire ne correspond ni à une terminologie réglementaire, ni à un label. Son articulation autour de certaines idées et grands axes permet de cadrer un modus operandi commun à tous les territoires pour mieux donner à produire et à révéler leurs singularités : - une approche globale et stratégique dans le secteur culturel - une implication de plusieurs parties prenantes - une volonté de faire converger des objectifs communs pour le développement du territoire - un déploiement sur et émanant de territoires à échelle variable. Exemple : L'Agence culturelle Grand Est de la Région Grand Est met à disposition des élus et agents des intercommunalités - qui souhaitent initier des démarches visant à mettre en œuvre un projet culturel de territoire : un guide construit grâce à l’observation de pratiques de terrain, des retours d’expériences et des apports de ressources universitaires. Avec un lexique très utile et un décryptage d'étapes permettant d'anticiper et de structurer. Photo : Parcours festival Furies, 2024 à Châlons-en-Champagne (51) © DR Chaque jour, une initiative, un 🤍 #Culture #Société #Planète
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
L’ART PRINCIPE ACTIF, chantier populaire d’échanges artistiques Proposition à destination des lieux, des structures, des collectifs, des artistes et de tous ceux qui souhaitent s’y associer L’idée que nous lançons aujourd’hui est ouverte, elle n’appartient à personne et est destinée à tous, nous proposons juste un intitulé : L’art, principe actif, pour nommer et tenter de fédérer les actions. Elle est simple : faire circuler partout (surtout dans les lieux qui en manquent) et le plus souvent possible, des moments artistiques autour de thèmes importants qui nous concernent tous, avec la volonté que ces moments soient d’abord propices à l’échange et suivis de celui-ci. Avec une certaine dose de joie de préférence et dans l’esprit de ce qu’on appelle l’éducation populaire, dans l’acception large et bien comprise du cher et vieux syntagme. https://lnkd.in/e-nEPjvP
L'ART PRINCIPE ACTIF, chantier populaire d'échanges artistiques - L’Insatiable
linsatiable.org
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
🗣️ | LE FORUM CULTUREL / SAISON 1 - SESSION 19 Dans un contexte global marqué par une revalorisation des identités culturelles locales et une quête d'indépendance culturelle, les collaborations Sud-Sud deviennent cruciales. Elles permettent de réduire la dépendance vis-à-vis des modèles culturels dominants et de développer des réseaux artistiques indépendants. L’objectif est de bâtir un écosystème artistique et culturel durable qui favorise la coopération entre les nations du Sud, tout en valorisant leurs spécificités culturelles. Ce panel vise à examiner les moyens de renforcer les collaborations artistiques et culturelles entre les pays du Sud, à travers des échanges d'artistes, la co-production d'événements, et la mise en commun de ressources. Il mettra en lumière les obstacles actuels à ces collaborations, les opportunités qui en découlent, et les stratégies à mettre en œuvre pour améliorer les interactions artistiques au-delà des frontières. ▶️ Rejoignez le live et participez au débat en direct sur ka page Facebook de Noocultures.info #noocultures #leforumculturel
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
S’exercer à la controverse : droits culturels et création artistique. Mardi 25 Juin 2024, Château de Goutelas, Marcoux (42) inscrivez-vous : https://lnkd.in/eCKBkG3x La création artistique est traversée par de multiples tensions contraires qui font débat. Pour déplier la complexité de chaque sujet et tenter de dépasser ces contradictions nous vous proposons de vous essayer collectivement à la controverse, cette technique de discussion qui permet de se décentrer et de s’entraîner à faire vivre les droits culturels. Pour Paul Ricœur, est démocratique l’État qui « ne se propose pas d’éliminer les conflits mais d’inventer les procédures leur permettant de s’exprimer, de rester négociables ». C’est cet exercice de discussion que nous vous proposons d’expérimenter au cours de la journée, autour de quelques-unes des grandes tensions qui traversent les enjeux de création artistique : - La valeur : l’utilité sociale vs « l’art pour l’art » - La participation : divertissement vs capacitation - L’expertise : les experts vs le public - Le soutien public : prestation de service vs liberté de création - L’éthique : responsabilité vs liberté artistique Ces 5 controverses seront explorées en parallèle. Les personnes sont invitées