Post de Babacar BA

La Chine et l’Afrique du Sud ont annoncé leur intention de renforcer leur coopération au sein des BRICS

La Corée du Nord met fin à la coopération économique avec Séoul

Des paramètres nouveaux gouverneront, dorénavant, les relations de coopération stratégique entre le Maroc et la France ! Un raisonnement nouveau régira, désormais, la nouvelle phase géopolitique rassemblant Rabat et Paris ! Des critères nouveaux présideront à la destinée du futur politico-stratégique entre deux Nations, historiquement et culturellement, liées, imbriquées l’une dans l’autre ! Comment les combinaisons géopolitiques pourraient-elles agir sur la reconfiguration des relations de coopération stratégique ? Comment l’agencement ou l’accommodement politique pourrait-il déterminer la stature, l’ampleur et l’étendue de nouvelles relations de coopération sécuritaire entre Rabat et Paris ? Comment le type de dosage politique pourrait-il, spécifier le calibre, la dimension et l’envergure de nouvelles relations de coopération éco, commerciale, culturelle… entre deux pays, ayant le privilège d’avoir à leur actif un précieux et valeureux dénominateur linguistique commun ? Étant donné le caractère perpétuel des intérêts politiques entre Etats, il demeure évident et manifeste que le Maroc reconstitue, en permanence, sa carte géopolitique, reconstruit, continuellement, la carte, organisant la pluralité et la variété de ses partenaires stratégiques. Les intérêts politiques sont immortels. Les intérêts politiques n’obéissent, nullement à des frontières délimitées et déterminées. C’est d’ailleurs, l’âme de la Mondialisation et l’esprit de la Globalisation. Chaque pays lui incombe d’épuiser toutes les opportunités politiques, stratégiques, éco…que lui offre la proximité géographique. Chaque pays se situe, même, en permanence, dans une logique de vouloir épuiser ces opportunités. Il faut dire que la proximité géographique accroît le sentiment de responsabilité d’investir, politiquement et économiquement, chez le partenaire potentiel. La proximité géographique pourrait, même, être, considérée, dans ce contexte, comme un facteur naturel d’incitation et d’encouragement à l’investissement, parallèlement à la charte d’investissements, traditionnellement, de caractère juridique. Le Maroc et la France ont dévoilé, récemment, un acte de volonté politique délibéré, extrêmement, important et primordial, en vue d’entamer, voire persévérer, dans le cadre d’un processus politique inédit de reconstitution des relations de coopération bilatérale. Les Chefs de la Diplomatie ont déjà, échangé leurs visites. Des délégations ministérielles de part et d’autre, ont été programmées, au niveau sectoriel. Comment le gel s’est transformé en dégel ? Les relations franco-marocaines sont ancrées et enracinées ! La Diplomatie, aujourd’hui, c’est la Communication. L’approche culturelle et linguistique demeure déterminante dans les Relations Internationales. Elle constitue un soutien exceptionnel, un excellent appui et un agréable renfort au service de la négociation. Un Éloge Résonnant, Sonore et Retentissant en faveur de la Diplomatie Marocaine, très perspicace.

Les ministres des Affaires étrangères chinois et sud-coréen expriment l'espoir d'améliorer les relations: Le ministre des Affaires étrangères chinois Wang Yi et la ministre des Affaires étrangères sud-coréenne Cho Yoo-lee expriment l'espoir d'avoir des relations stables et saines après avoir fait face à des défis. Ils soulignent tous deux l'importance de la relation et mettent en évidence les progrès significatifs accomplis en 30 ans depuis l'établissement des liens diplomatiques.. https://lnkd.in/ep6AgJ3R

Ce vendredi, j’ai fait une présentation sur les relations turco-sénégalaises, sous l’angle de ma thèse, à Afrika Koordinasyon ve Eğitim Merkezi (AKEM) Dans cette thèse, il était question d’analyser l’évolution des relations entre la Türkiye et le Sénégal sous l’AKP, et comment, à partir des leviers du Soft Power et de la Diplomatie Économique, la Türkiye a renforcé sa présence au Sénégal. Depuis la venue du Président Erdogan au pouvoir, la diplomatie turque s’est largement renforcée en attractivité, pro-activisme et centralisme, conformément à la doctrine du « Strategic Depth » conçue par Ahmet Davutoglu, ancien MAE et ancien PM de la Türkiye. La Türkiye a notamment renforcé ses relations diplomatiques avec l’Afrique, passant de 12 ambassades en 2012 à 45 de nos jours sur le continent. Ankara a largement investi dans le soft power, notamment à travers l’aide humanitaire, une diplomatie religieuse, une diplomatie culturelle (y compris l’éducation) mais aussi avec un discours anti-impérialiste pour renforcer sa crédibilité et sa confiance avec les autorités africaines. La diplomatie économique, avec le rôle de DEİK - Foreign Economic Relations Board , de MÜSİAD et, à travers les multiples forums économiques, les visites officielles et les business visits, a été un levier majeur dans le renforcement des relations économiques entre la Turkiye et le continent, avec le Sénégal en particulier. L’originalité de cette thèse a été de montrer comment les performances économiques peuvent être aussi sources de soft power et comment les outils du soft power peuvent être aussi des vecteurs de la diplomatie économique. - Le respect des exigences et des deadlines noté avec les entreprises turques ayant exécuté des marchés au Sénégal, ont, pourrait-on dire, renforcé au fil du temps la relation entre les décideurs politiques et la Türkiye. Les entreprises turques sont devenues des brand ambassadors d’Ankara, permettant de connaître le savoir-faire turc, notamment dans la filière des infrastructures. - La diplomatie culturelle basée sur la religion, l’éducation et le cinéma turc, a par exemple permis aussi à la Türkiye d’encourager un rapprochement avec les peuples africains, de montrer son attractivité culturelle avec notamment l’islam comme dénominateur commun et, à travers son cinéma, d’exposer son attractivité économique et touristique. - La Turkiye a gagné aussi en crédibilité avec ses performances économiques mais aussi en l’absence d’un passif colonial en Afrique. Une convergence de vision des relations internationales entre le Président Erdogan et l’ancien President sénégalais Macky Sall, avait été aussi un instrument de facilitation des relations diplomatiques entre les deux pays.

European Commission European Parliament Council of the European Union Cour de justice de l'Union européenne European Parliament Translation Service BBC News CNN TV5MONDE Le Monde Le Journal de Montréal Wells Fargo FRANCE 24 la Société Africaine Du Commerce Extérieur et Coopération Internationale, en considération de l'importance accordée, et placée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, depuis Son accession au Trône de Ses glorieux ancêtres qui as accorde dieu le protège un intérêt particulier aux relations entre le Royaume Du Maroc et le continent Africain afin de donner une nouvelle impulsion aux liens séculaires et multidimensionnels ancrés dans l’histoire entre les pays frères Africains. La Société Africaine Du Commerce Extérieur et Coopération Internationale, tant que une société Marocaine installée dans plusieurs pays Africains, bien attachée aux intérêts stratégiques, et a l'ensemble des constantes nationales du Royaume du Maroc, dont la souveraineté nationale du Royaume du Maroc sur l'ensemble du territoire national, y compris les régions du sud du Royaume de Maroc. En considération de la Vision Royale constante et clairvoyante plaçant les causes nobles de l’Afrique et les intérêts vitaux du citoyen africain en matière de paix, de sécurité et de développement au centre de l’agenda panafricain. L’approche du Royaume concernant l’action africaine commune repose sur une Vision Royale constante et clairvoyante qui place les causes nobles de l’Afrique et les intérêts vitaux du citoyen africain en matière de paix, de sécurité et de développement au centre de l’agenda panafricain et, par conséquent, accorde à la coopération Sud-Sud une importance stratégique pour l’accélération des objectifs de l’agenda 2063. En effet, la coopération intra-africaine est cruciale pour le développement socio-économique, politique, et culturel du continent et offre plusieurs avantages essentiels, citant le développement économique, l’intégration régionale, le renforcement de la paix et de la sécurité en Afrique, la résilience face aux crises, l’innovation et le partage des connaissances et le renforcement de la voix du continent sur la scène internationale. Au niveau du développement économique, la coopération peut stimuler le commerce intra-africain en réduisant les barrières tarifaires et non tarifaires, en harmonisant les réglementations et en améliorant les infrastructures de transport et de communication, précisant que cela facilite l'accès aux marchés et augmente les opportunités économiques pour les pays africains. Pour ce qui est de l’intégration régionale, elle constitue un levier important pour accélérer le développement économique, réduire la pauvreté et promouvoir une croissance inclusive, a relevé la délégation, notant que le rôle des Communautés économiques régionales (CER) demeure vital et d’importance stratégique.