à explorer l’une de ces controverses durant la matinée, et peuvent choisir d’en explorer une autre dans l’après-midi. La matinée est animée autour des controverses. Elle alterne des moments de recherche d’arguments en petit groupe, et de mise en jeu de discussion en plénière. L’après-midi consiste à tenter de dépasser l’opposition pour / contre présentée le matin et d’apporter quelque chose de nouveau par rapport aux points de vue initiaux. Par la pratique de l’argumentation, de la discussion et de l’attention à la relation, c’est à un exercice de démocratie et des droits culturels auquel nous vous proposons de prendre part ! Journée organisée avec Loire Forez agglo, Château de Goutelas, AURA-LL, interStices, AMTA. #droitsculturels #relation #capacitation #controverse Thomas Desmaison
Agenda - Auvergne Rhône-Alpes Spectacle Vivant
https://auvergnerhonealpes-spectaclevivant.fr
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Tu développes des projets culturels et tu ne t'intéresses pas à la politique : C'est une erreur stratégique ! Je remarque souvent la même problématique chez mes clients qui arrivent avec des projets artistiques avancés sans avoir contacté un seul élu. Et pourtant, derrière chaque œuvre, chaque festival et chaque initiative culturelle qui s’épanouit, on retrouve le rôle crucial des élus : ☀️ Un relais de la vision culturelle locale : Les élus traduisent et incarnent une vision culturelle qui s'ancre dans les réalités locales. Un projet aligné avec leurs priorités renforce sa légitimité et sa cohérence. ☀️ Un vecteur de proximité avec les citoyens : En tant que représentants de leurs concitoyens, les élus savent capter les attentes et besoins du public. Leur soutien garantit que votre projet culturel touche et engage un maximum de citoyens. ☀️ Un facilitateur de connexions : Les élus vous ouvrent les portes d’un réseau précieux : mécènes, partenaires locaux, financeurs. N'oublions pas que leur parcours leur permet souvent de disposer de réseaux solides dans plusieurs domaines. ☀️ Une pérennité et une inclusivité assurées : En soutenant la culture, les élus veillent à ce qu'elle soit inclusive et durable. Certains projets, grâce à ce soutien, deviennent des événements annuels incontournables, ancrés dans la vie culturelle du territoire. ☀️Un appui logistique et réglementaire : Enfin, les élus facilitent l’adaptation aux normes et règlements, notamment en matière de sécurité. Leur soutien logistique permet de lever de nombreux freins pour organiser des événements culturels ambitieux. Travailler avec les élus, c’est s’assurer que chaque projet artistique réponde à la fois aux besoins des citoyens et s’intègre pleinement dans la vie locale. Pour toutes ces raisons, la collaboration avec les élus est un levier de réussite. Un grand merci à tous ceux qui, par leur engagement, font de la culture un bien commun et un vecteur d’épanouissement collectif.
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Cet article vient simplement renforcer mon point de vue, tout en mettant en lumière deux aspects importants :1.Beaucoup pensent encore que la place de l’artiste est uniquement dans l’atelier. Or, depuis longtemps, nous consacrons une majeure partie de notre temps non pas à la création, mais à des tâches administratives, comme le remplissage de dossiers de demande de bourse ou la recherche de résidences (rapports de bourse, etc.). Cela devient la norme lorsqu’on ne dispose d’aucune aide pour ces démarches. 2.Un grand nombre d’artistes montrent peu d’intérêt pour l’engagement public. Cela me pousse à encourager mes collègues à s’investir plus activement dans les conseils d’administration (CA) dès que possible. Comme me le disait un jour un politicien congolais : « La politique de la chaise vide n’a jamais payé ». Mes chers amis artistes, engageons-nous. Ne laissons pas les autres, même avec toute leur bonne foi, prendre des décisions à notre place. Sans vouloir militer, je lance plutôt un appel au réveil des consciences sur l’importance d’être présents là où les décisions affectant notre profession sont prises. Prenons l’exemple des institutions muséales montréalaises confrontées à un sérieux problème de manque d’espace de conservation, un problème qui ne fait qu’empirer. C’est un dossier parmi d’autres que nous, en tant qu’artistes, devrions nous approprier pour aider ces institutions à obtenir des moyens nécessaires auprès des pouvoirs publics et d’autres bailleurs de fonds, afin de continuer à promouvoir notre travail. Être à la table des décisions, c’est aussi veiller à ce que de tels dossiers progressent dans l’intérêt de la communauté artistique. https://lnkd.in/dfzZhmJw
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Hier, avait lieu une journée d’étude sur les relations (détériorées) entre artistes et institutions culturelles à l’ #INHA, à Paris. On y a présenté, avec Elise Chièze-Wattinne le projet #CooProg (qu’Esch soutient depuis 2022) et comment ça pouvait potentiellement rebattre les cartes de ces relations. Ce dont on s’aperçoit, au terme de cette journée, c’est que : - Une série de circonstances expliquent ces relations dégradées (parmi lesquelles : mauvaises conditions budgétaires, évènementialisation de la vie culturelle, déséquilibre offre / demande et mauvaise diffusion, désengagement de certaines structures publiques, mais aussi injonction à la visibilité internationale - avec la primauté offerte aux artistes déjà cotés - ou à la participation des publics…) - Elles concernent aussi bien les arts plastiques, la musique, le théâtre, l’opéra et probablement d’autres secteurs. - Elles concernent au minimum plusieurs pays, mais avec des situations tout de même assez contrastées d’un pays à l’autre. - Elles ont des effets terribles sur les artistes, mais aussi sur les institutions, la création et les publics. - Elles touchent plus les artistes locaux ou émergents (déjà fragiles) et je dirais aussi plus les institutions petites ou moyennes… Il existe cependant des solutions pour repenser ces relations. Et la transition écologique et culturelle apparaît encore comme un bon levier pour ce faire. De nombreuses idées ont émergé pour ce faire hier. Et vous, vous avez des idées pour Esch et son territoire ?
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
En matière culturelle dans les quartiers difficiles, on entend tout et son contraire, on voit des actions magnifiques et des ratés incroyables. On parle souvent de la résistance au changement des habitants, en oubliant que de nombreux professionnels de la culture font leur programmation en oubliant ces habitants. L'excuse est toujours la même, il faut "élever" le niveau culturel des habitants des quartiers difficiles, il faut les "mener" à l'excellence... Il faut donc éloigner les habitants de ces quartiers de leurs acquis culturels, afin de leur faire découvrir la grande culture française, à travers, les musées, l'opéra, les grands classiques... Comme si les habitants des quartiers difficiles, n'avaient pas un bagage culturel au départ, comme si Beethoven et les tableaux accrochés au Louvre étaient la seule et unique façon d'accompagner le public vers la culture... Comme si... Et saison après saison, toutes les villes de France reproduisent le même schéma et cela, depuis la nuit des temps. Et on s'étonne que rien ne change ? Alors quid de la participation des habitants dans la vie culturelle de leur cité ? Comment donner aux habitants le pouvoir d'agir sur leur territoire en décidant de tout dans un bureau entre professionnels de la culture ? Le pouvoir d'agir, empowerment, en anglais, désigne à la fois : un processus par lequel les individus, les groupes, les organisations et les communautés acquièrent la capacité d'exercer un pouvoir. Mais peut-on vraiment laisser des habitants décider seuls de la programmation culturelle d'une ville ? Exercer donc un pouvoir ? Pas évident et on peut alors comprendre ces programmations culturelles qui, de Montauban à Bourges, en passant pas Lyon et Le Havre, se ressemblent toutes. Ces programmations qui semblent avoir définitivement oublié l'avis et la concertation avec les habitants. La coopération est remplacée par l'orientation ou l'obligation. On ne prend aucun risque au grand bonheur des tourneurs et des artistes parisiens qui viennent cachetonner en banlieue, sans rencontrer les habitants. Panem et circenses, « du pain et des jeux du cirque ». Les empereurs Romains avaient compris qu'il fallait se préoccuper en priorité de l'estomac et des loisirs de la plèbe, à base de distribution de pain et d'organisation de jeux du cirque dans le but de s'attirer la bienveillance du peuple et que ces derniers ne se soucient pas d'enjeux plus exigeants, ni du destin collectif. #empowerment #participationdeshabitants #culture #pouvoirdagir