Corée du Sud 🇰🇷 – Afrique 🌍 Avec l'ancienne ministre des Affaires étrangères de la République de Corée du Sud, Madam KANG KYUNG-WHA Notre objectif est de renforcer les collaborations amicales avec des institutions du monde entier Bâtir la confiance et la crédibilité, pour attirer les meilleures entreprises en Afrique

➡ La Chine dit soutenir l’Iran. Mais le fait-elle vraiment ? La Chine a souvent affiché un soutien à l'Iran, notamment dans le cadre de leur partenariat stratégique. Atlantico : La Chine a souvent affiché un soutien à l'Iran, notamment dans le cadre de leur partenariat stratégique. Peut-on dire que ce soutien est réel et tangible dans les faits, notamment après l'attaque récente de l'Iran sur Israël ?   Emmanuel Lincot : Il l’est pour plusieurs raisons, historique notamment; savoir que, depuis la révolution islamique, la Chine soutient l’Iran et a largement bénéficié du retrait des Occidentaux de ce pays depuis 1979. En 2021, les deux pays ont signé des accords commerciaux d’un montant de 400 milliards de dollars dans le domaine des infrastructures et deux ans plus tard, Téhéran a intégré l’Organisation de Coopération de Shanghai. L’Iran est essentiel à la stratégie des nouvelles routes de la soie, puisque ce pays permet à la Chine de le connecter à ses avancées stratégiques en Asie centrale plus au nord. Même si Pékin a des relations officielles avec Israël, pour l'heure l’Iran lui est beaucoup plus utile ainsi qu’au duopole russo-chinois d’autant qu’il lui offre un débouché sur le golfe persique en même temps qu’il contribue à marginaliser son principal concurrent en devenir, l’Inde. New Dehli a en effet tenté d’ouvrir un corridor alternatif aux nouvelles routes de la soie, l’IMEC (India Middle East European Corridor); lequel transite par Israël pour relier l’Union Européenne. Pékin n’a aucun intérêt à voir ce corridor concurrent se développer non plus que Moscou qui tient particulièrement à sa relation, encore privilégiée à ce jour avec New Delhi et qui, elle, s’est concrétisée par l’ouverture d’un autre corridor, le North South International Transport Corridor. Ce dernier confère d’ailleurs à l’Iran et dans les échanges qui ont cours entre la Russie et l’Inde un rôle de première importance. Bref, ni la Chine ni la Russie ne jouent la carte d’Israël d’autant que Tel-Aviv est considéré comme un cheval de Troie des intérêts américains au Moyen-Orient et que ni Moscou ni Pékin ne souhaitent un renforcement des intérêts de Washington dans la région. . Dans quelle mesure la Chine est-elle prête à risquer ses relations avec Israël et d’autres partenaires clés au Moyen-Orient en soutenant l'Iran, surtout dans un contexte aussi tendu ? Au-delà même d’Israël se joue une guerre systémique qui associe désormais le Moyen-Orient au conflit ukrainien. Il n’y aura pas de rupture entre la Chine et Israël. En revanche, nous pouvons observer que la rivalité entre le duopole russo-chinois et les États-Unis s’étend également à cette partie du monde. La Turquie va largement bénéficier de sa centralité et du rôle d’intermédiaire qu’elle peut jouer entre les différents protagonistes. (...)