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Mon message au ministère de la culture . Au Gabon, le ministère de la culture a souvent été critiqué pour sa tendance à se substituer en organisateur de spectacles pour la propagande politique au lieu de créer un environnement propice à l'épanouissement des artistes locaux. Il est temps de repenser le rôle du ministère et de mettre en place des mesures visant à soutenir et promouvoir la culture de manière plus efficace. Plutôt que de se limiter à l'organisation de spectacles ponctuels, le ministère de la culture devrait investir dans la construction d'un palais de la culture, qui servirait de centre névralgique pour les artistes du pays. Ce lieu pourrait offrir des espaces de création, de répétition et de diffusion des œuvres, permettant ainsi aux artistes de développer leur talent dans des conditions optimales. De plus, il est primordial de mettre en place des programmes de formation pour les entrepreneurs culturels et les manageurs. En effet, il ne suffit pas d'avoir du talent pour réussir dans le monde de la culture, il faut également avoir les compétences nécessaires pour gérer sa carrière de manière professionnelle. En formant les acteurs de la culture aux aspects administratifs et financiers de leur métier, le ministère de la culture contribuerait à renforcer le secteur culturel dans son ensemble. Enfin, il est essentiel de favoriser l'originalité dans la création artistique. Trop souvent, les artistes sont contraints de se conformer à des normes préétablies pour être reconnus et soutenus par les institutions culturelles. Le ministère de la culture devrait encourager la diversité des expressions artistiques, en soutenant les artistes qui osent innover et explorer de nouvelles voies créatives. En résumé, le ministère de la culture au Gabon doit revoir sa stratégie et se concentrer sur la création d'un environnement favorable à l'épanouissement des artistes. En investissant dans des infrastructures culturelles, en formant les acteurs du secteur et en encourageant la diversité artistique, le ministère contribuerait à dynamiser la scène culturelle du pays et à promouvoir la richesse de sa culture. Présidence de la République Gabonaise Présidence du Comité de la Transition et la Restauration des Institutions Pheel Pambou
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
-
Les élus locaux ont le pouvoir de transformer la scène artistique locale, et si vous en faisiez partie ? Imaginez un instant. Des démarches administratives simplifiées pour les artistes locaux. Des mairies, agglomérations et départements qui jouent un rôle crucial pour favoriser l'épanouissement artistique sur leurs territoires. Des décisionnaires, élus et services culturels mobilisés pour démocratiser l'art et le rendre accessible à tous. Et si cela commençait dans nos écoles ? Des équipes éducatives impliquées, ouvrant des portes incroyables pour nos jeunes. Des projets artistiques intégrés au cursus scolaire, éveillant des vocations et enrichissant le parcours éducatif des élèves. Imaginez encore. Des rencontres régulières entre artistes locaux. Des événements créant des synergies, des collaborations, renforçant le sentiment d'appartenance à une communauté artistique dynamique. Les projets artistiques peuvent promouvoir des valeurs telles que l'expression de soi, la diversité, l'innovation, et la collaboration. Ils encouragent l'empathie, la conscience environnementale, et la santé mentale, tout en renforçant les liens communautaires et en célébrant le patrimoine culturel. Et si les institutions locales organisaient des événements pour promouvoir les artistes, tout comme elles le font pour le sport ? Des festivals, des expositions collectives, des ateliers publics pour célébrer et promouvoir le talent artistique local. Pour créer des ponts entre les musées régionaux, les écoles, et les artistes, il est essentiel de développer des partenariats solides et des programmes éducatifs intégrés. Les élus jouent un rôle clé en tant qu'ambassadeurs des artistes locaux, car leur réseau et leurs rencontres leur permettent de promouvoir activement les talents régionaux. Les élus peuvent organiser des expositions itinérantes, faciliter des résidences d'artistes dans les écoles, et encourager des ateliers interactifs dans les musées. Alors, artistes, prenez contact avec les institutions sur votre territoire, demandez une rencontre avec le maire ou l’adjoint au maire à la culture ou à la jeunesse pour créer des liens. *** ♼ Repartagez pour aider d'autres amis artistes *** Je suis Cristela, Coach d’artistes, Agent artistique et Curatrice d’art passionnée, spécialisée dans : ▪️ Vente d'œuvres artistiques ▪️ Consulting : ton plan d'action en 1h ▪️ Coachings individuels : 1, 3 ou 6 mois On se connecte ?
Identifiez-vous pour afficher ou ajouter un commentaire
9 456 abonnés