Si la visite d’État du président chinois Xi Jinping en France, du 5 au 7 mai, a fait la une des journaux, celle à Paris du Premier ministre japonais Fumio Kishida, du 1er au 3 mai, est, elle, largement passée inaperçue. "À plusieurs égards, ce déplacement a reflété l’état de la relation franco-japonaise, qui bien que fondée sur des valeurs, des intérêts et des convergences stratégiques solides, demeure sous-exploitée et marquée par des malentendus." Très intéressante analyse de Céline Pajon sur une relation franco-japonaise sous exploitée. "La relation avec le #Japon s’avère ainsi particulièrement stratégique pour promouvoir les intérêts français. Cependant, des frustrations découlant de la lenteur des processus bureaucratiques de part et d’autre et de perceptions erronées persistent et limitent la portée de la coopération. Les responsables français tendent en effet à voir le Japon comme trop aligné sur les États-Unis, tandis que leurs homologues nippons considèrent que la #France est généralement trop conciliante à l’égard de la #Chine. (...) La France et le Japon auraient intérêt à reconnaître que leurs positions sont en réalité plus convergentes qu’ils ne le pensent. L’approche à plusieurs niveaux du Japon à l’égard de la Chine, comprenant dissuasion, contrepoids et coopération conditionnelle basée sur des mesures de sécurité économique, présente de nombreuses similitudes avec la position française et européenne qui considère Pékin comme un partenaire, un concurrent et un rival systémique, et qui met en œuvre une stratégie de « de-risking ». Contrairement aux frictions de la relation France-Chine, où des valeurs et des intérêts fondamentaux sont en jeu, les difficultés liées aux perceptions erronées dans les relations France-Japon pourraient être aisément surmontées grâce à un dialogue politique renforcé. Il est temps pour la France et le Japon d’accroître la visibilité de leur partenariat et d’améliorer leur communication stratégique. De telles mesures renforceraient les liens bilatéraux et jetteraient les bases d’une coopération élargie, d’autant plus que des élections décisives se profilent aux États-Unis cet automne." #géopolitique #diplomatie #international #influence #stratégie #prospective #sécurité #veille #Asie #indopacifique

Au volet du renforcement de la paix et de la sécurité sur le continent, elle a réitéré le plein engagement en faveur des principes cardinaux du respect de la souveraineté et de l’intégrité territoriale des États, de la non-ingérence dans leurs affaires internes et du bon voisinage. Évoquant la résilience face aux crises, la délégation marocaine a noté que pour répondre aux pandémies, aux changements climatiques ou aux crises alimentaires, la coopération permet aux pays africains de partager des connaissances et des stratégies pour surmonter collectivement ces défis qui ne cessent de s’aggraver. Concernant l’innovation et le partage des connaissances, la délégation a souligné que la collaboration entre les nations africaines encourage le partage de connaissances, d'expertises et de technologies, favorisant ainsi l'innovation et le développement de solutions adaptées aux défis spécifiques du continent. S’agissant du renforcement de la voix de l’Afrique sur la scène internationale, elle a noté que les pays africains peuvent ensemble avoir une voix plus forte dans les forums internationaux et mieux défendre leurs intérêts sur des sujets tels que le commerce, l'environnement et le développement. Nous sommes tous appelés à fournir davantage d’efforts pour faire avancer la coopération intra-africaine, qui demeure le seul moyen qui nous permettra, en tant qu’Africains, de se prendre en charge et réaliser le rêve de l’Afrique que nous voulons et, en somme, répondre aux attentes et aspirations de nos citoyens. Afin de permettre à l’institution panafricaine d’accompagner efficacement le processus de développement et de réforme dans le continent, la délégation a insisté sur l’impératif de garantir la bonne gouvernance administrative et financière au sein de cette institution, ainsi que la crédibilité du processus intergouvernemental. Depuis l'extrême limite de nos frontières Maroc Mauritanie, exactement depuis l'extrême façade côtière Atlantique la ville de #LKouira. #Appartement, c'est un message clair pour vous, de s'occuper de votre sauce en Europe.